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lundi 7 avril 2025

Echec d'un projet d'attentat à Dunkerque le 3 avril 2025

J'indique la date du 3 avril 2025, car les deux dates des 2 et 3 avril 2025 ressortent dans mes statistiques de blog :

 


Comme très souvent je suis prévenue de l'imminence d'un attentat la veille de sa commission, je suppose qu'il aurait dû intervenir le 3 avril 2025 et que l'information de l'interpellation du kamikaze mardi 1er avril 2025 n'avait pas fuité en direction de ses commanditaires qui ne voyant rien venir le 3 avril m'ont alors remis la gomme sur le blog en pensant qu'il surviendrait avec un peu de retard le 4 avril 2025.

Il est déjà arrivé que des attentats soient commis avec du retard sur ce qui avait été prévu.

Ce fut notamment le cas pour celui du 26 juillet 2016 dans l'église Saint-Étienne de Saint-Étienne-du-Rouvray, l'assassinat du père Jacques Hamel, qui très certainement aurait dû être commis le dimanche 24 juillet 2016, pour l'anniversaire du premier site du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, ouvert le 24 juillet 2001.

Rappelez-vous, certain(e)s s'en impatientaient tellement qu'ils ou elles n'avaient pu contenir leur joie dès qu'il fut commis :

https://satanistique.blogspot.com/2016/07/fausse-rousse-et-vraie-connasse-julie.html

https://satanistique.blogspot.com/2016/08/en-juin-2015-julie-le-goic-rendait-au.html

https://satanistique.blogspot.com/2016/08/julie-le-goic-tout-dun-coup-celebre.html

https://satanistique.blogspot.com/2016/08/julie-le-goic-est-elle-aussi-folle-que.html

https://satanistique.blogspot.com/2019/05/alexandre-hervaud-fait-des-blagues-sur.html

Passons maintenant au lieu où cet attentat aurait dû être commis, dans le Nord.

Voilà la source d'inspiration des commanditaires :

https://satanistique.blogspot.com/2025/03/genealogies-connaissez-vous-la-meilleure.html

Ce n'est pas la première fois que l'origine de certains de mes ancêtres les excite, mais c'est bien la première fois qu'ils aient trouvé l'info parmi mes publications - les autres fois, ils y avaient eu accès grâce à tous leurs piratages à mon encontre.

Comme cette fois-ci je l'avais publiée, je ne suis pas gênée pour la montrer ou la reproduire, il s'agissait donc d'une information du 18 mars 2025.

Dès le lendemain, Jean-Luc Mélenchon venait à Brest noyer le poisson, et le député d'aujourd'hui tout juste neuf mois Pierre-Yves Cadalen de LFI ressortait de la naphtaline la fille à papa Le Goïc (ancien de la LCR de Brest) :

https://satanistique.blogspot.com/2025/03/jean-luc-melenchon-brest-ce-mercredi-19.html

https://www.letelegramme.fr/finistere/brest-29200/lune-des-meilleures-conseilleres-municipales-de-brest-ces-dernieres-annees-quand-le-depute-lfi-cadalen-remet-julie-le-goic-en-selle-6782627.php

Ligue du LOL, attentats islamistes, ce sont les meilleurs....


P.S.: L'interpellation a eu lieu mercredi 2 avril et non mardi 1er avril. L'article de Paris Match recopié ci-dessous était erroné sur ce point.

Par ailleurs, Le Parisien indique que le Dunkerquois avait posté des messages sur Snapchat appelant à « noyer dans le sang les mécréants » et qu’il aurait relayé des vidéos glorifiant les auteurs d’attentats en France, dont Khamzat Azimov, qui avait fait un mort dans un attentat au couteau dans le quartier de l’Opéra, à Paris, en mai 2018.

Voilà, j'ai des ancêtres de Noyelles dans le Nord, et maintenant on appelle à « noyer dans le sang les mécréants »...

Et j'ai reparlé récemment dans des courriers électroniques privés (toujours piratés) de la tentative d'assassinat dont j'avais été victime en mai 1994 dans le quartier Opéra... Lors de l'attentat de mai 2018, le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi venait de perdre un mois plus tôt pour la seconde fois, en appel, le procès qu'il me faisait à Paris depuis le printemps 2016 (attentats associés : tous ceux de cette période, du printemps 2016 au printemps 2018, celui de Nice pour fêter l'assignation à comparaître qui m'avait été délivrée par acte d'huissier le 12 juillet 2016; au cours de cet été 2016, la fête battait son plein, la bande de malades mentaux était sûre de gagner; quelque peu déstabilisée de me voir venir me défendre seule aux audiences de septembre et novembre 2016, elle s'était pris une première douche froide début janvier 2017...).

 


https://www.parismatch.com/actu/faits-divers/info-paris-match-linstigateur-presume-qui-projetait-un-attentat-kamikaze-denonce-par-son-principal-complice-249778

INFO PARIS MATCH : L’instigateur présumé qui projetait un attentat kamikaze à Dunkerque dénoncé par son principal complice

 

L’instigateur présumé qui projetait un attentat kamikaze dénoncé par son principal complice
Photo d'illustration © AFP
 
Martin Regleyet Stéphane Sellami , Mis à jour le

Le principal suspect, âgé de 19 ans, a été dénoncé par son complice, pris de panique par la tournure sérieuse que prenait le projet terroriste. Les deux hommes ont été placés en détention provisoire.

Il a été pris de panique quand il s’est rendu compte du sérieux de l’acte. D’après les informations de Paris Match, obtenues auprès de sources concordantes, Mourad M., âgé de 19 ans, suspecté de vouloir mener un attentat interpellé à Dunkerque mardi dernier et inculpé pour participation à une association de malfaiteurs terroriste dimanche, a été dénoncé par son principal complice.

Hier, les deux hommes ont été mis en examen et placés en détention provisoire pour ces faits, a appris Paris Match du parquet national antiterroriste.

Il avait glissé des pétards dans un gilet

Quelques heures avant l’interpellation, lorsque les enquêteurs ont été prévenus d’une attaque potentiellement imminente par l’autre suspect né en 2005, ils se sont directement rendus à son domicile pour l’interpeller. Sur place, ils ont découvert un gilet fabriqué par ce dernier, dans lequel il y avait glissé « des pétards » pour voir ce que ça pouvait donner. Selon une source concordante, il avait ensuite prévu d’y mettre des explosifs.

L’objectif de ce suspect, connu pour des affaires de stupéfiants, était de commettre une attaque dans un lieu public pour « punir des mécréants », sans préciser les cibles. Cette attaque aurait été revendiquée au nom de l’État Islamique, sans qu’il n’y ait vraiment prêté allégeance.

Une troisième personne interpellée pour « non-empêchement de crime »

Un troisième homme, né en 2003, a été inculpé pour non-dénonciation d’un crime terroriste et placé sous contrôle judiciaire, selon le parquet national antiterroriste. Désormais, les enquêteurs de la Sous-direction anti-terroriste (SDAT), qui mènent les investigations, vont creuser pour savoir s’il allait vraiment passer à l’acte et pour connaître les cibles.

Mi-mars, un adolescent de 17 ans, interpellé en Haute-Saône (centre-est), avait été inculpé et placé en détention provisoire, soupçonné d’avoir projeté une action violente « pendant le ramadan ».

Le 26 février, un homme algérien - qui présentait un profil « schizophrène », selon le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau - a lui aussi été inculpé pour assassinat terroriste et placé en détention provisoire, après avoir tué un passant à Mulhouse (est) et blessé six autres personnes.


https://www.radiofrance.fr/franceinfo/podcasts/les-documents-franceinfo/projet-d-attaque-dejoue-un-jeune-radicalise-preparait-une-ceinture-d-explosifs-4257323

Projet d'attaque déjoué : un jeune radicalisé préparait une ceinture d'explosifs

Publié le lundi 7 avril 2025

 
Le siège de la DGSI où se trouvent les services antiterroristes à Levallois-Perret dans les Hauts-de-Seine (Photo d'illustration). ©Maxppp - IP3 PRESS/MAXPPP
 

 

Un projet d'attaque à la ceinture d'explosifs a été déjoué dans le nord de la France. Un jeune homme de 19 ans, radicalisé récemment, a été interpellé avec deux autres suspects. Des perquisitions ont révélé un dispositif de mise à feu et une recette pour fabriquer un explosif.

Un projet d'attaque à la ceinture d'explosifs a été déjoué ces derniers jours par les services antiterroristes. Trois hommes ont été interpellés dans le nord de la France, mais c'est surtout l'un de ces trois suspects qui préoccupe les enquêteurs et la justice. Il a 19 ans et était, jusque-là, inconnu des services de renseignement. Mais ces derniers temps, ce garçon qui vivait dans un foyer dans la région de Dunkerque, s'est radicalisé tout seul, selon un connaisseur du dossier.

Les enquêteurs ont découvert qu'il consultait des vidéos de décapitation et qu'il avait fait allégeance à l'État islamique dans un courrier retrouvé en perquisition. Selon cette même source, il ne se cachait pas non plus sur les réseaux sociaux, avec notamment des logorrhées à la gloire des attentats du 13 novembre 2015. Il se mettait aussi en scène dans des vidéos avec une arme qui s'est révélée factice.

Projet d'action violente plutôt qu'attentat déjoué

Cette fois, ce ne sont pas les algorithmes des géants d'Internet ou la veille des services de renseignement qui ont permis de l'identifier, mais le signalement d'un proche, parvenu aux oreilles de la police il y a une dizaine de jours, qui redoutait un passage à l'acte. Mardi 1er avril, les policiers locaux sont allés interpeller ce suspect avec le Raid. Ce qui a été découvert en perquisition a conforté les craintes : une ceinture artisanale équipée d'un dispositif de mise à feu composé de deux simples pétards. Mais le jeune homme s'était procuré une recette pour confectionner du TATP, un explosif bien plus puissant.

La communauté juive se trouvait parmi les cibles du suspect, mais pour ce qui est de l'échéance, impossible de le savoir. Au moment de l'interpellation, le suspect n'était pas en position d'aller se faire sauter avec sa ceinture puisqu'il n'avait pas encore fabriqué d'explosifs. C'est la raison pour laquelle certains préfèrent parler de projet d'action violente plutôt que d'attentat déjoué, même si un connaisseur de l'affaire disait que le profil visiblement instable du suspect pouvait l'amener à passer à l'acte avec une arme blanche sans prévenir.

Il a été mis en examen et écroué, tout comme un autre suspect interpellé par la sous-direction antiterroriste de la police judiciaire. Un troisième homme, lui, est poursuivi pour non-dénonciation.

Un éclairage de Pierre de Cossette, édité par Lucie Grandhay-Lavigne.


https://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/nord-0/dunkerque/projet-d-attentat-terroriste-trois-hommes-interpelles-une-ceinture-explosive-retrouvee-dans-le-nord-3134509.html

Projet d'attentat terroriste : trois hommes interpellés, une ceinture explosive retrouvée dans le Nord

 

Ils sont soupçonnés d'avoir voulu organiser une action violente à l'explosif : 3 hommes, âgés de 19 à 24 ans, originaires de Dunkerque et Lille, ont été interpellés. Le parquet national antiterroriste mène l'enquête.

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C'est un proche de l'un des hommes qui a alerté la police, de peur que son ami ne passe à l'acte. Chez ce Dunkerquois de 19 ans, inconnu des services de police, les enquêteurs retrouvent en effet une ceinture artisanale. Pas d'explosif à l'intérieur, mais selon les premières investigations, le jeune homme est soupçonné de préparer un attentat, à l'encontre, notamment de la communauté juive. Selon RTL, d'autres cibles sont évoquées comme un foyer pour jeunes du Nord, un restaurant ou encore une boîte de nuit.

Un profil très inquiétant

Plusieurs publications sur les réseaux sociaux interpellent son entourage et confirment ses intentions : le Nordiste, auteur d'un courrier d'allégeance à l'Etat islamique, met en avant plusieurs vidéos de Khamzat Azimov, l'auteur de l'attentat au couteau du quartier de l'Opéra à Paris, en 2018. Il publie également des notes glorifiant l'attentat du Bataclan.

Chez lui, des documents permettant la fabrication de TATP sont saisis, d'après les informations du Parisien, un explosif bien connu dans le milieu des djihadistes. L'homme est interpellé mardi 1er avril 2025.

Deux de ses proches interpellés

Les investigations conduisent les enquêteurs à deux amis du suspect. La même journée, un autre homme, toujours dans le Dunkerquois, est également interpellé. Il aurait fourni au principal suspect une arme à feu. Arme qui s'est finalement révélée factice.

Enfin, les services antiterroristes arrêtent un troisième homme soupçonné de ne pas avoir dénoncé le projet d'attentat alors qu'il en avait connaissance.

Produit incendiaire et explosif

Ce dimanche 6 avril 2025, les deux premiers hommes ont été mis en examen et placés en détention provisoire pour "association de malfaiteurs terroriste criminelle" et détention de "substance ou produit incendiaire ou explosif". Le troisième suspect a été mis en examen pour non-dénonciation de crime terroriste et placé sous contrôle judiciaire.

L'enquête est menée par la sous-direction antiterroriste, la police du Nord et la DGSI.


https://www.lavoixdunord.fr/1573225/article/2025-04-07/trois-jeunes-arretes-dans-le-nord-pour-un-projet-d-attentat-ceinture-explosive

Projet d’attentat déjoué dans le Nord : ceinture explosive, lieu visé, trois jeunes suspects… ce que l’on sait

 
Les services antiterroristes ont interpellé, mercredi dernier, trois jeunes hommes originaires de Lille et Dunkerque qui voulaient commettre un attentat à la ceinture explosive. Le point sur ce que l’on sait.
 
Par C. Br., E.A., A.C. et A.M.
Temps de lecture: 5 min

> Un projet d’attentat terroriste

Ils voulaient s’inspirer de l’attentat du Bataclan : trois jeunes Nordistes, âgés d’entre 19 et 24 ans ont été placés en garde à vue, mercredi dernier, dans le cadre d’une enquête ouverte par le parquet national antiterroriste (PNAT) pour « association de malfaiteurs terroriste criminelle », « détention de substance ou produit incendiaire ou explosif en relation avec une entreprise terroriste » et « non-dénonciation de crime », rapportent nos confrères du Parisien.

Ils avaient, d’après le journal, l’intention de commettre un attentat terroriste au nom de l’organisation État islamique, certainement à l’aide d’une ceinture explosive.

Contacté par La Voix du Nord, le PNAT confirme l’ouverture d’une information judiciaire, ce dimanche 6 avril. Deux hommes majeurs ont été mis en examen et placés en détention provisoire des chefs de « participation à une association de malfaiteurs terroriste en vue de la préparation d’un crime d’atteinte aux personnes et détention de substance ou produit incendiaire ou explosif ou d’éléments destinés à composer un engin incendiaire ou explosif pour préparer une destruction, dégradation ou atteinte aux personnes en relation avec une entreprise terroriste ». Le dernier a été mis en examen pour ces faits, requalifiés en « non-dénonciation d’un crime terroriste », précise le PNAT. Il a été placé sous contrôle judiciaire.

> Des suspects nordistes âgés de 19 à 24 ans

Les trois suspects sont des Nordistes, originaires de Lille et Dunkerque, selon Le Parisien. Ils ont pu être arrêtés grâce à la dénonciation d’un de leur proche, qui craignait un passage à l’acte imminent.

D’après BFM TV, le suspect principal, Morad M. âgé de 19 ans, a été interpellé mercredi 2 avril à 6 heures par le Raid, dans son foyer pour jeunes adultes de Dunkerque. Selon nos informations, il résidait au Centre d’Hébergement et de Réinsertion Sociale (C.H.R.S.) Thérèse Caulier Soliha Flandres.

 

 

Vers 8 heures, mercredi 2 avril, un voisin du Centre d’Hébergement et de Réinsertion Sociale (C.H.R.S.) Thérèse Caulier Soliha Flandres s’apprêtait à partir lorsque la police l’en a empêché. « Ils avaient bloqué les accès de chaque extrémité tout autour, et nous interdisaient de sortir avec les véhicules », témoigne-t-il. Le dispositif était « assez discret. Ça rentrait, ça sortait ». Selon lui, les accès ont été bloqués « toute la matinée ». Il a pris connaissance du fond de l’affaire ce lundi. « Ça fait un peu peur mais sur le coup ça ne m’a pas trop fait peur ».

BFM TV précise que Morad M. était, jusqu’à présent, inconnu des fichiers de signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT), mais connu du renseignement territorial. Il avait notamment proféré des menaces à l’encontre de Mila, jeune femme qui avait tenu des propos très critiques contre l’Islam, ce qui lui avait valu une vague de cyberharcèlement et des menaces de mort. Selon nos confrères, la mère de Morad M. avait quitté le foyer familial, et son père était absent.

Les deux autres jeunes interpellés sont des proches du principal suspect. L’un d’eux, âgé de 21 ans, est soupçonné de lui avoir fourni une arme factice que Morad M. exhibait sur les réseaux sociaux, selon RTL. Il a été mis en examen pour association de malfaiteurs terroriste. Sollicité par la radio, son avocat Maître Reda Ghilaci a réagi : « Mon client n’est pas radicalisé et n’épouse aucune thèse djihadiste. L’infraction d’association malfaiteur terroriste manque de rigueur juridique. La défense va activement s’atteler à démontrer que les infractions pour lesquelles il a été mis en examen ne sont pas caractérisées en tous leurs éléments constitutifs ».

Le troisième, vraisemblablement âgé de 24 ans, a été mis en cause pour « non-dénonciation d’un crime terroriste » et a été placé sous contrôle judiciaire.

> Des jeunes radicalisés

Morad M. était très actif sur les réseaux sociaux, notamment sur Snapchat ou Telegram, où il incitait les utilisateurs à faire le djihad, selon BFM TV. D’après le média, il lançait également des appels sur ses réseaux sociaux pour recruter des jeunes.

Le Parisien indique que le Dunkerquois avait posté des messages sur Snapchat appelant à « noyer dans le sang les mécréants » et qu’il aurait relayé des vidéos glorifiant les auteurs d’attentats en France, dont Khamzat Azimov, qui avait fait un mort dans un attentat au couteau dans le quartier de l’Opéra, à Paris, en mai 2018.

En garde à vue, Morad M. a reconnu avoir eu un projet d’action violente dans une période où il allait mal, mais a dit que ce dernier était « abandonné », relate BFM TV. Il était pourtant encore très actif sur les réseaux sociaux à la veille de son interpellation.

BFM TV indique que lors de la perquisition au domicile de Morad M., les policiers ont retrouvé plusieurs éléments qui laissent penser à la préparation d’un attentat-suicide, ainsi qu’une lettre d’allégeance à l’État islamique. Le Parisien précise qu’un gilet modifié, qui contenait des pétards devant faire office de tests avant d’y introduire de véritables explosifs a notamment été retrouvé, tout comme un dispositif de mise à feu « potentiellement fonctionnel ». Les trois suspects s’étaient également renseignés sur la fabrication du TATP, un explosif souvent utilisé par les terroristes.

> Plusieurs idées de lieux à viser

Si le lieu de la future attaque n’a pas été établi avec précision, les suspects avaient déjà dressé une liste de cibles potentielles, rapporte RTL. Parmi elles, un foyer pour jeunes du Nord, un restaurant, une boîte de nuit ou encore un site appartenant à la communauté juive. Les enquêteurs ne savent pas si l’une d’elles était réellement arrêtée. D’après Le Parisien, les enquêteurs doivent déterminer si une date de passage à l’acte avait déjà été fixée, ce qui ne semble pas être le cas à ce stade.

Le dernier attentat commis dans le Nord – Pas-de-Calais remonte à octobre 2023, lorsque Dominique Bernard, professeur de français, avait été mortellement poignardé à Arras par Mohammed Mogouchkov, qui avait revendiqué son acte au nom de l’État islamique.


vendredi 4 avril 2025

Bruno Retailleau contre les "juges rouges" du SM...

Nous en avons à Brest... notamment la dénommée Céline Verdier qui s'est présentée aux élections professionnelles de décembre 2022 pour la CGT-SM...

 

https://www.lefigaro.fr/flash-actu/des-juges-rouges-bruno-retailleau-s-en-prend-au-syndicat-de-la-magistrature-20250403

«Des juges rouges» : Bruno Retailleau s'en prend au Syndicat de la magistrature

Si la «très grande majorité des magistrats en France» sont «neutres», le ministre de l’Intérieur s’est attaqué au Syndicat de la magistrature «qui s’est fait connaître avec le “Mur des cons”».

Bruno Retailleau a jugé «objectif» qu'il y ait des «juges rouges» et s'en est pris au Syndicat de la magistrature, classé à gauche, jeudi, sur France 2. «La très grande majorité des magistrats en France observe une neutralité mais il y a parfois des organisations syndicales... Notamment une, qui s'est fait connaître avec le “Mur des cons” (...) C'était le Syndicat de la magistrature, qui a participé à la Fête de l'Humanité», a assuré le ministre de l'Intérieur, interrogé sur la condamnation judiciaire et l'inéligibilité immédiate prononcées contre Marine Le Pen.

En 2013, un panneau intitulé «mur des cons» avec des photographies de personnalités politiques de droite, magistrats, journalistes et aussi parents de victimes de crimes avait été découvert dans les locaux du syndicat. L'ancienne présidente du SM a été condamnée pour «injure publique» dans le cadre de cette affaire, révélatrice, pour une partie de l'opinion, de la partialité de la justice.

«C'est objectif. Le Mur des cons... Pouvez-vous me dire ici si le Mur des cons a eu lieu ou non? (...) C'est acceptable, ce Mur des cons?», a-t-il lancé. «Quand des hommes politiques mais aussi des pères de victimes se retrouvent épinglés sur un mur de ce Syndicat de la magistrature? Non, ça n'est pas acceptable», a encore martelé le ministre et candidat à la présidence de LR.



https://cgtsm.jevotecgt.fr/wp-content/uploads/sites/10/PFJ_Commune_RENNES.pdf

ÉLECTIONS PROFESSIONNELLES DU 1er AU 8 DÉCEMBRE RENNES 

ENSEMBLE FAISONS AVANCER LA JUSTICE
Retrouvez nos engagements, nos objectifs et tous nos candidats sur : cgtsm.jevotecgt.fr/rennes
Depuis des années, le ministère de la Justice nous soumet à des injonctions contradictoires en nous demandant d’assumer davantage de missions avec moins de moyens et avec une pression au résultat.
La politique du chiffre a remplacé toute velléité de bien faire et toute ambition sérieuse de nos administrations.
Pour arrêter ces réformes, notre intervention est indispensable ! Sans relâche, la CGT et le SM chercheront à unir autour de revendications offensives pour la défense du service public, du statut, des rémunérations et des conditions de travail. Nous défendrons les agents contre les sanctions et la répression, à l’heure où le ministère durcit le ton.
Les élu.es de la CGT et du SM s’engagent, dans les instances, à se faire les porte-voix de la résistance des agent.es contre l’austérité, et à porter leurs exigences pour la défense de nos acquis et pour obtenir des moyens pour nos missions. Non par conviction que le « dialogue social » sur lequel le ministère s’assoit permettra de les satisfaire, mais pour aider à la poursuite de nos actions et pour faire face aux diverses attaques qui s’annoncent...
En votant pour la CGT et le SM, vous montrerez votre détermination à obtenir l’arrêt des réformes néfastes. Vous renforcerez également une intersyndicale de transformation sociale qui résiste, agit, propose !


ÉLECTIONS PROFESSIONNELLES
Ensemble faisons avancer la justice

SYNDICATS JUSTICE - DU 1er AU 8 DÉCEMBRE 2022

QU’EST-CE QUE LE COMITÉ SOCIAL D’ADMINISTRATION (CSA) ?
La loi dite de « transformation » de la fonction publique du 6 août 2019, avec ses multiples suppressions/réorganisations d’instances, attaque directement la représentation des agents. Elle conduit à les empêcher de prendre conscience de l’importance concrète des enjeux de ces élections.
Ainsi, la loi a fusionné les comités techniques (CT) et les comités d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) en une instance unique : le comité social d’administration (CSA).
A partir de ces élections, le CSA va créer une sous-commission dénommée formation spécialisée qui traitera des questions d’hygiène, sécurité et conditions de travail lorsque le CSA concerné représentera plus de 200 agents ou que des risques professionnels spécifiques le justifieront.
Le CSA du ministère de la justice résulte donc de la fusion des instances CTM (comité technique ministériel) et CHSCTM (CHSCT ministériel). Le CSA ministériel étant l’instance de dialogue social au plus haut niveau au sein du ministère de la justice, il comprendra, de fait, une formation spécialisée en matière d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail.
Le CSA de proximité comme la formation spécialisée en santé, sécurité et conditions de travail doivent être présidé.es par les chef.fes de cour. Ils comptent autant de représentant.es titulaires que de représentant.es suppléant.es. Il s’agit d’un scrutin de liste et donc un vote direct pour élire vos représentant.es à cette instance.
La grande nouveauté pour ce qui concerne le CSA du ministère de la justice est que désormais, les magistrat.es sont électeurs et éligibles et doivent y être représenté.es au même titre que les fonctionnaires et contractuel.les du ministère de la justice.
C’est en ce sens que la CGT et le SM (Syndicat de la magistrature) ont fait le choix de présenter une liste commune au CSA ministériel.
Pour autant, le ministère a refusé d’augmenter en proportion le nombre de représentant.es dans les CSA de proximité. C’est pourquoi la CGT a déposé un recours devant le Conseil d’État, la représentation et la défense des personnels ne pouvant souffrir une telle injustice de la part du ministère de la justice.
Pour les CSA couvrant plus de 200 agents, et ceux en-dessous du seuil « si des risques professionnels particuliers le justifient », sera créée une formation spécialisée compétente en matière de santé, de sécurité et de conditions de travail (FSSCT). Cette formation aura à peu près les mêmes compétences que le CHSCT.
Le nombre de représentants à la FSSCT dépend du nombre de titulaires au CSA, et le nombre de suppléants au FSSCT dépend du nombre de titulaires à la FSSCT. Les membres de la FSSCT seront désignés parmi les titulaires ou suppléants du CSA et les suppléants seront désignés librement par les organisations syndicales.
Les attributions :
Chaque comité social d’administration se réunit au moins deux fois par an.
Lorsqu’il n’existe pas de formation spécialisée du comité, et en dehors des cas où il se réunit à la suite d’un accident du travail, en présence d’un danger grave et imminent ou pour des raisons exceptionnelles, le comité tient en outre au moins une réunion portant sur les questions en matière de santé, de sécurité et de conditions de travail. En dehors de ces cas, les formations spécialisées se réunissent au moins une fois par an.
LE COMITÉ SOCIAL D’ADMINISTRATION A LES COMPÉTENCES SUIVANTES :
CSA services judiciaires CSA déconcentré FSSCT
• la gestion prévisionnelle des effectifs des emplois et des compétences ;
• le projet statutaire, les règles relatives à l’échelonnement judiciaire ;
• la formation nationale ;
• les évolutions technologiques et de méthodes de travail ;
• les conditions de travail ;
• les projet de circulaire (mutation, indemnités, temps partiel, évaluation…) ;
• les effectifs, transformation d’emplois ;
• la politique indemnitaire, les critères de répartition des primes ;
• les restructurations (réforme de la carte judiciaire, plate-formes inter-régionales).
• la formation continue régionale ;
• l’hygiène et la sécurité ;
• le budget de la cour ;
• la politique informatique locale ;
• les évaluations professionnelles ;
• les effectifs (création, transformation, redéploiement, suppression de postes) ;
• les chartes des temps ;
• les droits syndicaux ;
• les crédits vacataires ;
• les personnels placés (A, B, et C) ;
• l’ARTT ;
• l’action sociale ;
• les restructuration (réforme de la carte judiciaire, plate-forme inter-régionale) ;
• les conditions de travail.
• contribuer à la protection de la santé et de la sécurité des travailleurs ainsi qu’à l’amélioration des conditions de travail ;
• sujets relatifs à l’organisation du travail : l’environnement physique du travail, l’aménagement des postes de travail et leur adaptation aux personnes, la construction, l’aménagement et l’entretien des postes de travail et de leurs annexes, la durée et les horaires de travail, l’aménagement du temps de travail, les incidences des nouvelles technologies sur les conditions de travail ;
• la consultation sur les projets de textes, notamment sur ceux relatifs « aux enjeux liés à la déconnexion et aux dispositifs de régulation de l’utilisation des outils numériques »
Nos luttes
Au cours du dernier mandat, nos représentants CGT (aux comités techniques, où le SM pouvait être présent comme expert) se sont battus pour obtenir de meilleures conditions de travail, une meilleure harmonisation des pratiques sur la gestion du temps de travail, l’organisation des services en dénonçant toutes les entorses aux textes.
Grâce à notre union et notre action nous avons obtenu plusieurs avancées durant cette mandature, au sein des comités techniques et des comités d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail. Dans les CHSCT, l’union entre fonctionnaires et magistrats a permis de porter des demandes de visites de services, d’établissements ou encore des enquêtes fouillées lorsque des difficultés nous étaient remontées ou en cas de dysfonctionnement grave.
Ce que nous souhaitons continuer à porter pour vous :
• l’augmentation générale des effectifs tous corps confondus (magistrats, fonctionnaires A, B et C) ; chaque création de poste de magistrats doit s’accompagner d’une création de poste de B et C ;
• une fréquence de réunion de l’instance des CSA plus importante (les ex- CHSCT se réunissaient au moins trois fois par an) ;
• la valorisation des assistants de prévention ;
• la création de FSSCT pour Cayenne, Nouméa, Papeete, Nantes et l’ENG.

ÉLECTIONS PROFESSIONNELLE SSYNDICATS JUSTICE - DU 1er AU 8 DÉCEMBRE 2022

Ensemble votons CGT-SM
ÉLECTIONS PROFESSIONNELLES DU 1er AU 8 DÉCEMBRE RENNES

C’est de votre vote au comité social d’administration ministériel que dépendra notre présence et notre capacité à VOUS représenter. C’est également en vous prononçant pour notre liste en CSA de proximité que vous contribuerez à nous rendre plus forts localement ainsi qu’au CSA des services judiciaires, où se discutent et se votent les réformes qui nous impactent directement.
EN VOTANT POUR LA LISTE CGT-SM VOUS NOUS DONNEZ LES MOYENS D’AGIR ET DE PORTER VOTRE VOIX.
DU 1er AU 8 DÉCEMBRE 2022,
faites valoir vos droits, faites entendre votre voix !
Votez CGT et SM !


NOS CANDIDATS

Les représentant.es CGT-SM sont d’autant plus légitimes que ce sont des acteurs et actrices de terrain, au contact des collègues, en poste en juridiction, qu’ils et elles subissent donc également les évolutions managériales, informatiques, procédurales... et ne sont pas déconnecté.es de la réalité du quotidien des personnels.
01. Valérie BERA-BLIN, greffière, TJ Brest
02. Manon LIPIANSKY, magistrate, TJ Rennes
03. Estelle CHEVALIER, DSGJ, Tprox Guingamp
04. Etienne KUBICA, magistrat, TJ Rennes
05. Gwennaelle DRU, DSGJ, TJ Quimper
06. Hélène SAINT RAMON, magistrate, TJ Nantes
07. Sonia ZUCARELLI, DSGJ, TJ Saint-Brieuc
08. Hervé OUAZZAROUT-LEMEE, adjoint administratif, TJ Nantes
09. Ariane SEGALEN, magistrate, TJ Rennes
10. Zina KESSACI, greffière, SAR placée Rennes
11. Céline VERDIER, magistrate, TJ Brest,
12. Laura BUFFART, contractuelle, CA Rennes
13. Laurence KERMOAL, greffière, TJ Rennes
14. Stéphanie ROCHEL, DSGJ, TJ Lorient
Pour en savoir plus sur ces élections, le rôle des instances et nos positions, nos sites internet sont disponibles 24h/24 :
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vendredi 28 mars 2025

Mort d'Emile Soleil : un coup violent porté à la tête

 

 

 

Les stigmates du traumatisme facial violent se situeraient finalement sur le côté de la tête et révèleraient que le petit garçon a reçu un coup violent, éventuellement porté avec un objet.

S'il a été touché à la tempe, c'est potentiellement un coup mortel.

Yannis en 1989 et Emile en 2023 : les deux petits garçons avaient joué dans une cabane et allaient voir des animaux, les chiots du voisin pour l'un et les lapins près du lavoir pour l'autre. Au moment de leur disparition, ils déambulaient seuls.

En général, les éleveurs n'aiment pas beaucoup voir des enfants s'approcher de leurs animaux.

Et l'hypothèse d'un choc avec un véhicule ou un engin agricole quelconque n'est toujours pas totalement exclue.

Le corps aurait pu ensuite être conservé dans un congélateur.

 

P.S.: Il y aurait depuis longtemps des voyous dans le secteur du Vernet (voir article ci-dessous).

Le Vernet est une commune par ailleurs très touristique qui a vu naître, notamment, un médecin de Napoléon Ier, un aliéniste de l'Hôpital royal de Charenton et un postier membre fondateur de la CGT portant tous le nom de Bayle et a aussi connu sous le Second Empire une expérience originale d'élevage de yacks du Tibet :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Vernet_(Alpes-de-Haute-Provence)

Localisation

Le village du Vernet est situé dans la vallée du Bès à 1 200 m d’altitude[2] entre Digne-les-Bains au sud et le lac de Serre-Ponçon, au nord. Sa population dépasse tout juste les 100 habitants permanents, mais elle est souvent plus que doublée chaque hiver et chaque été, où la commune devient alors la base de départ d'excursions touristiques, notamment dans la vallée de la Blanche, ainsi qu'un lieu de départ pour les stations de ski proches (Le Grand-Puy, Saint-Jean-Montclar, Chabanon).

La commune compte deux villages principaux : le Haut-Vernet, situé en altitude, et le Bas-Vernet.

Personnalités liées à la commune

  • Le Dr Gaspard-Laurent Bayle (1774-1816), médecin de Napoléon Ier, pionnier de l'auscultation immédiate et maître de Laennec, il aurait le premier décrit le procédé d'utilisation d'un stétoscope. Auteurs d'ouvrages sur le cancer. Son petit-fils, Charles Bayle (1842-1918), vice-amiral, commandant de la flotte d'Extrême-Orient, grand-officier de la Légion d'honneur.
  • Antoine Laurent Bayle (1799-1858), aliéniste à l'Hôpital royal de Charenton, docteur en médecine, professeur agrégé à la faculté de médecine de Paris, ayant le premier décrit la paralysie générale (Maladie de Bayle)
  • Denis Bayle (1856-1944), employé des postes, membre fondteur de la CGT, organisateur des grandes grèves postales à Gap en 1904-1906
  • Louis Bayle (1858-1923), membre du Corps expéditionnaire en Tunisie.
  • Prosper Demontzey (1831-1898), ingénieur des Eaux et Forêts, qui a expérimenté et mis en œuvre les techniques de reboisement en montagne et de la lutte contre l'érosion des torrents (lui sont dédiés un monument au col du Col du Labouret et, sur la commune, tout un parc arboré dédié au reboisement en terrain de montagne).

 

Second Empire

Yack du Tibet

Sous le Second Empire, une tentative d'acclimatation et d'élevage du yack du Tibet fut effectuée au Vernet pendant une dizaine d'années, à l'initiative de Charles de Montigny, consul de France à Shanghai par l'intermédiaire de la société impériale d'acclimation[32]. Quelques reproducteurs mâles et femelles furent convoyés au village pour y être élevés par des agriculteurs locaux. Certains animaux furent confiés à Etienne Monnier, agriculteur et éleveur au Haut-Vernet[33]. Le ministre de l’Instruction Publique, soucieux du progrès rural, fit un proposition au préfet des Basses-Alpes en avançant cet argument :

« Ces animaux, originaires du Tibet, possèdent des qualités qui rendent très précieuse leur introduction dans notre pays, au double point de vue de l’agriculture et de l’industrie. Ils peuvent être très utilement employés comme bêtes de somme ou de trait, et devenir ainsi un excellent auxiliaire de l’habitant des montagnes. »

Il y eut aussi des tentatives de métissage avec des vaches locales. le résultat fut décevant et l'opération arrêtée. Les spécimens survivants furent vendus [34].

 

Napoléon Ier, Tibet, CGT... Hum...

Ce ne serait pas encore un coup du pédocriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi ?

 

A lire ou à relire :

http://satanistique.blogspot.com/2023/07/disparition-du-petit-emile-au-vernet-sa.html

http://satanistique.blogspot.com/2023/07/disparition-de-petit-emile-au-vernet.html

http://satanistique.blogspot.com/2023/07/disparition-du-petit-emile-au-vernet.html

http://satanistique.blogspot.com/2023/08/la-famille-du-petit-emile-disparu-deja.html

https://satanistique.blogspot.com/2023/08/disparition-demile-des-precedents-dans.html

https://satanistique.blogspot.com/2025/03/affaire-du-petit-emile-soleil-un.html

https://satanistique.blogspot.com/2025/03/de-lenvironnement-de-yannis-more.html

 

 

https://www.laprovence.com/article/edition-alpes/27295/au-vernet-cest-tout-un-village-qui-est-bouleverse.html

Au Vernet, c'est tout un village qui est bouleversé

Par La Provence

 

Digne-les-Bains

Au lendemain de l'agression qui a coûté la vie à la gérante du Café du Moulin

C'était une sainte femme!", confie avec une émotion non dissimulée François Balique, le maire du Vernet, revenu par le premier vol de Guyane où il se trouvait pour des raisons professionnelles. C'est un véritable drame pour tout le village qui aura du mal en s'en remettre!" Dans la petite bourgade située sur la route du ski et où résident à l'année une centaine d'habitants, toute la population était hier matin sous le choc de "cette effroyable tragédie que nul ne pouvait prévoir", tel que le confie une habitante les yeux remplis de larmes. Tous se souviennent de Jeannette Grosos, de sa bonté: "Elle était la gentillesse incarnée!", assure cet autre habitant qui n'aurait manqué pour rien au monde le repas des aînés du Vernet, organisé vendredi dernier dans cet établissement qu'elle chérissait tout particulièrement. "Avec sa famille, c'était toute sa vie!", ajoute une estivante qui ne peut contenir ses sanglots à l'évocation des faits et de la violence avec laquelle le jeune homme a frappé la victime. "Il parait qu'il s'est acharné sur elle… pourtant il n'a jamais donné l'impression d'être dangereux", déclare cette retraitée qui l'a souvent pris en stop, à l'instar de nombreux autres habitants ou estivants, sans jamais rencontrer le moindre problème.

L'été dernier, il avait d'ailleurs travaillé à la piscine sans que l'on ait visiblement à se plaindre de ses services. "C'est dramatique pour ses parents, un couple d'enseignants qui travaille sur Digne et qui s'est toujours bien occupé de lui", estime ce villageois sans toutefois excuser le geste de Geoffroy, que d'aucuns considéraient comme "le simplet du village". Loin d'imaginer un seul instant, le drame de lundi qui plonge dans le désarroi toute une population qui se pensait à l'abri d'un tel acte… D'ailleurs, beaucoup se refusent encore à croire à la culpabilité du jeune homme. "Vous savez, il y a des voyous dans le secteur et beaucoup de passage devant le café", pouvait-on entendre avant que la nouvelle des aveux du jeune homme ne vienne, en fin de matinée, couper court à toute rumeur. En bordure de la RD 900, sur la rive droite du Bès, le café du Moulin est resté fermé. Et la famille de Jeannette Grosos, prostrée dans la douleur, l'incompréhension… et aussi la colère.

Suivi pour schizophrénie

Hier en fin de matinée, l'agresseur présumé de Mme Grosos a avoué aux gendarmes de la brigade de recherches, épaulés par leurs collègues de la SR de Marseille, être l'auteur des coups mortels. "Il a indiqué que depuis quelques jours, il ne se sentait pas bien et avait augmenté les doses de médicaments prescrites par son psychiatre", précise Stéphanie Giraud, substitut du procureur de la République avant d'évoquer les faits."Il dit qu'il a lutté pour ne pas lui faire du mal, il sentait qu'il était en crise. Il n'a pas pu résister et s'en est pris à elle violemment sans aucun mobile."

Après avoir frappé par surprise Mme Grosos qui faisait des mots croisés sur la terrasse, à l'aide d'une bouteille en verre, il l'aurait ensuite traînée dans la salle du bar pour la frapper de nouveau plusieurs fois avec une autre bouteille. "Il a d'abord parlé d'un cocktail qui lui aurait été refusé par la victime, puis a reconnu avoir menti à ce sujet. Depuis il n'est toujours pas capable d'expliquer son passage à l'acte!", ajoute la substitut à propos de ce jeune homme de 21 ans, traité pour schizophrénie et suivi par l'hôpital psychiatrique de Digne où il se rendait au moins tous les quinze jours pour "une injection dans le cadre de son traitement."

Après la prolongation hier de sa garde à vue, il est déféré au parquet d'Aix-en-Provence cet après-midi où après l'ouverture d'une information criminelle, il sera présenté à un juge du pôle d'instruction qui décidera de la suite à donner à ce dossier. C'est aussi à Aix-en-Provence que sera prise dans la foulée la décision de son éventuelle incarcération dans l'attente d'une expertise psychiatrique "pour dire s'il est ou non responsable de ses actes", conclut Mme Giraud.


De l'environnement de Yannis Moré à Ganagobie

 

 

 

Il habitait au hameau du Belvédère, au sud du bourg.

C'est un site touristique proche de l'abbaye et du monastère de Ganagobie (bénédictins) qui devient aussi le lieu d'une pollution radioactive remarquable à partir de 1987 :

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Ganagobie

Pollution radioactive

L’entreprise Isotopchim, appartenant au couple Friedeling, a été active de 1987 à 2001 à Ganagobie[27],[28]. Elle était spécialisée dans le marquage isotopique avec le carbone 14, radioactif, de molécules organiques[29], activité jugée non-rentable par le CEA. Les conditions dans lesquelles l’activité est exercée conduisent à d’importants rejets radioactifs (90 % du carbone 14 utilisé[29]). Isotopchim utilise également du tritium, radioactif[28],[30], du phosphore 32, du phosphore 33 et du soufre 35, sans autorisation[30]. Des rejets ont lieu par une cheminée de 40 m, un jardin d’enfants étant situé à proximité[30].

En 1995, l’Opri mesure une contamination radioactive[29]. La préfecture, sous le coup d’un recours pour carence à agir[30], prononce deux suspensions administratives de l’activité[29] (tout en autorisant des campagnes d’activité exceptionnelles[30]), puis interdit l’activité[29]. Isotopchim continue de produire des déchets malgré l’interdiction préfectorale et le couple Friedeling stocke les déchets dans leur villa[28]. En 1998, un scandale éclate, des boues radioactives ayant été évacuées comme de simples déchets. Le lieu de déversement de ces déchets radioactifs est inconnu, excepté pour un chargement qui a abouti dans la décharge de Fontienne[30].

Isotopchim est finalement liquidée en 2000[29]. Le couple Friedeling est condamné en 2003 à de la prison avec sursis et à 100 000  d’amende, la procédure étant épuisée en Cour de cassation en 2007[28],[30]. L’amende n’a pas été payée[28].

La radioactivité de l’activité et des déchets stockés dans la villa a pollué le terrain environnant, les taux relevés par l’Aprii-Rad augmentant constamment. Les opérations de dépollution commencent en décembre 2002[31]. Les déchets radioactifs stockés sur le site de l’entreprise ont été évacués de mars à juin 2008[27],[31], quelques centaines de litres de liquides radioactifs et 600 kg de boues radioactives[32].

En 2008, les mesures effectuées par l’Andra confirment une pollution radioactive des sols[27], dépassant l’enceinte d’Isotopchim et touchant la place du Belvédère et les bâtiments environnants. Les cultures du monastère de Ganagobie sont également touchées jusqu’au début des années 2000[29]. Les opérations de dépollution qui ont eu lieu en 2008-2010 ont coûté environ 3,9 millions d’euros[33] mais devaient se poursuivre en 2012 par l’évacuation de boues restantes[31].

Jean-Pierre Frideling a pu créer avec sa fille une nouvelle entreprise à Aix-en-Provence, poursuivie pour des faits similaires[34].


https://www.lamarseillaise.fr/politique/un-trafic-international-disotopes-niche-a-la-fac-HALM017374

Un trafic international d'isotopes niché à la fac

Mis en examen, l’ingénieur Jean-Pierre Frideling est soupçonné d’avoir mis sur pied à la faculté des sciences de St-Jérôme un marché noir de matières radioactives entre Américains et Russes via des sociétés écrans pour contourner un embargo international. Enquête (1er volet)

30/06/2009 | 11h14

Quinze ans après le scandale d’Isotopchim et sa villa radioactive à Ganagobie (Alpes-de-Haute-Provence), son responsable Jean-Pierre Frideling gravite de nouveau en orbite judiciaire. L’ingénieur a été arrêté dans son officine secrète : un laboratoire de chimie louée par sa fille à la faculté des sciences et techniques (FST) de Saint-Jérôme à Marseille où il cultivait l’isotope en douce. Il est soupçonné de commerce illicite de matières radioactives. Ganagobie(s) repetita…    Innovation Chimie Fine (ICF) était jusqu’à l’arrivée des képis en janvier 2007, une « start-up » pleine d’avenir montée par sa fille. Brillante docteur en chimie organique formée à Saint-Jérôme, Aline Frideling est désormais accusée d’avoir servi de faux-nez aux activités nucléaires occultes de son père. Ce dernier, condamné pour l’effarant dépotoir laissé à Ganagobie, s’était livré jusqu’en 2000 à de la synthèse périlleuse de carbone 14 (C14). Avec Saint-Jérôme, un seuil nouveau est franchi : l’électron libre qu’on pensait banni du monde scientifique aurait organisé un marché parallèle de radioéléments artificiels entre les Etats-Unis et la Russie où il s’approvisionnait en C14 via une nébuleuse de sociétés écrans pour déjouer les sécurités et contourner l’embargo américain à destination de pays sensibles.

    Les faits dénoncés en janvier 2007 à l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) sont à l’instruction au pôle de santé publique du TGI de Marseille. Son étendue nécessite de délicates commissions rogatoires internationales. Jean-Pierre Frideling, 62 ans, ex-technicien du Commissariat à l’énergie atomique (CEA) de Saclay, et sa fille Aline Frideling, 34 ans, docteur en chimie organique, y ont été mis en examen pour exercice d’activité nucléaire sans autorisation, publicité sur Internet relative à l’emploi de substances nucléaires, abandon de déchets radioactifs, atteinte aux règles d’hygiène et de sécurité, mise en danger de la vie d’autrui, non respect de la réglementation relative à la prévention au risque d’exposition aux rayonnements ionisants et aux risques chimiques. Ils ont même connu brièvement l’inconfort des Baumettes pour avoir transgressé leur contrôle judiciaire. « J’veux qu’on me fiche la paix. J’fais pousser mes salades. Je ne veux plus en entendre parler », nous a expliqué hier Jean-Pierre Frideling, joint par téléphone.

Une poubelle atomique

    Pourtant d’Oraison à Peyruis, son nom reste associé aux images choquantes de boues radioactives et de fioles toxiques à l’abandon dans une villa de la zone artisanale de Ganagobie (lire ci-contre). C’est là en 1986, aidé d’une subvention (875 000 francs) que l’ingénieur s’était aménagé son unité de synthèse. Sa marotte : la copie à façon de molécules rendues radioactives au C14. Isotopchim comptait jusqu’à 10 salariés parmi lesquels deux Russes. On y manipulait sans précautions du phosphore, fluor, phosgène jusqu’à du tritium et du deutérium, deux éléments nucléaires classés « défense ». Ces traceurs biologiques made in Provence trouvaient preneurs auprès de clients pas regardants : des laboratoires pharmaceutiques, des centres de recherche comme Cadarache, pas gêné d’externaliser ses émissions de C14 hors de son périmètre Seveso. Faisant preuve d’une « résistance permanente à respecter les règles », écriront les juges, Jean-Pierre Frideling baissait le rideau en catastrophe en 2000, laissant derrière lui une poubelle radioactive à la charge du contribuable. Le 25 juillet 2006, la cour d’appel confirmait le jugement de Digne-les-Bains qui l’avait condamné en 2003, lui et son épouse Michèle, chimiste et gérante de la Sarl Isotopchim, à 1 an de prison avec sursis et 100 000 euros d’amende, principalement pour stockage et élimination de matières radioactives sans autorisation. Impécunieux, ils n’ont jamais rien versé…

Chaud devant les curies !

    En réalité, l’alchimiste interpellé avec sa fille n’a jamais cessé ses activités tout bonnement transférées sur le campus marseillais. Les documents saisis à Manosque et Marseille démontrent une continuité entre la Sarl Isotopchim mise en faillite et son sosie Innovation Chimie Fine (ICF) qui lui succédait quelques jours plus tard en octobre 2000.     L’éprouvette s’est brisée en janvier 2007 quand une publicité parfaitement illégale de radionucléides a été interceptée sur le catalogue en ligne d’ICF. « Free shipping for orders over 5 Curies ! », osait la société qui expédiait à ses frais toute commande supérieur à 5 Curies ! L’équivalent de 5 g d’uranium… C’est dire les colis « chauds » qu’ICF a pu livrer dans le monde. Des perquisitions spectaculaires ont été menées dans l’aile 5 de la faculté prise d’assaut par les gendarmes, les techniciens de l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN), de l’ASN sous les yeux d’étudiants médusés. Des disques durs, des échantillons ont été saisis avec trois caisses souillées au C14 provenant de l’ancienne unité de Ganagobie. Les factures d’enlèvement des sources scellées et la décontamination du labo ne font pas du tout rire l’Université. « En apprenant brutalement le caractère controversé des activités de cette société » et « consciente des enjeux du dossier » qu’elle indique bien porter sur du « commerce de radioéléments artificiels à l’étranger », l’Université s’est constituée partie civile.    Le Dr. Aline Frideling avait pourtant reçu en 2006 le prix Hubert-Curien par le Réseau de développement technologique-Paca pour son « cadenas isotopique », un brevet sur les contrefaçons. Aidée par l’OSEO-Anvar et le Centre régional d’innovation et de transfert de technologie, elle regardait avec confiance l’avenir de « l’entreprise familiale spécialisée dans les isotopes stables » (sic). Ses clients ? Les mêmes que papa : industries pharmaceutiques, agroalimentaires, laboratoires d’analyse. Nulle mention du CEA qui, malgré la fâcheuse affaire de Ganagobie, n’a pas retiré sa confiance à Jean-Pierre Frideling. Isotopchim et Innovation Chimie Fine, connus du CEA pour être la même entité sous deux intitulés, ont collaboré au même programme de recherche qui portait – il fallait oser - sur la « réduction de la nocivité des déchets nucléaires » comme l’attestent deux rapports techniques de 2001 et 2004.     Vont alors apparaître une société américaine du Missouri et un réacteur russe planqué dans l’Oural…

David COQUILLE

Dans nos éditions, en kiosque, retrouvez l'intégralité de notre dossier concernant cette affaire et dès demain, le second volet de notre enquête : Frideling, les secrets de l’Oural


https://www.irsn.fr/savoir-comprendre/environnement/dossier-isotopchim-ganagobie-alpes-haute-provence

Dossier ISOTOPCHIM à Ganagobie (Alpes-de-Haute-Provence)

01/02/2013

L’environnement proche de l’ancien laboratoire de la société Isotopchim, situé au lieu-dit « le Belvédère de Ganagobie », à une trentaine de kilomètres au nord-ouest de Forcalquier (04), est contaminé en carbone 14.

Cette contamination est la conséquence des rejets atmosphériques, de 1989 à 1997, de ce laboratoire, dédié notamment à la production de molécules marquées pour la chimie fine. La Direction générale de la prévention des risques (DGPR) et la Commission Nationale des Aides dans le domaine Radioactif (CNAR) de l’ANDRA ont demandé à l’IRSN d’examiner la question du devenir des arbres situés dans le « Parc », à proximité et sous les vents dominants de l’ancien local d’Isotopchim.

En 2001, l’activité spécifique du 14C d’échantillons de bois du Parc variait de 9 500 à 25 000 Bq/kg de carbone (Bq/kg C) et celle de la matière organique des sols de 6 000 à 66 000 Bq/kg C. Aujourd’hui, alors que les feuilles et les jeunes branches ont vu leur activité décroître très fortement, l’activité spécifique observée en 2001 perdure dans le bois formé durant la phase d’exploitation du laboratoire et diminue très lentement dans les sols. Le stock actuel de carbone 14 contenu dans le bois des arbres du Parc a été estimé à environ 400 MBq (260 à 600 MBq).

En 2009, l’IRSN a procédé à l’évaluation des conséquences radiologiques qui résulteraient des situations susceptibles de survenir selon les deux options de gestion envisagées :

  • le maintien du site en l’état, en particulier en laissant sur place les arbres et en continuant l’entretien du site qui est fait actuellement 
  • l’enlèvement total ou partiel de ces arbres

Différents scénarios susceptibles d’induire une exposition des individus ont été examinés en particulier :

  • un incendie des arbres (Figure VII.6) induisant d’une part une augmentation de l’activité en 14C de végétaux consommés localement et, d’autre part, l’exposition d’une personne qui respirerait l’air contaminé en 14C par le panache de l’incendie 
  • l’inhalation par une personne (Figure VII.7) d’un air contaminé par le brûlage en cheminée de bois des arbres 
  • l’inhalation d’air dont la teneur en 14C serait renforcée du fait soit de l’émanation à partir du sol (rémanence de matières organiques et racines ayant été contaminées durant la phase de rejets d’Isotopchim), soit de l’utilisation de compost issu de l’entretien des espaces verts du site 
  • l’ingestion par inadvertance de sol contaminé (dans le cas d’enfants jouant à cet endroit).

Les calculs d’impact ont été réalisés en adoptant des hypothèses volontairement pénalisantes. Les résultats montrent qu’aucune des conjectures examinées n’aboutit à un risque dosimétrique significatif, les doses variant du pico-sievert à quelques centaines de nano-sieverts, à comparer à la dose liée au 14C naturel, de l’ordre de 12 μSv/an. Ces très faibles valeurs font que les incertitudes inhérentes aux calculs et aux hypothèses prises en compte n’ont pas d’incidence sur le sens des conclusions. Les conséquences de l’une ou l’autre des options envisagées, maintien en l’état du site ou enlèvement des arbres, se traduisent par des niveaux de dose négligeables par rapport à la dose imputable au bruit de fond naturel. L’élimination des arbres n’apporterait qu’un « bénéfice » très relatif en termes de diminution de la contamination du site, étant donné que le sol et les systèmes racinaires en place resteraient contaminés.

Il ressort de cette étude qu’il n’y a pas de risque dosimétrique significatif lié au maintien des arbres contaminés en 14C sur le site et donc aucune justification technique à les supprimer.

 

Figure VII.6 Schéma résumant le scénario étudié et les conséquences dosimétriques (dose efficace à l’adulte) dans le cas d’un incendie. 
 

Schéma résumant le scénario étudié et les conséquences dosimétriques (dose efficace à l’adulte) dans le cas d’un incendie.

 

Figure VII.7 Schéma résumant le scénario étudié et les conséquences dosimétriques (dose efficace à l’adulte) dans le cas d’un chauffage au bois en cheminée.

 

Schéma résumant le scénario étudié et les conséquences dosimétriques.

 

Pour en savoir plus :

  • Lire le rapport DEI/SESURE 2009-40 « Évaluations dosimétriques relatives aux options de gestion de l’environnement contaminé en carbone 14 autour de l’ancien laboratoire de la société Isotopchim à Ganagobie »