En tous les cas, ils ne sont plus abonnés l'un de l'autre sur X / Twitter :
Définitivement sorti de l'école à 14 ans en situation d'échec scolaire, il ne connaît pas grand-chose au système scolaire français.
Les gros QI sont tous sortis d'écoles publiques, celles de la République, ils n'ont pas besoin d'aller dans le privé pour apprendre à bachoter ou se préparer voire s'acheter de bons dossiers pour pouvoir ensuite intégrer les meilleures écoles de l'enseignement supérieur.
Ce sont ses potes et potesses tous très arrivistes qui se sont tous adonnés à ce sport, avec l'aide de leurs parents friqués et dotés de neurones aussi peu performants que les leurs :
- Josette Brenterch et ses soeurs : lycée privé La Retraite, pour jeunes filles de bonnes familles, le plus huppé de la région brestoise, au château de Ker Stears :
https://www.ateliers-dlb.com/lhistoire-du-chateau-de-ker-stears/
- Benoît Hamon, Pierre-Yves Cadalen, Céline Verdier : lycée privé Sainte-Anne, le plus chic après la Retraite pour les jeunes filles, jusqu'à ce qu'il ouvre aussi ses portes aux garçons.
Les gros QI ont généralement des parents eux aussi à gros QI, donc pas assez stupides pour aller payer à leurs enfants des scolarités dans le privé quand ils n'en ont pas besoin, d'autant que les meilleurs lycées sont toujours ceux du public, comme celui que j'ai fait autrefois.
Le psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi et sa piétaille embusquée dans des voitures volées en Allemagne : attention, danger... surtout pour les jeunes filles scolarisées dans le privé, tant cette voie de la réussite l'insupporte...
Etrange...
Il y a encore quelques jours, il en avait 220, puis il en a perdu un, passant à 219 abonnés.
Et entre hier et aujourd'hui, il en a encore perdu 5.
Il lui en reste toutefois encore 214 qui manifestement ne sont toujours pas incommodés par la puanteur de ce type.
J'immortalise le truc à la date d'aujourd'hui, et on verra ce qu'il advient de tous ces abonnés, soit bernés par le mythomane et pervers narcissique Pascal Edouard Cyprien Luraghi, soit très complices de toutes ses saloperies.
N.B. : En janvier 2024, il en avait encore 225 et en avait donc déjà perdu 5 jusqu'à ces derniers temps :
http://satanistique.blogspot.com/2024/01/cyprien-luraghi-abandonne-x-twitter.html
Par ailleurs, on observe que le nombre de ses abonnements a augmenté depuis lors, passant de 124 à 130.
Le pervers a donc conservé une activité sur Twitter, mais elle n'est plus visible, passant très probablement par l'envoi et la réception de messages privés.
Ajout du 6 décembre 2024 à 10h22 : encore un abonné manquant ce matin !
A Brest, on a carrément des magistrats qui organisent des viols...
Et comme ils baignent tous dans le même bain de la corruption, il n'y en aura jamais aucun pour dénoncer quoi que ce soit...
Juste une fois, il y a assez longtemps, un magistrat brestois qui avait la réputation d'être pédophile et de violer quantité d'enfants s'étant un jour piqué de sauter aussi sur une greffière, s'était fait un peu taper sur les doigts : mutation à Nanterre pour deux ans, puis retour dans le Finistère, cette fois à Quimper où il a tranquillement fini sa carrière avec sa femme elle aussi magistrate. Voilà, c'est tout.
Dans le pire des cas, ils sont mutés, comme également l'ultra corrompue Muriel Corre qui s'était fait prendre la main dans le pot de confiture il y a quelques années...
Publié le jeudi 5 décembre 2024
Le Syndicat de la magistrature publie, ce jeudi, une enquête menée auprès des magistrates et magistrats français, sur les violences sexuelles et comportements et propos sexistes au sein de l'institution judiciaire. Si le syndicat précise que ses résultats n'ont pas vocation à relever de l'étude scientifique, il estime que les 525 réponses reçues trahissent "une ambiance générale de sexisme", détaille Nelly Bertrand, secrétaire général du Syndicat de la magistrature. 43% des répondants disent ainsi avoir été victimes et/ou témoins de propos et comportements sexistes ou discriminatoires liés à l'orientation sexuelle, 15% affirment avoir été témoins de violences sexuelles et sexistes, et 9% victimes.
FRANCE INTER : Quel est le principal constat de ce questionnaire que vous avez émis?
NELLY BERTRAND : "Le principal constat de ce questionnaire est une ambiance générale de sexisme, d'homophobie et transphobie dans la magistrature, à l'égard des personnes qui travaillent dans l'institution judiciaire. Et, alors que le questionnaire était orienté uniquement vers les violences sexistes et sexuelles au sein de l'institution judiciaire, nous avons quand même eu des réponses de personnes magistrates témoins de propos sexistes à l'audience ou dans les couloirs à l'encontre des justiciables. La conclusion que l'on en tire est qu'un lien peut être fait entre ce sexisme ambiant dans l'institution et la violence institutionnelle sur les justiciables, notamment lors des audiences de violences sexistes ou sexuelles. Cela fait très largement écho à ce que l'on a entendu avec le procès des viols de Mazan, avec, par exemple, la victimisation secondaire, qui est le fait que, en plus des violences sexistes et sexuelles qui ont été subies par les victimes, le procès soit lui-même une violence supplémentaire, plutôt que de remplir sa fonction initiale qui est une fonction d'apaisement.
Cette violence-là peut advenir de différentes manières au cours de la procédure - notamment par la multiplication de l'explication des faits par la victime à différents acteurs, les examens médicaux légaux, les examens psychologiques - mais aussi les questions qui sont posées par les magistrates et les magistrats qui sont parfois très indélicates, voire empreintes de sexisme. Lutter contre le sexisme dans la magistrature revient donc pour nous à lutter pour un meilleur traitement judiciaire des violences sexistes et sexuelles."
Vous avez reçu de nombreux exemples de comportements ou de propos sexistes. Quels sont ceux qui vous ont marqués ?
"Oui, nous avons eu énormément d'exemples, notamment ce qui est désormais le titre de cette note sur les violences sexuelles dans l'institution judiciaire : "Tu ne te rends pas compte, tout le tribunal a envie de te violer", dit par un magistrat à une autre magistrate. Mais nous avons aussi d'autres types de propos sexistes qui nous ont été dévoilés, comme dans le cadre de grossesses de certaines magistrates, notamment un chef de parquet qui, à l'annonce de la troisième grossesse d'une collègue vice-procureur, avait déclaré : "Quelle belle salope celle-là".
Nous avons également eu des propos homophobes du style : "Elle est gouine, mais elle est compétente quand même" ou "Vous devriez être content. Moi j'accepte de travailler avec un homosexuel". Ainsi que des propos à l'égard des justiciables, comme ce commentaire dans les couloirs au sujet d'une victime de violences conjugales : "Vu comment elle a l'air chiante, on comprend qu'il ait perdu son calme". Cela pose question sur la manière de juger ce type de faits."
Pour en venir aux faits entre magistrats, vous établissez très nettement l'importance du rapport hiérarchique ?
"Nous avons une double tendance qui est ressortie des réponses au questionnaire. D'une part, le fait que les hommes sont beaucoup plus auteurs - à plus de 91 % - de violences sexistes et sexuelles, alors qu'ils ne représentent même pas 25 % des magistrates et magistrats en France. La deuxième tendance est celle d'un rapport de hiérarchie ou d'autorité entre l'auteur et la victime qui est présent dans plus de 70 % des cas. Ce qui nous fait dire qu'il y a une nécessité de former l'ensemble des magistrats pour prévenir les violences sexistes et sexuelles, parce qu'il faut savoir que, dans sa carrière, chaque magistrat et magistrate peut se retrouver en position d'autorité, ne serait-ce que par rapport à une élève magistrate, une juriste assistante par exemple, ou encore une greffière, ou des secrétaires, des adjointes administratives. Nous avons aussi remarqué une sur-dénonciation de faits de la part des auditeurs et auditrices de justice et d'auteurs qui sont des maîtres de stage.
Nous avons, par ailleurs, posé la question aux victimes de savoir si elles avaient ou pas signalé les faits dans l'institution, et avons noté qu'il n'y avait des signalements que dans un quart des cas. Parmi les raisons à cette proportion, il y a le risque de ne pas être cru, de ne pas savoir à qui s'adresser, et également le risque de conséquences sur la carrière."
Une fois le constat posé, que faudrait-il faire, selon le Syndicat de la magistrature ?
"Nous avons fait deux grands axes de propositions. Nous avons évidemment axé sur la formation : celle des auditeurs et auditrices de justice en créant un module spécifique à l'Ecole nationale de la magistrature, mais aussi une formation de l'ensemble des magistrats qui peuvent tous se retrouver dans une position d'autorité à un moment ou à un autre, ou alors en position de témoin ou victime, pour savoir quels sont les ressorts qui lui permettront de dénoncer les faits, notamment si la personne qui est l'autrice est son supérieur hiérarchique. Nous avons également fait des propositions s'agissant des chefs de juridiction, et notamment que les compétences et les connaissances en matière de prévention des violences sexistes et sexuelles soient un critère de recrutement et d'évaluation, ce qui n'est a priori pas le cas actuellement, ou alors très à la marge.
Ce qui est problématique, et que l'on pressentait déjà avant de faire ce questionnaire, dans notre vécu de magistrat, est que nous nous sommes rendu compte que rien n'était mis en place dans l'institution judiciaire pour permettre la dénonciation des faits et ensuite prendre en charge correctement ces faits. Et le questionnaire a permis d'objectiver cela par la sous-dénonciation des faits, par des carences dans le traitement des signalements qui nous ont été dénoncés et par les attentes aussi des magistrates et des magistrats envers l'institution judiciaire, qui sont notamment celles de l'écoute. Pour la prise en charge, nous proposons qu'il y ait des processus de signalement qui soient bien fléchés, ainsi que des propositions sur la protection fonctionnelle des victimes et sur d'éventuelles mesures conservatoires pour que pendant le temps de la procédure au sens large, la personne qui a dénoncé les faits puisse être protégée, parce que la personne qui a dénoncé les faits travaille la plupart du temps avec la personne qui l'a agressée."
Que dire aujourd'hui aux justiciables qui peuvent, face à ce constat, hésiter à se tourner vers la justice quand ils sont victimes de violences sexuelles et sexistes ?
"Ce que l'on peut dire est que, finalement, cette enquête révèle que la société patriarcale va jusqu'à toucher la magistrature. Mais pour relativiser le contenu de la note, des progrès ont quand même été faits sur le traitement judiciaire des violences sexistes et sexuelles depuis la vague #metoo. Par ailleurs, nous espérons que cette note, qui est publiée jeudi, aura vocation à pousser l'institution judiciaire à mettre en place plus de choses pour régler le sexisme dans l'institution judiciaire et protéger ainsi les agentes et les agents et, d'autre part, améliorer le traitement judiciaire des violences sexistes et sexuelles. Pour nous, les deux vont ensemble."
Les nouveaux suspects qui pourraient être inculpés sont encore des membres du personnel de l'hôtel CasaSur Parlermo où séjournait l'artiste.
Notons qu'ils ont pour avocat un Français, Nicolas Durrieu, qui a étudié à l'Université d'Orléans en 2005, où il a pu se lier d'amitié avec l'un des membres éminents de la bande du cybercriminel, pédocriminel et trafiquant de drogue Pascal Edouard Cyprien Luraghi :
https://ar.linkedin.com/in/nicodurrieu?trk=people-guest_people_search-card
Sans compter que le dénommé Philippe Dulauroy, dit Dulconte, Versaillais d'origine installé à Buenos Aires depuis plus de seize ans et lui aussi membre éminent de cette bande de criminels depuis sa constitution en 2008 doit bien aussi être en relation avec cet avocat.
Est-ce bien la raison des nouveaux appels de la bande de criminels à la Direction Interministérielle du Numérique, comme en atteste son passage sur mon blog lundi dernier, 25 novembre 2024, à 9 heures 27 minutes et 35 secondes ?
Lire ou relire à cet égard :
https://satanistique.blogspot.com/2024/11/tiens-une-vieille-connaissance.html
La disparition brutale du chanteur à Buenos Aires, a ému le monde entier. Et alors que ses funérailles ont eu lieu le 20 novembre dernier en Angleterre, sa famille semble déterminée à faire la lumière sur l’accident qui lui a coûté la vie.
Les obsèques de Liam Payne, le 20 novembre dernier à Amersham, en Angleterre, ont bouleversé ses amis les plus proches et sa famille, plus d’un mois après la mort accidentelle du chanteur. Le 16 octobre dernier, l’ex-membre des One Direction a perdu la vie en chutant du balcon d’un hôtel de Buenos Aires, en Argentine, laissant les siens anéantis par la tragédie. Malgré leur immense tristesse, les parents de la star seraient toutefois prêts à tout pour comprendre ce qui a conduit à la mort de leurs fils.
Page Six a ainsi appris que les avocats de la famille de Liam Payne étaient au tribunal en Argentine, ce mardi 26 novembre, et réfléchissaient à intenter une action pénale privée contre toute personne ayant joué un rôle dans le décès du père de Bear. Le média a eu accès à des documents qui montrent que l’avocat Richard Bray a « transféré ses intérêts juridiques à un cabinet d’avocats local à Buenos Aires ». Ce qui signifie que les proches de Payne ont l’intention de suivre avec attention l’avancée de l’enquête et se tiennent prêts à attaquer en justice quiconque serait responsable du drame.
Selon Page Six, ces documents officiels sont les premiers à faire mention de la famille de Liam Payne, comme plaignante dans l’enquête visant à éclaircir les conditions de son décès. Une source a par ailleurs déclaré qu’elle était « sûre à 100 % » que les parents de l’artiste de 31 ans, Geoff et Karen Payne, ainsi que ses frères et sœurs, voudraient « demander justice pour lui ».
Pour rappel, les procureurs en charge de l’affaire ont déjà inculpé deux employés de l’hôtel qui auraient fourni de la drogue à Liam Payne, mais aussi un ami du chanteur pour ne pas lui avoir porté secours alors qu’il montrait des signes de fragilité.
L’ex-chanteur des One Direction, décédé d’une chute du troisième étage de son hôtel à Buenos Aires le 16 octobre, aurait consommé neuf bouteilles de whisky, de la cocaïne et invité deux femmes dans sa chambre avant de tenter de s’enfuir par le balcon.
Les dernières 24 heures de Liam Payne ressemblent à un cauchemar. Les circonstances de sa chute mortelle depuis le balcon de sa chambre d’hôtel à Buenos Aires le 16 octobre restent toujours floues, mais de nouveaux éléments permettent d’éclairer certaines des dernières décisions de l’ex-chanteur des One Direction.
Quelques jours après sa disparition, des analyses toxicologiques avaient détecté la présence d’alcool, de cocaïne rose et d’antidépresseurs dans son organisme. Début novembre, les premières semaines d’investigations avaient amené les autorités à interpeller trois individus soupçonnés d’avoir joué un rôle dans sa mort. Parmi elles, deux employés de l’hôtel CasaSur et son manager Rogelo Nores, qui aurait passé le séjour à ses côtés. Les autorités accusent l’homme « d’abandon de personnes en danger », car il aurait laissé Liam Payne seul, sans surveillance, alors qu’il était vulnérable. Le manager du chanteur nie pourtant toute forme d’implication.
Le site américain TMZ a dévoilé, mardi 26 novembre, certains documents des procureurs. Ils permettent de comprendre pourquoi les soupçons des autorités se sont tournés vers Rogelo Norres. En mai 2024, le père de Liam Payne aurait confié que l’accusé se serait porté volontaire pour « prendre en charge les soins de Liam » et « organiser sa cure de désintoxication », à un moment où il était « essentiel qu’il soit toujours occupé et ne reste jamais seul ». Mais TMZ rapporte que le père du chanteur britannique aurait commencé à s’inquiéter en septembre dernier - soit un mois avant le drame - quand son fils a décidé de renvoyer un de ses gardes du corps. La raison ? Ce dernier aurait « essayé de l’empêcher de se droguer ».
La veille de son décès, vers 22 heures, le chanteur a commandé « quatre bouteilles de whisky », toutes consommées pendant la nuit. Le lendemain, à 6 h 36, il en aurait bu « cinq autres ». Rogelo Norres, aurait reçu un SMS de Liam Payne à 7 heures du matin : « Mec, je crois que je vais me taper une pute ». Et à 9 h 32, il lui aurait demandé de lui « prendre six grammes ». Les autorités pensent alors qu’il faisait référence à de la cocaïne et attestent que le manager se serait rendu à l’hôtel pour le petit-déjeuner, moment où son « protégé » buvait encore du whisky.
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Arrive alors un enchaînement de catastrophes. À 11 h 30, deux prostituées se présentent au CasaSur. Elles confirment aux autorités avoir eu des relations sexuelles avec Liam Payne. « Elles disent qu’il leur a demandé de la cocaïne parce qu’il n’en avait plus, rapporte TMZ. Elles affirment également qu’il s’est mis en colère lorsqu’elles ont demandé à être payées et qu’il a donné trois coups de poing à la télévision. » Rogelo Norres revient à l’hôtel à 15 h 45 pour les payer. Un membre du personnel déclare à 16 heures que le chanteur était « visiblement ivre » et qu’il avait « les pupilles dilatées ». Son manager aurait quitté les lieux à 16 h 04.
« Elles (les prostitués) affirment également qu’il s’est mis en colère lorsqu’elles ont demandé à être payées et qu’il a donné trois coups de poing à la télévision. »
Propos relayés par TMZ
Le personnel de l’hôtel aurait ensuite essayé de le joindre, en vain, car de nombreux bruits émanaient de la chambre de Liam Payne. Inquiet, Rogelo Norres lui aurait envoyé un message à 16 h 25. Un simple « Comment vas-tu ? », auquel le chanteur n’a jamais répondu. C’est pourquoi - entre ses allers-retours et ses textos - le manager se défend d’avoir abandonné son client.
Selon TMZ, l’affaire a été suivie par des procureurs nationaux alors qu’un « juge a décidé que toute affaire d’abandon présumé devait être traitée par les procureurs locaux ». Même si les procureurs locaux n’ont porté pour le moment aucune accusation d’abandon, l’appel du juge a, lui, été rejeté par les procureurs nationaux.
La suite des événements est plus floue. Toujours selon les informations obtenues par TMZ, il semblerait que Liam Payne ait tenté de s’échapper de sa chambre d’hôtel quelques minutes plus tard. « Je savais qu’il menaçait d’utiliser le balcon comme moyen de s’échapper », explique un témoin. Sur les images de vidéosurveillance, Liam Payne semble être dans un état d’énervement extrême alors que trois employés tentaient de la ramener dans sa chambre.
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« Je ne sais pas si sa vie est en danger. Il est dans une chambre avec un balcon, mais nous avons un peu peur... », a déclaré, inquiet, un second témoin au téléphone avec la police. Pourquoi a-t-il voulu prendre la fuite ? TMZ révèle que le chanteur aurait souhaité se rendre sur le balcon de l’étage inférieur afin de quitter les lieux, mais aucune information n’explique les raisons de cette décision, lourde de conséquences. Un sac qu’il portait autour de son épaule a d’ailleurs été trouvé à proximité de son corps, laissant penser qu’il voulait s’enfuir avec ses effets personnels. Les autorités argentines continuent leur enquête afin de connaître les circonstances exactes du drame.
Les proches de Liam Payne vont prendre les choses en main, comme l’a indiqué India Times ce jeudi 28 novembre. De tragiques images du chanteur ont fait le tour des réseaux sociaux et elles ont beaucoup fait parler.
Les fans des One Direction ont beaucoup de mal à s’en remettre. Liam Payne, ancien membre du groupe, est décédé le 16 octobre dernier à l’âge de 31 ans. Selon les premières indications, il aurait fait une chute mortelle depuis le balcon de l’hôtel où il séjournait. Depuis, ce décès a fait le tour des tabloïds mais aussi des réseaux sociaux. A tel point que la famille de Liam Payne va devoir prendre les choses en main, comme l’a indiqué India Times ce jeudi 28 novembre. Des images bouleversantes du chanteur ont été dévoilées, alors qu’elles n’auraient jamais dû être rendues publiques.
Comme le rapporte le média, les proches de Liam Payne, qui sont représentés par Richard Bray, ont transféré les intérêts juridiques à un cabinet d'avocats local à Buenos Aires. Le but est d'ouvrir la voie à un action pénale privée contre le personnel de l'hôtel où le chanteur séjournait. Sur des images, on peut voir les employés porter un Liam Payne qui ne semblait pas du tout être d’accord. Chaque membre lui tient les pieds et les mains, afin de le ramener à sa chambre. Ils avaient notamment évoqué le “comportement problématique” de l’artiste.
Selon les membres de l’hôtel, Liam Payne aurait eu des agissements terrifiants et ils auraient pris la décision de le ramener dans sa chambre. Ce sont deux employés qui ont été accusés de lui avoir fourni de la drogue tandis qu’un de ses proches amis est sous surveillance. Ce dernier est soupçonné de ne pas être intervenu. Ce drame aurait-il pu finalement être évité ? Pour Nicolas Durrieu, l’avocat pénaliste, il était impossible d’abandonner Liam Payne dans le hall de l'hôtel. “Mes clients auraient pu être accusés d'abandon aggravé, passible de peines allant jusqu'à 15 ans”, a-t-il affirmé.
Les proches de Liam Payne n’ont pas l’intention d’abandonner. Ils espèrent obtenir la vérité concernant les faits qui se sont déroulés le 16 octobre dernier. Les dernières images diffusées laissent également penser que le chanteur voulait fuir sa chambre. Pour cela, il serait parti avec sa casquette et sa sacoche, retrouvées à proximité de son corps. Toutefois, alors qu’il était sous l'emprise de stupéfiants, il n’aurait pas réalisé la hauteur et aurait tenté de partir depuis le balcon. Une chute qui lui a été fatale.
En plus de devoir faire face au décès de Liam Payne, les proches du jeune homme tentent de découvrir la vérité. Mais que s’est-il réellement passé le 16 octobre dernier ? Pourquoi le chanteur, qui était sobre depuis plusieurs mois, a-t-il consommé de la drogue ? Une source proche de l’enquête a affirmé que Liam Payne voulait “absolument quitter sa chambre et retourner dans le hall”. Cela expliquerait pourquoi il aurait tenté de passer par le balcon, sans se rendre compte du danger qu’il encourt et de la chute fatale qui était possible.
Geoff & Karen Payne, les parents de Liam, n’ont pas l'intention d’en rester là. Ils ont saisi la justice afin que la lumière soit faite sur cette affaire. En plus d’espérer obtenir des réponses concrètes sur cette fameuse soirée, les proches du chanteur tentent de se reconstruire après cet événement tragique. Même son de cloche pour les fans qui font leur maximum pour que les clichés choquants de leur artiste préféré ne soient plus diffusés. Si Liam Payne était une personnalité publique, respecter ses proches est leur priorité.
par Emelina Dom
Crédits photos : SIPA / Image Press Agency/Sipa USA/
Le mystère s'épaissit autour de la mort de Liam Payne. L'ex-membre des One Direction a trouvé la mort à 31 ans, en chutant du balcon de sa chambre d'hôtel de Buenos Aires, située au troisième étage. Trois personnes ont été arrêtées. Or, la liste de suspects pourrait s'allonger, comme le relaye le Mirror US ce jeudi 28 novembre 2024.
L'enterrement de Liam Payne a brisé le cœur de millions de fans à travers le monde. Les anciens membres des One Direction étaient tous réunis pour un dernier adieu. C'est le 16 octobre dernier que le chanteur britannique a trouvé la mort, après une chute de plus de 40 mètres, depuis le troisième étage de son hôtel de Buenos Aires. Les analyses toxicologiques avaient alors révélé la présence de cocaïne, d'alcool et d'antidépresseurs dans son organisme.
Depuis l'ouverture de l'enquête par les autorités locales, trois personnes ont été arrêtées. Il s'agit de Roger Noore, manager et ami de Liam Payne, ainsi qu'un employé de l'hôtel, soupçonné de lui avoir fourni de la drogue, et un trafiquant de drogue présumé. Plus d'un mois après les faits tragiques, de nouveaux éléments sont venus alimenter l'enquête. En effet, le chanteur aurait tenté de s'échapper de sa chambre par le balcon. Une théorie qui écarterait pour de bon la thèse du suicide.
Peu avant le drame, un employé de l'hôtel avait contacté les secours, alerté par les bruits venant de la chambre de son client. Or, après la publication d'une nouvelle vidéo où trois personnes transportent Liam Payne, inerte, du hall de l'hôtel à sa chambre, les autorités semblent désormais s'intéresser aux employés de l'hôtel CasaSur. C'est du moins ce qu'aurait confié une source proche de l'enquête au média argentin Infobae. Il serait donc "possible" que d'autres personnes soient inculpées dans le drame.
Une information relayée par le média Mirror US ce jeudi 28 novembre 2024. Les enquêteurs ont donc pris une décision significative, avec "l'analyse de l'ordinateur de la réception de l'hôtel". Les téléphones des employés de l'hôtel ont également été saisis. Ce nouveau rebondissement devrait répondre à quelques questions encore floues. Parmi elles, celle-ci : dans son état, pourquoi Liam Payne a-t-il été laissé seul dans sa chambre ? L'enquête devrait révéler si d'autres personnes seront inculpées.
L'enquête sur la mort de Liam Payne continue. Un des suspects a témoigné et a donné sa version des faits.
Un témoignage choc pour l'enquête sur la mort de Liam Payne. Braian Nahuel Paiz est l'une des trois personnes arrêtées par la police argentine. L'homme a affirmé qu'il s'était seulement "détendu" avec la star.
Pour rappel, Liam Payne a fait une chute mortelle du balcon de son hôtel, et l'une des personnes suspectées veut aider les policiers, selon les rapports.
Trois personnes ont été arrêtées suite à la mort du chanteur âgé de 31 ans. Une personne est accusée "d'abandon de personne suivi de mort", un employé de l'hôtel et une troisième personne sont accusés d'avoir fourni des drogues. Ces accusations ont été démenties par les trois suspects. Les enquêteurs et procureurs argentins analysent des preuves pour déterminer les circonstances exactes de son décès. Ce dernier, lors de sa chute du troisième étage, était sous l'influence de substances illégales.
Dans une interview pour le magazine américain US Weekly, Braian Nahuel Paiz, prétendument impliqué et arrêté dans le cadre de cette affaire, a pris la parole. "Je veux tout apporter : mon téléphone, tout ce qui peut contribuer à l'enquête. Je n'ai rien qui puisse me nuire. ... L'autre chose est d'apporter ce que j'ai vu personnellement et ce que j'ai vécu directement."
Braian, un des suspects, a déclaré qu'il n'avait rencontré Liam que deux fois. "Nous nous sommes vus avec Liam, c'était tranquille. On s'est rencontrés, on a écouté de la musique. Il m'a demandé quel genre de musique j'aimais, hip-hop ou dance. Je lui ai répondu 'dance'". Le jeune homme a affirmé avoir rencontré le chanteur dans le cadre de son travail dans un restaurant local. La star des One Direction lui aurait ensuite envoyé un message privé sur Instagram via un compte secondaire.
Il a ensuite rendu visite à Liam dans son hôtel, mais a nié lui avoir fourni des drogues. "Non, on s'est juste vus. La personne qui était là avant moi, je suppose, lui a laissé la boîte de savon et tout ce qui contenait les drogues transportées dans sa chambre." explique-t-il avant de dire que Liam Payne lui a dit de partir avant l'arrivée d'une autre personne. "Je ne sais pas ce qui se passait, ce que c'était. Je m'en suis rendu compte, car j'avais le dos tourné, et il s'est retourné. J'ai réalisé ce qui se passait, je me suis levé, j'ai ouvert la porte et il n'y avait personne." En apprenant la mort du chanteur, le choc a été immense : "C'était vraiment dur. J'étais très triste, je me sentais très mal au travail. ... Ça m'a tout pris."
Le 16 octobre 2024, la planète entière pleurait la perte tragique de Liam Payne, ancien membre du groupe emblématique One Direction. Le jeune homme est décédé à seulement 31 ans. La chute fatale depuis le balcon de sa chambre au troisième étage de l’hôtel CasaSur à Buenos Aires a suscité autant d’émotion que de questions. Aujourd’hui, l’enquête prend un nouveau tournant avec les déclarations inattendues d’un suspect clé, Braian Nahuel Paiz. Ces dernières pourraient jeter une lumière inédite sur les heures précédant le drame. Depuis le décès de Liam Payne, les enquêteurs argentins ne ménagent pas leurs efforts.
Le mystère entourant la disparition d’une précieuse Rolex en or, d’une valeur estimée à 45 000 dollars (environ 40 000 euros), intrigue particulièrement. Selon une source policière citée par La Nacion, « Les images de surveillance confirment que Liam portait cette montre quelques heures avant sa chute fatale », mais elle reste introuvable malgré des fouilles minutieuses.
Les soupçons se sont rapidement portés sur plusieurs individus ayant interagi avec l’artiste dans ses dernières heures. C’est notamment le cas de deux employés de l’hôtel, un fournisseur présumé de stupéfiants et même son propre manager. Les accusations vont de « fourniture de stupéfiants » à « abandon de personne suivi de mort ». Des délits graves passibles de 15 ans de prison. Dans une interview exclusive accordée à US Weekly, Braian Nahuel Paiz, l’un des suspects arrêtés, a décidé de briser le silence.
L’homme, qui aurait rencontré Liam Payne à deux reprises, affirme n’avoir joué aucun rôle dans la fourniture de substances illicites. « Je veux tout apporter : mon téléphone, tout ce qui peut contribuer à l'enquête. Je n'ai rien qui puisse me nuire », a-t-il déclaré. Selon lui, leur première rencontre a eu lieu dans un restaurant où il travaillait. Liam Payne aurait ensuite contacté Braian via un compte Instagram secondaire. Il l’aurait alors invité à lui rendre visite à l’hôtel.
Braian Nahuel Paiz décrit leur rencontre comme paisible : « Nous avons écouté de la musique, parlé de hip-hop et de dance. Il était très détendu. ». Cependant, Braian nie catégoriquement avoir fourni des drogues : « La personne qui était là avant moi lui avait laissé la boîte contenant les substances. Je n’ai rien vu ni touché. Je suis parti avant que quelqu’un d’autre arrive. ». Les révélations de Braian Nahuel Paiz soulèvent de nouvelles interrogations sur les derniers instants de Liam Payne. Les analyses toxicologiques ont confirmé une « polyconsommation d’alcool, de cocaïne et d’antidépresseurs » 72 heures avant sa mort.
Liam Payne lui aurait ensuite demandé de partir avant l’arrivée d’une autre personne. Braiain Nahuel Paiz raconte alors : « Je ne sais pas ce qui se passait, ce que c'était. Je m'en suis rendu compte, car j'avais le dos tourné, et il s'est retourné. J'ai réalisé ce qui se passait, je me suis levé, j'ai ouvert la porte et il n'y avait personne. ». Toutefois, les circonstances exactes restent floues. Braian Nahuel Paiz, quant à lui, se dit profondément choqué par cette tragédie : « C’était vraiment dur. J'étais très triste, je me sentais très mal au travail. Ça m’a bouleversé. ». Ses propos pourraient aider à clarifier certains aspects de cette affaire troublante.
Le mercredi 16 octobre dernier, les fans des One Direction ont appris une terrible nouvelle : le chanteur Liam Payne est mort à l'âge de 31 ans. L'artiste a fait une chute d'une troisième étage de son hôtel en Argentine. Alors que les thèses du suicide et de l'accident ont d'abord été avancées, l'enquête a pris un autre tournant suite à la disparition soudaine d'une montre portée par le chanteur quelques heures avant sa mort.
Dans le cadre de l'enquête, des images de vidéo surveillance ont été visionnées et ont confirmé que le chanteur portait bien une montre de la marque de luxe Rolex. Celle-ci est d'une valeur de 45 000 dollars. Ce qui est l'équivalent de 40 000 euros. Selon une source policière citée par La Nacion, "Les images de surveillance confirment que Liam portait cette montre quelques heures avant sa chute fatale." Une montre qui est introuvable depuis.
Parmi les suspects, il y a plusieurs personnes qui ont vu Liam Payne avant sa mort. À savoir deux employés de l'hôtel, un fournisseur présumé de stupéfiants et son manager. Braian Nahuel Paiz, l’un des suspects arrêtés, a décidé de briser le silence lors d'une interview accordée à US Weekly où il a déclaré : "Je veux tout apporter : mon téléphone, tout ce qui peut contribuer à l'enquête. Je n'ai rien qui puisse me nuire."
Par la suite, il a raconté sa soirée avec Liam Payne : "Nous avons écouté de la musique, parlé de hip-hop et de dance. Il était très détendu. La personne qui était là avant moi lui avait laissé la boîte contenant les substances. Je n’ai rien vu ni touché. Je suis parti avant que quelqu’un d’autre arrive."
De son côté, son ex-femme, l'influenceuse Maya Henry, a aussi pris la parole pour révéler que Liam Payne lui avait envoyé des SMS quelques jours avant sa mort. Des messages dans lesquelles il lui confiait son mal-être et son envie de mettre fin à ses jours.
Au micro du podcast The Internet is Dead, elle a révélé : "Il m'envoyait des messages depuis notre rupture pour me dire : 'Oh je ne vais pas bien.' Il jouait toujours avec la mort et disait : 'Eh bien, je vais mourir. Je ne vais pas bien'. Il y a une fois où j'ai essayé de le faire aider, mais il ne l'a pas accepté. Il envoyait des SMS à ma mère pour lui dire qu'il n'allait pas bien et que je devais le contacter parce que je ne répondais pas (...) Je connais son mode de vie et je sais qu'un jour quelque chose de grave va lui arriver, alors je me dis : 'D'accord, il dit des choses, je dois l'aider parce que si je ne le fais pas, je ne pourrai pas vivre avec moi-même s'il lui arrive quelque chose.'"