L'Assemblée nationale devient un collectif d'extrême-gauche comme un autre...
Du coup, tous ceux qui dérangent les politiques de l'extrême-gauche s'en font chasser dans la violence, comme cela s'est toujours fait sur tous les terrains de "luttes" qu'elle investit pour empêcher les autres de s'y exprimer.
Des
affrontements entre les forces de l’ordre et des jeunes du quartier de
Pontanézen, à Brest, ont éclaté, ce jeudi soir. Une rame de tramway a
aussi été visée par des tirs de mortier d’artifice.
Il
était précisément 22 h 53, ce jeudi 10 avril 2025, quand un tramway qui
circulait sur la ligne A a été victime d’une « attaque à la
diligence », à Brest. Visée par des tirs de mortier d’artifice à la
hauteur du quartier de Pontanézen, la rame a été immobilisée par son
conducteur alors que des usagers se trouvaient à bord. Rapidement sur
place, les forces de l’ordre ont escorté le tramway le temps
qu’il puisse repartir et rentrer jusqu’au centre d’exploitation et de
maintenance. À leur tour pris pour cibles, les policiers ont été visés
par des mortiers d'artifice, à tir tendu, le long de la ligne de tram
entre les arrêts Europe et Pontanézen. Au vu des munitions que les
jeunes du quartier avaient à leur disposition, on peut penser que cette
émeute était parfaitement planifiée. À tir tendu, un mortier d'artifice
peut provoquer des blessures relativement graves comme des brûlures,
mais le projectile peut aussi casser un os ou arracher une main ou un
doigt.
En réponse à une descente de police
La
scène s'est déroulée sous les yeux stupéfaits ou désabusés des
habitants. « Ils sont fous, commentait un jeune couple qui sortait d'un
fast-food. Pas étonnant que ça ait bardé ce soir : ce matin, une
descente de police a eu lieu. C'est leur manière de répliquer. Nous on
habite un peu plus loin, dans des rues plus calmes. Certains de nos amis
habitent le coeur du quartier. Ils n'en peuvent plus. Dans certaines
familles, des enfants sont terrorisés. En tout cas ce soir, on avait
l'impression de vivre une scène de guerre ».
Vers
23 h 30, répliquant par des tirs de lacrymogène, les policiers sont
parvenus à disperser les émeutiers avant de reprendre la direction du
commissariat central. Quelques minutes plus tard, rue Cézanne, une
vingtaine d’individus, encagoulés et équipés, pour certains, de barres
métalliques, circulait à pied sur la chaussée et les rails en criant «
On a gagné ! ». Plusieurs véhicules ont ensuite été incendiés rue Daumier et sur le parking de la Biocoop du quartier de l'Europe.
Les
forces de l’ordre sont intervenues à Pontanézen, ce jeudi 10 avril
2025. Des affrontements avec des jeunes du quartier ont éclaté. (Photo
Le Télégramme / Didier Déniel)
Un tramway déjà pris pour cible en 2022
L’intégralité
du réseau Bibus a été suspendue à la suite de ces incidents, comme le
veut la procédure. Selon nos informations, ni le conducteur de la rame
ni aucun passager présent à l'intérieur n'a été physiquement blessé.
Mais cette attaque, qui n’est pas sans rappeler un guet-apens qui avait déjà ciblé un tramway, en janvier 2022, exactement au même endroit, aura certainement des répercussions psychologiques.
Des violences
urbaines ont émaillé dans la soirée et la nuit de jeudi à vendredi. Un
groupe d'une trentaine de personnes a lancé des mortiers d'artifice sur
un tramway du réseau Bibus et sur les policiers venus le protéger. Les
forces de l'ordre ont riposté avec des grenades lacrymogènes.
La nuit a été tendue dans le quartier de Pontanézen, à Brest (Finistère) ce jeudi 10 avril. Selon des sources concordantes à "ici Breizh Izel", confirmant les informations du Télégramme,
une bande d'une trentaine de personnes, aux visages dissimulés, a
caillassé et dégradé le tram, rue Cézanne dans ce quartier nord de la
ville dans la soirée de jeudi.
Tirs de mortiers contre les policiers
Tout
a commencé aux alentours de 22h20, lorsqu'un équipage de la police qui
patrouillait a été pris à partie par un groupe en train de se
rassembler. Le calme est ensuite revenu, jusqu'à ce que des pierres
posées sur les rails bloquent le tram et oblige les forces de l'ordre à
intervenir. Les policiers et le tram se sont retrouvés visés par de
nombreux tirs de mortiers d'artifice. Les forces de
l'ordre ont répliqué par 37 tirs de grenades lacrymogènes pour se
protéger et permettre le passage du tram, poursuivent ces mêmes sources.
Un policier a été blessé. Il souffre d'une entorse au genou, 21 jours d'arrêt de travail lui ont été prescrits.
Les
forces de l'ordre ont dû escorter le tram en marche arrière direction
la zone commerciale du Froutven, à Guipavas, jusqu'au terminus. Sur le
réseau X (ex-Twitter), Bibus, le réseau de transports de la métropole de
Brest, annonçait à 23h18 jeudi stopper complètement le trafic de bus et
de tram et ce "jusqu'à la fin de service". La circulation a repris ce vendredi 11 avril au matin.
"Le harcèlement des points de deal ne plait pas aux trafiquants"
Des renforts de la CRS spécialisée violences urbaines vont
arriver dès ce vendredi soir, a appris "ici Breizh Izel" auprès du
sous-préfet de Brest, Jean-Philippe Setbon. Ils resteront le temps que
le calme revienne, selon lui. Ces émeutes interviennent alors que préfet
du Finistère a mis en œuvre il y a quelques semaines le plan d’action
départemental de restauration de la sécurité au quotidien (PADRSQ), à la
demande du ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau.
Une source proche du dossier confie à "ici Breizh izel" que la situation est tendue depuis deux jours dans le quartier de Pontanézen : "on a mis en place une stratégie de harcèlement des points de deal, et ça ne plait pas aux trafiquants", nous
indique cette source policière. Des policiers patrouillent en effet
toute la journée à Pontanézen, mais également dans d'autres quartiers de
Brest depuis plusieurs jours et dérange le trafic de stupéfiants.
"De tels agissements sont inadmissibles", réagit François Cuillandre, le maire de Brest
Dans un communiqué, François Cuillandre, le maire de Brest "condamne fermement" les faits qui se sont déroulés. "De
tels agissements sont inadmissibles. Ils pénalisent de surcroît les
habitants et usagers du tramway, par la faute de quelques personnes à
qui je demande fermement de mesurer la portée de leurs exactions
vis-à-vis de leurs familles et voisins". Le maire de Brest salue le travail des forces de la Police nationale "qui
a pu assurer la sécurisation du tramway, de son conducteur et de ses
passagers, ciblés par des tirs de mortiers. Je souhaite que ce quartier,
qui a toujours été au centre de nos attentions, retrouve un calme
durable dès à présent ".
J'indique la date du 3 avril 2025, car les deux dates des 2 et 3 avril 2025 ressortent dans mes statistiques de blog :
Comme très souvent je suis prévenue de l'imminence d'un attentat la veille de sa commission, je suppose qu'il aurait dû intervenir le 3 avril 2025 et que l'information de l'interpellation du kamikaze mardi 1er avril 2025 n'avait pas fuité en direction de ses commanditaires qui ne voyant rien venir le 3 avril m'ont alors remis la gomme sur le blog en pensant qu'il surviendrait avec un peu de retard le 4 avril 2025.
Il est déjà arrivé que des attentats soient commis avec du retard sur ce qui avait été prévu.
Ce fut notamment le cas pour celui du 26 juillet 2016 dans l'église Saint-Étienne de Saint-Étienne-du-Rouvray, l'assassinat du père Jacques Hamel, qui très certainement aurait dû être commis le dimanche 24 juillet 2016, pour l'anniversaire du premier site du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, ouvert le 24 juillet 2001.
Rappelez-vous, certain(e)s s'en impatientaient tellement qu'ils ou elles n'avaient pu contenir leur joie dès qu'il fut commis :
Ce n'est pas la première fois que l'origine de certains de mes ancêtres les excite, mais c'est bien la première fois qu'ils aient trouvé l'info parmi mes publications - les autres fois, ils y avaient eu accès grâce à tous leurs piratages à mon encontre.
Comme cette fois-ci je l'avais publiée, je ne suis pas gênée pour la montrer ou la reproduire, il s'agissait donc d'une information du 18 mars 2025.
Dès le lendemain, Jean-Luc Mélenchon venait à Brest noyer le poisson, et le député d'aujourd'hui tout juste neuf mois Pierre-Yves Cadalen de LFI ressortait de la naphtaline la fille à papa Le Goïc (ancien de la LCR de Brest) :
Ligue du LOL, attentats islamistes, ce sont les meilleurs....
P.S.: L'interpellation a eu lieu mercredi 2 avril et non mardi 1er avril. L'article de Paris Match recopié ci-dessous était erroné sur ce point.
Par ailleurs, Le Parisien indique que le Dunkerquois avait posté des messages sur Snapchat appelant à « noyer dans le sang les mécréants »
et qu’il aurait relayé des vidéos glorifiant les auteurs d’attentats en
France, dont Khamzat Azimov, qui avait fait un mort dans un attentat au couteau dans le quartier de l’Opéra, à Paris, en mai 2018.
Voilà, j'ai des ancêtres de Noyelles dans le Nord, et maintenant on appelle à « noyer dans le sang les mécréants »...
Et j'ai reparlé récemment dans des courriers électroniques privés (toujours piratés) de la tentative d'assassinat dont j'avais été victime en mai 1994 dans le quartier Opéra... Lors de l'attentat de mai 2018, le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi venait de perdre un mois plus tôt pour la seconde fois, en appel, le procès qu'il me faisait à Paris depuis le printemps 2016 (attentats associés : tous ceux de cette période, du printemps 2016 au printemps 2018, celui de Nice pour fêter l'assignation à comparaître qui m'avait été délivrée par acte d'huissier le 12 juillet 2016; au cours de cet été 2016, la fête battait son plein, la bande de malades mentaux était sûre de gagner; quelque peu déstabilisée de me voir venir me défendre seule aux audiences de septembre et novembre 2016, elle s'était pris une première douche froide début janvier 2017...).
Enfin, Franceinfo précise ce 8 avril 2025 que le candidat à l'attentat-suicide était connu pour des affaires de stupéfiants. Or, quasiment tous les complices du trafiquant de drogue Pascal Edouard Cyprien Luraghi sont bien eux-mêmes dans les trafics de stupéfiants ou a minima toxicomanes.
Le
principal suspect, âgé de 19 ans, a été dénoncé par son complice, pris
de panique par la tournure sérieuse que prenait le projet terroriste.
Les deux hommes ont été placés en détention provisoire.
Il a été pris de panique quand il s’est rendu
compte du sérieux de l’acte. D’après les informations de Paris Match,
obtenues auprès de sources concordantes, Mourad M., âgé de 19 ans,
suspecté de vouloir mener un attentat interpellé à Dunkerque
mardi dernier et inculpé pour participation à une association de
malfaiteurs terroriste dimanche, a été dénoncé par son principal
complice.
Hier, les deux hommes ont été mis en examen et placés en détention
provisoire pour ces faits, a appris Paris Match du parquet national
antiterroriste.
Il avait glissé des pétards dans un gilet
Quelques heures avant l’interpellation, lorsque les enquêteurs ont
été prévenus d’une attaque potentiellement imminente par l’autre suspect
né en 2005, ils se sont directement rendus à son domicile pour
l’interpeller. Sur place, ils ont découvert un gilet fabriqué par ce
dernier, dans lequel il y avait glissé « des pétards » pour voir ce que
ça pouvait donner. Selon une source concordante, il avait ensuite prévu
d’y mettre des explosifs.
L’objectif de ce suspect, connu pour des affaires de stupéfiants,
était de commettre une attaque dans un lieu public pour « punir des
mécréants », sans préciser les cibles. Cette attaque aurait été
revendiquée au nom de l’État Islamique, sans qu’il n’y ait vraiment
prêté allégeance.
Une troisième personne interpellée pour « non-empêchement de crime »
Un troisième homme, né en 2003, a été inculpé pour non-dénonciation
d’un crime terroriste et placé sous contrôle judiciaire, selon le
parquet national antiterroriste. Désormais, les enquêteurs de
la Sous-direction anti-terroriste (SDAT), qui mènent les investigations,
vont creuser pour savoir s’il allait vraiment passer à l’acte et pour
connaître les cibles.
Mi-mars, un adolescent de 17 ans, interpellé en Haute-Saône
(centre-est), avait été inculpé et placé en détention provisoire,
soupçonné d’avoir projeté une action violente « pendant le ramadan ».
Le 26 février, un homme algérien - qui présentait un profil
« schizophrène », selon le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau - a
lui aussi été inculpé pour assassinat terroriste et placé en détention
provisoire, après avoir tué un passant à Mulhouse (est) et blessé six
autres personnes.
Un
projet d'attaque à la ceinture d'explosifs a été déjoué dans le nord de
la France. Un jeune homme de 19 ans, radicalisé récemment, a été
interpellé avec deux autres suspects. Des perquisitions ont révélé un
dispositif de mise à feu et une recette pour fabriquer un explosif.
Un
projet d'attaque à la ceinture d'explosifs a été déjoué ces derniers
jours par les services antiterroristes. Trois hommes ont été interpellés
dans le nord de la France, mais c'est surtout l'un de ces trois
suspects qui préoccupe les enquêteurs et la justice. Il a 19 ans et
était, jusque-là, inconnu des services de renseignement. Mais ces
derniers temps, ce garçon qui vivait dans un foyer dans la région de
Dunkerque, s'est radicalisé tout seul, selon un connaisseur du dossier.
Les
enquêteurs ont découvert qu'il consultait des vidéos de décapitation et
qu'il avait fait allégeance à l'État islamique dans un courrier
retrouvé en perquisition. Selon cette même source, il ne se cachait pas
non plus sur les réseaux sociaux, avec notamment des logorrhées à la
gloire des attentats du 13 novembre 2015. Il se mettait aussi en scène
dans des vidéos avec une arme qui s'est révélée factice.
Projet d'action violente plutôt qu'attentat déjoué
Cette
fois, ce ne sont pas les algorithmes des géants d'Internet ou la veille
des services de renseignement qui ont permis de l'identifier, mais le
signalement d'un proche, parvenu aux oreilles de la police il y a une
dizaine de jours, qui redoutait un passage à l'acte. Mardi 1er avril,
les policiers locaux sont allés interpeller ce suspect avec le Raid. Ce
qui a été découvert en perquisition a conforté les craintes : une
ceinture artisanale équipée d'un dispositif de mise à feu composé de
deux simples pétards. Mais le jeune homme s'était procuré une recette
pour confectionner du TATP, un explosif bien plus puissant.
La
communauté juive se trouvait parmi les cibles du suspect, mais pour ce
qui est de l'échéance, impossible de le savoir. Au moment de
l'interpellation, le suspect n'était pas en position d'aller se faire
sauter avec sa ceinture puisqu'il n'avait pas encore fabriqué
d'explosifs. C'est la raison pour laquelle certains préfèrent parler de
projet d'action violente plutôt que d'attentat déjoué, même si un
connaisseur de l'affaire disait que le profil visiblement instable du
suspect pouvait l'amener à passer à l'acte avec une arme blanche sans
prévenir.
Il a été mis en examen et écroué,
tout comme un autre suspect interpellé par la sous-direction
antiterroriste de la police judiciaire. Un troisième homme, lui, est
poursuivi pour non-dénonciation.
Un éclairage de Pierre de Cossette, édité par Lucie Grandhay-Lavigne.
Ils sont soupçonnés d'avoir voulu
organiser une action violente à l'explosif : 3 hommes, âgés de 19 à 24
ans, originaires de Dunkerque et Lille, ont été interpellés. Le parquet
national antiterroriste mène l'enquête.
France
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pouvez vous désinscrire à tout moment via le lien en bas de cette
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C'est un proche de l'un des hommes qui a alerté la police, de
peur que son ami ne passe à l'acte. Chez ce Dunkerquois de 19 ans,
inconnu des services de police, les enquêteurs retrouvent en effet une ceinture artisanale.
Pas d'explosif à l'intérieur, mais selon les premières investigations,
le jeune homme est soupçonné de préparer un attentat, à l'encontre,
notamment de la communauté juive. Selon RTL, d'autres cibles sont
évoquées comme un foyer pour jeunes du Nord, un restaurant ou encore une boîte de nuit.
Un profil très inquiétant
Plusieurs publications sur les réseaux sociaux interpellent son
entourage et confirment ses intentions : le Nordiste, auteur d'un
courrier d'allégeance à l'Etat islamique, met en avant
plusieurs vidéos de Khamzat Azimov, l'auteur de l'attentat au couteau du
quartier de l'Opéra à Paris, en 2018. Il publie également des notes
glorifiant l'attentat du Bataclan.
Chez lui, des documents permettant la fabrication de TATP
sont saisis, d'après les informations du Parisien, un explosif bien
connu dans le milieu des djihadistes. L'homme est interpellé mardi 1er
avril 2025.
Deux de ses proches interpellés
Les investigations conduisent les enquêteurs à deux amis du suspect.
La même journée, un autre homme, toujours dans le Dunkerquois, est
également interpellé. Il aurait fourni au principal suspect une arme à
feu. Arme qui s'est finalement révélée factice.
Enfin, les services antiterroristes arrêtent un troisième homme
soupçonné de ne pas avoir dénoncé le projet d'attentat alors qu'il en
avait connaissance.
Produit incendiaire et explosif
Ce dimanche 6 avril 2025, les deux premiers hommes ont été mis en examen et placés en détention provisoire pour "association de malfaiteurs terroriste criminelle" et détention de "substance ou produit incendiaire ou explosif". Le troisième suspect a été mis en examen pour non-dénonciation de crime terroriste et placé sous contrôle judiciaire.
L'enquête est menée par la sous-direction antiterroriste, la police du Nord et la DGSI.
Projet d’attentat déjoué dans le Nord : ceinture explosive, lieu visé, trois jeunes suspects… ce que l’on sait
Les services
antiterroristes ont interpellé, mercredi dernier, trois jeunes hommes
originaires de Lille et Dunkerque qui voulaient commettre un attentat à
la ceinture explosive. Le point sur ce que l’on sait.
Par C. Br., E.A., A.C. et A.M.
Temps de lecture: 5 minPartage :
> Un projet d’attentat terroriste
Ils voulaient s’inspirer de l’attentat du Bataclan : trois jeunes Nordistes, âgés d’entre 19 et 24 ans ont été placés en garde à vue,
mercredi dernier, dans le cadre d’une enquête ouverte par le parquet
national antiterroriste (PNAT) pour « association de malfaiteurs
terroriste criminelle », « détention de substance ou produit incendiaire
ou explosif en relation avec une entreprise terroriste » et
« non-dénonciation de crime », rapportent nos confrères du Parisien.
Ils avaient, d’après le journal, l’intention de
commettre un attentat terroriste au nom de l’organisation État
islamique, certainement à l’aide d’une ceinture explosive.
Contacté par La Voix du Nord,
le PNAT confirme l’ouverture d’une information judiciaire, ce dimanche 6
avril. Deux hommes majeurs ont été mis en examen et placés en détention
provisoire des chefs de « participation à une association de
malfaiteurs terroriste en vue de la préparation d’un crime d’atteinte
aux personnes et détention de substance ou produit incendiaire ou
explosif ou d’éléments destinés à composer un engin incendiaire ou
explosif pour préparer une destruction, dégradation ou atteinte aux
personnes en relation avec une entreprise terroriste ». Le dernier a
été mis en examen pour ces faits, requalifiés en « non-dénonciation
d’un crime terroriste », précise le PNAT. Il a été placé sous contrôle
judiciaire.
> Des suspects nordistes âgés de 19 à 24 ans
Les
trois suspects sont des Nordistes, originaires de Lille et Dunkerque,
selon Le Parisien. Ils ont pu être arrêtés grâce à la dénonciation d’un
de leur proche, qui craignait un passage à l’acte imminent.
D’après BFM TV,
le suspect principal, Morad M. âgé de 19 ans, a été interpellé mercredi
2 avril à 6 heures par le Raid, dans son foyer pour jeunes adultes de
Dunkerque. Selon nos informations, il résidait au Centre d’Hébergement
et de Réinsertion Sociale (C.H.R.S.) Thérèse Caulier Soliha Flandres.
PHOTO LA VOIX DU NORD
Vers 8 heures, mercredi 2 avril, un voisin du Centre
d’Hébergement et de Réinsertion Sociale (C.H.R.S.) Thérèse Caulier
Soliha Flandres s’apprêtait à partir lorsque la police l’en a empêché. « Ils avaient bloqué les accès de chaque extrémité tout autour, et nous interdisaient de sortir avec les véhicules », témoigne-t-il. Le dispositif était « assez discret. Ça rentrait, ça sortait ». Selon lui, les accès ont été bloqués « toute la matinée ». Il a pris connaissance du fond de l’affaire ce lundi. « Ça fait un peu peur mais sur le coup ça ne m’a pas trop fait peur ».
BFM TV précise que Morad M. était, jusqu’à présent, inconnu des fichiers de signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste
(FSPRT), mais connu du renseignement territorial. Il avait notamment
proféré des menaces à l’encontre de Mila, jeune femme qui avait tenu des
propos très critiques contre l’Islam, ce qui lui avait valu une vague
de cyberharcèlement et des menaces de mort. Selon nos confrères, la mère
de Morad M. avait quitté le foyer familial, et son père était absent.
Les deux autres jeunes interpellés sont des proches
du principal suspect. L’un d’eux, âgé de 21 ans, est soupçonné de lui
avoir fourni une arme factice que Morad M. exhibait sur les réseaux
sociaux, selon RTL.
Il a été mis en examen pour association de malfaiteurs terroriste.
Sollicité par la radio, son avocat Maître Reda Ghilaci a réagi : « Mon
client n’est pas radicalisé et n’épouse aucune thèse
djihadiste. L’infraction d’association malfaiteur terroriste manque de
rigueur juridique. La défense va activement s’atteler à démontrer que
les infractions pour lesquelles il a été mis en examen ne sont pas
caractérisées en tous leurs éléments constitutifs ».
Le
troisième, vraisemblablement âgé de 24 ans, a été mis en cause pour
« non-dénonciation d’un crime terroriste » et a été placé sous contrôle
judiciaire.
> Des jeunes radicalisés
Morad
M. était très actif sur les réseaux sociaux, notamment sur Snapchat ou
Telegram, où il incitait les utilisateurs à faire le djihad, selon BFM
TV. D’après le média, il lançait également des appels sur ses réseaux
sociaux pour recruter des jeunes.
Le Parisien indique que le Dunkerquois avait posté des messages sur Snapchat appelant à « noyer dans le sang les mécréants »
et qu’il aurait relayé des vidéos glorifiant les auteurs d’attentats en
France, dont Khamzat Azimov, qui avait fait un mort dans un attentat au couteau dans le quartier de l’Opéra, à Paris, en mai 2018.
En
garde à vue, Morad M. a reconnu avoir eu un projet d’action violente
dans une période où il allait mal, mais a dit que ce dernier était « abandonné », relate BFM TV. Il était pourtant encore très actif sur les réseaux sociaux à la veille de son interpellation.
BFM
TV indique que lors de la perquisition au domicile de Morad M., les
policiers ont retrouvé plusieurs éléments qui laissent penser à la
préparation d’un attentat-suicide, ainsi qu’une lettre d’allégeance à
l’État islamique. Le Parisien précise qu’un gilet modifié, qui contenait
des pétards devant faire office de tests avant d’y introduire de
véritables explosifs a notamment été retrouvé, tout comme un dispositif
de mise à feu « potentiellement fonctionnel ». Les trois suspects s’étaient également renseignés sur la fabrication du TATP, un explosif souvent utilisé par les terroristes.
> Plusieurs idées de lieux à viser
Si
le lieu de la future attaque n’a pas été établi avec précision, les
suspects avaient déjà dressé une liste de cibles potentielles, rapporte
RTL. Parmi elles, un foyer pour jeunes du Nord, un restaurant, une boîte
de nuit ou encore un site appartenant à la communauté juive. Les
enquêteurs ne savent pas si l’une d’elles était réellement arrêtée.
D’après Le Parisien, les enquêteurs doivent déterminer si une date de
passage à l’acte avait déjà été fixée, ce qui ne semble pas être le cas à
ce stade.
Le dernier attentat commis dans le Nord – Pas-de-Calais
remonte à octobre 2023, lorsque Dominique Bernard, professeur de
français, avait été mortellement poignardé à Arras par Mohammed Mogouchkov, qui avait revendiqué son acte au nom de l’État islamique.
Trois jeunes hommes ont été arrêtés. Ils étaient soupçonnés de
préparer un attentat à l'explosif. Le plus jeune d'entre eux avait prêté
allégeance à l'État islamique.
Un attentat terroriste se préparait-il derrière les murs d'un foyer social du centre-ville de Dunkerque
(Nord) ? Les policiers sont intervenus mercredi matin, vers 8 heures,
avec l'appui du RAID dans l'établissement. Ils ont interpellé Morad M.,
un jeune homme de 19 ans, de nationalité française, sans emploi, et
connu pour des affaires de stupéfiants. Face aux enquêteurs, il
revendique la préparation d'un attentat à Dunkerque.
Deux de ses proches interpellés
Selon ses dires, le jeune suspect prévoyait de cibler des lieux fréquentés par la communauté juive et des terrasses de café. "Il
a avoué qu'il en avait assez de l'état de la France (...) et qu'il
avait prêté allégeance à Daesh et qu'il voulait faire (...) comme le
Bataclan", explique Marc Alegre, délégué du syndicat de police
Un1té-FO. Un gilet susceptible de recevoir de l'explosif, des pétards et
une lettre d'allégeance à Daesh et un drapeau de l'organisation
terroriste ont été retrouvés à l'intérieur de son appartement.
Morad M. a été dénoncé par un proche. Sa radicalisation avait alerté
les responsables de la structure qui l'hébergeait depuis trois ans. Mis
en examen dimanche 6 avril et écroué, deux de ses proches, âgés de 24
ans, ont aussi été interpellés, l'un a été incarcéré pour association de
malfaiteurs terroriste et l'autre, arrêté pour non-dénonciation de
crime, est ressorti libre sous contrôle judiciaire.
Si la «très grande majorité des magistrats en
France» sont «neutres», le ministre de l’Intérieur s’est attaqué au
Syndicat de la magistrature «qui s’est fait connaître avec le “Mur des
cons”».
Bruno Retailleau a jugé «objectif» qu'il y ait des «juges rouges» et s'en est pris au Syndicat de la magistrature, classé à gauche, jeudi, sur France 2. «La
très grande majorité des magistrats en France observe une neutralité
mais il y a parfois des organisations syndicales... Notamment une, qui
s'est fait connaître avec le “Mur des cons” (...) C'était le Syndicat de
la magistrature, qui a participé à la Fête de l'Humanité», a
assuré le ministre de l'Intérieur, interrogé sur la condamnation
judiciaire et l'inéligibilité immédiate prononcées contre Marine Le Pen.
En 2013, un panneau intitulé «mur des cons»
avec des photographies de personnalités politiques de droite,
magistrats, journalistes et aussi parents de victimes de crimes avait
été découvert dans les locaux du syndicat. L'ancienne présidente du SM a
été condamnée pour «injure publique» dans le cadre de cette affaire, révélatrice, pour une partie de l'opinion, de la partialité de la justice.
«C'est
objectif. Le Mur des cons... Pouvez-vous me dire ici si le Mur des cons
a eu lieu ou non? (...) C'est acceptable, ce Mur des cons?», a-t-il lancé. «Quand
des hommes politiques mais aussi des pères de victimes se retrouvent
épinglés sur un mur de ce Syndicat de la magistrature? Non, ça n'est pas
acceptable», a encore martelé le ministre et candidat à la présidence de LR.
ÉLECTIONS PROFESSIONNELLES DU 1er AU 8 DÉCEMBRE RENNES
ENSEMBLE FAISONS AVANCER LA JUSTICE Retrouvez nos engagements, nos objectifs et tous nos candidats sur : cgtsm.jevotecgt.fr/rennes Depuis des années, le ministère de la Justice nous soumet à des injonctions contradictoires en nous demandant d’assumer davantage de missions avec moins de moyens et avec une pression au résultat. La politique du chiffre a remplacé toute velléité de bien faire et toute ambition sérieuse de nos administrations. Pour arrêter ces réformes, notre intervention est indispensable ! Sans relâche, la CGT et le SM chercheront à unir autour de revendications offensives pour la défense du service public, du statut, des rémunérations et des conditions de travail. Nous défendrons les agents contre les sanctions et la répression, à l’heure où le ministère durcit le ton. Les élu.es de la CGT et du SM s’engagent, dans les instances, à se faire les porte-voix de la résistance des agent.es contre l’austérité, et à porter leurs exigences pour la défense de nos acquis et pour obtenir des moyens pour nos missions. Non par conviction que le « dialogue social » sur lequel le ministère s’assoit permettra de les satisfaire, mais pour aider à la poursuite de nos actions et pour faire face aux diverses attaques qui s’annoncent... En votant pour la CGT et le SM, vous montrerez votre détermination à obtenir l’arrêt des réformes néfastes. Vous renforcerez également une intersyndicale de transformation sociale qui résiste, agit, propose !
ÉLECTIONS PROFESSIONNELLES Ensemble faisons avancer la justice
SYNDICATS JUSTICE - DU 1er AU 8 DÉCEMBRE 2022
QU’EST-CE QUE LE COMITÉ SOCIAL D’ADMINISTRATION (CSA) ? La loi dite de « transformation » de la fonction publique du 6 août 2019, avec ses multiples suppressions/réorganisations d’instances, attaque directement la représentation des agents. Elle conduit à les empêcher de prendre conscience de l’importance concrète des enjeux de ces élections. Ainsi, la loi a fusionné les comités techniques (CT) et les comités d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) en une instance unique : le comité social d’administration (CSA). A partir de ces élections, le CSA va créer une sous-commission dénommée formation spécialisée qui traitera des questions d’hygiène, sécurité et conditions de travail lorsque le CSA concerné représentera plus de 200 agents ou que des risques professionnels spécifiques le justifieront. Le CSA du ministère de la justice résulte donc de la fusion des instances CTM (comité technique ministériel) et CHSCTM (CHSCT ministériel). Le CSA ministériel étant l’instance de dialogue social au plus haut niveau au sein du ministère de la justice, il comprendra, de fait, une formation spécialisée en matière d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail. Le CSA de proximité comme la formation spécialisée en santé, sécurité et conditions de travail doivent être présidé.es par les chef.fes de cour. Ils comptent autant de représentant.es titulaires que de représentant.es suppléant.es. Il s’agit d’un scrutin de liste et donc un vote direct pour élire vos représentant.es à cette instance. La grande nouveauté pour ce qui concerne le CSA du ministère de la justice est que désormais, les magistrat.es sont électeurs et éligibles et doivent y être représenté.es au même titre que les fonctionnaires et contractuel.les du ministère de la justice. C’est en ce sens que la CGT et le SM (Syndicat de la magistrature) ont fait le choix de présenter une liste commune au CSA ministériel. Pour autant, le ministère a refusé d’augmenter en proportion le nombre de représentant.es dans les CSA de proximité. C’est pourquoi la CGT a déposé un recours devant le Conseil d’État, la représentation et la défense des personnels ne pouvant souffrir une telle injustice de la part du ministère de la justice. Pour les CSA couvrant plus de 200 agents, et ceux en-dessous du seuil « si des risques professionnels particuliers le justifient », sera créée une formation spécialisée compétente en matière de santé, de sécurité et de conditions de travail (FSSCT). Cette formation aura à peu près les mêmes compétences que le CHSCT. Le nombre de représentants à la FSSCT dépend du nombre de titulaires au CSA, et le nombre de suppléants au FSSCT dépend du nombre de titulaires à la FSSCT. Les membres de la FSSCT seront désignés parmi les titulaires ou suppléants du CSA et les suppléants seront désignés librement par les organisations syndicales. Les attributions : Chaque comité social d’administration se réunit au moins deux fois par an. Lorsqu’il n’existe pas de formation spécialisée du comité, et en dehors des cas où il se réunit à la suite d’un accident du travail, en présence d’un danger grave et imminent ou pour des raisons exceptionnelles, le comité tient en outre au moins une réunion portant sur les questions en matière de santé, de sécurité et de conditions de travail. En dehors de ces cas, les formations spécialisées se réunissent au moins une fois par an. LE COMITÉ SOCIAL D’ADMINISTRATION A LES COMPÉTENCES SUIVANTES : CSA services judiciaires CSA déconcentré FSSCT • la gestion prévisionnelle des effectifs des emplois et des compétences ; • le projet statutaire, les règles relatives à l’échelonnement judiciaire ; • la formation nationale ; • les évolutions technologiques et de méthodes de travail ; • les conditions de travail ; • les projet de circulaire (mutation, indemnités, temps partiel, évaluation…) ; • les effectifs, transformation d’emplois ; • la politique indemnitaire, les critères de répartition des primes ; • les restructurations (réforme de la carte judiciaire, plate-formes inter-régionales). • la formation continue régionale ; • l’hygiène et la sécurité ; • le budget de la cour ; • la politique informatique locale ; • les évaluations professionnelles ; • les effectifs (création, transformation, redéploiement, suppression de postes) ; • les chartes des temps ; • les droits syndicaux ; • les crédits vacataires ; • les personnels placés (A, B, et C) ; • l’ARTT ; • l’action sociale ; • les restructuration (réforme de la carte judiciaire, plate-forme inter-régionale) ; • les conditions de travail. • contribuer à la protection de la santé et de la sécurité des travailleurs ainsi qu’à l’amélioration des conditions de travail ; • sujets relatifs à l’organisation du travail : l’environnement physique du travail, l’aménagement des postes de travail et leur adaptation aux personnes, la construction, l’aménagement et l’entretien des postes de travail et de leurs annexes, la durée et les horaires de travail, l’aménagement du temps de travail, les incidences des nouvelles technologies sur les conditions de travail ; • la consultation sur les projets de textes, notamment sur ceux relatifs « aux enjeux liés à la déconnexion et aux dispositifs de régulation de l’utilisation des outils numériques » Nos luttes Au cours du dernier mandat, nos représentants CGT (aux comités techniques, où le SM pouvait être présent comme expert) se sont battus pour obtenir de meilleures conditions de travail, une meilleure harmonisation des pratiques sur la gestion du temps de travail, l’organisation des services en dénonçant toutes les entorses aux textes. Grâce à notre union et notre action nous avons obtenu plusieurs avancées durant cette mandature, au sein des comités techniques et des comités d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail. Dans les CHSCT, l’union entre fonctionnaires et magistrats a permis de porter des demandes de visites de services, d’établissements ou encore des enquêtes fouillées lorsque des difficultés nous étaient remontées ou en cas de dysfonctionnement grave. Ce que nous souhaitons continuer à porter pour vous : • l’augmentation générale des effectifs tous corps confondus (magistrats, fonctionnaires A, B et C) ; chaque création de poste de magistrats doit s’accompagner d’une création de poste de B et C ; • une fréquence de réunion de l’instance des CSA plus importante (les ex- CHSCT se réunissaient au moins trois fois par an) ; • la valorisation des assistants de prévention ; • la création de FSSCT pour Cayenne, Nouméa, Papeete, Nantes et l’ENG.
ÉLECTIONS PROFESSIONNELLE SSYNDICATS JUSTICE - DU 1er AU 8 DÉCEMBRE 2022
Ensemble votons CGT-SM ÉLECTIONS PROFESSIONNELLES DU 1er AU 8 DÉCEMBRE RENNES
C’est de votre vote au comité social d’administration ministériel que dépendra notre présence et notre capacité à VOUS représenter. C’est également en vous prononçant pour notre liste en CSA de proximité que vous contribuerez à nous rendre plus forts localement ainsi qu’au CSA des services judiciaires, où se discutent et se votent les réformes qui nous impactent directement. EN VOTANT POUR LA LISTE CGT-SM VOUS NOUS DONNEZ LES MOYENS D’AGIR ET DE PORTER VOTRE VOIX. DU 1er AU 8 DÉCEMBRE 2022, faites valoir vos droits, faites entendre votre voix ! Votez CGT et SM !
NOS CANDIDATS
Les représentant.es CGT-SM sont d’autant plus légitimes que ce sont des acteurs et actrices de terrain, au contact des collègues, en poste en juridiction, qu’ils et elles subissent donc également les évolutions managériales, informatiques, procédurales... et ne sont pas déconnecté.es de la réalité du quotidien des personnels. 01. Valérie BERA-BLIN, greffière, TJ Brest 02. Manon LIPIANSKY, magistrate, TJ Rennes 03. Estelle CHEVALIER, DSGJ, Tprox Guingamp 04. Etienne KUBICA, magistrat, TJ Rennes 05. Gwennaelle DRU, DSGJ, TJ Quimper 06. Hélène SAINT RAMON, magistrate, TJ Nantes 07. Sonia ZUCARELLI, DSGJ, TJ Saint-Brieuc 08. Hervé OUAZZAROUT-LEMEE, adjoint administratif, TJ Nantes 09. Ariane SEGALEN, magistrate, TJ Rennes 10. Zina KESSACI, greffière, SAR placée Rennes 11. Céline VERDIER, magistrate, TJ Brest, 12. Laura BUFFART, contractuelle, CA Rennes 13. Laurence KERMOAL, greffière, TJ Rennes 14. Stéphanie ROCHEL, DSGJ, TJ Lorient Pour en savoir plus sur ces élections, le rôle des instances et nos positions, nos sites internet sont disponibles 24h/24 : cgt-justice.fr - syndicat-magistrature.fr Pour nous contacter : synd-cgt-acsj@justice.fr - contact@syndicat-magistrature.org