Je profite de cette information pour rappeler que lorsqu’au mois de juin 2010, le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi a révélé à son public mon identité et toutes les « informations » (fausses pour la plupart) concernant ma vie privée que lui soufflait sa complice Josette Brenterch du NPA de Brest, il était conseillé par plusieurs personnes, celle-là comme des journalistes, qui tous savaient pertinemment que j’avais jadis travaillé pour la Défense nationale sur des projets classés et rêvaient depuis longtemps d’attaquer à travers moi les autorités militaires du pays et leur chef suprême, le chef de l’Etat, à cette époque Nicolas Sarkozy, sans oser le faire eux-mêmes en raison des risques encourus.
Le psychopathe Cyprien Luraghi était lui-même très bien informé à ce sujet depuis l’été 2008 au moins et je lui avais rappelé avec la publication suivante du 2 juin 2010 tous les problèmes auxquels, théoriquement, il se heurtait en s’acharnant sur moi comme il le faisait alors, menaçant déjà de faire des « révélations » fracassantes à mon sujet (cliquer sur l’image pour l’agrandir et lire les textes) :
Voilà pourquoi, certainement, en parallèle aux premières « révélations » publiques d’importance me concernant se préparait la sortie du premier numéro du magazine Inspire d’Al-Qaïda, support de propagande pour les attentats islamistes à venir, tandis qu’à Toulouse Mohammed Merah commençait à s’agiter et se préparer lui-même pour la première série de ces attentats, au mois de mars 2012.
Je rappelle que les premières victimes en seront des militaires. Je m’y attendais depuis un moment et avais bien repéré avec effroi la toute première dépêche AFP concernant le premier assassinat, le 11 mars 2012, craignant (avec raison) que ce ne fut cela. Je verrai par ailleurs disparaître définitivement de mes statistiques de blog mon régulier lecteur d’Auterive après l’arrestation d’Abdelkader Merah, frère du tueur. A compter de ma première publication sur ces assassinats dans le Sud-Ouest, le 18 mars 2012, celui-ci s’était mis à consulter mon blog plusieurs fois par jour. J’aurai donc dès la fin mars 2012 la quasi certitude d’avoir toujours eu pour lecteurs ces islamistes toulousains et de leurs complices, parmi lesquels un peloton de Belges comptant aussi parmi mes très réguliers lecteurs de blog, à compter de l’année 2010.
Rappelons ici que le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi a toujours vécu pour l’essentiel de trafic de drogue, d’abord entre la France et l’Afghanistan sous la couverture d’une activité de guide de trek dans l’Himalaya dans la décennie des années 1980, puis dans le Sud-Ouest à compter des années 1990.
Je ne sais comment expliquer l’énorme raté de son premier et unique interrogatoire à la gendarmerie de Puy-l’Evêque le 14 mars 2011 à la suite de mes premières plaintes à son encontre, alors même qu’entrait en vigueur la loi LOPPSI 2.
Pour commencer, la policière de Brest qui m’avait interrogée le 15 février 2011 à la suite de mes premières plaintes avait refusé de joindre à ma déposition les éléments de preuve que je lui présentais, arguant que son collègue de Puy-l’Evêque irait de toute façon les rechercher sur les blogs du cybercriminel. Mais le gendarme en question n’a en définitive jamais consulté que les articles de l’unique blog public du délinquant, alors que l’essentiel de ses textes publics me concernant se trouvait dans les commentaires sur ces articles, et que les plus sensibles de ses textes me concernant étaient tous supportés par un autre blog m’étant celui-là exclusivement dédié, son blog Tique Toc ouvert en juin 2010 et devenu entièrement privé fin août 2010. S’abstenant d’interroger le mythomane Pascal Edouard Cyprien Luraghi sur tous les commentaires de son blog public me concernant, il l’avait cru sur parole à propos de l’intégralité des contenus du second blog, Tique Toc, qui depuis sa fermeture au public ne supportait plus que des discussions de comploteurs à mon encontre. L’auteur de toutes les horreurs publiques de l’été 2010 sur ce blog Tique Toc (injures, diffamations et atteintes à l’intimité de la vie privée à profusion additionnées de menaces diverses, de harcèlement moral et d’un harcèlement sexuel évident), et de toutes les discussions privées qui désormais trahissaient bien d’autres infractions pénales à mon encontre, lui avait en effet déclaré tout ce blog très « propre » et ne contenant aucune « saloperie »…
J’ai publié quelques extraits de ce blog Tique Toc (pas les pires) ici, pour la journée de la femme de l’année dernière, afin que chacun puisse en juger par lui-même :
http://petitcoucou.unblog.fr/2019/03/08/juin-2010-pascal-edouard-cyprien-luraghi-ouvre-son-blog-tique-toc/
Par ailleurs, j’avais ainsi justifié en 2016 une demande de retrait de ses articles de blog où, cette année-là, il révélait encore au public mon identité, toutes mes coordonnées et bien d’autres éléments relevant de l’intimité de ma vie privée :
Justifiant sa demande de retrait de ces quatre articles, Madame (Petitcoucou) produit de nombreuses pièces et souligne en outre la circonstance particulière que Monsieur LURAGHI et ses amis l’ont en fait toujours harcelée pour son appartenance supposée ou réelle à l’un des services « secrets » de la République française.
Ils se plaisent à révéler les identités d’agents de l’Etat pour les mettre en danger.
Ce danger est bien réel pour Madame (Petitcoucou) qui par le passé a déjà fait l’objet de plusieurs tentatives d’assassinat en relation avec ses fonctions sur des projets classés de la Défense nationale et s’est de ce fait à plusieurs reprises retrouvée sous la protection de services spécialisés.
Ce fut notamment le cas au cours de l’année 1994.
Or, le jour même de l’interrogatoire de Monsieur LURAGHI à la gendarmerie de Puy-l’Evêque, le 14 mars 2011, était promulguée une loi renforçant la sécurité des agents que Monsieur LURAGHI recherche à travers toutes ses « enquêtes » concernant Madame (Petitcoucou).
L’article 413-13 du Code de la Défense qui en résulte est ainsi rédigé :
« Art. 413-13.-La révélation de toute information qui pourrait conduire, directement ou indirectement, à la découverte de l’usage, en application de l’article L. 2371-1 du code de la défense, d’une identité d’emprunt ou d’une fausse qualité, de l’identité réelle d’un agent des services spécialisés de renseignement mentionnés à l’article 6 nonies de l’ordonnance n° 58-1100 du 17 novembre 1958 relative au fonctionnement des assemblées parlementaires ou de son appartenance à l’un de ces services est punie de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 € d’amende.
« Lorsque cette révélation a causé une atteinte à l’intégrité physique ou psychique à l’encontre de ces personnes ou de leur conjoint ou partenaire lié par un pacte civil de solidarité ou de leurs descendants ou ascendants directs, les peines sont portées à sept ans d’emprisonnement et à 100 000 € d’amende.
« Lorsque cette révélation a causé la mort de ces personnes ou de leur conjoint ou partenaire lié par un pacte civil de solidarité ou de leurs descendants ou ascendants directs, les peines sont portées à dix ans d’emprisonnement et à 150 000 € d’amende, sans préjudice, le cas échéant, de l’application du chapitre Ier du titre II du livre II.
« La révélation, commise par imprudence ou par négligence, par une personne dépositaire soit par état ou profession, soit en raison d’une fonction ou d’une mission temporaire ou permanente, de l’information mentionnée au premier alinéa est punie de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 € d’amende.
« Le présent article est applicable à la révélation de toute information qui pourrait conduire, directement ou indirectement, à l’identification réelle ou supposée d’une personne comme source ou collaborateur d’un service spécialisé de renseignement. »
En vertu de ce texte, Monsieur LURAGHI est passible, au bas mot, d’une peine de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 € d’amende.
Il conviendra de noter qu’aucun journal n’a jamais fait preuve de son extraordinaire témérité, puisqu’à ce jour il reste le seul à révéler l’identité de Madame (Petitcoucou) et publier cette décision de justice.
A la suite de son interrogatoire du 14 mars 2011, au cours duquel le gendarme l’ayant reçu à cet effet l’avait en fait laissé lui raconter tout ce qui lui chantait sans en exiger aucun justificatif, mes premières plaintes à son encontre avaient été très rapidement classées sans suite sans aucune autre mesure d’enquête et dans la foulée, le gendarme de Puy-l’Evêque avait été muté en Guadeloupe tandis que ma policière de Brest quittait carrément la police.
Des Brestois très proches des magistrats ultra CORROMPUS qui en fait auraient dû intervenir très rapidement dès le tout début au cours de l’été 2010 sont depuis passés par les sommets de l’Etat et s’y trouvent toujours pour certains.
https://www.lepoint.fr/societe/un-journaliste-dans-le-collimateur-de-la-dgsi-28-02-2020-2364909_23.php
Un journaliste dans le collimateur de la DGSI
VIDÉO. La direction du service français de renseignement intérieur poursuit en justice l’auteur d’un livre pour « compromission du secret-défense ».
Par Baudouin Eschapasse
Modifié le 28/02/2020 à 14:20 – Publié le 28/02/2020 à 11:34 | Le Point.fr
On ne dévoile pas impunément « les succès » et les « ratages » du renseignement intérieur français dans la lutte antiterroriste. Pour avoir publié un livre-enquête sur les guerres de l’ombre de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), le journaliste Alex Jordanov est aujourd’hui poursuivi en justice pour « compromission du secret-défense ». Il a été convoqué, le 27 février au matin, par la brigade de répression de la délinquance contre la personne (BRDP) de la police judiciaire parisienne pour interrogatoire.
Convoqué à 10 heures du matin, le journaliste n’est ressorti libre qu’en début d’après midi. « Le capitaine que j’avais en face de moi a été très courtois. Il m’a posé énormément de questions. Il m’a notamment demandé si je connaissais les textes de loi qui protègent le secret-défense. Je lui ai demandé, en retour, s’il connaissait l’article 2 de la loi de 1881 sur la liberté de la presse (cette disposition concerne la protection des sources, NDLR). » Le policier a, en effet, demandé à M. Jordanov de divulguer les sources de son enquête au sein des services, ce qu’il a refusé. Cette procédure porte « directement atteinte au droit d’informer, mais également au secret des sources », a dénoncé son avocat, maître William Bourdon, dans un communiqué.
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Les enquêteurs ont multiplié les questions sur un certain Franck A. cité dans le livre: un agent qui devait ouvrir un kebab en Égypte face à une mosquée servant de point de ralliement à des personnes ciblées par les services. « Pour ce faire, la DGSI a donné 200 000 euros à l’intéressé. Or, avec cet argent, Franck a ouvert un web-café à l’autre bout du pays. Et sa hiérarchie n’était vraiment pas contente », relève Alex Jordanov. Lequel s’amuse que la police l’ait également interrogé sur un autre capitaine de l’ex-Direction Centrale du Renseignement Intérieur (devenue la DGSI): un officier surnommé dans les services « le pâtissier » car il avait passé un CAP en pâtisserie. « Je leur ai répondu que je m’étais contenté d’étoffer ce que Le Point avait publié », sourit Alex Jordanov.
Lire aussi Alex Jordanov, l’homme qui confessait les espions
Paru en avril 2019, Les Guerres de l’ombre de la DGSI, plongée au cœur des services secrets français, le livre incriminé, raconte des dizaines d’opérations visant à la fois les milieux islamistes et des cellules d’espionnage, notamment russes, dans notre pays. « Nous ne visions qu’à apporter au grand public des éléments de compréhension des difficultés d’adaptation et de mutation de la DGSI face à la menace terroriste. Et nous avions bien fait attention à ne dévoiler aucune donnée susceptible de mettre en danger des agents ou des opérations en cours », précise Yannick Dehée. C’est ainsi qu’un chapitre consacré à une mission visant des agents étrangers opérant sur le sol français, qui figurait au manuscrit initial, a finalement été retiré.
Manœuvre d’intimidation ?
« Cette procédure s’inscrit dans une logique d’intimidation à l’égard des journalistes d’investigation en France depuis plusieurs années », dénoncent d’une même voix Me Bourdon et son éditeur, Yannick Dehée (Nouveau Monde). La DGSI avait déjà convoqué, en mai dernier, huit journalistes ayant enquêté sur les conditions dans lesquelles la France avait livré des armes françaises au Yémen. Une journaliste du Monde ayant enquêté sur l’affaire Benalla avait également été questionnée par des enquêteurs de la DGSI.
Ces convocations avaient été dénoncées par une vingtaine d’associations et de syndicats comme représentant une atteinte à la liberté de la presse. Fin janvier, le parquet de Paris avait d’ailleurs fini par classer sans suite l’enquête pour « compromission du secret de la défense nationale » concernant les révélations sur les livraisons d’armes au Yémen.
Une caméra chez un journaliste ?
Il y a cependant une atteinte « plus grave encore », explique Alex Jordanov. Le journaliste affirme que « (s)on domicile a fait l’objet en son absence, fin 2019, d’une visite frauduleuse (sans effraction), d’évidence à des fins de collecte d’informations sur (s)on ordinateur ». Il est apparu qu’une caméra miniature avait été installée dans un couloir à l’insu de M. Jordanov. « Cette caméra qui ne disposait pas de carte mémoire, a été remise à la police », expliqué l’intéressé qui a porté plainte.
« J’ai appris avec surprise qu’un magistrat pouvait autoriser ce genre de « visites » dans le cadre des nouvelles techniques de renseignement. Avant, les agents, conscients de l’illégalité d’une telle action, disaient qu’ils « rentraient à la mexicaine ». Mes amis journalistes américains à qui j’ai raconté l’épisode me disent que la France ressemble de plus en plus au Congo », grince le journaliste. Son éditeur Yannick Dehée déclare qu’« il y a tout lieu d’être préoccupé si, dans la France actuelle, on use, à l’égard des journalistes enquêtant sur les éventuels dysfonctionnements de l’État, de moyens d’action qui semblaient jusqu’ici réservés aux terroristes ».
L’interrogatoire de M. Jordanov intervient au moment où se tient à Londres le procès de Julian Assange, dont les États-Unis demandent l’extradition et qui encourt 175 années de prison, pour avoir publié sur le site WikiLeaks des données que Washington estime confidentielles. Yannick Dehée indique qu’il ne retirera pas de la vente l’ouvrage d’Alex Jordanov, sauf à y être contraint par une décision de justice.