Il suffit de chercher un peu pour trouver, ce n’est pas bien compliqué.
Or, donc, mon Chinois de Thaïlande qui a toujours été localisé dans la région de Fuzhou (cf. mes articles des 27 juillet 2014 et suivants y consacrés), où devait se fournir Saïd Kouachi en fausses Nike, n’était autre que le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi, bénéficiant nécessairement de relais sur place.
Par ailleurs, comme nous l’avons déjà vu, celui que j’appelle mon spammeur fou, qui m’a spammée aussi bien dans les commentaires de Petitcoucou jusqu’au 1er novembre 2014 que sur plusieurs adresses de courrier électronique par la suite, était lui-même obsédé par ces articles de contrefaçon venant de Fuzhou.
C’est donc toujours le même personnage ou le même groupe mafieux.
Mais là aussi, j’avais depuis longtemps identifié mes harceleurs de la bande du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi, leur « Konducator » en tête.
http://tpe-contrefacon.e-monsite.com/pages/les-reseaux-de-la-contrefacon.html
Les pays importants de la contrefaçon sont répartis dans l’Asie et le bassin méditerranéen. On va donc détailler quels sont ces pays contrefacteurs.
La Chine fait partie de ces pays importants de la contrefaçon de l’Asie, avec ces consœurs : la Thaïlande et la Corée du Sud qui seront mentionnées ci-dessous.
La Chine est l’un des pays principaux producteur de contrefaçon, certain l’appelle-même « l’Empire de la contrefaçon ». En effet, la Chine est devenue un pays « célèbre » de par ses contrefaçons répandues dans toutes les rues chinoises où l’on trouve des milliers de produits contrefaits, et par ses exportations qu’on estiment être 80% de la contrefaçon mondiale dans les pays étrangers. On peut dire que les contrefaçons de ce pays se retrouvent dans le reste du monde, prêt à faire de la concurrence aux marques de luxe établies dans les plus grandes villes du monde.
De ce fait, la Chine se fait « attaquer » par la Communauté Internationale, qui exerce sur la capitale du pays une pression forte afin que celui-ci règlemente le droit de propriété intellectuelle, qui se trouve être une notion « nouvelle » dans ce pays. De plus, dans la société chinoise il n’est pas mal vu de faire de la contrefaçon, bien au contraire pour les chinois cela relève du partage. Aussi, il existe dans ce pays trois formes de contrefaçon : grossière (de mauvaise qualité), de qualité (usines spécialisées) et identique (vendu sur le marché noir) avec une forte croissance pour celle-ci.
Les marques de luxe les plus souvent contrefaites en Chine se trouvent être la grande entreprise Rolex, celle de Cartier et bien d’autres encore. Plus le produit est de luxe, et plus il sera contrefait. Mais il y a aussi des marques chinoises connues qui se font contrefaire ce qui donne d’elles une mauvaise image et ces marques perdent la confiance de leur consommateur et voient leurs marges diminuer.
On peut également se procurer très facilement de la contrefaçon en Thaïlande, comme dans la ville de Bangkok où les rues sont remplies de produits contrefaits. Il n’y a pas à chercher bien loin, les rues en sont remplies.
Les produits contrefaits, en Thaïlande qui sont principalement le textile, sont affichés à la vue de tous afin d’attirer les touristes et même des autochtones qui s’intéressent aux reproductions de leur marque favorite à bas prix.
Mais comme si cela ne suffisait pas, il existe en Thaïlande des petits commerces se permettant de vendre uniquement de la contrefaçon , et cela légalement. Ce qui peut paraitre le plus choquant pour les individus, ce sont les hypermarchés qui vendent des produits contrefaits comme des lunettes de luxe « Chanel » en tête de gondole, à la vue de tous, avec sur ceux-ci des promotions.
En Corée du Sud, la contrefaçon fait un grand boum industriel en atteignant des sommets, mais cela n’inquiète pas vraiment le gouvernement qui ferme les yeux sur ces pratiques. Elle se trouve être envahie par la contrefaçon chinoise, même si elle a tout de même ses propres produits contrefaits dans tous les domaines. La contrefaçon sud coréenne est spécialisée dans les bijoux contrefaits, mais elle ne se prive pas pour autant de faire du tort à de grandes enseignes comme Vuitton… Quelques exemples, il existe en Corée du Sud des « promotions » sur des initiales telles que LV pour Louis Vuitton, G pour Gucci, C pour Chanel, P pour Prada créant ainsi des produits nouveaux qui n‘existaient pas auparavant (casquette Louis Vuitton, jamais mis en vente et jamais créée par l‘industrie LV)… La qualité est tout autre que les produits thaïlandais, ou encore chinois qui est bien moindre. La contrefaçon coréenne est d’une qualité meilleure et fait attention aux détails, en plus de cela, originale ce qui facilite le développement rapide de cette contrefaçon « naissante » coréenne. La Corée du Sud gère difficilement cette contrefaçon en raison de l’exportation par les nombreux touristes qui la revendente dans leurs pays d’accueil.
Les pays du bassin méditerranéen sont également présents dans la contrefaçon de produits de luxe, comme le Maroc.
Le Maroc n’est pas spécialement un pays contrefacteur mais plutôt un pays importateur de produits contrefaits qui proviennent de pays asiatiques comme la Chine ou encore Taïwan, celui-ci se retrouve envahit par la contrefaçon de pays asiatiques. La qualité diffère, en effet, les moyens mis en œuvre au Maroc sont pauvres et rares, souvent artisanales alors que la Chine obtient des moyens plus importants et a même des usines spécialisées dans la contrefaçon. De ce fait, le Maroc n’a pas le même rôle important que la Chine, par exemple. Mais il reste malgré tout l’un des pays de la contrefaçon, dans le bassin méditerranéen. Le Maroc n’est donc pas, comme on pourrait le croire « le berceau de la contrefaçon ».
Le Maroc n’est pas seul pays contrefacteur du bassin méditerranéen, en effet, il y a également l’Italie. C’est un pays européen qui a une importante économie. Malgré cela, il est l’un des pays les plus importants de contrefaçon. Cette petite botte qu’est l’Italie s’est spécialisée dans la maroquinerie. Mais, le pays ne s’arrête pas qu’aux sacs en cuir… Comme tout autre pays contrefacteur il touche à toute sorte de contrefaçon. Il contrefait également leur propre marque de vêtements de luxe comme Fendi, Versace… Ces contrefaçons sont « faciles » d’accès pour tous pays faisant partie de l’Union Européenne qui « ouvre » les frontières aux membres de cette Union. De ce fait, il est plus facile pour un français de revenir dans son pays avec un sac Prada flambant neuf contrefait « made in Italy » en passant une frontière simplement surveillé par la douane, que de s’envoler avec des produits contrefaits en avion dans un autre pays ne faisant pas partie de l’Union Européenne.
Mais les gouvernements asiatiques commencent à se pencher sur l’idée de diminuer cette production illégale et nuisible. Pour cela, des pays tels que le Japon, Taiwan et même la Chine mettent des moyens en œuvre afin de l’arrêter.
Le Japon fait partie des pays où la contrefaçon est en voit de diminution, avec de nombreux contrôles par les douanes effectuées qui ont doublés, même si les saisies restent stables. Les autorités de police faisant leur travail correctement, la contrefaçon commence à se faire de plus en plus clandestinement ce qui peut s’avérer être « grave » pour le mouvement de baisse de produits contrefaits dans ces pays. Etant donné que les japonais sont friands de contrefaçon avec plus d’un million d’articles saisis en 2007, la lutte sera difficile. Il existe même à présent des unités spécialisées afin d’agir contre ce genre de délit.
La police forme une cinquantaine d’enquêteurs sur trois marques de luxe très souvent contrefaits comme Louis-Vuitton, Hermès et Rolex afin de distinguer ces produits contrefaits mis en vente par un commerçant. Les ventes sur le marché, dans des petits magasins spécialisés existent toujours mais reste plutôt rare à voir. De plus, afin de diminuer la contrefaçon, les entreprises copiées se retrouvent à faire des contrôles de sécurité à leur façon. Par exemple, à présent pour se connecter sur un compte Yahoo il faudra avoir obtenu un code d’identification.
Grace à l’outil internet les japonais sécurisent davantage leurs sites d’achats en ligne. En effet, au Japon un site vendant plus de vingt produits se retrouve être un commerçant et doit s’identifier auprès d’une entreprise appelée METI. Ce qui fait que les commerçants fraudeurs japonais sont moins présent sur le net.
La Chine quant à elle a mis en œuvre en 2007 un plan d’action mêlant douane européenne et douane chinoise sur la protection des droits de propriété intellectuelle. Pour cela le pays doit faire attention aux contrefaçons en regardant la qualité du produit, ainsi que les détails parfois petits à voir.
http://www.contrefacon-riposte.info/la-contrefacon/573-dou-viennent-les-contrefacons-chinoises
Écrit par CR36-37 le 26 septembre 2008. Rubrique: Contrefaçon
Tenter de cerner l’origine de la contrefaçon chinoise est un réel défi, tant elle est omniprésente dans tous les secteurs d’activité. Pignon sur rue.
Premier constat, la contrefaçon ne concerne pas que les grandes marques à forte notoriété, mais tous les produits de la vie courante, même bas de gamme. Ce qui fait dire au commissaire Philippe Ménard de la PJ que « la lutte contre la contrefaçon est une activité de mineur car plus l’on creuse, plus l’on trouve », mais impossible dans ces conditions de faire le portait robot du contrefacteur type.
Globalement les grandes marques implantées depuis longtemps en Chine, avec des unités de productions, sont mieux armées pour identifier les contrefacteurs et faire valoir leurs droits. Encore que les exemples de Schneider Electric et de Danone montrent qu’elles ne sont pas à l’abri de déboires avec leurs partenaires chinois. Les contentieux liés à la propriété intellectuelle tendent à se durcir, mais pour les grandes marques ceux-ci se traitent devant les tribunaux car ils concernent des entreprises qui ont « pignon sur rue ».
Évidemment, les contrefacteurs sont d’autant plus faciles à identifier qu’ils ont besoin d’usines et d’équipements lourds pour produire en série. C’est notamment le cas dans les domaines de l’automobile, de l’électrotechnique, de l’électroménager (voir ci-après l’article sur le Groupe SEB).
En revanche dans beaucoup d’autres secteurs, comme le textile, le jouet, la maroquinerie, les médicaments, les spiritueux, la plomberie-robinetterie… la contrefaçon émane d’une multitude de PME. Il peut aussi s’agir d’une contrefaçon rampante et souterraine, à base d’activité non déclarée faisant appel au travail clandestin. Dans ce cas, il y a de réelles difficultés d’enquête pour accumuler des preuves et remonter les filières. L’efficacité des moyens d’action légaux devient alors plus aléatoire.
> Spécialités régionales
La surveillance des foires et salons régionaux permet de concentrer les actions sur les acteurs (fabricants, sous-traitants, grossistes) les plus importants avec comme priorité le retrait effectif des marchandises du marché — ce qui n’est pas toujours facile à obtenir — et dans une moindre mesure la destruction des outils de production.
Ainsi, la région de Canton est spécialisée dans le textile ; celle de Fuzhou dans les chaussures ; Ningbo dans la plasturgie ; Shanghai et Tianjin dans les industries électriques… Dans son livre sur l’économie de la contrefaçon (1), Tim Philips précise en outre que la ville de Chaosan, dans la province de Guangdong, est connue pour ses contrefaçons de produits pharmaceutiques, électroniques, cigarettes et CD. La ville de Wenzhou et le delta de Pearl River sont spécialisés dans les pièces automobiles ; la région de Yuxiao est experte dans la fabrication de fausses cigarettes et la ville de Jintan dans les pesticides. Quant au complexe China Small Commodities City de Yiwu, à 5 heures de voiture de Shanghai, c’est le temple de la contrefaçon. Ce marché permanent réunit 200 000 acheteurs, 30 000 grossistes et 3 500 distributeurs qui proposent environ 100 000 produits ; 2 000 tonnes de marchandises sont écoulées chaque jour. L’unité de base des commandes étant le container.
> Filtrer les sorties
Dans tous les cas, il faut privilégier les bonnes relations avec les administrations centrales et locales. Un gage d’efficacité supplémentaire serait même, pour obtenir de bons résultats sur le terrain, d’embaucher d’anciens fonctionnaires Chinois connaissant bien les arcanes administratifs. Dans ce contexte, il ne faut pas hésiter à former les douaniers et à déposer des demandes d’intervention. Le problème est que la douane chinoise est débordée. Elle gère plus de 11 000 demandes d’intervention et contrôle plus de 400 points de sortie.
L’important est donc, selon la nature des marchandises, de cibler l’action sur les ports et aéroports les plus importants. Citons notamment pour le maritime : Tianjin, Quingdao, Shanghai, Ningbo, Xiamen, Wenzhou, Shenzhen. <
Philippe Collier
http://www.sourcejuice.com/1218868/2007/07/19/Fujian-Fuzhou-douanes-saisi-produits-contrefa%C3%A7on-premi%C3%A8re-moiti%C3%A9/fr/
2007-07-19
http://www.sourcejuice.com/1482200/2011/10/28/Fuzhou-police-d%C3%A9truire-Taobao-magasin-vente-faux-r%C3%A9seaux-criminels/fr/
2011-10-28
http://www.portail-ie.fr/article/1187/La-contrefacon-en-Chine-une-arme-contre-l-Occident
Les romains copiaient le vin grec. Les premières cotonnades indiennes s’inspiraient du textile européen. La contrefaçon est un procédé millénaire, partie intégrante du développement des échanges économiques. Attractive, de qualité variable, la contrefaçon attire les clients par un prix caractéristiquement plus faible que l’original et atteint tous les domaines : des produits de grande consommation aux médicaments.
L’ouverture des frontières et des marchés dans les années 1980, puis l’apparition d’internet ont permis un accroissement des volumes de contrefaçon échangés donnant aux contrefacteurs un terrain de jeu mondial. La contrefaçon provient à 90% de l’Asie du Sud-Est, et la Chine y joue un rôle central[i]. De par son rôle « d’usine du monde », de nombreuses entreprises occidentales sont attirées par la main d’œuvre peu onéreuse et la qualité d’encadrement managérial du personnel. La Chine s’est ainsi spécialisée dans la sous-traitance de production au point que des entreprises comme IBM ont revendu à leurs fournisseurs la partie « hardware » de leurs activités sous la marque Lenovo.
Pourtant, si la délocalisation de l’appareil productif accroît la rentabilité des entreprises occidentales qui s’y adonnent, elle incite aussi la Chine à produire la majorité des contrefaçons dans le monde. « De l’industrie lourde au bâtiment en passant par l’horlogerie, le constat des professionnels est unanime : plus aucun produit n’est aujourd’hui épargné par les copieurs »[ii].
« Du produit au service » : le modèle évolutif de la contrefaçon Chinoise
La Chine s’est inspirée du modèle japonais de rattrapage technologique en copiant les produits occidentaux. Ce rattrapage est effectué sur tous types de produits allant désormais jusqu’à la haute technologie et aux services. La Chine a bénéficié pour cela de transferts de connaissance afin d’assurer la réalisation de produits finis de plus en plus complexes. Elle n’a pas eu à supporter la majorité des coûts de R&D pour rattraper le standard de ses donneurs d’ordre occidentaux. Ses usines demeurant très rentables et son marché intérieur très attirant pour de nombreux investisseurs, le risque de voir ses marques copiées a trop vite été relativisé.
D’après le rapport UNIFAB portant sur la lutte contre la contrefaçon il y a eu trois étapes au business modèle de la contrefaçon en Chine.
Tout d’abord une production localisée à Hong-Kong jusqu’en 1984. Le financement provenait de sources mafieuses. S’il y avait des ateliers produisant du faux en Chine ils étaient réprimés par le Parti Communiste., l’essentiel de la production était revendu dans des pays tiers comme la Thaïlande ou l’Indonésie à de riches touristes japonais qui achetaient des copies de semi-luxe. Puis la contrefaçon en Chine a évolué au tournant du 21ème siècle.
Avec la réintégration de Hong-Kong, les financements et les savoir-faire entrainèrent une massification de la production de la contrefaçon. Le développement de la société de consommation avec le socialisme de marché a diversifié les produits copiés (DVD, montres de luxe, logiciels etc). Le Parti communiste Chinois a cessé dans les faits de réprimer la contrefaçon pour l’encourager.
La troisième phase, plus récente, présente non seulement un accroissement en quantités exportées, grâce notamment à internet, mais encore en copiant les services qui accompagnent la vente de produits de prestige. La Chine imite désormais le conseil de vente dans la copie d’enseigne de luxe, ou la reproduction à l’identique de restaurants occidentaux ce qui comprend autant d’approcher la réalisation de plats que la qualité du service en salle.
Il ne s’agit plus de copier la marchandise, mais aussi l’image de marque et le service client. A ce sujet, Madame Sylvie Zawadzki[iii] a confirmé que le service juridique d’Hermès effectuait des enquêtes en Chine et déposait des plaintes régulièrement auprès des autorités chinoises.
L’enjeu central de la défense de la propriété intellectuelle
En adhérant à l’OMC, le gouvernement chinois a pris l’engagement de lutter contre la contrefaçon : c’est ainsi que les actualités chinoises annoncent régulièrement l’arrestation de certains producteurs délictueux[iv]. Pourtant, la part de la contrefaçon chinoise dans la contrefaçon mondiale demeure inchangée depuis 15 ans autour de 80%. On peut penser qu’il n’y a pas de réelle volonté chinoise de défendre la propriété des marques étrangères malgré ses déclarations ; et ce d’autant plus que le criminologue He Bingsong dénonce l’implication du crime organisé à tous niveaux de l’appareil politique chinois.
Une enquête réalisée en 2007 par le cabinet Pricewaterhouse Coopers auprès de 5 400 entreprises à travers 40 pays a montré que la contrefaçon leur avait coûté, en moyenne, plus de 1,9 million de dollars de pertes entre 2005 et 2007[v] (soit 1,5 million d’euros) et environ 6 milliards de pertes par an pour les entreprises françaises[vi].
La perte globale pour l’économie américaine se situerait entre 200 et 250 milliards de dollars par an (soit entre 184 et 228 milliards d’euros), chiffres avancés par l’IACC[vii]. Pour l’Union Européenne, il faut ajouter les pertes fiscales estimées à 230 millions d’euros dues à l’introduction de cigarettes.
Madame Zawadzki souligne que la distribution de matériel défectueux sous des marques connues et de confiance entraîne une défiance de la part des consommateurs qui ne savent pas toujours si le produit acheté est une contrefaçon. Les consommateurs ne sachant pas toujours faire la différence entre la copie et l’original associent la piètre qualité du produit acheté à celle de la marque officielle.
Cela devient même dangereux quand cela concerne, par exemple, du matériel automobile ou des médicaments[viii].
Une estimation des douanes étatsuniennes évalue la perte d’emplois à 750 000 postes à cause des contrefaçons et à 80 000 par an en France selon une étude du SESSI[ix].
Madame Zawadzki suggère l’harmonisation des normes internationales de la propriété industrielle. Cette démarche reposerait sur la concertation autour de principes communs et la réciprocité des pratiques. Les grandes marques emploient différents moyens pour décourager la contrefaçon. D’après un rapport de l’INHESJ[x], l’association pouvoirs publiques et entreprises privées augmentent les risques pénaux encourus par les contrefacteurs, qui se reportent sur le prix de vente. Les consommateurs de produits contrefaits arbitrant entre une contrefaçon dont le prix se rapproche de l’original et celui-ci, sont tentés de préférer ce dernier.
Des grandes marques de luxe optent pour une démarche différente. Hermès par exemple, en lançant la marque de luxe Shang Xia, produite entièrement en Chine avec des matières locales, associe le tissu économique chinois à la défense d’une nouvelle marque locale. Si Madame Zawadzki remarque que la qualité de certaines contrefaçons progresse, elle demeure encore loin de leurs originaux. Elle estime que la contrefaçon en Chine s’arrêtera quand elle aura des marques propres avec une forte image à défendre à l’international et sera copiée à son tour.
L’intelligence économique est un outil essentiel dans la lutte contre la contrefaçon. Les PME et ETI doivent faire appel aux cabinets spécialisés afin d’être conseillées dans le choix de leurs associés. Une démarche de due diligence sérieuse garantit d’une part, que les fournisseurs n’aient pas d’antériorité de contrefaçon et d’autre part, que la réputation des investisseurs chinois dans la joint-venture soit correcte.
Nicolas SMEETS
Catégorie : Géoéconomie
Dernière modification le 06/03/15
Egalement à lire :
http://www.marketing-chine.com/analyse-marketing/la-contrefacon-en-chine
http://www.marketing-chine.com/culture-chine/les-copies-contrefacons-sont-une-menace-pour-les-marques-chinoises
Or, donc, mon Chinois de Thaïlande qui a toujours été localisé dans la région de Fuzhou (cf. mes articles des 27 juillet 2014 et suivants y consacrés), où devait se fournir Saïd Kouachi en fausses Nike, n’était autre que le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi, bénéficiant nécessairement de relais sur place.
Par ailleurs, comme nous l’avons déjà vu, celui que j’appelle mon spammeur fou, qui m’a spammée aussi bien dans les commentaires de Petitcoucou jusqu’au 1er novembre 2014 que sur plusieurs adresses de courrier électronique par la suite, était lui-même obsédé par ces articles de contrefaçon venant de Fuzhou.
C’est donc toujours le même personnage ou le même groupe mafieux.
Mais là aussi, j’avais depuis longtemps identifié mes harceleurs de la bande du malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi, leur « Konducator » en tête.
http://tpe-contrefacon.e-monsite.com/pages/les-reseaux-de-la-contrefacon.html
Les réseaux de la contrefaçon
Les pays importants de la contrefaçon sont répartis dans l’Asie et le bassin méditerranéen. On va donc détailler quels sont ces pays contrefacteurs.
La Chine fait partie de ces pays importants de la contrefaçon de l’Asie, avec ces consœurs : la Thaïlande et la Corée du Sud qui seront mentionnées ci-dessous.
La Chine est l’un des pays principaux producteur de contrefaçon, certain l’appelle-même « l’Empire de la contrefaçon ». En effet, la Chine est devenue un pays « célèbre » de par ses contrefaçons répandues dans toutes les rues chinoises où l’on trouve des milliers de produits contrefaits, et par ses exportations qu’on estiment être 80% de la contrefaçon mondiale dans les pays étrangers. On peut dire que les contrefaçons de ce pays se retrouvent dans le reste du monde, prêt à faire de la concurrence aux marques de luxe établies dans les plus grandes villes du monde.
De ce fait, la Chine se fait « attaquer » par la Communauté Internationale, qui exerce sur la capitale du pays une pression forte afin que celui-ci règlemente le droit de propriété intellectuelle, qui se trouve être une notion « nouvelle » dans ce pays. De plus, dans la société chinoise il n’est pas mal vu de faire de la contrefaçon, bien au contraire pour les chinois cela relève du partage. Aussi, il existe dans ce pays trois formes de contrefaçon : grossière (de mauvaise qualité), de qualité (usines spécialisées) et identique (vendu sur le marché noir) avec une forte croissance pour celle-ci.
Les marques de luxe les plus souvent contrefaites en Chine se trouvent être la grande entreprise Rolex, celle de Cartier et bien d’autres encore. Plus le produit est de luxe, et plus il sera contrefait. Mais il y a aussi des marques chinoises connues qui se font contrefaire ce qui donne d’elles une mauvaise image et ces marques perdent la confiance de leur consommateur et voient leurs marges diminuer.
On peut également se procurer très facilement de la contrefaçon en Thaïlande, comme dans la ville de Bangkok où les rues sont remplies de produits contrefaits. Il n’y a pas à chercher bien loin, les rues en sont remplies.
Les produits contrefaits, en Thaïlande qui sont principalement le textile, sont affichés à la vue de tous afin d’attirer les touristes et même des autochtones qui s’intéressent aux reproductions de leur marque favorite à bas prix.
Mais comme si cela ne suffisait pas, il existe en Thaïlande des petits commerces se permettant de vendre uniquement de la contrefaçon , et cela légalement. Ce qui peut paraitre le plus choquant pour les individus, ce sont les hypermarchés qui vendent des produits contrefaits comme des lunettes de luxe « Chanel » en tête de gondole, à la vue de tous, avec sur ceux-ci des promotions.
En Corée du Sud, la contrefaçon fait un grand boum industriel en atteignant des sommets, mais cela n’inquiète pas vraiment le gouvernement qui ferme les yeux sur ces pratiques. Elle se trouve être envahie par la contrefaçon chinoise, même si elle a tout de même ses propres produits contrefaits dans tous les domaines. La contrefaçon sud coréenne est spécialisée dans les bijoux contrefaits, mais elle ne se prive pas pour autant de faire du tort à de grandes enseignes comme Vuitton… Quelques exemples, il existe en Corée du Sud des « promotions » sur des initiales telles que LV pour Louis Vuitton, G pour Gucci, C pour Chanel, P pour Prada créant ainsi des produits nouveaux qui n‘existaient pas auparavant (casquette Louis Vuitton, jamais mis en vente et jamais créée par l‘industrie LV)… La qualité est tout autre que les produits thaïlandais, ou encore chinois qui est bien moindre. La contrefaçon coréenne est d’une qualité meilleure et fait attention aux détails, en plus de cela, originale ce qui facilite le développement rapide de cette contrefaçon « naissante » coréenne. La Corée du Sud gère difficilement cette contrefaçon en raison de l’exportation par les nombreux touristes qui la revendente dans leurs pays d’accueil.
Les pays du bassin méditerranéen sont également présents dans la contrefaçon de produits de luxe, comme le Maroc.
Le Maroc n’est pas spécialement un pays contrefacteur mais plutôt un pays importateur de produits contrefaits qui proviennent de pays asiatiques comme la Chine ou encore Taïwan, celui-ci se retrouve envahit par la contrefaçon de pays asiatiques. La qualité diffère, en effet, les moyens mis en œuvre au Maroc sont pauvres et rares, souvent artisanales alors que la Chine obtient des moyens plus importants et a même des usines spécialisées dans la contrefaçon. De ce fait, le Maroc n’a pas le même rôle important que la Chine, par exemple. Mais il reste malgré tout l’un des pays de la contrefaçon, dans le bassin méditerranéen. Le Maroc n’est donc pas, comme on pourrait le croire « le berceau de la contrefaçon ».
Le Maroc n’est pas seul pays contrefacteur du bassin méditerranéen, en effet, il y a également l’Italie. C’est un pays européen qui a une importante économie. Malgré cela, il est l’un des pays les plus importants de contrefaçon. Cette petite botte qu’est l’Italie s’est spécialisée dans la maroquinerie. Mais, le pays ne s’arrête pas qu’aux sacs en cuir… Comme tout autre pays contrefacteur il touche à toute sorte de contrefaçon. Il contrefait également leur propre marque de vêtements de luxe comme Fendi, Versace… Ces contrefaçons sont « faciles » d’accès pour tous pays faisant partie de l’Union Européenne qui « ouvre » les frontières aux membres de cette Union. De ce fait, il est plus facile pour un français de revenir dans son pays avec un sac Prada flambant neuf contrefait « made in Italy » en passant une frontière simplement surveillé par la douane, que de s’envoler avec des produits contrefaits en avion dans un autre pays ne faisant pas partie de l’Union Européenne.
Mais les gouvernements asiatiques commencent à se pencher sur l’idée de diminuer cette production illégale et nuisible. Pour cela, des pays tels que le Japon, Taiwan et même la Chine mettent des moyens en œuvre afin de l’arrêter.
Le Japon fait partie des pays où la contrefaçon est en voit de diminution, avec de nombreux contrôles par les douanes effectuées qui ont doublés, même si les saisies restent stables. Les autorités de police faisant leur travail correctement, la contrefaçon commence à se faire de plus en plus clandestinement ce qui peut s’avérer être « grave » pour le mouvement de baisse de produits contrefaits dans ces pays. Etant donné que les japonais sont friands de contrefaçon avec plus d’un million d’articles saisis en 2007, la lutte sera difficile. Il existe même à présent des unités spécialisées afin d’agir contre ce genre de délit.
La police forme une cinquantaine d’enquêteurs sur trois marques de luxe très souvent contrefaits comme Louis-Vuitton, Hermès et Rolex afin de distinguer ces produits contrefaits mis en vente par un commerçant. Les ventes sur le marché, dans des petits magasins spécialisés existent toujours mais reste plutôt rare à voir. De plus, afin de diminuer la contrefaçon, les entreprises copiées se retrouvent à faire des contrôles de sécurité à leur façon. Par exemple, à présent pour se connecter sur un compte Yahoo il faudra avoir obtenu un code d’identification.
Grace à l’outil internet les japonais sécurisent davantage leurs sites d’achats en ligne. En effet, au Japon un site vendant plus de vingt produits se retrouve être un commerçant et doit s’identifier auprès d’une entreprise appelée METI. Ce qui fait que les commerçants fraudeurs japonais sont moins présent sur le net.
La Chine quant à elle a mis en œuvre en 2007 un plan d’action mêlant douane européenne et douane chinoise sur la protection des droits de propriété intellectuelle. Pour cela le pays doit faire attention aux contrefaçons en regardant la qualité du produit, ainsi que les détails parfois petits à voir.
http://www.contrefacon-riposte.info/la-contrefacon/573-dou-viennent-les-contrefacons-chinoises
D’où viennent les contrefaçons chinoises ?
Écrit par CR36-37 le 26 septembre 2008. Rubrique: Contrefaçon
Tenter de cerner l’origine de la contrefaçon chinoise est un réel défi, tant elle est omniprésente dans tous les secteurs d’activité. Pignon sur rue.
Premier constat, la contrefaçon ne concerne pas que les grandes marques à forte notoriété, mais tous les produits de la vie courante, même bas de gamme. Ce qui fait dire au commissaire Philippe Ménard de la PJ que « la lutte contre la contrefaçon est une activité de mineur car plus l’on creuse, plus l’on trouve », mais impossible dans ces conditions de faire le portait robot du contrefacteur type.
Globalement les grandes marques implantées depuis longtemps en Chine, avec des unités de productions, sont mieux armées pour identifier les contrefacteurs et faire valoir leurs droits. Encore que les exemples de Schneider Electric et de Danone montrent qu’elles ne sont pas à l’abri de déboires avec leurs partenaires chinois. Les contentieux liés à la propriété intellectuelle tendent à se durcir, mais pour les grandes marques ceux-ci se traitent devant les tribunaux car ils concernent des entreprises qui ont « pignon sur rue ».
Évidemment, les contrefacteurs sont d’autant plus faciles à identifier qu’ils ont besoin d’usines et d’équipements lourds pour produire en série. C’est notamment le cas dans les domaines de l’automobile, de l’électrotechnique, de l’électroménager (voir ci-après l’article sur le Groupe SEB).
En revanche dans beaucoup d’autres secteurs, comme le textile, le jouet, la maroquinerie, les médicaments, les spiritueux, la plomberie-robinetterie… la contrefaçon émane d’une multitude de PME. Il peut aussi s’agir d’une contrefaçon rampante et souterraine, à base d’activité non déclarée faisant appel au travail clandestin. Dans ce cas, il y a de réelles difficultés d’enquête pour accumuler des preuves et remonter les filières. L’efficacité des moyens d’action légaux devient alors plus aléatoire.
> Spécialités régionales
La surveillance des foires et salons régionaux permet de concentrer les actions sur les acteurs (fabricants, sous-traitants, grossistes) les plus importants avec comme priorité le retrait effectif des marchandises du marché — ce qui n’est pas toujours facile à obtenir — et dans une moindre mesure la destruction des outils de production.
Ainsi, la région de Canton est spécialisée dans le textile ; celle de Fuzhou dans les chaussures ; Ningbo dans la plasturgie ; Shanghai et Tianjin dans les industries électriques… Dans son livre sur l’économie de la contrefaçon (1), Tim Philips précise en outre que la ville de Chaosan, dans la province de Guangdong, est connue pour ses contrefaçons de produits pharmaceutiques, électroniques, cigarettes et CD. La ville de Wenzhou et le delta de Pearl River sont spécialisés dans les pièces automobiles ; la région de Yuxiao est experte dans la fabrication de fausses cigarettes et la ville de Jintan dans les pesticides. Quant au complexe China Small Commodities City de Yiwu, à 5 heures de voiture de Shanghai, c’est le temple de la contrefaçon. Ce marché permanent réunit 200 000 acheteurs, 30 000 grossistes et 3 500 distributeurs qui proposent environ 100 000 produits ; 2 000 tonnes de marchandises sont écoulées chaque jour. L’unité de base des commandes étant le container.
> Filtrer les sorties
Dans tous les cas, il faut privilégier les bonnes relations avec les administrations centrales et locales. Un gage d’efficacité supplémentaire serait même, pour obtenir de bons résultats sur le terrain, d’embaucher d’anciens fonctionnaires Chinois connaissant bien les arcanes administratifs. Dans ce contexte, il ne faut pas hésiter à former les douaniers et à déposer des demandes d’intervention. Le problème est que la douane chinoise est débordée. Elle gère plus de 11 000 demandes d’intervention et contrôle plus de 400 points de sortie.
L’important est donc, selon la nature des marchandises, de cibler l’action sur les ports et aéroports les plus importants. Citons notamment pour le maritime : Tianjin, Quingdao, Shanghai, Ningbo, Xiamen, Wenzhou, Shenzhen. <
Philippe Collier
http://www.sourcejuice.com/1218868/2007/07/19/Fujian-Fuzhou-douanes-saisi-produits-contrefa%C3%A7on-premi%C3%A8re-moiti%C3%A9/fr/
Fujian, Fuzhou des douanes ont saisi des produits de contrefaçon dans la première moitié plus d’un millier de dollars en
2007-07-19
J’ai appris de Fuzhou des douanes et droits indirects, dans la
première moitié de cette année, la douane Fuzhou saisi un total de 157
cas d’infraction présumée, la valeur totale des cas, 11,79 millions de
yuans, 793,000 entrée et de sortie intercepter les produits contrefaits.
Selon le directeur de Zheng Zhentai législation douanière Fuzhou
introduit dans la première moitié de l’enquête douanière en matière de
propriété intellectuelle sont pour la plupart des cas de contrefaçon de
marque alléguée, un total de 146, représentant 93% du nombre total de
cas impliquant des « NIKE », « Adidas », « Motorola » , « LV »,
« Chanel », « Panasonic », « pigeons » et 41 autres types de produits
nationaux et étrangers bien connus de la marque, les produits visés sont
principalement des chaussures de sport, des pompes, des vêtements,
ampoules électriques, les fausses cigarettes, sacs à main et ainsi de
suite. En outre, à découvert 11 cas de cas de droits d’auteur présumé
d’infraction, de biens, avec les disques optiques pirates.
Selon l’analyse, à l’exécution contre la violation de l’intensité accrue de l’entrée actuelle et cas d’infraction de sortie a montré un certain nombre de nouvelles fonctionnalités.
Canaux postal, augmenter le nombre de cas d’infraction, en violation des articles apparaissent petits prix élevés des électroniques produits high-tech. Enfermé dans la première moitié de la chaîne du courrier pour un total de 140 cas d’infraction à découvert depuis, ce qui représente 89% du nombre total de cas, a considérablement augmenté. En plus de la valise commun marchandises contrefaites, des montres, des CD, des chaussures de sport, lunettes et autres produits majeurs, a commencé à MP3, MP4, accessoires de téléphonie mobile, les accessoires informatiques et d’autres petits prix élevés des électroniques produits high-tech.
Contrefaçon de marchandises, transport canaux, en mettant l’accent sur les chaussures vêtements et les chapeaux, essentiellement semblable à la contrefaçon de marque. Contrefaçon des biens, des vêtements et des chaussures de casquettes au total se chiffrait à près de RMB, soit pour la navigation des canaux, le cas de procédures d’infraction de la valeur totale de 90%. Des cas de contrefaçon de marques ont révélé des cas similaires de chaînes de transport de marchandises total, le nombre total de trois au cours de la même portée, principalement pour « Michael Jordan », « CONVERSE », « Adidas », « DOCKERS » et les autres marques.
Les criminels de se soustraire contrôle de la douane est beaucoup plus cachée. Canaux comme le mail, l’émergence des nouveaux moyens de camouflage pour se cacher, comme l’utilisation de papier carbone enveloppés enfreindre, puis se cacher dans la boîte à thé, des jouets, des oreillers, lampes à l’intérieur et prendre une petite quantité de lots de messagerie pratiques, en essayant d’échapper à des enquêtes douanières. Dans le fret, a trouvé une petite quantité de non-contrefaçon de marchandises et un nombre important de porter atteinte à des biens, mixtes, ou la contrefaçon de marque, des matériaux d’emballage et des biens dans la sortie séparée, et le nouveau.
Procédures d’infraction contre les nouvelles caractéristiques, des coutumes Fuzhou faire jouer pleinement le rôle de l’intelligence et l’analyse des risques, et améliorer continuellement des marchandises de contrefaçon saisies de marchandises et le taux de ciblées sur les agents des douanes du site pour effectuer anti-contrefaçon de la formation professionnelle, et améliorer continuellement la première agents des douanes en ligne des services répressifs, une action efficace contre les violations, et de maintenir l’ordre normal des importations et des exportations.
Selon l’analyse, à l’exécution contre la violation de l’intensité accrue de l’entrée actuelle et cas d’infraction de sortie a montré un certain nombre de nouvelles fonctionnalités.
Canaux postal, augmenter le nombre de cas d’infraction, en violation des articles apparaissent petits prix élevés des électroniques produits high-tech. Enfermé dans la première moitié de la chaîne du courrier pour un total de 140 cas d’infraction à découvert depuis, ce qui représente 89% du nombre total de cas, a considérablement augmenté. En plus de la valise commun marchandises contrefaites, des montres, des CD, des chaussures de sport, lunettes et autres produits majeurs, a commencé à MP3, MP4, accessoires de téléphonie mobile, les accessoires informatiques et d’autres petits prix élevés des électroniques produits high-tech.
Contrefaçon de marchandises, transport canaux, en mettant l’accent sur les chaussures vêtements et les chapeaux, essentiellement semblable à la contrefaçon de marque. Contrefaçon des biens, des vêtements et des chaussures de casquettes au total se chiffrait à près de RMB, soit pour la navigation des canaux, le cas de procédures d’infraction de la valeur totale de 90%. Des cas de contrefaçon de marques ont révélé des cas similaires de chaînes de transport de marchandises total, le nombre total de trois au cours de la même portée, principalement pour « Michael Jordan », « CONVERSE », « Adidas », « DOCKERS » et les autres marques.
Les criminels de se soustraire contrôle de la douane est beaucoup plus cachée. Canaux comme le mail, l’émergence des nouveaux moyens de camouflage pour se cacher, comme l’utilisation de papier carbone enveloppés enfreindre, puis se cacher dans la boîte à thé, des jouets, des oreillers, lampes à l’intérieur et prendre une petite quantité de lots de messagerie pratiques, en essayant d’échapper à des enquêtes douanières. Dans le fret, a trouvé une petite quantité de non-contrefaçon de marchandises et un nombre important de porter atteinte à des biens, mixtes, ou la contrefaçon de marque, des matériaux d’emballage et des biens dans la sortie séparée, et le nouveau.
Procédures d’infraction contre les nouvelles caractéristiques, des coutumes Fuzhou faire jouer pleinement le rôle de l’intelligence et l’analyse des risques, et améliorer continuellement des marchandises de contrefaçon saisies de marchandises et le taux de ciblées sur les agents des douanes du site pour effectuer anti-contrefaçon de la formation professionnelle, et améliorer continuellement la première agents des douanes en ligne des services répressifs, une action efficace contre les violations, et de maintenir l’ordre normal des importations et des exportations.
http://www.sourcejuice.com/1482200/2011/10/28/Fuzhou-police-d%C3%A9truire-Taobao-magasin-vente-faux-r%C3%A9seaux-criminels/fr/
Fuzhou police pour détruire le « Taobao » magasin de vente de faux réseaux criminels
2011-10-28
Xinhua Fuzhou, Octobre 27 (Reporter Zheng Liang) 27, Fuzhou, Fujian
Public Security Bureau a tenu une conférence de presse pour informer la
police a récemment démantelé un important réseau de faux produits
éléments affaire Lawless dans « Taobao » à ouvrir des dizaines de
devantures de magasins, à faible coût la vente de contrefaçons « Nike »,
« Adidas », « Li Ning » et autres marques de vêtements de sport,
chaussures, la police a saisi près de dix mille paires de produits
contrefaits (cas), impliquant plus de 2000 millions d’euros.
Chen Minxiu Fuzhou Bureau de sécurité publique porte-parole, a déclaré en août de cette année, Fuzhou district Bureau de la Sécurité publique de l’Équipe des enquêtes économiques dans le travail d’un crime indice important, Fuzhou « tact » « dans la passe», «SF», etc quotidienne de l’entreprise de messagerie juin Takemura queue marché de la chaussure à travers le pays ont envoyé plus de 1000 chaussures expresse unique, dont un grand nombre de sport de marque contrefaites chaussures et de vêtements.
La queue de cheval, le Bureau de la sécurité publique dépêché d’élite task force de police mis en place pour mener à bien une vaste enquête approfondie. Enquête de police ad hoc a révélé que les ventes du marché des chaussures d’un grand nombre de chaussures de sport contrefaites de marque, certaines entreprises soupçonnées d’utiliser le « Taobao » marchands vendant de faux Taobao enregistrée de sport de marque des chaussures, des vêtements. La police a aussi trouvé ces fausses sport de marque des chaussures, des vêtements, très imitatives, que l’exécution fine, le consommateur moyen est difficile de trouver l’authenticité. Lequel une valeur marchande de 1000 $ », de nouvelles chaussures Adidas prix en ligne de seulement 300 yuans, d’affecter gravement le canal normal d’alimentation véritable marque du marché des ventes de commande.
Après une enquête minutieuse, le panneau rapidement maîtrisé, respectivement Wang, Yao, Xuemou dirigé trois gangs criminels et de les vendre à Putian, Fujian, Guangdong, a acheté un grand nombre de vêtements de sport de la marque de faux et à faible coût, des chaussures, puis Dans les entreprises « Taobao » Taobao enregistré, en vendant des produits contrefaits grands. Les gangs criminels dans l’enregistrement en ligne de la « montrer la tendance » « mot de tournée électorale définitive», «Ruili Mode », « Guo Zuyin » « Fuzhou hors magasin de chaussures », « la tendance sportive de base » et des dizaines de devantures de magasins, à travers QQ, téléphone et autres coordonnées d’étendre leurs activités, la vente de contrefaçons « Nike », « Adidas », « Li Ning », « Puma », « Converse » et d’autres types de marque de vêtements de sport, chaussures.
La soirée du 21 Octobre de cette année, la police de Fuzhou a envoyé des centaines de policiers, ont été arrêtés à cinq endroits sur la serrure de l’gangs criminels et des tanières et les frappes de précision à vendre, en un seul coup et arrêté 14 suspects et saisi de contrefaçon « Nike » « Une Adidas « Li Ning » et d’autres types de chaussures de sport de marque, sportswear dix mille paires (cas), impliquant jusqu’à 2.000 millions d’euros. Par cette action, la police détruit trois gangs, détruit 79 maisons de vente et de faux, à découvert 14 cas de vente de produits contrefaits à partir.
A l’heure actuelle, impliquant 14 suspects ont été XingJu, la police a communiqué officiellement à la « Taobao » magasin pour la vente de la marque contrefaite à être fermé. L’affaire est pendante à creuser plus loin. (Fin)
Chen Minxiu Fuzhou Bureau de sécurité publique porte-parole, a déclaré en août de cette année, Fuzhou district Bureau de la Sécurité publique de l’Équipe des enquêtes économiques dans le travail d’un crime indice important, Fuzhou « tact » « dans la passe», «SF», etc quotidienne de l’entreprise de messagerie juin Takemura queue marché de la chaussure à travers le pays ont envoyé plus de 1000 chaussures expresse unique, dont un grand nombre de sport de marque contrefaites chaussures et de vêtements.
La queue de cheval, le Bureau de la sécurité publique dépêché d’élite task force de police mis en place pour mener à bien une vaste enquête approfondie. Enquête de police ad hoc a révélé que les ventes du marché des chaussures d’un grand nombre de chaussures de sport contrefaites de marque, certaines entreprises soupçonnées d’utiliser le « Taobao » marchands vendant de faux Taobao enregistrée de sport de marque des chaussures, des vêtements. La police a aussi trouvé ces fausses sport de marque des chaussures, des vêtements, très imitatives, que l’exécution fine, le consommateur moyen est difficile de trouver l’authenticité. Lequel une valeur marchande de 1000 $ », de nouvelles chaussures Adidas prix en ligne de seulement 300 yuans, d’affecter gravement le canal normal d’alimentation véritable marque du marché des ventes de commande.
Après une enquête minutieuse, le panneau rapidement maîtrisé, respectivement Wang, Yao, Xuemou dirigé trois gangs criminels et de les vendre à Putian, Fujian, Guangdong, a acheté un grand nombre de vêtements de sport de la marque de faux et à faible coût, des chaussures, puis Dans les entreprises « Taobao » Taobao enregistré, en vendant des produits contrefaits grands. Les gangs criminels dans l’enregistrement en ligne de la « montrer la tendance » « mot de tournée électorale définitive», «Ruili Mode », « Guo Zuyin » « Fuzhou hors magasin de chaussures », « la tendance sportive de base » et des dizaines de devantures de magasins, à travers QQ, téléphone et autres coordonnées d’étendre leurs activités, la vente de contrefaçons « Nike », « Adidas », « Li Ning », « Puma », « Converse » et d’autres types de marque de vêtements de sport, chaussures.
La soirée du 21 Octobre de cette année, la police de Fuzhou a envoyé des centaines de policiers, ont été arrêtés à cinq endroits sur la serrure de l’gangs criminels et des tanières et les frappes de précision à vendre, en un seul coup et arrêté 14 suspects et saisi de contrefaçon « Nike » « Une Adidas « Li Ning » et d’autres types de chaussures de sport de marque, sportswear dix mille paires (cas), impliquant jusqu’à 2.000 millions d’euros. Par cette action, la police détruit trois gangs, détruit 79 maisons de vente et de faux, à découvert 14 cas de vente de produits contrefaits à partir.
A l’heure actuelle, impliquant 14 suspects ont été XingJu, la police a communiqué officiellement à la « Taobao » magasin pour la vente de la marque contrefaite à être fermé. L’affaire est pendante à creuser plus loin. (Fin)
http://www.portail-ie.fr/article/1187/La-contrefacon-en-Chine-une-arme-contre-l-Occident
La contrefaçon en Chine : une arme contre l’Occident ?
Publié par Portail de l’IE le 06/03/15
Les romains copiaient le vin grec. Les premières cotonnades indiennes s’inspiraient du textile européen. La contrefaçon est un procédé millénaire, partie intégrante du développement des échanges économiques. Attractive, de qualité variable, la contrefaçon attire les clients par un prix caractéristiquement plus faible que l’original et atteint tous les domaines : des produits de grande consommation aux médicaments.
L’ouverture des frontières et des marchés dans les années 1980, puis l’apparition d’internet ont permis un accroissement des volumes de contrefaçon échangés donnant aux contrefacteurs un terrain de jeu mondial. La contrefaçon provient à 90% de l’Asie du Sud-Est, et la Chine y joue un rôle central[i]. De par son rôle « d’usine du monde », de nombreuses entreprises occidentales sont attirées par la main d’œuvre peu onéreuse et la qualité d’encadrement managérial du personnel. La Chine s’est ainsi spécialisée dans la sous-traitance de production au point que des entreprises comme IBM ont revendu à leurs fournisseurs la partie « hardware » de leurs activités sous la marque Lenovo.
Pourtant, si la délocalisation de l’appareil productif accroît la rentabilité des entreprises occidentales qui s’y adonnent, elle incite aussi la Chine à produire la majorité des contrefaçons dans le monde. « De l’industrie lourde au bâtiment en passant par l’horlogerie, le constat des professionnels est unanime : plus aucun produit n’est aujourd’hui épargné par les copieurs »[ii].
La Chine s’est inspirée du modèle japonais de rattrapage technologique en copiant les produits occidentaux. Ce rattrapage est effectué sur tous types de produits allant désormais jusqu’à la haute technologie et aux services. La Chine a bénéficié pour cela de transferts de connaissance afin d’assurer la réalisation de produits finis de plus en plus complexes. Elle n’a pas eu à supporter la majorité des coûts de R&D pour rattraper le standard de ses donneurs d’ordre occidentaux. Ses usines demeurant très rentables et son marché intérieur très attirant pour de nombreux investisseurs, le risque de voir ses marques copiées a trop vite été relativisé.
D’après le rapport UNIFAB portant sur la lutte contre la contrefaçon il y a eu trois étapes au business modèle de la contrefaçon en Chine.
Tout d’abord une production localisée à Hong-Kong jusqu’en 1984. Le financement provenait de sources mafieuses. S’il y avait des ateliers produisant du faux en Chine ils étaient réprimés par le Parti Communiste., l’essentiel de la production était revendu dans des pays tiers comme la Thaïlande ou l’Indonésie à de riches touristes japonais qui achetaient des copies de semi-luxe. Puis la contrefaçon en Chine a évolué au tournant du 21ème siècle.
Avec la réintégration de Hong-Kong, les financements et les savoir-faire entrainèrent une massification de la production de la contrefaçon. Le développement de la société de consommation avec le socialisme de marché a diversifié les produits copiés (DVD, montres de luxe, logiciels etc). Le Parti communiste Chinois a cessé dans les faits de réprimer la contrefaçon pour l’encourager.
La troisième phase, plus récente, présente non seulement un accroissement en quantités exportées, grâce notamment à internet, mais encore en copiant les services qui accompagnent la vente de produits de prestige. La Chine imite désormais le conseil de vente dans la copie d’enseigne de luxe, ou la reproduction à l’identique de restaurants occidentaux ce qui comprend autant d’approcher la réalisation de plats que la qualité du service en salle.
Boutique Herwès (sic) dans une rue de Shanghaï
Il ne s’agit plus de copier la marchandise, mais aussi l’image de marque et le service client. A ce sujet, Madame Sylvie Zawadzki[iii] a confirmé que le service juridique d’Hermès effectuait des enquêtes en Chine et déposait des plaintes régulièrement auprès des autorités chinoises.
L’enjeu central de la défense de la propriété intellectuelle
En adhérant à l’OMC, le gouvernement chinois a pris l’engagement de lutter contre la contrefaçon : c’est ainsi que les actualités chinoises annoncent régulièrement l’arrestation de certains producteurs délictueux[iv]. Pourtant, la part de la contrefaçon chinoise dans la contrefaçon mondiale demeure inchangée depuis 15 ans autour de 80%. On peut penser qu’il n’y a pas de réelle volonté chinoise de défendre la propriété des marques étrangères malgré ses déclarations ; et ce d’autant plus que le criminologue He Bingsong dénonce l’implication du crime organisé à tous niveaux de l’appareil politique chinois.
Une enquête réalisée en 2007 par le cabinet Pricewaterhouse Coopers auprès de 5 400 entreprises à travers 40 pays a montré que la contrefaçon leur avait coûté, en moyenne, plus de 1,9 million de dollars de pertes entre 2005 et 2007[v] (soit 1,5 million d’euros) et environ 6 milliards de pertes par an pour les entreprises françaises[vi].
La perte globale pour l’économie américaine se situerait entre 200 et 250 milliards de dollars par an (soit entre 184 et 228 milliards d’euros), chiffres avancés par l’IACC[vii]. Pour l’Union Européenne, il faut ajouter les pertes fiscales estimées à 230 millions d’euros dues à l’introduction de cigarettes.
Madame Zawadzki souligne que la distribution de matériel défectueux sous des marques connues et de confiance entraîne une défiance de la part des consommateurs qui ne savent pas toujours si le produit acheté est une contrefaçon. Les consommateurs ne sachant pas toujours faire la différence entre la copie et l’original associent la piètre qualité du produit acheté à celle de la marque officielle.
Cela devient même dangereux quand cela concerne, par exemple, du matériel automobile ou des médicaments[viii].
Une estimation des douanes étatsuniennes évalue la perte d’emplois à 750 000 postes à cause des contrefaçons et à 80 000 par an en France selon une étude du SESSI[ix].
Madame Zawadzki suggère l’harmonisation des normes internationales de la propriété industrielle. Cette démarche reposerait sur la concertation autour de principes communs et la réciprocité des pratiques. Les grandes marques emploient différents moyens pour décourager la contrefaçon. D’après un rapport de l’INHESJ[x], l’association pouvoirs publiques et entreprises privées augmentent les risques pénaux encourus par les contrefacteurs, qui se reportent sur le prix de vente. Les consommateurs de produits contrefaits arbitrant entre une contrefaçon dont le prix se rapproche de l’original et celui-ci, sont tentés de préférer ce dernier.
Des grandes marques de luxe optent pour une démarche différente. Hermès par exemple, en lançant la marque de luxe Shang Xia, produite entièrement en Chine avec des matières locales, associe le tissu économique chinois à la défense d’une nouvelle marque locale. Si Madame Zawadzki remarque que la qualité de certaines contrefaçons progresse, elle demeure encore loin de leurs originaux. Elle estime que la contrefaçon en Chine s’arrêtera quand elle aura des marques propres avec une forte image à défendre à l’international et sera copiée à son tour.
L’intelligence économique est un outil essentiel dans la lutte contre la contrefaçon. Les PME et ETI doivent faire appel aux cabinets spécialisés afin d’être conseillées dans le choix de leurs associés. Une démarche de due diligence sérieuse garantit d’une part, que les fournisseurs n’aient pas d’antériorité de contrefaçon et d’autre part, que la réputation des investisseurs chinois dans la joint-venture soit correcte.
Nicolas SMEETS
[i] Rapport UNIFAB, « l’impact de la contrefaçon vu par les entreprises en France », avril 2010
[iii]
Madame Sylvie Zawadzki est Déléguée Générale à la Direction Juridique
et aux Affaires Sociales et Fiscales de la Fédération Française de la
Couture du Prêt-à-Porter des Couturiers et des Créateurs de Mode.
[viii] La Chine exporte de faux médicaments dont un sirop pour la toux contenant de l’antigel qui a provoqué 34 morts http://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/contrefacon-faux-medicaments-vraies-menaces_1285097.html
Catégorie : Géoéconomie
Dernière modification le 06/03/15
Egalement à lire :
http://www.marketing-chine.com/analyse-marketing/la-contrefacon-en-chine
http://www.marketing-chine.com/culture-chine/les-copies-contrefacons-sont-une-menace-pour-les-marques-chinoises
Je suis ici pour partager mon témoignage de ce qu'une bonne société de prêt de confiance a fait pour moi. Je m'appelle Nikita Tanya, de Russie et je suis une charmante mère de 3 enfants.J'ai perdu mes fonds en essayant d'obtenir un prêt, c'était si difficile pour moi et mes enfants, je suis allé en ligne pour demander une aide au prêt, tout espoir était perdu jusqu'à un jour fidèle où j'ai rencontré mon ami qui a récemment obtenu un prêt de Le_Meridian Funding Service.Elle m'a présenté cette honnête société de prêt qui m'a aidé à obtenir un prêt dans les 5 jours ouvrables.Je serai toujours reconnaissant à M. Benjamin, pour m'avoir aidé à me remettre sur pied. Vous pouvez contacter M. Benjamin par e-mail: lfdsloans@lemeridianfds.com, ils ne savent pas que je le fais pour eux, mais je dois le faire parce que beaucoup de gens ont besoin d'une assistance de prêt s'il vous plaît venez dans cette entreprise et soyez sauvé. WhatsApp: (+ 1 989-394-3740)
RépondreSupprimer