Elle a rendu compte et obéi à sa hiérarchie, il n'y a aucun problème...
Elle se moque du monde, non ?
Elle a entendu "je vais le tuer", ne sait pas selon ses dires quel détenu sur seulement trois a prononcé cette phrase, mais a bien constaté elle-même que l'islamiste vidait sa cellule...
Rappel : le ministre Dupond-Moretti a récemment accordé aux agents pénitentiaires ce qu'ils réclamaient depuis longtemps et leur avait été refusé par son prédécesseur. Leurs rémunérations sont actuellement en cours de discussion, jusqu'à fin mai ou début juin (voir ci-dessous).
Par ailleurs, quelques mois avant qu'il fût nommé ministre de la Justice et Garde des Sceaux et ne nommât en retour à la Chancellerie l'ancien procureur de la République de Quimper, le cabinet des deux avocats associés Eric Dupond-Moretti et Antoine Vey avait pris la suite de l'escroc lyonnais Patrick Baudy auprès de ses clients finistériens, parmi lesquels de vrais complices de longue date du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi.
Lire ou relire à ce sujet :
http://satanistique.blogspot.com/2023/04/comment-lavocat-lyonnais-patrick-baudy.html
http://satanistique.blogspot.com/2023/04/dou-vient-laudace-de-lavocat-lyonnais.html
http://satanistique.blogspot.com/2023/04/impossible-gallery-une-creation-des.html
http://satanistique.blogspot.com/2023/04/gerard-rameix-cousin-germain-de-lescroc.html
Et je ne sais toujours pas quelle mouche a piqué Patrick Baudy à mon sujet fin 2019, il ne s'est jamais expliqué à ce sujet...
A lire ou à relire, dans l'ordre, concernant l'assassinat d'Yvan Colonna :
http://satanistique.blogspot.com/2022/01/michel-ucciani-ancien-braqueur-et-du.html
http://satanistique.blogspot.com/2022/03/assassinat-dyvan-colonna-encore-cyprien.html
http://satanistique.blogspot.com/2022/03/les-attentats-islamistes-commis-en.html
http://satanistique.blogspot.com/2023/03/assassinat-dyvan-colonna-un-assassin.html
http://satanistique.blogspot.com/2023/03/assassinat-dyvan-colonna-pas-une.html
http://satanistique.blogspot.com/2023/03/dupond-moretti-triple-bras-dhonneur-et.html
http://satanistique.blogspot.com/2023/03/de-jean-castex-lassassin-dyvan-colonna.html
http://satanistique.blogspot.com/2023/03/dupond-moretti-passible-de-poursuites.html
http://satanistique.blogspot.com/2023/03/aie-encore-une-mauvaise-nouvelle-pour.html
http://satanistique.blogspot.com/2023/03/assassinat-dyvan-colonna-des-donnees.html
http://satanistique.blogspot.com/2023/03/assassinat-dyvan-colonna-un-dementi.html
http://satanistique.blogspot.com/2023/03/au-moins-17-attentats-en-corse-depuis.html
http://satanistique.blogspot.com/2023/03/assassinat-dyvan-colonna-des-agents.html
http://satanistique.blogspot.com/2023/03/des-attentats-islamistes-pour-des.html
http://satanistique.blogspot.com/2023/04/assassinat-dyvan-colonna-suite-des.html
http://satanistique.blogspot.com/2023/04/assassinat-dyvan-colonna-lhypothese-dun.html
http://satanistique.blogspot.com/2023/04/corse-en-prison-nouvel-ouvrage-de.html
Commission d'enquête sur la mort d'Yvan Colonna : la surveillante de la prison d'Arles se défend de tout manquement
L'image d'Yvan Colonna lors de son enterrement à Cargèse, en Corse-du-Sud, le 25 mars 2022. (JULIEN DE ROSA / AFP)
Une surveillante de la prison d'Arles (Bouches-du-Rhône), qui avait signalé des comportements inquiétants du meurtrier d'Yvan Colonna avant son agression, s'est défendue devant la commission d'enquête de l'Assemblée nationale de tout manquement en matière de sécurité, selon un compte-rendu mis en ligne lundi 24 avril. La commission d'enquête avait découvert que cette surveillante avait entendu, le 1er mars 2022, la phrase "je vais le tuer" dans une conversation entre trois détenus à laquelle participait Franck Elong Abé, l'agresseur d'Yvan Colonna. Elle avait aussi constaté que ce dernier "vidait sa cellule".
Ces informations étant absentes des données transmises par l'administration pénitentiaire et n'ayant pas été mentionnées lors des auditions à l'Assemblée, le député nationaliste de Haute-Corse Jean-Félix Acquaviva, président de cette commission, avait fait part devant la presse le 15 mars de ses "plus grandes interrogations" quant à la "possible tentative d'effacement de ces données".
"Je ne savais pas qui avait parlé"
Entendue à huis clos devant la commission le 4 avril, la surveillante a confirmé avoir entendu "je vais le tuer", mais expliqué ne pas l'avoir signalé dans le logiciel de suivi individuel des détenus, "précisément parce que je ne savais pas qui avait parlé, ni de qui il parlait". Elle assure cependant avoir "rendu compte" de l'information oralement à son supérieur hiérarchique, qui avait fait passer l'information à son propre responsable.
"Quelles certitudes aviez-vous que l'information a bien été transmise ?", ont insisté les députés, s'étonnant qu'il n'y ait pas de trace écrite de cette information "assez grave" alors que d'autres, "plus insignifiantes", comme "un don de paquets de pâtes" entre détenus, y figurent. "Le premier surveillant est revenu me voir pour me dire qu'il avait transmis les informations. Je respecte l'ordre hiérarchique", a répondu la surveillante.
Concernant la seconde information sur le "changement de comportement" de Franck Elong Abé, la surveillante a soutenu avoir effectué une observation écrite. Celle-ci ne figure toutefois pas dans "l'extraction du logiciel" utilisé dans la prison, a relevé le président Jean-Félix Acquaviva. "J'ai peut-être mal validé ou fait une mauvaise manipulation", a justifié l'intéressée, précisant là aussi avoir signalé l'information oralement à sa hiérarchie. Le rapport de la commission est attendu en mai.
Dupond-Moretti fait un geste « historique » pour les agents pénitentiaires
Le ministre de la Justice a annoncé mardi qu’une évolution significative du statut des surveillants pénitentiaires serait effective dès 2024.
Quentin Marchal avec AgencesTemps de lecture : 3 min
C'est un changement de taille dans le système carcéral français. Le ministre de la Justice Éric Dupond-Moretti a annoncé mardi 21 février à Agen une évolution « historique » du statut de tous les agents pénitentiaires, une réforme saluée par des syndicats de gardiens de prison, qui l'attendaient depuis longtemps.
« À compter du 1er janvier 2024, le corps des surveillants pénitentiaires passera en catégorie B (de la fonction publique) et celui des officiers, en catégorie A », a annoncé le ministre devant la 215e promotion de l'École nationale d'administration pénitentiaire (Enap). « C'est une avancée historique car depuis longtemps réclamée et totalement méritée, vous qui incarnez la troisième force de sécurité de notre pays », avec 40 000 agents, a-t-il ajouté.
Cette réforme vise notamment à améliorer « l'attractivité » des métiers de la pénitentiaire, qui fait face depuis plusieurs années à une crise du recrutement, et à « susciter des vocations » alors que des milliers d'emplois sont à pourvoir.
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Elle impliquera « une revalorisation indiciaire et indemnitaire importante », a dit Éric Dupond-Moretti. Selon la chancellerie, une grille « est en cours de discussions » et une décision devrait être prise « fin mai-début juin ». « Nous n'avons pas encore annoncé de chiffre de revalorisation », a souligné le ministre de la Transformation et de la Fonction publique Stanislas Guérini, présent à Agen, qui souhaite que la réforme puisse entrer en application au début de 2024.
Des « centres interrégionaux de formation » vont voir le jour
En janvier 2019, cette même évolution statutaire, alors défendue par plusieurs organisations syndicales, avait été refusée par la garde des Sceaux Nicole Belloubet au motif qu'elle « aurait pour effet d'interdire le recrutement (comme surveillants) de personnes n'ayant pas le baccalauréat », diplôme indispensable pour être candidat à un poste de catégorie B. Environ un tiers des surveillants de prison actuels n'ont pas ce diplôme, selon le ministère.
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Éric Dupond-Moretti a toutefois indiqué devant la nouvelle promotion de l'Enap que la réforme permettrait d'organiser des recrutements d'agents contractuels, de catégorie C, sans le bac obligatoire, pour « seconder » les surveillants pénitentiaires. Ils pourraient assurer, selon la chancellerie, des missions particulières, comme la surveillance de parloirs.
Le ministre a aussi annoncé la création de « plusieurs centres interrégionaux de formation » continue pour les agents pénitentiaires, dont la formation initiale reste à l'Enap. Il pourrait y en avoir « trois ou quatre », selon le ministère.
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Une réforme saluée par les syndicats
« C'est une belle reconnaissance et une bonne nouvelle pour les personnels », a estimé à Agen Emmanuel Baudin, secrétaire général de FO Pénitentiaire, premier syndicat de la profession, qui souhaite maintenant « que le budget suive ».
« On a demandé la même grille (indiciaire) que la police avec notamment une prime de maîtrise mensuelle. C'est ce qu'ils avaient obtenu quand ils ont créé des contractuels dans la police nationale », a-t-il ajouté.
Le secrétaire national du syndicat Ufap-Unsa Wilfried Fonck a estimé qu'il fallait maintenant s'assurer que « cette réforme d'envergure vraiment attendue par les personnels sur le terrain leur soit bénéfique ». « Il faut vraiment en profiter pour aller au-delà (de l'aspect financier) et redéfinir les missions du surveillant », a-t-il ajouté.
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