Rentrée en France depuis moins de 15 jours, la journaliste, réalisatrice et reporter de guerre indépendante Anne-Laure Bonnel a été très bien reçue par Sud Radio pour une interview, mais connaît encore des déboires avec d’autres médias, notamment Libération et Le Monde – les « gauchistes », quoi… qu’elle n’aille pas perdre son temps et son énergie avec des David Servenay et autres anciens de Rue89, elle courrait de plus le risque de se faire massacrer par le pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi et toute sa bande de cybercriminels en délire, comme moi-même depuis 2008…
Accordons-leur au moins cette compétence…
Vu des États-Unis.
Improvisée, sa déclaration fracassante de samedi selon laquelle le président russe “ne peut pas rester au pouvoir” dessert les États-Unis, juge la presse américaine. En temps de guerre, ne pas savoir tenir sa langue peut être dangereux.
“Pour l’amour de Dieu, cet homme ne peut pas rester au pouvoir”, a lancé Joe Biden à Varsovie, samedi 26 mars, surprenant jusqu’à ses propres conseillers. Selon The Washington Post, ces “quelques mots improvisés sur Poutine” ont mis la planète en émoi. The Atlantic évoque de son côté “des dizaines de membres de son équipe se frappant le front” en entendant cette phrase, qui n’était pas prévue dans son discours.
Une indéniable “gaffe” et même une “faute directe” pour le magazine américain. Car cette déclaration a inévitablement conduit les médias du monde entier à se demander si Washington visait “un changement de régime en Russie, rien que ça”. Le secrétaire d’État, Antony Blinken, avait beau assurer le lendemain que les États-Unis ne mettaient en œuvre “aucune stratégie de changement de régime, en Russie pas plus qu’ailleurs” : les mots du président risquaient de plonger les Américains dans la confusion et d’être utilisés par le Kremlin.
Certes, rappelle The Atlantic, Biden est coutumier de ce genre de gaffe, consistant à dire “quelque chose d’inconvenant mais de vrai”. Cette franchise involontaire serait même un trait “attachant” de cet homme politique. Mais dans le contexte actuel, “les mots de chaque dirigeant du monde ont leur importance, et surtout ceux du président des États-Unis”.
The Wall Street Journal est moins compréhensif. Dans un éditorial acerbe, le quotidien conservateur juge les dérapages verbaux du président dangereux et déplore que les États-Unis doivent être gouvernés encore trois ans par un homme aux “capacités manifestement déclinantes”.
En l’absence d’une alternative crédible – aux yeux du journal, la vice-présidente Kamala Harris “a été incapable de démontrer qu’elle avait un minimum de connaissances ou d’aptitudes pour le poste” –, les Américains sont “condamnés à faire au mieux avec le président que nous avons”.
Dans ce concert de critiques, quelques voix discordantes défendent Joe Biden. Le chroniqueur du Washington Post Max Boot, de tendance conservatrice, salue l’ensemble du discours prononcé à Varsovie, “un appel parfait à l’unité occidentale face à l’agression russe”. Et se demande “si l’histoire ne verra pas d’un œil favorable cette ‘gaffe’ de Biden, tout comme beaucoup d’historiens ont loué des propos du président Ronald Reagan perçus à l’époque comme dangereusement provocateurs”, notamment lorsque celui-ci qualifiait l’Union soviétique d’“empire du mal” destiné à finir dans la “poubelle de l’histoire”, au début des années 1980.
Gabriel Hassan
En effet, s’il n’est pas emporté par un nouvel AVC, Joe Biden risque d’être assez rapidement empêché de poursuivre son mandat à cause des affaires de son fils en Ukraine.
https://www.apar.tv/societe/laffaire-hunter-biden-va-depasser-le-scandale-epstein/
Les médias ont été forcées d’admettre que le « portable de l’enfer » (que vous pouvez télécharger ici) d’Hunter Biden était authentique. En plus des sextapes, l’ordinateur portable contenait des documents prouvant que la famille Biden a blanchi de l’argent dans divers pays.
Verrons-nous enfin des mises en accusation ? Joe Biden pourrait-il être la « première arrestation » qui choquera le monde et permettra de vérifier les orientations futures ? Les choses deviennent brûlante. L’occasion de revenir sur cette affaire que les médias français n’osent pas aborder, exactement lorsque le scandale Epstein a démarré.
Pour dire les choses simplement, les grands jurys sont susceptibles de se prononcer sur une affaire de fraude fiscale impliquant Joe Biden pour les « revenus » non déclarés (provenant de pots-de-vin versés à l’étranger). Ce qui explique pourquoi le NY Times a déclaré que l’ordinateur portable était authentique. Le contenu est utilisé dans un tribunal fiscal fédéral.
Lire aussi : Voici les contenus ukrainiens (mails et photos) de l’ordinateur du fils de Joe Biden
Peter Schweitzer, expert et enquêteur de la famille criminelle Biden, déclare que Hunter Biden va être mis en examen :« Il pourrait très bien y avoir quelque chose qui embarque le président lui-même, car personne ne payait d’impôts sur l’argent qu’Hunter Biden utilise pour payer les factures de son père […] La coopération de l’équipe juridique de Hunter indique que le fils du président est sur le point d’être inculpé. »
L’ancien procureur général des États-Unis, Bill Barr , est même apparu en début de semaine dans « America Reports » et s’est dit « choqué » d’entendre le candidat de l’époque, Joe Biden , mentir au sujet de l’ordinateur portable de son fils Hunter lors du débat présidentiel de 2020 contre le président de l’époque, Donald Trump.
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Joe Biden ne survivra sans doute pas politiquement à ce scandale. Beaucoup d’entre vous ne comprennent toujours pas l’ampleur de ce qui les attend. Il ne s’agit en réalité pas seulement d’évasion fiscale. Il ne s’agit pas seulement du fait qu’il a encaissé, par l’intermédiaire de son fils, des millions issus de transactions de corruption illégales avec des oligarques de Chine et d’Ukraine. Il s’agit du fait qu’il savait que son fils, accro au crack, exploitait sexuellement sa nièce de 14 ans. Et il n’a rien fait pour l’empêcher. Il a étouffé l’affaire. On ne survit pas politiquement à ça quand ça se sait.
La mère de l’enfant de Hunter Biden a même témoigné devant des enquêteurs fédéraux
La mère de l’un des enfants de Hunter Biden a répondu aux questions des enquêteurs fédéraux enquêtant sur les transactions financières de Biden, selon son avocat. Ils enquêtent sur des délits fiscaux potentiels et qui comprend l’examen des enregistrements de transactions avec une banque en Chine, selon une assignation à comparaître devant un grand jury.
Lire aussi : Lumière sur l’ordinateur portable d’Hunter Biden, le fils du Président des États-Unis
En plus, 8 scandales supplémentaires sont en train d’être révélés par le fameux ordinateur portable du fils de Joe Biden. Les médias qui criaient à la désinformations sont maintenant obligés de l’admettre. L’un de ces plus gros scandale étant le rôle joué par le fils Biden en Ukraine.
La Maison Blanche ignore, bien évidemment, le problème Hunter Biden
Le NY Times a trahi ses lecteurs qui ont été tenus dans l’ignorance de la vraie nature de Joe Biden avant les élections de 2020, mais ça c’est un détail. Maintenant que nous sommes tous sur la même longueur d’onde, il y a de sérieuses questions auxquelles l’administration doit répondre, qui concernent la sécurité nationale des États-Unis à une époque de péril international.
L’attachée de presse du président Biden, Jen Psaki, a refusé de répondre au journaliste de la Maison Blanche du Post, Steven Nelson, lorsqu’il a eu la rare occasion de lui poser deux de ces questions la semaine dernière.
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L’excuse de Jen Psaki était que Hunter Biden « ne travaille pas au gouvernement ». Mais personne ne lui posait de questions sur Hunter. Elle était interrogée sur son patron, le président.
« Comment le président Biden gère-t-il les conflits d’intérêts lorsqu’il s’agit de sanctionner des personnes qui ont fait des affaires avec sa famille? » demanda Nelson. « Quels seraient ses conflits d’intérêts ? répondit froidement Psaki.
Eh bien, juste pour commencer, l’oligarque russe Yelena Baturina, qui a versé 3,5 millions de dollars sur un compte bancaire associé à Hunter et à son partenaire commercial Devon Archer, n’a pas été sanctionnée avec d’autres oligarques alliés au président Vladimir Poutine ce mois-ci.
Pourquoi pas ? Était-ce un oubli ? Une faveur ? C’est une question sérieuse que pose le NY Post et qui mérite une réponse sérieuse.
Baturina a viré 3,5 millions de dollars le 14 février 2014 à Rosemont Seneca Thornton, un consortium formé entre Rosemont Seneca – la société cofondée par Hunter, Archer et Chris Heinz – et le groupe Thornton.
Les fils de Baturina ont été signalés dans des «rapports d’activités suspectes» fournis par le département du Trésor à une enquête républicaine du Sénat par les commissions des finances et de la sécurité intérieure et des affaires gouvernementales.
L’avocat de Hunter Biden a nié que Hunter ait profité de la transaction, déclarant à CNN: « L’affirmation selon laquelle il a été payé 3,5 millions de dollars est fausse. »
Alors, qui a reçu les 3,5 millions de dollars et a-t-il payé des impôts dessus?
Rendez-vous au restaurant
Sept semaines après le virement bancaire de Baturina, Hunter et Archer se sont envolés pour le lac de Côme, en Italie, et ont eu une rencontre avec elle à la Villa d’Este, le repaire préféré des oligarques russes.
Un an plus tard, en avril 2015, Baturina et son mari, l’ancien maire corrompu de Moscou et allié politique de Poutine, Iouri Luzhkov, figuraient sur une liste d’invités préparée par Hunter pour un dîner au Washington’s Cafe Milano où son père, alors vice-président, rencontrait les partenaires commerciaux de son fils à l’étranger de Russie, d’Ukraine et du Kazakhstan.
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Après que le NY Post ait publié les détails de ce dîner l’année dernière, la Maison Blanche a discrètement admis à un vérificateur des faits du Washington Post que Biden avait assisté au dîner, mais seulement brièvement.
C’est un aveu assez important, car pendant la campagne électorale, Biden a nié à plusieurs reprises avoir rencontré les partenaires commerciaux de Hunter à l’étranger. Plus précisément, il a nié avoir rencontré le payeur ukrainien de Hunter, Vadym Pozharskyi, qui a également été invité au dîner.
Pozharskyi était un dirigeant de la société ukrainienne d’énergie Burisma, détenue par l’oligarque aligné sur la Russie Mykola Zlochevsky, qui payait Hunter 83 333 $ par mois.
« Cher Hunter, merci de m’avoir invité à DC et d’avoir donné l’occasion de rencontrer votre père et d’avoir passé [sic] du temps ensemble », a écrit Pozharskyi dans un e-mail à Hunter le 17 avril 2015, deux jours après le dîner.
Cet e-mail, trouvé sur l’ ordinateur portable abandonné de Hunter , était à la base de l’histoire explosive The Post publiée trois semaines avant les élections de 2020.
C’est cet e-mail que 51 anciens responsables du renseignement ont déclaré sans preuve, dans une lettre partisane publiée cinq jours après l’article du Post, avoir toutes les « caractéristiques » de la désinformation russe.
Biden a utilisé cette lettre du Dirty 51 pour se tirer d’affaire lors d’un débat à la veille des élections contre le président Donald Trump. Il a qualifié le reportage du Post de « tas d’ordures » et l’ordinateur portable d’ »usine russe ».
La deuxième question de Nelson à Psaki la semaine dernière concernait la Chine.
«Ma question sur le conflit d’intérêts en ce qui concerne la Chine est la suivante: l’année dernière, l’avocat du premier fils a déclaré qu’il s’était désinvesti d’un fonds d’investissement chinois contrôlé par des entités publiques chinoises… A-t-il réellement cédé et pouvez-vous -» Psaki le coupa.
« C’est un simple citoyen. Il ne travaille pas pour le gouvernement, je vous indique ses représentants », dit-elle sèchement.
« Je pense que nous en avons fini ici. »
Pas si vite, madame.
Si le fils du président est en affaires avec le gouvernement de la Chine communiste, ce n’est pas une affaire privée, mais une question d’intérêt public urgente.
Elle nous a dit l’année dernière que Hunter était en train de céder sa part de 10% de la société d’investissement chinoise BHR Partners, qui est co-détenue par la Banque de Chine et a 2,4 milliards de dollars de fonds sous gestion.
En novembre dernier, l’avocat de Hunter a déclaré au Times qu’il ne possédait plus une part de BHR.
Mais, selon les registres en ligne du registre du commerce chinois
Baidu, depuis mercredi, la société de Hunter, Skaneateles LLC, continue
de détenir une participation de 10 % dans BHR.
Hunter est toujours nommé dans les registres de l’entreprise en tant que
gouverneur unique de Skaneateles, bien que la société soit répertoriée
comme « révoquée » sur le site Web du ministère de la consommation et
des affaires réglementaires de Washington, DC. En effet, des «frais de
réintégration» de 300 $ n’ont pas été payés, a rapporté le Washington
Examiner ce mois-ci.
De toute évidence, si Hunter conserve sa participation, cela devrait être divulgué.
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Journalisme de base
Les mêmes organes médiatiques qui ont ignoré et déformé les reportages sur ordinateur portable du Post ne montrent toujours aucune curiosité pour les dizaines de millions de dollars que la famille Biden a collectés auprès d’oligarques en Russie, en Ukraine et en Chine.
Le Times n’avait pas besoin de compter sur l’ordinateur portable pour faire du journalisme de base sur ce plan.
Ils auraient pu demander à Tony Bobulinski, l’ancien partenaire
commercial de Hunter, qui s’est mis à la disposition des médias avant
l’élection de 2020. Il a donné au FBI des courriels, des documents et
des messages WhatsApp qui corroborent et augmentent le matériel sur
l’ordinateur portable.
En outre, l’enquête Grassley-Johnson a fourni une piste d’argent officielle des intérêts étrangers aux comptes bancaires associés aux Bidens et à leurs partenaires.
Le refus du Times et du reste des médias de couvrir cette histoire équivalait à une ingérence électorale.
Les sondages montrent qu’environ 10% des électeurs de Biden auraient changé leur vote s’ils avaient eu connaissance du scandale. Cela aurait eu un effet significatif sur le résultat. Ce qui, bien sûr, était le but.
Madison Square Garden hue un appel au réveil de la caution pour le gouverneur
D’après l’expression de son visage, ce fut une rude surprise pour la gouverneure Kathy Hochul lorsqu’elle a été huée par des partisans des Rangers au Madison Square Garden la semaine dernière lors de la cérémonie de mise au jeu.
Après que son principal challenger du GOP, Lee Zeldin, ait pris les devants dans les sondages avec une solide plate-forme de maintien de l’ordre, il n’a pas fallu longtemps à Hochul pour faire une dernière tentative pour récupérer du terrain.
Comme le NY Post l’a rapporté deux jours plus tard, elle prévoit d’utiliser le budget le mois prochain pour faire pression pour que des changements soient apportés aux réformes désastreuses de la caution d’Albany, notamment en donnant aux juges le pouvoir discrétionnaire de détenir les récidivistes.
Tardivement, Hochul se rend compte que la vague de criminalité à New York jouera un rôle de premier plan dans ses perspectives électorales. Son prédécesseur, le capitaine Chutzpah, l’a bien compris alors qu’il respire dans son cou lors d’une tentative de retour. Andrew Cuomo a déclaré lors d’un rassemblement dans le Bronx la semaine dernière que les politiciens lâches étaient à blâmer pour le crime et que la loi sur la libération sous caution doit être durcie ou « d’autres personnes mourront ».
Oubliez que c’est Cuomo qui a signé le projet de loi en février 2020 alors qu’il était gouverneur et n’a rien fait à ce sujet pendant les 18 mois suivants jusqu’à ce qu’il soit contraint de démissionner en disgrâce.
Non, nous n’oublierons pas.
Le 26/03/2022 à 21h00
par Clémence Leroy Crédits photos : TPMP People
Samedi 26 mars 2022, Laurent Fontaine a adressé un tacle, sans détour, à Pierre-Jean Chalençon. Le collectionneur d’objets ayant appartenu à Napoléon, révélé par l’émission Affaire conclue, n’a pas convaincu son voisin de table dans TPMP People, pour une raison surprenante…
Pierre-Jean Chalençon ne fait pas l’unanimité. Depuis son départ de l’émission Affaire conclue, l’ancien acolyte de Julien Cohen dans l’équipe des acheteurs enchaîne les scandales. Outre ses ennuis financiers, le collectionneur d’objets ayant appartenu à Napoléon a été soupçonné d’organiser des dîners clandestins dans son palais Vivienne au cours du confinement. Régulièrement de retour sur le petit écran mais aussi à la radio, au début du mois de mars 2022, il a une nouvelle fois taclé l’émission qui l’a révélé au grand public. Selon le collectionneur, les acheteurs ne sont pas traités comme l’animatrice de l’émission. « Madame Sophie Davant, elle, se permettait d’arriver en moto-taxi. Nous, on nous avait refusé ça au bout d’un an, soi-disant parce que ça coûtait trop cher. On était payés au lance-pierre, des sommes ridicules alors qu’on devait dépenser au départ« .
Choqué par ce manque de privilèges, Pierre-Jean Chalençon a aussi déploré de ne pas avoir eu de loge à son nom en coulisses du programme. « Vous savez ce qu’était notre loge pour les acheteurs ? C’était les toilettes où allait Sophie Davant. Il y avait un petit frigo avec des souris et des rats. On ne pouvait pas se reposer, si ce n’est dans le décor, dans un petit canapé. (…) C’est pour ça que j’ai dit qu’on était un peu traités comme de la merde« , a-t-il listé auprès de nos confrères de Sudinfo.
Le 19 mars 2022, il participait aussi à l’émission TPMP People, diffusée les samedis en fin de journée sur C8. Une nouvelle occasion pour le collectionneur d’objets d’art de tacler son ancien entourage télévisuel. Assis à côté de Laurent Fontaine, Pierre-Jean Chalençon n’a pas mâché ses mots. Mais ce n’est pas cela qu’a retenu son voisin de table. En effet, samedi 26 mars 2022, Laurent Fontaine a révélé que l’odeur de Pierre-Jean Chalençon n’était pas à son goût… Alors que Bertrand Deckers prenait place à côté de Laurent Fontaine, l’ancien acolyte de Pascal Bataille a lancé : « Il a un truc c’est qu’il sent bon. Non mais quand il arrive il y a un petit truc. J’étais à côté de Chalençon la semaine dernière, il ne sent pas bon« , a remarqué le chroniqueur. Matthieu Delormeau lui a alors reproché de ne pas l’avoir dit lorsqu’il était présent. « Tu as remarqué que je n’ai pas dit un mot !« , a répondu Laurent Fontaine, tandis que Jean-Michel Maire a expliqué qu’il était « en apnée« .
J’avais rarement remarqué autant d’articles de presse consacrés à des loges qui recrutent ou se font connaître que depuis un mois.
Est-ce lié aux articles que j’ai publiés sur certains francs-maçons brestois jusqu’au 16 février ?
J’ai peu de lecteurs, mais d’une certaine qualité…
https://www.ladepeche.fr/2022/02/25/la-franc-maconnerie-du-droit-humain-au-xxie-siecle-10133620.php
https://www.lejsl.com/encadres/2022/03/21/comment-entre-t-on-en-maconnerie
C’est le pédophile et mythomane notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi qui le dit, dans un tweet du 21 mars dernier dont copie ci-dessous.
Les seuls psychiatres avec qui il a quelques échanges de courriers électroniques sont en effet ceux de l’hôpital psychiatrique de Bohars, du CHU de Brest, spécialement leur grand chef à tous, Michel Walter, avec lequel il dit entretenir une correspondance à mon sujet depuis 2010, comme je l’avais déjà exposé dans de précédents articles (voir liste ci-dessous).
Il lui avait dès le départ donné son propre « diagnostic » me concernant (tout le monde sait qu’il m’a toujours traitée de « paranoïaque », de « folle » ou de « cas lourd psychiatrique » depuis le début de ses harcèlements à mon encontre, en 2008), et le grand psychiatre avait agréé, car il ne contredit jamais les délires psychiatriques et autres de grands pervers tel le cybercriminel, pédophile, harceleur et mythomane notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi à l’encontre de leurs victimes, vu qu’ils constituent son fonds de commerce.
Ce faisant, Michel Walter a toujours encouragé tous les harcèlements de ce psychopathe à mon encontre.
C’est déjà un scandale en soi, ce psychiatre ayant donc, de fait, toujours été complice de tous les harcèlements de la bande de criminels Luraghi et autres à mon encontre depuis l’année 2010 au moins, et ce serait encore beaucoup plus grave si de plus j’avais été atteinte d’une quelconque maladie mentale, une telle vulnérabilité de la victime constituant toujours une circonstance aggravante pour tous les crimes et délits commis à son encontre, et à plus forte raison quand le coupable est lui-même psychiatre.
Ceci étant, c’est donc bien de Michel Walter ou d’un de ses subalternes et de moi-même qu’il est question dans ce tweet du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi du 21 mars dernier.
Le fait est que ce dernier a encore tenté de me faire interner ces derniers mois, et qu’il n’y est pas davantage parvenu que toutes les autres fois.
Or, d’après ce qu’il dit dans le tweet, pour justifier ce nouvel échec, un des psychiatres lui aurait donc expliqué qu’ils redouteraient les paranoïaques… en l’occurrence, moi.
Est-ce bien certain ?
A mon humble avis, sachant que je n’ai rien d’une paranoïaque, ils craignent plutôt un scandale de plus pour leur établissement qui aurait depuis longtemps subi une fermeture administrative s’il s’agissait d’un restaurant ou d’un débit de boissons.
Articles dans lesquels Michel Walter est déjà cité :
http://petitcoucou.unblog.fr/2015/12/24/comment-cyprien-luraghi-sest-moque-de-michel-walter/
http://petitcoucou.unblog.fr/2016/03/23/des-plaintes-de-cyprien-luraghi/
http://petitcoucou.unblog.fr/2021/07/06/a-brest-lhopital-psychiatrique-de-bohars-fait-sa-pub/
http://petitcoucou.unblog.fr/2022/03/07/michel-walter-bourreau-moderne/
http://petitcoucou.unblog.fr/2022/03/22/le-front-de-liberation-de-la-bretagne-demande-un-referendum/
Rappel du cas de Christian Barthes, un proxénète proche de Richard Ferrand ayant dirigé l’hôpital psychiatrique de Bohars dans les années 1990 :
http://petitcoucou.unblog.fr/2016/08/10/saint-etienne-du-rouvray-jeu-de-pistes/
http://petitcoucou.unblog.fr/2018/10/12/affaire-richard-ferrand-ou-des-risques-de-lechangisme/
http://petitcoucou.unblog.fr/2018/10/12/les-echangistes-du-finistere-vont-dans-lherault/
http://petitcoucou.unblog.fr/2021/12/06/suite-a-ma-publication-dhier/
http://petitcoucou.unblog.fr/2021/12/06/nayez-plus-peur-de-denoncer-christian-barthes-il-est-mort/
http://petitcoucou.unblog.fr/2021/12/06/de-lexpulsion-de-christian-barthes-du-chu-de-brest/
... et tous les autres...
Il n'en démord pas, hein.... il hait toujours autant la liberté d'expression...
Il attendait que tout le monde lui donne raison : ah oui, la liberté d'expression, c'est mal, il faut la supprimer à tous les anonymes, obscurs salariés, chômeurs, précaires, etc... comme le prônait déjà sa complice la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest en 2005, sans pouvoir arrêter le progrès et la démocratisation de l'accès à Internet - ce fut en effet un de nos nombreux sujets de discorde au sein de l'association AC ! Brest, où elle s'opposait très violemment à l'accès à Internet pour les chômeurs, précaires et exclus.
Mais il obtint l'effet inverse : tout le monde était devenu Charlie...
Trop…
Mis à jour le 25/03/2022 à 18:58 Publié le 25/03/2022 à 18:58
Ce vendredi 25 mars, l’ambassadeur de Russie à Paris a été convoqué au ministère français des Affaires étrangères après la publication de plusieurs caricatures.
«Ces publications sont inacceptables. Nous l’avons dit clairement aujourd’hui à l’ambassadeur de Russie», a déclaré le Quai d’Orsay, en pleine crise entre la Russie et les Occidentaux autour de son offensive en Ukraine.
L’un des dessins montre des Européens à genoux léchant les fesses de l’Oncle Sam et porte la mention en anglais «La solidarité européenne telle qu’elle est».
L’ambassadeur de Russie à Paris a été convoqué vendredi au ministère des Affaires étrangères après la publication de caricatures sur son compte #Twitter jugées «inacceptables» par le Quai d’Orsay !
Le tweet en question… pic.twitter.com/2ZVpcl17xp
— FanfanLesBoulettes (@Rustydufort) March 25, 2022
La seconde caricature présente une allégorie de l’Europe malade, allongée sur une lit, à qui ses tortionnaires, Etats-Unis et Union européenne, injectent différentes substances intitulées «néonazisme», «russophobie» ou «Covid-19».
lol the Russian Embassy in France (@AmbRusFrance) posted and then deleted this pic.twitter.com/uMOGLtbrKg
— Aric Toler (@AricToler) March 24, 2022
«Nous nous efforçons de maintenir un canal de dialogue exigeant avec la Russie» mais ces «agissements sont parfaitement inappropriés», a-t-on ajouté au Quai d’Orsay.
L’ambassade de Russie, jointe par l’AFP, a confirmé que «la question du tweet publié avait été évoquée, parmi d’autres points» lors de l’entretien vendredi matin. Ce tweet, paru jeudi, a été retiré depuis.
L’ambassadeur de Russie a de son côté «attiré l’attention de nos collègues français sur les provocations et les actes de vandalisme envers les représentations diplomatiques russes en France», a-t-elle ajouté.
Père ukrainien et mère russe.
Pour ce qui est du signe astral, sans surprise, c’est encore une Balance, comme Lindsey Stirling et bien d’autres (me too, of course).
https://fr.wikipedia.org/wiki/Karolina_Protsenko
Naissance | 3 octobre 2008 (13 ans) Kiev |
---|---|
Activité principale | Violoniste |
Années d’activité | 2017-… |
Site internet | https://karolinaprotsenko.com/ |
Karolina Protsenko, née le 3 octobre 2008 en Ukraine, est une violoniste vivant en Californie. Dès son enfance, elle se fait connaître en jouant des reprises de musiques à succès dans les rues de Santa Monica.
Karolina Protsenko naît le 3 octobre 2008 en Ukraine, de Nikalay et d’Ella, respectivement guitariste et pianiste amateurs. En 2014, la famille quitte l’Ukraine pour la Californie et s’établit à Santa Monica ; Karolina commence à y suivre des cours de violon1.
En 2017, la fillette propose à ses parents de jouer dans la rue pour gagner un peu d’argent de poche ; ses prestations remportent un important succès et l’année suivante, elle décide, en accord avec ses parents, d’en diffuser les vidéos sur Internet. Le succès est immédiat : moins de deux ans après avoir commencé, elle est suivie par plus de trois millions d’abonnés et cumule plus de cinq cent millions de vidéos vues ; elle a en outre enregistré quatre albums et été invitée à plusieurs émissions de télévision1,2,3.
Ressources relatives à la musique
:
Et ce n’est toujours pas la même histoire que celle qu’on nous conte en France…
Etrange, quand même, non ?
C’est l’un des thèmes récurrents de mes articles de blog depuis mars 2012, j’ai maintes fois expliqué de manière détaillée comment et pourquoi tous les attentats islamistes qui ont été commis en France ou contre des Français depuis 2012 ont bien tous été organisés par le cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi et sa bande de criminels, dont un grand nombre de militants de l’extrême-gauche, la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest en tête.
Je viens encore d’en parler à propos de l’assassinat d’Yvan Colonna dans cet article publié il y a trois jours :
http://petitcoucou.unblog.fr/2022/03/22/assassinat-dyvan-colonna-encore-cyprien-luraghi/
Notons que ce crime a été ajouté à la liste Wikipédia des attentats islamistes commis en France (voir ci-dessous), quoique l’auteur des faits se défende que son acte fût terroriste, mais il est bien traité comme tel par les autorités.
C’est le premier de cette année 2022, après une année 2021 particulièrement calme en comparaison des précédentes, puisqu’un seul fait, en date du 23 avril 2021, l’assassinat d’une fonctionnaire de police au commissariat de Rambouillet, y est inscrit, quoique la France fût particulièrement menacée à compter du mois de juillet dernier. Bien sûr, il y a toujours des projets d’attentats qui ne peuvent aboutir, et parfois des agressions qui ne reçoivent pas la qualification adéquate de terroriste, outre que les attentats commis contre des Français à l’étranger ne figurent pas dans cette liste, mais ce ne sont pas les seules explications à ce calme plat d’autant plus surprenant que la France était à nouveau particulièrement menacée depuis le mois de juillet.
Pourquoi donc ce regain de menaces dont le ministère de l’Intérieur nous avait avertis au cours de l’été dernier ? Et comment se fait-il qu’elles ne fussent jamais suivies d’aucun nouvel acte terroriste ?
Eh bien, c’est très simple : des procédures très menaçantes à mon égard existaient encore et avançaient bien, pour le plus grand plaisir du cybercriminel, pédophile, harceleur et calomniateur notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi, qui comme d’habitude en était le commanditaire, y était étroitement asssocié, et en informait avec joie tout le cercle des pourritures qui le suivent.
Or, j’en ai stoppé toutes les avancées l’une après l’autre jusqu’au mois d’octobre dernier, si bien qu’il ne se passe plus rien depuis lors, sauf, peut-être, actuellement, les débuts d’une toute nouvelle procédure dont je ne suis pas encore informée.
Je l’avais déjà mentionné dans cet article du 2 mars dernier :
http://petitcoucou.unblog.fr/2022/03/02/les-brestois-sont-fous-bis-repetita/
Voilà donc pourquoi nous n’avons finalement pas eu de nouveaux attentats sur le sol français depuis près d’un an : les terroristes « islamistes » Pascal Edouard Cyprien Luraghi et consorts, dont les espoirs de nouvelles saloperies à mon encontre étaient tous douchés les uns après les autres, n’avaient plus grand-chose à fêter.
En outre, au mois de novembre 2020, j’avais détaillé à l’attention de certains magistrats les mécanismes des attentats islamistes qu’ils organisaient depuis 2012. Or, l’on ne peut aujourd’hui que constater une retombée spectaculaire de la fête islamiste précisément à ce moment-là. Ces explications de ma part ont donc eu un rôle dissuasif majeur, ce qui était bien évidemment l’un des buts que je poursuivais.
Que se passait-il donc auparavant ?
Les attentats des années 2012 à 2015 sont tous liés à la procédure brestoise de Josette Brenterch à mon encontre.
Les attentats des années 2016 à 2018 sont tous liés à la procédure parisienne de son complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi à mon encontre, qu’en fait elle dirigeait elle-même, comme ont pu le constater tout comme moi les tiers qui m’avaient accompagnée à Paris pour les audiences de septembre et novembre 2016.
En juin 2013, Josette Brenterch avait obtenu à la virgule près tout ce qu’elle avait demandé à ses complices magistrats ultra corrompus du TGI de Brest, mais elle a perdu en appel à Rennes le 2 décembre 2015.
Son complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi n’a jamais rien gagné à Paris, alors que je m’étais défendue seule en première instance.
Après sa première défaite du 5 janvier 2017, il n’y a quasiment plus que des attaques de militaires et de policiers et la fréquence des attentats diminue très nettement après sa seconde défaite, du 11 avril 2018 devant la Cour d’Appel de Paris, où toute sa procédure a été carrément annulée comme celle de sa complice Josette Brenterch du NPA de Brest le 2 décembre 2015.
Au cours de l’année 2019, il tente de relancer la machine en faisant publier par des journalistes qu’il a achetés de faux témoignages contre moi, notamment sur les sites 20minutes.fr et Midi Libre. Il s’inscrit sur Twitter avec les mêmes objectifs et finit par convaincre en fin d’année un de mes anciens avocats de se lancer lui aussi, en son nom propre, dans des procédures complètement délirantes à mon encontre, en conséquence de quoi on observe une belle reprise des attentats en 2020.
Tous les attentats commis depuis 2020 sont donc liés aux saloperies de cet avocat à mon encontre.
Pour l’heure, il n’a gagné aucune de ses procédures abusives contre moi. Il en a déjà perdu deux de manière définitive, et les autres sont bloquées depuis le mois d’octobre dernier.
Après la diffusion d’une vidéo de menaces visant la France, le cabinet de Gérald Darmanin appelle les préfets à « des mesures de vigilance propres à la menace terroriste pour les mois de juillet et d’août ». Le parquet national antiterroriste a, de son côté, décidé d’ouvrir une enquête préliminaire sur ces images.
Le directeur de cabinet du ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a envoyé, mercredi, une note aux préfets, afin de les prévenir d’une menace terroriste accrue « dans le cadre de la reprise partielle des activités économiques et culturelles au cours des deux mois d’été« . Dans ce document que France Inter a pu consulter, et dont l’existence a été révélée ce vendredi matin par Europe1, le ministère appelle à veiller tout particulièrement à la menace « endogène », autrement dit, au risque d’attaques perpétrées à leur initiative par des personnes résidant en France, sans assistance d’organes étrangers.
Cet appel à une vigilance accrue fait suite à la diffusion sur Internet, le 15 juillet, d’une vidéo mise en ligne par un organe de propagande du groupe terroriste Al-Qaïda. Ce film d’une quarantaine de minutes, dont le ministère de l’Intérieur souligne « le potentiel de diffusion important », cite très régulièrement la France et la diffusion des caricatures de Mahomet par Charlie Hebdo. Le pays y est présenté comme menant une guerre contre l’Islam, dans la continuité des Croisades.
Le parquet national anti-terroriste a décidé d’ouvrir une enquête préliminaire au sujet de ces images, pour « association de malfaiteurs terroriste criminelle » et »provocation a des actes de terrorisme par un service de communication au public en ligne ».
Emmanuel Macron y apparaît à de nombreuses reprises, que ce soit via des extraits de son discours du 2 octobre 2020 aux Mureaux « sur la lutte contre les séparatismes », ou lors de la réception de chefs d’État du monde arabe présentés comme des traîtres à la cause islamiste. Gérald Darmanin est également cité à plusieurs endroits, notamment lors d’une interview dans laquelle il s’exprime sur la fermeture de mosquées jugées radicalisées.
Les vidéos de l’attaque de Charlie Hebdo, présentée par les auteurs de la vidéo comme « bénie » y sont également montrées plusieurs fois. Des images du palais de justice de Paris sont, quant à elle, accompagnées de commentaires faisant état d’un « simulacre de procès » des attentats de janvier 2015. Trois attentats avaient frappé la France peu après l’ouverture de ce procès, en septembre 2020, comme le rappelle le cabinet du ministre de l’Intérieur dans sa note aux préfets, insistant sur le fait que le procès des attentats du 13-Novembre qui doit s’ouvrir le 8 septembre 2021 sera également « à fort retentissement médiatique ».
Le ministère appelle donc à veiller à cette menace « endogène et exogène » via les réunions hebdomadaires en préfecture des groupe d’évaluation départementaux (GED) et de cellules de prévention de la radicalisation et d’accompagnement des familles (Cpraf), et à sécuriser les rassemblements par les mesures correspondant au niveau Vigipirate « sécurité renforcée risque attentat ».
« Nous vivons dans un monde extrêmement troublé. » Invité ce mercredi matin sur RTL, le ministre de l’Intérieur est revenu sur la menace terroriste qui pèse sur la France, alors que le procès des attentats du 13 novembre 2015 a débuté depuis une semaine.
« La France est très menacée, tous les Français le sont. Mais nous sommes aujourd’hui sans doute assez prémunis contre des attentats de type 13-Novembre, c’est-à-dire organisés de l’étranger, même si tout peut arriver. En revanche, il y a des menaces endogènes, avec quelqu’un qui prend un couteau, entre n’importe où et commet un attentat au nom d’une religion », a détaillé Gérald Darmanin.
Soucieux de souligner le travail fourni par les autorités pour lutter contre la menace terroriste, le ministre a rappelé que 36 attentats islamistes ont été déjoués depuis 2017, « et quelques-uns cette année ».
Gérald Darmanin a également fait part d’une autre mouvance menaçant la sécurité des Français, celle des survivalistes.
« Des gens qui pensent que la fin du monde approche et donc, qu’il faut l’accélérer. Nous avons déjà déjoué des attentats de ces gens qui allaient passer à l’acte », a déclaré le ministre qui constate que le pays se trouve dans « une période très particulière ».
Début septembre, Gérald Darmanin a demandé aux responsables de la sécurité du territoire « un haut niveau de vigilance », particulièrement autour des lieux classés sensibles, pendant le procès des attentats du 13 novembre 2015 qui doit s’étendre sur neuf mois. Il requiert une « vigilance collective (…) totale tant à l’égard de la menace (terroriste) endogène qu’exogène » tout en rappelant que l’an dernier, le procès des attentats de janvier 2015 avaient été l’occasion d’une « succession d’attaques sur le territoire national » (contre les anciens locaux de Charlie Hebdo, assassinat de Samuel Paty mi-octobre).
dossier :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_d%27attentats_islamistes_en_France
Cet article ne cite pas suffisamment ses sources (octobre 2021).
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En pratique : Quelles sources sont attendues ? Comment ajouter mes sources ?
Cette page recense les attentats islamistes perpétrés en France, manifestations du terrorisme islamiste en France. On distingue trois grandes vagues d’attentats : une première entre 1985 et 1986, une seconde entre 1994 et 1996, et une troisième depuis 2012 qui a causé 271 morts et dont la dernière attaque est l’attaque au couteau dans un commissariat à Rambouillet le 23 avril 20211. Un certain nombre de ces attaques visent des représentants des forces armées françaises (militaires et policiers), ainsi que des membres de la communauté juive ou chrétienne. Les attaques contre des personnalités sont quant à elles une minorité.
La France est, selon une étude internationale publiée en juin 20172, le pays le plus touché par les attentats islamistes commis en Europe et en Amérique du Nord depuis la proclamation du « califat » de l’État islamique, le 29 juin 20143.
Entre fin décembre 1985 et septembre 1986, quatorze attaques à la bombe sont perpétrées à Paris et sur la ligne ferroviaire Paris-Lyon, au cours desquelles treize personnes perdent la vie et plus de 300 autres sont blessées. Ces attentats sont organisés par le Comité de solidarité avec les prisonniers politiques arabes et du Proche-Orient mené par Fouad Ali Saleh, terroriste du Hezbollah. Voici la liste exhaustive des attaques, ainsi que leur bilan7 :
Entre décembre 1994 et décembre 1996, le Groupe islamique armé va perpétrer onze attaques sur le sol français, au cours desquelles douze personnes perdent la vie et plus de 300 autres sont blessées.
La France est particulièrement frappée par une série d’attentats en 1995, organisée par une cellule constituée de Ali Touchent, cerveau présumé du groupe, de l’artificier Boualem Bensaïd, des poseurs de bombe Khaled Kelkal et Smaïn Aït Ali Belkacem et financée par Rachid Ramda.
La France est frappée une dernière fois en 1996.