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samedi 25 juillet 2020

Christophe Girard enfin dégagé de la Mairie de Paris...


Ouais ! Bravo les filles ! Enfin une victoire !

Il en reste encore plein à dégager d’un peu partout, de ces pro-pédophiles qui protègent des réseaux criminels comme ceux du cybercriminel, trafiquant de drogue, mythomane et pédophile notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi, notamment au TGI de Brest où l’actuelle doyenne des juges d’instruction, Céline Verdier, se signale depuis 2012 comme l’une de leurs complices les plus efficaces, étant données ses fonctions – il y a d’ailleurs bien longtemps qu’elle aurait dû être révoquée de la fonction publique.



https://www.huffingtonpost.fr/entry/demission-de-girard-hidalgo-saisit-la-justice-et-ecarte-2-elues-eelv-de-sa-majorite_fr_5f1b0011c5b6f2f6c9f5b9ee

POLITIQUE
 
24/07/2020 18:46 CEST

Démission de Girard: Hidalgo saisit la justice et écarte 2 élues EELV de sa majorité


Une décision qui tombe après une journée particulièrement tendue à l’Hôtel de Ville.

 



Anne Hidalgo durant son discours à l'issue du second tour des élections municipales, le...
Anadolu Agency via Getty Images
Anne Hidalgo durant son discours à l’issue du second tour des élections municipales, le 28 juin (illustration). 


POLITIQUE – Rien ne va plus dans la majorité d’Anne Hidalgo. Ce vendredi 24 juillet en fin de journée, la maire de Paris a publié un communiqué sévère dans lequel elle annonce qu’elle va saisir la justice pour “les graves injures publiques” prononcées contre la mairie lors d’un rassemblement organisé la veille devant l’Hôtel de Ville.

Ce rassemblement, organisé par des associations féministes, et auquel ont pris part deux élues EELV de la majorité, Alice Coffin et Raphaëlle Rémy-Leleu, réclamait la démission de l’adjoint à la Culture de la maire de Paris, Christophe Girard. Celui-ci était accusé par ses détracteurs d’avoir été complaisant envers l’écrivain Gabriel Matzneff, lequel est poursuivi pour “viol sur mineurs”. Sur le parvis de l’Hôtel de Ville, on pouvait donc lire sur des pancartes “mairie de Paris: bienvenue à Pédoland”.


Rassemblement devant l'Hôtel de Ville jeudi 23
BERTRAND GUAY via Getty Images
Rassemblement devant l’Hôtel de Ville jeudi 23 juillet. 


Jeudi soir, ce pilier de la majorité, qui a été entendu comme témoin dans le cadre de l’enquête visant l’écrivain, a finalement démissionné face à la pression, ce qui a provoqué l’”écœurement” d’Anne Hidalgo. Ce vendredi matin, plusieurs proches de la maire de Paris sont montés au créneau pour dénoncer “les excès” auxquels ont pris part deux membres de la majorité.

Anne Hidalgo et son adjoint Emmanuel Grégoire ont par ailleurs demandé des “excuses” à Alice Coffin et Raphaëlle Rémy-Leleu. En vain. Dans la journée, les choses se sont envenimées. Durant la séance du Conseil de Paris, le préfet de police Didier Lallement a rendu hommage à Christophe Girard pour sa “leçon de dignité”, provoquant une standing ovation dans l’assemblée.

Ce qui a provoqué l’ire d’Alice Coffin, qui a littéralement crié sa “honte” dans l’hémicycle, offrant ainsi une scène surréaliste. Du côté des socialistes, la colère ne retombait pas, alors que c’est l’embarras qui semblait régner chez les élus écolos, David Belliard en tête.

“Silence gêné”


“Ce qu’il faudrait, c’est que les Verts sortent de leur silence gêné. Ce qui est en jeu c’est notre liberté. Si à chaque fois qu’on ne cède pas à des injonctions on est traîné dans la boue, il va y avoir un sérieux problème démocratique. Nous souhaitons que les Verts se désolidarisent de ces méthodes et excluent ces deux élues de leur groupe, afin qu’ils ne se laissent pas déborder par l’extrémisme”, explique au HuffPost Rémi Féraud, président du groupe socialiste au Conseil de Paris, convaincu que ce courant est “très minoritaire” au sein du groupe écolo.

Dans un communiqué, le groupe socialiste répète son soutien à Christophe Girard et dénonce “la violence et la haine” qui ont conduit l’ex-adjoint à la Culture à quitter son poste. Les élus PS demandent également au groupe écolo de “prendre une position claire et de condamner” les “pratiques indignes” d’Alice Coffin et Raphaëlle Rémy-Leleu.

Même tonalité chez les communistes. Dans un communiqué, les conseillers PC condamnent des “agissements qui mettent en cause l’État de droit”. Rappelant qu’“aucune charge n’a été retenue contre Christophe Girard à ce jour”, le groupe communiste dit soutenir Anne Hidalgo “dans le rappel des règles élémentaires de dignité”.

Du côté des écolos, qui avec leurs 23 sièges sont des alliés essentiels pour Anne Hidalgo, on tente de ménager la chèvre et le chou. Tout en condamnant les pancartes qui comportaient des messages “inappropriés” et qui ne “reflètent pas le contenu de l’appel au rassemblement”, les écologistes ne se prononcent pas sur le communiqué de la maire de Paris ni sur le cas des deux élues que l’édile désigne comme étant désormais “en dehors de la majorité”.

En outre, le chef de file des écolos parisiens, David Belliard, ne se presse pas non plus pour apporter un soutien franc et massif à Alice Coffin et Raphaëlle Rémy-Leleu, à l’inverse de l’ex-patron des Verts, David Cormand. Pendant ce temps, la droite parisienne se délecte du spectacle. “Il y a déjà des règlements de compte alors que la mandature commence à peine. Leur majorité est en lambeau avant même d’avoir commencé”, observe auprès de l’AFP Marie Claire Carrère-Gee, élue LR du XIVe arrondissement.

Et le feuilleton ne semble pas prêt de se terminer. Dans son communiqué, Anne Hidalgo prévient: “Je déférerai devant les tribunaux les graves injures publiques qui ont été dirigées contre la mairie de Paris. Je ne laisserai rien passer”.


À voir également sur Le HuffPost: L’hommage à Christophe Girard chahuté au Conseil de Paris


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jeudi 23 juillet 2020

Un mois d'absence... et revoilà Cyprien Luraghi sur Twitter...


L’individu nous a habitués à ses bouderies et départs fracassants de tel ou tel site, notamment Rue89, toujours suivis de retours quelques temps plus tard, dès le printemps 2008.

En fait, durant ces absences, il prépare toujours son retour.

A chaque fois parti la queue entre les jambes parce qu’il est en tort ou ne parvient pas à dominer ses interlocuteurs, à leur imposer tous ses points de vue et sa supériorité intrinsèque et irréfragable, il entend toujours revenir en maître absolu et réapparaît donc systématiquement au moment où son dernier forfait commence à produire effet…

Serait-ce donc, cette fois-ci, l’incendie de la cathédrale de Nantes ?



https://twitter.com/CyprienLuraghi/with_replies?lang=fr

Cyprien Luraghi
14,3 k Tweets
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Un mois d'absence... et revoilà Cyprien Luraghi sur Twitter... dans Attentats
wacpeS_-_200x200 dans Calomnie
Cyprien Luraghi
@CyprienLuraghi
En ligne et à l’œil depuis 2001.
Puy l’Evêque, Franceicyp.fr
A rejoint Twitter en février 2019
Suivi par aucune des personnes que vous suivez

Tweets de Cyprien Luraghi

wacpeS_-_bigger dans Corruption
Cyprien Luraghi
@CyprienLuraghi
·
23h
Si peu, si peu… (twitter me gonfle grave, je ne fais que passer)
Rg85gTQ5_bigger dans Crime
Monsieur Tschäggättä
@Mr_Tschaggatta
·
21 juil.
Qui se souvient ?
Voir plus de réponses
Rg85gTQ5_bigger dans Folie
Monsieur Tschäggättä
@Mr_Tschaggatta
·
21 juil.
En réponse à et
Te revoilà toi
wacpeS_-_bigger dans Insolent - Insolite
Cyprien Luraghi
@CyprienLuraghi
·
21 juil.
J’étais parti ? Je me souviens plus…
hKkY7h7Q_bigger dans LCR - NPA
Pois chiche des confins
@dareljedid
·
19 juin
Je ne comprends pas pourquoi l’État injecte des milliards dans des sociétés sans y prendre des parts.
wacpeS_-_bigger dans Le Post
Cyprien Luraghi
@CyprienLuraghi
·
19 juin
L’État c’est le vol.



https://twitter.com/Mr_Tschaggatta/status/1285527881326747648

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Conversation

Rg85gTQ5_bigger dans Luraghi
Monsieur Tschäggättä
@Mr_Tschaggatta
Qui se souvient ?
12:51 PM · 21 juil. 2020·Twitter for Android
hE9p9IbU_bigger dans NEMROD34
Sergio.gouv.fr
@sergio_coma
·
21 juil.
En réponse à
Pas très bien non
Rg85gTQ5_bigger dans Pédophilie
Monsieur Tschäggättä
@Mr_Tschaggatta
·
21 juil.
Pourtant c’était de ouf.
wacpeS_-_bigger dans Perversité
Cyprien Luraghi
@CyprienLuraghi
·
21 juil.
Je me souviens parfaitement de ma dernière amnésie.
Rg85gTQ5_bigger dans Politique
Monsieur Tschäggättä
@Mr_Tschaggatta
·
21 juil.
Te revoilà toi
Visage souriant avec des yeux rieurs
wacpeS_-_bigger dans Rue89
Cyprien Luraghi
@CyprienLuraghi
·
21 juil.
J’étais parti ? Je me souviens plus…
xXfUCj4g_bigger dans Troll
dulconte
@dulconte
·
23h
Oh un cyp
wacpeS_-_bigger
Cyprien Luraghi
@CyprienLuraghi
·
23h
Si peu, si peu… (twitter me gonfle grave, je ne fais que passer)
DameMalatrie
@DameMalatrie
·
21 juil.
En réponse à
Au fait, tu te souviens de celui-ci ou tu n’y as jamais mis les pieds ?
Citer le Tweet
DameMalatrie
@DameMalatrie
· 21 juil.
En réponse à @Episcop_Charles
A Bayonne, on lui rend toujours hommage :
Image
Rg85gTQ5_bigger
Monsieur Tschäggättä
@Mr_Tschaggatta
·
21 juil.
Bien sûr que j’me souviens. Au bord de la Nive non ?
DameMalatrie
@DameMalatrie
·
21 juil.
Ben oui.
Rg85gTQ5_bigger
Monsieur Tschäggättä
@Mr_Tschaggatta
·
21 juil.
C’était pas trop ma génération
DameMalatrie
@DameMalatrie
·
21 juil.
Prt
En réponse à
Y’a un gars qui dit que nos souvenirs ne sont pas des souvenirs mais des souvenirs de souvenirs. Mais je ne me souviens plus qui…
En réponse à
Pas moi. Mais j’me rappelle jamais de rien
B_Kp5pmS_bigger
Sapiens L’Ancien
@AncienSapiens
·
21 juil.
En réponse à
Jamais de rien au dessus de 3 g.
En réponse à
Ça fait si longtemps
En réponse à
Ahhh ouiiii!! * *non.


lundi 13 juillet 2020

Pédocriminalité : la France toujours au top... et aux taupes...


Et d’une autre !


Rappel :

http://petitcoucou.unblog.fr/2020/07/03/encrochat-la-france-plateforme-mondiale-du-crime-organise/


Le trafiquant de drogue, pédophile et cybercriminel notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi de Puy-l’Evêque, qui va régulièrement en Gironde, où résident plusieurs de ses proches ou amis, va encore dire que les réseaux pédophiles n’existent pas…

Même chose pour tous les « déconnologues » de sa bande de criminels divers et variés.

Même avec leur caca sous le nez, ils continuent à nier…



https://www.lemonde.fr/societe/article/2020/07/13/interpellation-en-gironde-d-un-pedocriminel-presume-l-une-des-dix-cibles-prioritaires-mondiales_6046087_3224.html

Un pédocriminel présumé, « l’une des dix cibles prioritaires mondiales » de la justice, arrêté en Gironde


Le parquet de Bordeaux a annoncé l’arrestation d’un homme soupçonné d’avoir hébergé des contenus pédopornographiques sur plusieurs sites Internet.

Par Juliette Bénézit Publié aujourd’hui à 16h46, mis à jour à 19h59


Un homme de 40 ans, recherché depuis plusieurs années par les services de police français et internationaux spécialisés dans la lutte contre la pédopornographie, a été arrêté, mardi 7 juillet, en Gironde, à la suite des investigations de l’Office central pour les répressions des violences aux personnes (OCRVP) et d’Europol, a annoncé, lundi 13 juillet, la procureure de la République de Bordeaux, Frédérique Porterie, dans un communiqué.

Considéré comme l’« une des dix cibles prioritaires mondiales », ce Français, en couple et père de famille, officiait depuis 2014 sur le dark Net, une partie du Web qui n’est pas indexée par les moteurs de recherche et n’est accessible que par certains réseaux informatiques anonymisés, comme Tor.

Article réservé à nos abonnés Lire aussi Comment les policiers traquent les pédophiles sur le dark Net
 
Les activités de cet homme, qui utilisait alors différents pseudonymes et s’exprimait en anglais, ont été repérées, dès 2014, par les policiers de l’OCRVP, spécialisés dans la lutte contre les réseaux pédopornographiques internationaux du dark Net, et qui travaillent en collaboration avec Europol.

Ces derniers l’identifient alors comme étant l’administrateur de plates-formes numériques, qui fonctionnent comme des sites de streaming, sur lesquelles sont postées des photographies et des vidéos à caractère pédopornographique, consultées et échangées par des internautes du monde entier. Les policiers le soupçonnent également de réaliser lui-même ce type de contenus, qu’il poste alors sur le site en question.

L’homme a reconnu les faits


Au départ, si les policiers le gardent sous surveillance, ils ignorent tout de cet homme : sa nationalité, son âge, son lieu de résidence, sa situation personnelle et professionnelle. « Tout est intraçable sur le dark Net, il est donc très difficile de procéder à l’identification précise des personnes qui l’utilisent », commente Eric Bérot, commissaire divisionnaire et chef de l’OCRVP.

Après une lente approche, un policier, en ayant recours à la méthode de la cyberinfiltration, parvient finalement à entrer en contact avec le suspect. S’ensuivent plusieurs semaines d’échanges avant de parvenir à son identification, via son adresse IP, et à son interpellation, le 7 juillet, à son domicile situé en Gironde, dans une zone rurale à une trentaine de kilomètres à l’est de Bordeaux.

Lors de sa garde à vue, l’homme, inconnu des services de police, a reconnu les faits. D’après les premiers éléments de l’enquête, il s’agit d’une personne au profil « classique », le rendant « insoupçonnable » pour son entourage, rapporte une source proche de l’enquête. « Il s’agit d’un homme en couple, père de plusieurs enfants, qui a un travail. Il fait partie d’une famille de classe moyenne totalement lambda, résume cette même source. En réalité, il s’agit d’un profil assez classique dans ce type d’enquête : des M. Tout-le-Monde, dont l’épouse ignore tout, jusqu’aux agissements opérés sur leurs propres enfants, comme c’est le cas en l’espèce. »

A son domicile, du matériel informatique a été saisi. « Il faut être un minimum doué avec l’informatique pour administrer de tels sites sur le dark Net et surtout pour parvenir à ne pas être identifié pendant six ans », ajoute cette source proche du dossier.

Jeudi 9 juillet, à la suite de sa garde à vue, une information judiciaire a été ouverte. L’homme a été mis en examen pour « diffusion en bande organisée de l’image d’un mineur présentant un caractère pornographique en utilisant un réseau de communications électroniques », « détention et enregistrement de l’image d’un mineur présentant un caractère pornographique », « viols incestueux commis sur un mineur par un ascendant », et enfin « agressions sexuelles incestueuses sur un mineur de 15 ans par un ascendant ». Il a été placé en détention provisoire.

Juliette Bénézit

dimanche 12 juillet 2020

Faites surveiller le téléphone portable de qui vous voulez...


Voilà le commentaire que je viens de trouver sur Satanistique :


http://satanistique.blogspot.com/2019/10/affaire-robert-boulin-le-dossier-nest.html

1 commentaire:

Faites surveiller le téléphone portable de qui vous voulez... dans AC ! Brest
Bonjour les gars, contactez deadlyhacker01@gmail.com ou Whatsapp: +1 3478577580 si vous avez besoin d’embaucher un vrai pirate pour surveiller à distance le téléphone portable de votre conjoint
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Je rappelle ici que l’intégralité des lignes de mes proches comme les miennes sont toutes illégalement surveillées depuis au moins douze ans par la bande de cybercriminels du trafiquant de drogue et pédophile notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi sans que les magistrats brestois n’y aient jamais vu le moindre inconvénient… quoiqu’ils soient bien au courant de toutes les réalités de la situation…

Le « vrai pirate » en chef appelle depuis 2012 l’actuelle doyenne des juges d’instruction de Brest par son petit nom : Céline… ils sont intimes… ils s’adorent… surtout quand il s’agit de violer à tout va…

samedi 11 juillet 2020

Que se passe-t-il avec les féminicides ?


De manière inattendue, un de mes articles de l’année dernière sur les féminicides connaît aujourd’hui un vif succès, c’est celui-ci, du 10 avril 2019 :

http://petitcoucou.unblog.fr/2019/04/10/feminicides-en-hausse-en-2019-les-plaintes-des-futures-victimes-toujours-vaines/

Que se passe-t-il donc avec les féminicides ou les contenus de cet article ?

La criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest aurait-elle recommencé à agiter ses histoires de rentes, de rentiers et de millions ?

Puisque par ailleurs nous n’avons plus aucune nouvelle de l’affaire brestoise dite « Masson » depuis la même époque exactement, je précise que cette femme est très copine avec Jean-Luc Polard, l’autre mis en examen dans cette affaire, à tel point que je les soupçonne d’avoir acheté Alain Masson avec les surplus d’indemnités qu’il lui est actuellement reproché d’avoir perçus de manière indue durant plusieurs années, afin d’en obtenir son aval pour tout un tas de leurs saloperies à mon encontre ou contre ma famille, car par ici, rien ne se fait sans lui, patron franc-mac oblige…



10 juil. 2020 17:00 – 11 juil. 2020 16:00


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https://actu.fr/bretagne/brest_29019/les-deux-ex-elus-brest-alain-masson-jean-luc-polard-ont-ete-mis-examen_22847462.html

Les deux ex-élus de Brest, Alain Masson et Jean-Luc Polard, ont été mis en examen


Alain Masson et Jean-Luc Polard, les deux adjoints au maire de Brest et vice-présidents de la métropole qui avaient démissionné, ont été mis en examen par le juge d’instruction.


Publié le 10 Avr 19 à 12:03
 
 
Alain Masson et Jean-Luc Polard, les deux ex-élus de la majorité municipale à Brest, ont été mis en examen
Alain Masson et Jean-Luc Polard, les deux ex-élus de la majorité municipale à Brest, ont été mis en examen (© Côté Brest).


Alain Masson et Jean-Luc Polard ont été déférés devant le parquet de Brest mardi soir, 9 avril 2019. Le juge d’instruction a mis en examen les deux ex-élus de la majorité municipale, le premier pour abus de confiance, le second pour complicité d’abus de confiance. C’est ce qu’a indiqué, mercredi matin, 10 avril, Jean-Philippe Récappé, procureur de la République.

Les deux hommes ont été placés sous contrôle judiciaire. Ceci dans le cadre de la potentielle affaire de fraude fiscale concernant l’association Vivre à Brest, qui gérait, notamment, le système de redistribution des indemnités des élus sociales (elle n’existe plus depuis janvier 2018).

Lire aussi : Finistère. Le maire de Brest, François Cuillandre, se sent trahi

Président de l’association


Lors de son audition, vendredi 16 novembre 2018, dans le cadre de l’enquête préliminaire ouverte par la police judiciaire sur d’éventuels détournements de fonds publics au sein de l’association, Alain Masson, alors deuxième adjoint au maire de Brest chargé du patrimoine et des élections, premier vice-président de la métropole chargé des grands projets, de l’énergie, du plan climat, aurait reconnu que ses indemnités (4400 euros par mois) n’étaient pas versées à l’association dont il était le président, et qu’il percevait, par ailleurs, une indemnité mensuelle supplémentaire de 3470 euros versée par Vivre à Brest.

Alain Masson avait démissionné de ses fonctions mercredi 21 novembre.

Lire aussi : Finistère. Alain Masson démissionne du conseil municipal de Brest

Trésorier de l’association


Jean-Luc Polard, alors adjoint au maire chargé de la participation des habitants, du domaine communal, du commerce, des halles et marchés, et vice-président de Brest métropole chargé des services à la population, avait, lui également, été entendu par les policiers, dans le cadre de cette enquête, en sa qualité de trésorier de l’association.

Il avait démissionné vendredi 23 novembre.

Lire aussi : Finistère. Jean-Luc Polard démissionne à son tour du conseil municipal de Brest

Le maire auditionné


Les deux ex-élus ont été mis en examen le soir même de l’audition du maire de Brest et président de la métropole, François Cuillandre, sous le régime de la garde à vue qui lui avait été signifiée dès son arrivée au commissariat de police, mardi matin, 9 avril, dans le cadre de cette affaire. Garde à vue qui avait été levée en fin d’après-midi.

L’élu n’avait pas été présenté au juge d’instruction à l’issue de son audition et avait pu regagner son bureau à l’hôtel de métropole.

Lire aussi : François Cuillandre, maire de Brest, placé en garde à vue pour être auditionné par la police judiciaire



dimanche 5 juillet 2020

Comment la secte des "Sceptiques" de l'Internet fait sa pub à peu de frais...


Elle contacte un journaleux de chez Ouest-France ou est contactée par lui, les complices d’Hélène Sergent de 20.minutes.fr assurant à coups de fake news la promotion de toutes les allégations mensongères des comploteurs de la bande du trafiquant de drogue, pédophile et cybercriminel notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi, ainsi que leur défense contre leurs victimes, dont moi, et il en ressort l’article suivant que m’avait indiqué le soi-disant « sceptique » Jean-Marc Donnadieu sitôt après sa publication, avec un beau titre mensonger (aucun de ces charlatans n’a jamais été de la classe des scientifiques, ils les haïssent précisément parce qu’ils en sont, et passent leur temps à en harceler à mort) :

https://www.ouest-france.fr/sciences/sur-internet-la-science-riposte-face-aux-charlatans-et-aux-fake-news-6882711

Voir ci-dessous quelles sont très précisément les relations qui existent entre Ouest-France et 20minutes.fr : c’est la même boîte.

Cet article signé Nicolas Blandin de Ouest-France est quand même intéressant et je vous invite à le lire attentivement, en faisant preuve de tout l’esprit critique qui sied au vrai sceptique, bien entendu.

Premier point : ils se défendent de former une secte et d’être organisés, mais avouent tous se connaître plus ou moins, et donc, se reconnaître. Autrement dit : vous en êtes ou vous n’en êtes pas.

Si vous en êtes, vous êtes cru sur parole quoi que vous racontiez (cas des menteurs et affabulateurs Jean-Marc Donnadieu et autres « déconnologues » et « ufosceptiques »), et si vous n’en êtes pas, en cas de conflit avec l’un d’eux, c’est forcément vous qui mentez et avez tous les torts… Ils font tous bloc derrière celui des leurs qui se prétend « attaqué » par une ou plusieurs de ses victimes (cas du soi-disant « débunker » Jean-Marc Donnadieu de Béziers depuis le printemps 2010) et savent pourtant fort bien qu’un certain nombre d’entre eux ne font que du harcèlement, puisqu’ils l’évoquent eux-mêmes en parlant de « dérives » dans les comportements de « militants » prétendument « sceptiques » :


Ce que regrette Bunker D, pour qui  il existe une dérive qui, en se moquant de ceux qui « croient » à une théorie farfelue, fait s’éloigner du rationalisme, de la méthode sceptique. Il y a là une certaine arrogance et une tendance à tout ramener à l’émotivité ou à l’irrationnel. Une croyance peut correspondre à une forme de rationalité. 

Christophe Michel confirme :  Il y a une partie militante qui s’efforce de dénigrer ceux qui ont une « mauvaise croyance ». La démarche s’éloigne donc de la zététique qui est juste une pédagogie. Je n’ai, par exemple, pas l’objectif de « lutter » contre ceux qui croient en une fausse théorie, de leur faire changer d’avis. Je préfère la bienveillance aux débunkages frontaux.


Je rappelle qu’en ce qui me concerne, j’ai affaire à des psychopathes, des pervers narcissiques qui n’ont jamais rien construit, jamais rien produit de leur vie et qui, en recherche de notoriété quoique totalement vides, n’ont donc pu trouver autre chose que leurs attaques démentielles contre divers auteurs de richesses d’ordre intellectuel pour tenter de se faire connaître ou reconnaître du public.

Ces délinquants et cybercriminels notoires mentent et affabulent sans cesse et n’hésitent même pas à produire des faux à l’attention des autorités judiciaires. Ce sont des charlatans, des escrocs.



https://fr.wikipedia.org/wiki/20_Minutes_(France)

20 Minutes (France)

 
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20 Minutes
Image illustrative de l’article 20 Minutes (France)

Pays France
Zone de diffusion Monde
Langue Français
Périodicité Quotidienne
Format Format demi-tabloïd (A4) : 290 × 210 mm
Genre Généraliste
Prix au numéro Gratuit
Diffusion 897 467 ex. (2018)
Fondateur Schibsted
Date de fondation 15 mars 2002
Ville d’édition Paris

Propriétaire Groupe Rossel
Groupe Sipa-Ouest‑France
Directeur de publication Frédéric Daruty
Directeur de la rédaction Armelle Le Goff
Site web www.20minutes.fr [archive]
modifier Consultez la documentation du modèle

20 Minutes est un quotidien d’information générale distribué gratuitement (car entièrement financé par la publicité) en France, en Espagne et en Suisse. Le présent article traite uniquement de sa version française.

Il est édité par la société 20 Minutes France1.

 

Histoire

 

Les débuts, de 2002 à 2012


20 Minutes est un quotidien d’information générale, lancé à Paris le 15 mars 2002 par le groupe norvégien Schibsted qui éditait déjà 20 Minutes dans cinq grandes villes européennes2. Ce quotidien gratuit se présente comme « un nouveau média, complémentaire de la presse classique » et dit s’adresser à « une nouvelle génération de lecteurs, habitué à une info synthétique, celle de la télé et de la radio » et qui ne lit pas la presse payante2. « 20 Minutes n’est pas un journal partisan dans le sens où la rédaction n’entre pas dans les polémiques. Notre promesse est celle de la clarté. Pour autant, ce n’est pas un titre neutre », expliquait Elisabeth Cialdella, alors directrice marketing du titre en 20053. Auditionné par le Sénat en 2007, le président de 20 Minutes France à l’époque, Pierre-Jean Bozo définit ainsi la ligne éditoriale : « Nous faisons du « hard news », c’est-à-dire des faits sans commentaires, avec une information brute, des chiffres, des faits et un visuel. Nous ne prenons pas position politiquement, nous laissons le lecteur se forger son opinion à partir des faits. »4 À sa création, en 2002, 20 Minutes compte 55 salariés, dont 26 journalistes2.

À partir de 2004, 20 Minutes est présent à Paris, Lille, Lyon, Marseille, Toulouse, Bordeaux.

En 2007, 20 Minutes lance la version 2.0 du site Internet 20minutes.fr, puis en 2008, son site mobile. En mai 2009, des mesures d’économie annoncées par la direction (projet de plan social et non-renouvellement des CDD) déclenchent une grève au sein de la rédaction5. Celle-ci entraîne la non-parution du journal le jeudi 28 mai et la fermeture d’une partie du site web6,7.

En 2009, 20 Minutes lance sa première application mobile pour iPhone, puis en 2011, seulement quelques mois après la sortie de l’iPad en France, son application pour tablette. En 2009, également, le journal change de directeur de rédaction. Corinne Sorin, nommée à ce poste en août 20078, voit les relations se dégrader avec la rédaction, qui vote une motion de défiance à son égard en 20099. Elle est remplacée par Yvon Mézou, président de la holding professionnelle Bistrots et Comptoirs dont l’hebdomadaire L’Auvergnat de Paris venait de déposer le bilan10,11.

Le 6 décembre 2010, la rédaction de 20 Minutes reçoit le grand prix de la presse internationale 2010, décerné par l’Association de la presse étrangère12.

De 2012 à 2018, la marque s’installe


En 2012, l’année de son 10e anniversaire13, le journal 20 Minutes atteint une audience record de 4,3 millions de lecteurs par jour. En 2012, dix ans après sa création, 20 Minutes emploie près de 100 journalistes14.

Le 1er avril 2013, Acacio Pereira remplace Yvon Mézou en tant que directeur de la rédaction de 20 Minutes15. Il assure la double-casquette de directeur et de rédacteur en chef de la rédaction.

Le mardi 17 décembre 2013, la majorité des journalistes du quotidien se met en grève, avec pour motif la suppression de la moitié du service pré-presse et de l’intégralité du service photo, annoncée la veille et entraînant jusqu’à 13 licenciements16. Il s’agit de la troisième grève que connaît le journal après une première en 2008, liée au renvoi du rédacteur en chef Johan Hufnagel et une deuxième en 2009, en raison d’une organisation visant à supprimer le secrétariat de rédaction17. Cette troisième grève, selon les syndicats SNJ-CGT et SNJ, a été motivée par une « dégradation de l’exigence éditoriale » et par la crainte que « ce titre devienne une marque, un label sans journalistes. Ou juste ce qu’il faut pour assurer un simulacre de crédibilité »18. La grève est levée mercredi 18 décembre, sans que les journalistes obtiennent satisfaction19.

À partir de 2014, un partenariat est signé entre 20 Minutes et le guide culinaire Gault et Millau. Chaque vendredi, une page de l’édition papier est ainsi rédigée par des collaborateurs du Gault et Millau.

En 2014, l’effectif de l’entreprise est de 201 salariés dont une centaine de journalistes.[réf. souhaitée] En juillet 2015, l’un des concurrents de 20 Minutes, le journal Metronews, interrompt sa parution papier, après son rachat par le groupe TF1. 20 Minutes décide alors de se renforcer sur les réseaux sociaux20. 20 Minutes complète aussi sa publication papier par une publication numérique, ce qui fait dire à Olivier Bonsart, en 2014, président et directeur de l’édition française, que 20 Minutes est « un pure player qui édite aussi un journal »21. Multipliant les développements sur le mobile et les réseaux sociaux22, la marque s’est imposée dans le paysage médiatique français en s’adaptant rapidement aux nouveaux usages22. Suivi par près de 2 millions d’inscrits sur Twitter et par plus de 1,7 million de fans sur Facebook, 20 Minutes est le site média français qui génère quotidiennement le plus d’interactions sur les réseaux sociaux (rapport Graphystories, février 2016).

En 2016, 20 Minutes est la deuxième marque de presse la plus puissante en France avec 18,5 millions d’utilisateurs de la marque23 (print, web, mobile et tablette). Le journal 20 Minutes, diffusé dans 11 agglomérations (Paris, Bordeaux, Lille, Lyon, Marseille, Montpellier, Nantes, Nice, Rennes, Strasbourg et Toulouse) demeure le journal le plus lu de France, avec 3,75 millions de lecteurs chaque jour.

En 2016, le groupe Belge Rossel rachète les 49,3 % des parts du Norvégien Schibsted. Rossel est donc co-actionnaire principal en compagnie de SIPA Ouest France qui détient toujours 49,3 % des parts du groupe24.

Ligne éditoriale

 
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20 Minutes définit son projet éditorial ainsi : « Informer sérieusement… sans se prendre au sérieux et vise à «informer sans ennuyer, divertir sans s’égarer » et combine l’humour et un ton décalé, avec un traitement de l’information rigoureux et pertinent ».[1] [archive]

La neutralité du traitement de l’information est une des valeurs fondatrices du journal qui revendique le fait de ne pas être partison ou un journal d’opinion.

La rédaction de 20 Minutes est très engagée dans une démarche de fact checking et la lutte contre les fausses informations, notamment via sa rubrique « Fake Off [archive]« . En 2017, elle a obtenu le label du très restreint IFCN Network [archive].

France-medias décrit la ligne éditoriale de 20 Minutes comme étant un « journalisme mass média aseptisé » correspondant à « une sorte de stratégie populiste visant à fédérer le plus grand nombre par la simple magie de la neutralité cachant le spectre de la vacuité »25.

Identité visuelle (logo)

 

  • Comment la secte des
    Ancien logo de 20 Minutes du 15 mars 2002 au 10 avril 2018.

  • 120px-20_Minutes_2018.svg dans Crime
    Logo de 20 Minutes depuis le 11 avril 2018.

Des controverses


Le mercredi 22 janvier 2014, la une du journal sur le film Twelve Years a Slave déclenche une polémique, en raison de son titre : « Un film coup de fouet »26. Selon le directeur général de SOS Racisme, il s’agit d’« un mauvais jeu de mot » et « l’expression de préjugés mal venus » ; le directeur de la rédaction de 20 Minutes se défend en expliquant que « l’expression vise à manifester le choc ressenti au visionnage du film »27. Deux ans plus tard, le titre lié à l’attentat de Grand Bassam en Côte d’Ivoire, « 14 civils tués dont 4 blancs », est également fortement critiqué sur les réseaux sociaux28.

Une autre polémique agite le site du journal à l’occasion des huitièmes de finale du championnat d’Europe de football en 2016. Un article de 20minutes.fr qualifiant le Portugal de « dégueulasse » dans un titre (« Ce Portugal est dégueulasse mais il est en quarts »), après sa victoire contre la Croatie, le 25 juin 2016, provoque la colère de la communauté portugaise de France29,30. Un titre « provocateur », selon Le Parisien, qui témoigne de la colère des fans de la sélection portugaise jugeant l’expression « raciste » et « blessante »31. Le journaliste à l’origine du titre reçoit des menaces de mort32 et le directeur de la rédaction, reconnaissant toutefois que le titre était « inapproprié », lui apporte son soutien33.

Éditions du journal


Depuis mars 2011, il existe douze éditions en français : une dédiée à onze grandes villes françaises et une édition nationale, pour les villes moyennes (Rouen, Caen, Le Mans, Angers, Tours, Clermont-Ferrand etc.).

Après avoir été lancé à Paris en mars 20022, le journal est disponible dans dix autres grandes villes françaises.


Chaque édition locale bénéficie de contenus adaptés à l’actualité locale en début de journal.

Une version PDF du journal est téléchargeable sur son site.

Formule du journal


Les articles sont organisés en différentes rubriques :

  • Actualité
  • Actualités locales
  • 20 Minutes 20 News
  • Monde
  • Économie
  • Sports
  • Culture
  • People
  • High-Tech
  • Télévision
  • Métiers
  • Pratique

20 Minutes est au format « demi-berlinois », ce qui lui permet d’être plus facilement transportable et lisible, plus particulièrement dans les transports en commun aux alentours desquels se situent la plupart de ses points de distribution.

Diffusion


Pour l’année 2019, la diffusion du journal 20 Minutes atteint une moyenne de 932 307 exemplaires diffusés chaque jour34.

Organisation

 

Dirigeants


Président :
  • août 200135-octobre 200236 : Francis Jaluzot
  • octobre 200236-janvier 200437 : Hervé Pointillart
  • janvier 200437-septembre 201238 : Pierre-Jean Bozo
  • septembre 2012-novembre 201838 : Olivier Bonsart
  • depuis novembre 2018 : Frédéric Daruty

Directeur de la rédaction :
  • mai 200139-août 200740 : Frédéric Filloux
  • août 200740-juillet 200941 : Corinne Sorin
  • juillet 200941 – 31 mars 2013 42 : Yvon Mézou
  • avril 2013 – décembre 2018 : Acacio Pereira
  • à partir de décembre 201843 : Armelle Le Goff

 

Capital


Jusqu’en 2016, 20 Minutes France SAS est détenu à 50 % par Schibsted, l’un des plus grands groupes scandinaves de médias, et par le groupe Sipa Ouest-France (éditeur du 1er quotidien français payant).

Le 7 janvier 2016, Schibsted cède sa participation au capital de 20 Minutes au Groupe Rossel44.

20 Minutes est aujourd’hui codétenu par le groupe SIPA – Ouest-France (50 %, par le biais de ses filiales Spir Communication et Sofiouest qui détiennent un quart du capital chacune)45 et par le Groupe Rossel (50 %).


Évolution du chiffre d’affaires

 

Chiffre d’affaires et résultat (en million d’euros)
Année 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014
Chiffre d’affaires
50,445 49,346 52,446 60,6 58,4 51,5 46,5
EBITDA - 1,745 + 0,745 0,846 346 2,5 1,5 -1,8 0,9

C’est en 2007 que l’activité papier du journal 20 Minutes est pour la première fois rentable47. En 2008, l’ensemble de la société 20 Minutes France le devient à son tour47.

Audience


Avec 18,5 millions d’utilisateurs (print, web, mobile, tablette) chaque mois, 20 Minutes est la deuxième marque de presse d’information la plus consommée en France, après Le Figaro et avant Le Monde48.

Chaque jour, la marque rassemble 5 millions d’utilisateurs sur l’ensemble de ses supports (hors tablette). En termes d’audience, 20 Minutes est la marque de presse d’info no 1 au quotidien.[réf. souhaitée]

La marque sur le numérique

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Cette section ne cite pas suffisamment ses sources (février 2018).

Le site 20minutes.fr est lancé en 200749. Il se classe dès 2011 dans le top 3 des sites d’info français les plus puissants.

En avril 2016, le site de 20 Minutes se classait quatrième parmi les audiences des sites de presse avec plus de 6,5 millions de visiteurs uniques, selon Médiamétrie.

Il est le 3e site Internet d’info généraliste le plus visité en France avec plus de 62 millions de visites totales et plus de 164 millions de pages vues selon les chiffres publiés par l’ACPM50 pour le mois de juin 2016.

Sur mobile, 20 Minutes enregistre 5,6 millions de visiteurs uniques par mois et 2,8 millions de visiteurs uniques sur tablette. Le nombre de mobinautes a été multiplié par 3 en 2 ans. (source : MNR, mars 2016)

Un tiers du trafic numérique de 20 Minutes est issu des réseaux sociaux. (source : ACPM ONE Global 2016 vague 2)

Notes et références

Voir aussi


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Articles connexes

 


Lien externe