L’actualité m’inspirant comme toujours, je suis récemment
revenue sur les débuts des harcèlements à mon encontre des malades
mentaux extrêmement dangereux de la bande du cybercriminel Pascal
Edouard Cyprien Luraghi, en rappelant également les relations étroites
qui existent entre ces individus, leurs exactions à mon encontre, et les
attentats islamistes qui frappent la France depuis 2012 :
http://petitcoucou.unblog.fr/2018/10/19/jean-luc-melenchon-cul-et-chemise-avec-les-deconnologues-et-linconnu-du-13-octobre/
http://petitcoucou.unblog.fr/2018/10/19/13-octobre-et-voila-que-ca-recommence-encore-les-islamistes/
http://petitcoucou.unblog.fr/2018/10/26/david-servenay-le-negationnisme-pour-profession-de-foi/
J’ai donc reparlé un peu du journaliste David Servenay, auquel j’ai eu affaire dès 2008 alors qu’il sévissait sur le site Rue89.
Je l’avais déjà cité dans ces deux autres articles :
http://petitcoucou.unblog.fr/2015/04/26/du-commencement-de-mes-problemes-sur-le-site-rue89-en-2008/
http://petitcoucou.unblog.fr/2018/05/09/quoi-de-neuf-chez-david-servenay/
Son complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi fut le premier à le citer
dans ses écrits publics me concernant. Dans un de ses textes toujours
publics, il affirme notamment, comme il l’avait déjà fait dans d’autres,
de 2010 et 2011, que ce journaliste, le premier, et bien avant ses
confrères de Rue89, aurait « compris » que soi-disant j’étais « folle »
après m’avoir parlé au téléphone :
À de très nombreuses reprises, (plus de 80) [autre
victime de Cyprien Luraghi] se fait bannir par la modération.
[Petitcoucou], qui y écrivait sous le pseudonyme « Existe », puis
« Jexiste » en est exclue aussi. Au bout du compte un modérateur de
Rue89 me déclarera en novembre 2012 :
[...] sincèrement désolé. On a clairement mis du temps à repérer le
petit jeu de Jexiste, mais il faut reconnaître qu’elle était
particulièrement douée dans sa folie
Jexiste n’était pas particulièrement douée dans sa folie. Ses plus de
2000 commentaires encore en ligne sur Rue89 suintent la démence et
avaient suscité l’indignation de la majorité des commentateurs à
l’époque. Seul un journaliste de l’équipe d’alors − David Servenay −
avait compris de quoi il en retournait, après lui avoir parlé au
téléphone.
Tout d’abord, je rappelle que les allégations du mythomane Pascal
Edouard Cyprien Luraghi me concernant sont quasiment toutes mensongères
et relèvent pour la plupart de l’affabulation pure et simple :
contrairement à ce qu’il prétend, mes commentaires sur le site Rue89
étaient très appréciés de la plupart des autres commentateurs; c’est
d’ailleurs pour cette raison que les auteurs du forum privé dénommé « Le
Coin de La Rue » m’avaient dès sa création le 12 juillet 2008 invitée à
les rejoindre en ce lieu d’échanges qu’ils entendaient réserver aux
riverains de Rue89 qu’ils jugeaient les plus intéressants; et par
ailleurs, si mes commentaires toujours en ligne sur le site Rue89
avaient pu « suinter la démence » et « susciter l’indignation », il est
bien évident que la modération du site ne les aurait pas conservés.
Pourquoi donc, comme il s’en est toujours plaint dans tous ses écrits
me concernant, hormis son complice David Servenay – et ce, dès le
printemps 2008, puisque notre unique conversation téléphonique remonte
très précisément au 30 mai 2008 -, les journalistes de Rue89
n’avaient-ils pas remarqué ma soi-disant « folie » ? Tout simplement
parce qu’elle n’existe pas – et n’a jamais existé.
Et je n’ai non plus jamais « joué » à aucun « jeu », comme ils l’auraient prétendu au mois de novembre 2012.
Il faut quand même rappeler qu’alors le mythomane et calomniateur
Pascal Edouard Cyprien Luraghi avait déjà réussi à m’isoler totalement
sur la toile avec toutes les inventions calomnieuses qu’il publiait
quotidiennement à mon sujet depuis le mois de juin 2010 en les
présentant toujours comme des vérités vraies issues de « sources sûres »
ou de multiples « enquêtes » croisées, et que ces journalistes, comme
bien d’autres de ses lecteurs, avalaient tout… sans compter qu’il les
harcelait déjà à mon sujet depuis 2008…
Ainsi avait-il notamment publié fin mai 2012 que j’aurais déjà été
condamnée, et qui plus est très lourdement, à la fois pour des faux
témoignages et pour avoir mensongèrement accusé d’anciens employeurs de
harcèlements à mon encontre. Or, je n’avais encore jamais fait l’objet
de poursuites d’aucune sorte, ce qui est bien indiqué dans le jugement
du tribunal correctionnel de Brest du 11 juin 2013 qu’il a ensuite
publié illégalement, puisque celui-ci mentionne que je n’ai encore
jamais été condamnée à quoi que ce soit. Dans la mesure où cette fois il
s’agissait effectivement d’une condamnation prononcée à mon encontre –
illégalement, pour des faits imaginaires, sur dénonciations calomnieuses
de sa complice la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest – je
rappelle qu’elle a été entièrement et définitivement annulée en appel à
Rennes le 2 décembre 2015, si bien qu’ainsi, à ce jour, lui-même, le
sieur Pascal Edouard Cyprien Luraghi, ayant essuyé trois échecs
successifs entre mai 2015 et avril 2018, je n’ai toujours pas été
condamnée à quoi que ce soit.
Quant aux réussites de leur complice Jean-Marc Donnadieu dans
l’Hérault, en droit elles ne me concernent en rien, puisque je n’ai
jamais été citée dans aucune de ses procédures. Ses escroqueries au
jugement n’ont en définitive, contrairement à ce qu’il annonçait en
2010, toujours visé que mon seul hébergeur de blog OverBlog. Son avocat
sait bien qu’il n’a strictement aucune chance de gagner en m’attaquant
directement, puisqu’il a toujours, lui aussi, abondamment menti et
affabulé. Voilà pourquoi il ne l’a jamais fait.
Vous rendez-vous compte que j’ai encore été obligée de supporter tout
ça à Paris, en première instance comme en appel ? Tous les délires
calomnieux du mythomane concernant, d’abord ma personnalité, ensuite mon
activité anonyme sur le site Rue89 en 2008 et 2009, laquelle ne le
concernait en rien, et enfin les condamnations soi-disant prononcées à
mon encontre à Montpellier et à Brest, lesquelles auraient justifié que
de nouvelles condamnations soient prononcées à mon encontre, cette fois à
son profit…
Enfin, bref… revenons à David Servenay, avec qui j’ai bien eu
quelques échanges privés en 2008, dont une conversation téléphonique le
30 mai 2008… à sa demande, et pas à la mienne contrairement à ce qu’a
toujours dit mensongèrement à ses lecteurs le mythomane Pascal Edouard
Cyprien Luraghi.
A aucun moment lors de ces différents échanges le journaliste ne
m’avait traitée de folle ou laissé entendre qu’il pouvait penser que je
l’aurais été, bien au contraire, puisqu’il me traitait en ennemie ou au
moins en adversaire du genre très solide, ce que je suis effectivement –
solide.
Il m’avait donc contactée par courrier électronique après avoir lu un
de mes commentaires à propos de trafics d’armes, et m’avait demandé de
l’appeler le 30 mai 2008 à 10 heures, ce qui ne fut pas possible pour
moi, si bien que cette conversation eu finalement lieu dans l’après-midi
du 30 mai 2008 – non, non, je n’ai pas une mémoire si fabuleuse, j’ai
toujours tous nos échanges de mails.
Si mes mémoires électroniques m’aident grandement à retrouver les
dates exactes, donc, en revanche je n’ai pas besoin de faire beaucoup
d’efforts pour me remémorer les faits ou le contenu des échanges,
lesquels sont bien restés gravés dans mes neurones tant j’en fus
choquée.
Dès les premiers mots de cette unique conversation téléphonique, M.
Servenay m’agresse de manière totalement inattendue et pour moi
incompréhensible, puisqu’il me reproche sur un ton très peu aimable de
critiquer les journalistes, alors que je n’ai encore jamais émis la
moindre critique contre aucun des journalistes de Rue89 – cela ne
viendra qu’après la suppression de mon compte « existe » le 6 septembre
2008 par lui-même, en raison de ses conditions très particulières, et
notamment, là encore, de son caractère tout à la fois inattendu et
injuste et de sa brutalité extrême.
Ce n’est pas du tout ce qui était prévu. David Servenay m’avait
demandé de l’appeler pour tout autre chose. Ses courriers électroniques,
quoique brefs, étaient jusque-là tout à fait corrects et courtois.
Aussi, j’avais répondu à sa demande sans aucune méfiance. Non seulement
je n’étais pas critique, mais j’étais plutôt bien disposée à son égard
comme à celui de Rue89 en général, premier site à ouvrir grand ses
colonnes aux commentaires de ses lecteurs, raison pour laquelle je m’y
étais inscrite. Par la suite, tout comme d’autres, j’ai bien dû me
rendre à l’évidence que les auteurs de ce site trompaient leur public
sur leurs intentions réelles quant à sa dimension participative, mais au
mois de mai 2008, je n’en étais pas encore là.
Plus qu’étonnée par ce début de conversation téléphonique, je ramène
tout doucement mon interlocuteur à l’objet de sa demande initiale.
J’aurais pu réagir à son agression sur le même ton ou le même mode
brutal, par exemple en raccrochant mon téléphone pour y mettre fin. Mais
non. Ma douceur naturelle semble produire effet, il se calme et nous
pouvons enfin aborder le sujet pour lequel il m’a contactée. Problème :
sur le fond, cela ne s’améliore pas vraiment… En effet, j’ai beau
répondre gentiment à toutes ses questions et lui donner les explications
qu’il attend, la discussion tourne en boucle et achoppe totalement sur
sa méconnaissance de mon travail d’ingénieur d’études en informatique et
son refus obstiné de m’entendre à ce sujet.
Persuadé qu’il connaît mieux que moi mon métier, M. Servenay semble
en fait s’imaginer que les logiciels seraient tous aussi vieux que le
monde, comme les ordinateurs qui les supportent, ou que leur apparition
ne résulterait jamais que de générations spontanées : ils se développent
tout seuls dans les ordinateurs, pour peu que ces derniers soient bien
chauffés, sans doute… et il n’y a ensuite qu’à les cueillir à maturité
pour les mettre en service et en maintenance… où interviennent les
informaticiens pour les bichonner…
Eh bien, non. Les logiciels sont tous conçus et réalisés par des
informaticiens, des ingénieurs d’études en informatique, avant que
d’autres informaticiens ne prennent le relais pour les maintenir après
mise en service.
Je ne reviens pas de manière détaillée sur tous les éléments de cette conversation, car c’est inutile.
Elle s’était terminée aussi étrangement qu’elle n’avait commencé, M.
Servenay m’ayant dit pour finir que des gens le contactaient
régulièrement pour lui parler de trafics d’armes et qu’il n’en avait
strictement rien à cirer, ces affaires-là étant pour lui d’une grande
banalité et sans le moindre intérêt. Ah… Dans ce cas, pourquoi
m’avait-il contactée ? Pourquoi m’avait-il demandé de l’appeler ?
Quelques mois plus tard, il se défendra en prétendant que je ne lui
avais donné ni nom ni date. C’est faux. Mais de toute façon, s’il
estimait mes précisions insuffisantes, rien ne l’empêchait de m’en
demander plus. Je lui ai toujours dit détenir bien des dossiers
probants, il n’en voulait pas.
N’était-il pas, en réalité, déjà surinformé sur ces affaires à propos
desquelles il m’avait contactée pour me questionner sans réellement
vouloir m’entendre ni surtout examiner les éléments de preuve que je lui
proposais ?
Sa mauvaise foi fut encore plus évidente par la suite, à compter du 6 septembre 2008.
Mais à aucun moment, ni par téléphone, ni par courrier électronique,
ni au printemps, ni à l’automne 2008, ni plus tard, il ne m’a traitée de
folle, il me considérait manifestement comme une force à anéantir, une
bête à abattre, un témoin dangereux à faire taire par tous les moyens,
comme l’a toujours exigé de tous ses complices la criminelle Josette
Brenterch du NPA de Brest.
Aussi, quand son complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi écrit qu’il
aurait « compris » que j’étais soi-disant « folle » lors de notre
conversation téléphonique du 30 mai 2008, je sais qu’il n’a pu le
capter, ni en écoutant cette conversation, ni en lisant nos échanges de
courriers électroniques ultérieurs.
Et comme il s’agit, non pas d’un de ses ennemis ou d’une de ses
victimes, mais au contraire d’un de ses alliés de la première heure
contre celles-ci, je sais aussi qu’il le respecte tout juste assez pour
ne pas mentir lorsqu’il donne à ses lecteurs l’opinion qui serait la
sienne à mon sujet – mais pas assez pour la taire et éviter de trahir
cet allié si précieux…
Ce monsieur Servenay qui ne connaît rien à l’informatique a donc bien
eu l’extrême délicatesse – ironie – de me faire passer pour folle
auprès des riverains de Rue89 constituant la bande des « déconnologues »
de Pascal Edouard Cyprien Luraghi, et ce, à n’en pas douter, dès leurs
premiers contacts, en 2008.
Et de leur raconter qu’il m’avait parlé par téléphone, etc, etc… Quelle déontologie !
Cela n’empêche pas qu’ils aient pu aussi écouter illégalement notre
unique conversation téléphonique du 30 mai 2008, et lire de même tous
nos échanges de courriers électroniques. En fait, il est absolument
certain que ce fut bien le cas, car j’étais déjà piratée et illégalement
écoutée.
Et l’on notera ici que la pirate qui en 2011 se fera prendre à
transmettre à Pascal Edouard Cyprien Luraghi, son épouse Annie
(Belléculée) Luraghi et huit autres « déconnologues » tous mes courriers
électroniques piratés, n’est autre que la soeur d’un autre journaliste
qui par ailleurs dès l’arrivée de la criminelle Josette Brenterch du NPA
de Brest dans leur bande en 2010 en semblait déjà très proche.
Bien des journalistes français sont issus de la LCR qu’ils n’ont jamais vraiment quittée, ce n’est pas un secret.
Encore plus nombreux sont tous ceux qui se montrent solidaires ou
complices des criminels de cette secte, avec pour seule limite la
crédibilité qu’ils entendent conserver auprès du public, ou de leur
public.
D’où, pour eux, l’utilité de cybercriminels comme Pascal Edouard
Cyprien Luraghi et ses amis « déconnologues », qu’ils ont bien toujours
vivement encouragés à me « pourrir » à défaut de pouvoir le faire
eux-mêmes en toute sérénité.