Naturellement, je n’ai aucune preuve de quoi que ce soit quant à cette affaire.
Cependant, les cyberdélinquants auxquels j’ai affaire depuis 2008, qui me fournissent régulièrement des faisceaux d’indices quant à leurs exactions diverses et variées, m’avaient bien indiqué de manière subtile avoir ainsi fêté la journée de la femme de l’année 2014.
Leur héros le cybercriminel et malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi – qui soit dit en passant exprime régulièrement dans ses écrits publics sa haine de la Chine ou des Chinois, parmi lesquels de très nombreuses victimes de cette mystérieuse disparition d’un vol de la compagnie Malaysia Airlines le 8 mars 2014 – avait inauguré le 8 mars 2009 par une attaque démentielle à mon encontre sur le site Rue89 ces commémorations annuelles toujours violentes.
http://www.lemonde.fr/entreprises/article/2016/07/22/mh370-les-espoirs-s-amenuisent-la-suspension-des-recherches-se-profile_4973197_1656994.html
MH370 : les espoirs de localiser le lieu du crash « s’amenuisent »
Le Monde.fr avec AFP | 22.07.2016 à 11h06
Al’issue d’une réunion à Kuala Lumpur, les ministres des transports de Malaisie, d’Australie et de Chine se sont montrés pessimistes quant aux chances de retrouver l’endroit où le Boeing 777 de la compagnie Malaysia Airlines (vol MH370) s’est abîmé en 2014.
« Avec moins de 10 000 km2 restant à explorer dans la zone de recherches hautement prioritaire, les ministres reconnaissent qu’en dépit des meilleurs efforts de tous ceux qui sont engagés la probabilité de retrouver l’appareil s’amenuise », ont indiqué les ministres de ces trois pays engagés dans les recherches.
A moins d’une « nouvelle preuve crédible » d’ici à la fin des opérations en cours, les recherches seront « suspendues » jusqu’à ce qu’une nouvelle information solide menant à un lieu de crash émerge, ont ajouté le Malaisien Liow Tiong Lai, l’Australien Darren Chester et le Chinois Yang Chuantang, dans un communiqué. « La suspension ne signifie pas la fin des opérations de recherche. Les ministres ont répété que l’aspiration à localiser le MH370 n’a pas faibli », ont-ils souligné.
Ménager les familles de victimes
L’utilisation du verbe « suspendre » les recherches s’apparente à une formule de langage visant à ménager les familles de victimes qui ont demandé récemment encore aux autorités de ne pas abandonner les recherches. Le Boeing 777 de la compagnie aérienne malaisienne s’était volatilisé le 8 mars 2014 avec 239 personnes à bord, peu après son décollage de Kuala Lumpur à destination de Pékin, et se serait abîmé dans l’océan Indien. Cette disparition est l’un des plus grands mystères de l’histoire de l’aviation civile.
L’Australie, la Malaisie et la Chine, trois des quatre pays ayant perdu le plus de ressortissants dans cette disparition, étaient convenus de mettre fin à la campagne une fois que l’ensemble de la zone de recherche aurait été parcouru, si aucun indice n’était découvert. Dirigées par l’Australie, les opérations de recherches – les plus importantes et les plus chères jamais engagées – sont concentrées dans les profondeurs de l’océan Indien sur une vaste zone de 120 000 km2, l’équivalent de trois fois la superficie de la Suisse.
http://www.lepoint.fr/monde/mh370-les-recherches-de-l-avion-bientot-suspendues-22-07-2016-2056201_24.php
MH370 : les recherches de l’avion bientôt suspendues
Avec moins de 10 000 kilomètres carrés restant à explorer dans la zone de recherches hautement prioritaire, la probabilité de retrouver l’appareil s’amenuise.
Source AFP
Publié le 22/07/2016 à 13:03 | Le Point.fr
L’espoir de retrouver l’avion de la Malaysia Airlines s’amenuise. Les ministres de trois pays engagés dans les recherches du vol MH 370 disparu il y a plus de deux ans ont annoncé vendredi que les investigations seraient bientôt suspendues, à moins d’un rebondissement. Le Boeing 777 de la compagnie aérienne malaisienne s’était volatilisé le 8 mars 2014 avec 239 personnes à bord, peu après son décollage de Kuala Lumpur à destination de Pékin, et se serait abîmé dans l’océan Indien. Cette disparition est l’un des plus grands mystères de l’histoire de l’aviation civile.
Les opérations de recherches dirigées par l’Australie – les plus importantes et les plus chères de l’histoire – sont concentrées dans les profondeurs de l’océan Indien sur une vaste zone de 120 000 kilomètres carrés, l’équivalent de trois fois la superficie de la Suisse. « Avec moins de 10 000 kilomètres carrés restant à explorer dans la zone de recherches hautement prioritaire, les ministres reconnaissent qu’en dépit des meilleurs efforts de tous ceux qui sont engagés, la probabilité de retrouver l’appareil s’amenuise », ont déclaré les ministres des Transports de la Malaisie, l’Australie et la Chine, trois pays engagés dans les opérations, à l’issue d’une réunion à Putrajaya, capitale administrative de la Malaisie.
Ménager les familles
À moins d’une « nouvelle preuve crédible » d’ici la fin des opérations en cours, les recherches seront « suspendues » jusqu’à ce qu’une nouvelle information solide menant à un lieu de crash émerge, ont ajouté les trois ministres, le Malaisien Liow Tiong Lai, l’Australien Darren Chester et le Chinois Yang Chuantang, dans un communiqué. L’Australie, la Malaisie et la Chine, trois des quatre pays ayant perdu le plus de ressortissants dans cette disparition, avaient déjà convenu de mettre fin à la campagne une fois que l’ensemble de la zone de recherche aurait été parcourue, si aucun indice n’était découvert.
Cependant, « la suspension ne signifie pas la fin des opérations de recherches. Les ministres ont répété que l’aspiration à localiser le MH370 n’a pas été abandonnée », selon le communiqué. L’utilisation du verbe « suspendre » les recherches s’apparente néanmoins à une précaution de langage visant à ménager les familles de victimes qui espèrent que les opérations se poursuivront tant que l’épave ne sera pas retrouvée. Jeudi, le collectif de familles de victimes Voice370 avait ainsi appelé les autorités à « ne pas abandonner les recherches ».
Une disparition toujours aussi mystérieuse
Nombre de proches de victimes dévastés par cette disparition accusent la compagnie aérienne et le gouvernement malaisiens de cacher des informations sur ce drame et de les traiter sans ménagement, ce que les intéressés contestent. Un fragment d’aile retrouvé en juillet dernier sur l’île française de La Réunion, dans l’océan Indien, et appartenant selon les autorités malaisiennes et la justice française au Boeing 777 de Malaysia Arlines, est la seule preuve que l’avion s’est écrasé. Mais cet élément n’a apporté aucune réponse sur les circonstances de la disparition.
Quatre autres fragments découverts en Afrique du Sud, au Mozambique et à Maurice, dans l’océan Indien, ont été identifiés avec une « quasi-certitude » comme provenant de l’appareil. Et le 1er juillet, l’Organisation de l’aviation civile tanzanienne (TCAA) avait annoncé que des pêcheurs de Zanzibar avaient trouvé et remis aux autorités tanzaniennes une partie d’une aile d’avion qui sera analysée afin de déterminer si elle appartient à l’avion qui assurait le vol MH370. Les spéculations pour expliquer cette disparition demeurent principalement concentrées autour d’une défaillance mécanique ou structurelle, une prise d’otages ou un acte terroriste, mais rien n’est jusqu’ici venu étayer l’un ou l’autre des scénarios. Le mystère a également alimenté une kyrielle de théories du complot.
http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/le-mystere-du-mh370-ne-sera-t-il-donc-jamais-perce-588217.html
Le mystère du MH370 ne sera-t-il donc jamais percé ?
Les espoirs de retrouver l’endroit où l’avion de Malaysia Airlines qui s’est abîmé en 2014 « s’amenuisent », et les recherches seront bientôt suspendues si rien n’est retrouvé, ont indiqué vendredi des ministres de Malaisie, d’Australie et de Chine, trois pays engagés dans les opérations.
Le MH370 a-t-il disparu le 8 mars 2014 pour ne jamais révéler ses secrets ? Après plus de deux ans et demi de recherches de l’épave, celles-ci sont sur le point de s’arrêter. C’est ce qu’ont indiqué dans un communiqué les ministres des Transports de Malaisie, d’Australie et de Chine, trois des quatre pays ayant perdu le plus de ressortissants dans cette disparition et qui sont en charge des recherches. Pour rappel, un B777-200 de Malaysia Airlines avait disparu peu après son décollage de Kuala Lumpur à destination de Pékin, et se serait abîmé dans l’océan Indien. avec ses 239 personnes à bord.
« Avec moins de 10.000 kilomètres carrés restant à explorer dans la zone de recherches hautement prioritaire, les ministres reconnaissent qu’en dépit des meilleurs efforts de tous ceux qui sont engagés, la probabilité de retrouver l’appareil s’amenuise », ont déclaré les ministres des Transports de ces trois pays, à l’issue d’une réunion en Malaisie.
« Suspension des recherches »
A moins d’une « nouvelle preuve crédible » d’ici à la fin des opérations en cours, les recherches (dans la zone de 120.000 km2 déterminée au large des côtes ouest de l’Australie) seront « suspendues » jusqu’à ce qu’une nouvelle information solide menant à un lieu de crash émerge, ont ajouté les trois ministres.
« La suspension de signifie pas la fin des opérations de recherches. Les ministres ont répété que l’aspiration à localiser le MH370 n’a pas été abandonnée », ont-ils souligné.
Coup dur pour les familles des victimes
L’utilisation du verbe « suspendre » les recherches s’apparente à une formule de langage visant à ménager les familles de victimes qui ont demandé récemment encore aux autorités de ne pas abandonner les recherches.
Fin mai, alors que la perspective de la fin des recherches était déjà évoquée, un réseau international des proches des disparus s’était dit « gravement préoccupé » par la fin annoncée des recherches et appelait au contraire à leur élargissement.
Ce réseau, appelé Voice370, a demandé aux pays participant aux opérations menées sous la houlette de l’Australie, à l’avionneur Boeing et à l’Organisation internationale de l’aviation civile d’engager des moyens pour poursuivre les efforts de recherches.
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