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dimanche 16 mars 2025

Disparition du vol MH370 de la Malaysia Airlines du 8 mars 2014

 

 

 


 

Je me souviens bien de cette affaire, on en discutait sur le forum des Sceptiques du Québec au moment où je m'en suis fait virer pour avoir ajouté dans ma bio l'indication que j'étais ingénieur, le 19 mars 2014, comme je l'avais raconté le jour même en ouvrant un nouveau blog pour en parler :

https://satanistique.blogspot.com/2014/03/les-sceptiques-du-quebec-bannissent-les.html

Et savez-vous quoi ?

Comme d'hab... J'avais bien reçu un avertissement par l'un des moyens habituellement utilisés par mes pirates...

Donc, pour moi, dès le premier jour, c'est une affaire de terrorisme.

En plus, cela s'est produit le 8 mars, pour la journée de la femme, un jour où ils se plaisent aussi très volontiers à m'attaquer, comme par exemple le 8 mars 2009 sur le site Rue89 :

https://satanistique.blogspot.com/2015/03/8-mars-2009-attaque-de-cyprien-luraghi.html

Et la Malaisie est limitrophe de la Thaïlande du Sud où réside l'un des terroristes en chef, le Français Georges Cortez originaire de l'Hérault qui s'est toujours présenté publiquement depuis l'été 2009 comme "le bras armé du NPA en Thaïlande". 

Je n'ai donc pas de doute, ils sont encore dans le coup... et d'ailleurs le pseudonymé NEMROD34 (Jean-Marc Donnadieu de Béziers) est très actif sur ce sujet et s'attaque comme d'habitude à tous ceux qui émettent des hypothèses prétendument "complotistes".

Pour ma part, je ne participais à aucune discussion sur ce sujet et n'en ai jamais parlé nulle part à l'époque des faits. C'est que je ne suis quand même pas suicidaire... Si j'avais dit comment l'on m'avait fait signe, j'étais à peu près sûre d'être internée tout de suite, c'était déjà ce que tentaient d'obtenir mes harceleurs depuis le début de leurs harcèlements à mon encontre, ils l'exprimaient publiquement depuis le printemps 2009 et avaient même, très probablement, organisé l'assassinat de Jean-Jacques Le Page à Plougonvelin le 24 juillet 2009 pour faire pression sur mon médecin traitant à ce sujet.

Même encore aujourd'hui, après avoir étalé sur ce blog d'innombrables preuves de ce qu'ils font, je risque l'internement, ils s'activent toujours pour l'obtenir par tous les moyens possibles et imaginables en sachant pertinemment depuis le début, non seulement que je n'ai jamais eu aucun trouble psychiatrique, mais de plus que mon état de santé ne me permet pas de tolérer le moindre traitement psychiatrique.

De quelle affaire de terrorisme s'agit-il donc ?

Etant données toutes les informations disponibles aujourd'hui, il est possible d'envisager un détournement de l'avion par des terroristes, jusqu'à sa perte accidentelle ou volontaire.

Des terroristes présents dans l'avion, par exemple les Iraniens rapidement identifiés comme de simples migrants clandestins et qui avaient acheté leurs billets avec des passeports volés précisément en Thaïlande, ou le pilote lui-même, ou éventuellement, pourquoi pas, des terroristes ayant pris les commandes de l'avion par piratage, à distance.

Que s'est-il passé ? Je n'en sais rien. Quel pouvait être le but des terroristes ? Je ne le sais pas davantage.

On notera cependant une relation entre Daesh et le Français impacté par la disparition de cet avion, Guyslain Wattrelos, par l'intermédiaire du groupe Lafarge pour lequel il travaillait (voir ci-dessous).

 

P.S.: Enquête complète et sérieuse sur la trajectoire de l'avion :

 

 

 

L'avion aurait donc été piloté jusqu'à son amerrissage au sud de l'océan Indien par son commandant de bord Zaharie Ahmad Shah, qui se serait bien préparé pour ce trajet avec son simulateur de vol environ un mois plus tôt. 

Et d'où viennent les infox ? Comme d'hab... de Français... 

Je reste sur ma thèse de l'attentat "islamigré" ou islamo-gauchiste, qui pour moi a bien été revendiqué, même si de manière discrète, et d'autant plus que je n'en avais jamais parlé jusqu'à maintenant...

Quelques explications ici, probablement :

https://www.asso-sherpa.org/wp-content/uploads/2016/11/Dossier-de-presse_Lafarge-poursuivi-pour-financement-de-terrorisme.pdf

Et toutes les hypothèses émises jusqu'à présent là :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Vol_Malaysia_Airlines_370

Extrait :

"Peu de temps après la disparition, les médias ont révélé que la femme et les trois enfants du commandant Zaharie Ahmad Shah avaient quitté le domicile conjugal la veille de la disparition. Un ami a affirmé que le commandant Shah voyait une autre femme et que la relation avec elle était également en difficulté150,151,152. La police a enquêté sur un appel téléphonique de deux minutes reçu avant le départ du vol de la part d'une femme non identifiée utilisant un numéro de téléphone portable obtenu sous une fausse identité153. Un collègue pilote et ami de longue date a déclaré que le commandant Shah était « terriblement bouleversé », « pas en état mental pour voler » et que son mariage s'effondrait. Bon cuisinier, Shah donnait des recettes sur internet et cuisinait pour les voisins mais jamais pour sa femme. Au sujet du simulateur, son ami dit qu’il avait « ramené le bureau à la maison »154. Par la suite, les allégations de problèmes conjugaux ont été démenties par la famille de Shah151."

Appel d'une complice juste avant le départ ?

 

 

https://www.eyrolles.com/Accueil/Auteur/ghyslain-wattrelos-142740/

Ghyslain Wattrelos

Biographie de Ghyslain Wattrelos

Ghyslain Wattrelos est ingénieur des Mines. Vice-président du groupe Lafarge, il a quitté son poste début 2017. Il a vécu de nombreuses années à l'étranger, dont six ans en Chine.

 

https://www.lemonde.fr/societe/article/2024/10/16/lafarge-et-huit-personnes-seront-juges-pour-financement-du-terrorisme-via-la-filiale-syrienne-du-groupe_6353628_3224.html

Lafarge et huit personnes seront jugés pour « financement du terrorisme » via la filiale syrienne du groupe

Le cimentier est soupçonné d’avoir versé en 2013 et 2014, par l’entremise de Lafarge Cement Syria, 5 millions d’euros à des groupes djihadistes, dont l’organisation Etat islamique.

Le Monde avec AFP

Publié le 16 octobre 2024 à 18h41, modifié le 16 octobre 2024 à 22h57

Temps de Lecture 2 min.

 

Trois juges d’instruction ont ordonné, mercredi 16 octobre, la tenue d’un procès pour financement du terrorisme contre le groupe Lafarge et huit personnes, parmi lesquelles d’anciens responsables, accusés d’avoir poursuivi les activités du cimentier en Syrie jusqu’en 2014, a annoncé l’Agence France-Presse (AFP), citant des sources proches du dossier.

L’ensemble des mis en cause « ont, dans une logique de recherche de profits pour l’entité économique qu’ils servaient, ou pour certains de profit personnel direct, organisé, validé, facilité ou mis en œuvre une politique supposant de faire parvenir un financement aux organisations terroristes implantées autour de la cimenterie » de Jalabiya (Syrie), selon l’ordonnance de renvoi devant le tribunal correctionnel consultée par l’AFP.

Le groupe Lafarge, désormais filiale du groupe suisse Holcim, et les huit prévenus – des membres de la chaîne opérationnelle ou de la chaîne de sûreté, des intermédiaires syriens, ainsi que le directeur général de Lafarge SA d’alors, Bruno Lafont – seront jugés pour financement d’entreprises terroristes et, pour certains, non-respect de sanctions financières internationales, du 4 novembre au 9 décembre 2025, selon un calendrier prévisionnel.

« Lafarge SA prend acte de la décision des magistrats instructeurs dans ce dossier hérité du passé », a réagi le groupe dans une brève déclaration transmise à l’AFP. L’instruction « n’a jamais voulu sortir de la ligne tracée à l’origine par l’enquête interne – une enquête à charge faite uniquement pour satisfaire le Department of Justice américain », a regretté auprès de l’AFP Solange Doumic, avocate de l’ex-directeur général adjoint opérationnel, Christian Herrault. « La réalité des faits vécue par mon client n’a pas été prise en compte », a-t-elle ajouté.

Les autres avocats de la défense contactés par l’AFP n’ont pas souhaité réagir ou n’ont pas répondu. Les juges d’instruction ont en revanche ordonné un non-lieu pour l’ancien directeur de la sûreté, Jean-Claude Veillard, mis en examen dans cette affaire depuis fin 2017.

 

« Autonomie décisionnelle »

« Après sept années d’un combat judiciaire sans relâche, l’innocence de Jean-Claude Veillard est enfin établie. C’est un grand soulagement », ont réagi auprès de l’AFP ses avocats, Sébastien Schapira et Antoine Galudec. « Cette ordonnance est actuellement en cours d’analyse », a fait savoir le parquet national antiterroriste (Pnat), « qui dispose d’un délai de 10 jours pour interjeter appel ».

Le groupe est soupçonné d’avoir versé en 2013 et 2014, à travers sa filiale syrienne Lafarge Cement Syria, 5 millions d’euros à des groupes djihadistes, dont l’organisation Etat islamique, et à des intermédiaires afin de maintenir l’activité d’une cimenterie à Jalabiya, alors que le pays s’enfonçait dans la guerre.

« La société conservait son autonomie décisionnelle, et aurait pu à tout moment mettre fin à l’exploitation de l’usine, notamment au moment où ses dirigeants avaient pris connaissance des exigences financières des entités terroristes, écrivent les juges d’instruction. En acceptant de payer ces entités, la société évaluait les contreparties qu’elle pourrait en retirer, telles que le déblocage des routes, la libre circulation des camions et des salariés de l’usine grâce à la délivrance de laissez-passer. »

Les flux financiers incriminés concernent « la rémunération d’intermédiaires permettant l’approvisionnement de l’usine en matières premières » par des groupes terroristes et « la circulation des employés et des marchandises sur les territoires » qu’ils occupaient, selon l’ordonnance.

L’existence de communications « entre les responsables sûreté de Lafarge et les services secrets français ne démontre absolument pas la validation par l’Etat français des pratiques de financement d’entités terroristes mises en place par Lafarge en Syrie », estiment les juges d’instruction, écartant, comme l’avait fait le Parquet national antiterroriste, toute incitation à se maintenir en Syrie malgré la guerre civile. Par ailleurs, soulignent-ils, « aucun des mis en examen n’est suspecté d’avoir eu la moindre sympathie pour les causes défendues par ces organisations [terroristes] ou spécifiquement souhaité soutenir leurs objectifs ».

« La perspective de ce procès ne doit pas occulter l’autre volet fondamental de l’instruction : la société reste mise en examen pour complicité de crimes contre l’humanité commis par des groupes armés », a considéré dans un communiqué Sherpa, partie civile, rappelant que « Lafarge [était] la première société au monde à avoir été mise en examen » pour « le plus grave des crimes ». L’information judiciaire ouverte en juin 2017 sur ces soupçons de complicité de crimes contre l’humanité est toujours en cours.

Le Monde avec AFP

 

https://www.lefigaro.fr/flash-eco/lafarge-en-syrie-le-cimentier-demande-200-millions-d-euros-de-reparation-a-son-ex-pdg-20250128

Lafarge en Syrie: le cimentier demande 200 millions d'euros de réparation à son ex-PDG

 
Sujets
Lafarge est soupçonné d’avoir versé en 2013 et 2014, via une sous-filiale syrienne, plus de 5 millions d’euros en «taxes» et achats de matières premières à des groupes jihadistes. THOMAS SAMSON / AFP

Le cimentier français Lafarge, accusé d'avoir payé des groupes jihadistes pour maintenir son activité en Syrie jusqu'en 2014, et son propriétaire suisse Holcim, ont demandé lundi lors d'une audience 200 millions d'euros de réparation pour préjudice à son PDG au moment des faits, Bruno Lafont, ainsi qu'à quatre autres personnes.

Lafarge est soupçonné d'avoir versé en 2013 et 2014, via une sous-filiale syrienne, plus de 5 millions d'euros en «taxes» et achats de matières premières à des groupes jihadistes, dont l'organisation État islamique (EI), et à des intermédiaires, afin de maintenir l'activité d'une cimenterie à Jalabiya, alors même que le pays s'enfonçait dans la guerre.

L'entreprise, désormais filiale du groupe suisse Holcim, a plaidé coupable aux Etats-Unis pour ces faits en 2022 et a alors payé une sanction financière de 778 millions de dollars. Holcim et Lafarge se retournent désormais contre Bruno Lafont, PDG du cimentier de 2007 à 2015, et trois autres anciens cadres du groupe, ainsi qu'un homme d'affaires syrien. 

Ils ont demandé lundi devant le tribunal des activités économiques de Paris 200 millions d'euros de réparation du «préjudice subi», à verser solidairement. «Cette action est délirante: personne ici n'a 200 millions d'euros, et Lafarge le sait», s'est indigné à l'audience Me Quentin de Margerie, avocat de Bruno Lafont.

Ce dernier nie avoir eu connaissance des versements en Syrie, et conteste, comme les autres ex-dirigeants, toute implication. Il estime que, après que Lafarge et Holcim ont plaidé coupables en 2022 sans l'en avertir, ils sont allés à l'encontre de sa présomption d'innocence et de sa capacité à se défendre dans les autres procédures qui l'attendent.

Car un procès, au pénal cette fois-ci, attend toujours Bruno Lafont, Lafarge et sept autres anciens responsables. Ils seront jugés devant le tribunal correctionnel de Paris fin 2025 pour «financement d'entreprises terroristes» et, pour certains, non-respect de sanctions financières internationales.

Crime contre l'humanité

Selon l'ordonnance de renvoi consultée par l'AFP, ils «ont, dans une logique de recherche de profits pour l'entité économique qu'ils servaient, ou pour certains de profit personnel direct, organisé, validé, facilité ou mis en œuvre une politique supposant de faire parvenir un financement aux organisations terroristes».

Un autre procès pourrait se tenir à une date ultérieure, cette fois devant les assises, pour Lafarge, également poursuivi pour complicité de crimes contre l'humanité, un motif de mise en examen rarissime. L'affaire a été révélée en juin 2016 par un article du quotidien Le Monde. Cinq mois plus tard, Holcim avait offert à Bruno Lafont un accord de couverture des risques judiciaires.

Une enquête interne en 2017 avait ensuite blanchi Bruno Lafont de toute implication. Mais cette couverture a été résiliée début 2022, Holcim jugeant qu'elle avait été signée suite à des «manœuvres dolosives» de la part de Bruno Lafont, qui avait «dissimulé son implication» dans l'affaire, ont défendu lundi les avocats de Lafarge et Holcim.

Le tribunal des activités économiques de Paris rendra son délibéré le 1er avril. Il pourrait décider de retarder encore son jugement à une date ultérieure à celle des procès au pénal, comme le demandent Lafarge et Holcim. Pour Bruno Lafont, 68 ans, présent à l'audience, «cette assignation aura été l'un des éléments les plus lourds et les plus graves pour moi dans cette affaire», a-t-il déclaré. Il demande des dommages et intérêts à Lafarge et Holcim pour atteinte à sa présomption d'innocence.




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