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jeudi 25 avril 2024

Toute puissance des journalistes : des fissures dans le dispositif breton ?

Le rédacteur en chef du Télégramme est l'auteur d'un édito publié aujourd'hui que j'ai eu un peu de mal à comprendre de prime abord tant il était pour moi hallucinant, mais que finalement je trouve assez éclairant sur la manière dont les journalistes, ou au moins certains d'entre eux, ceux de notre région, conçoivent leur rôle... et s'inquiètent pour leur avenir...

Ceux du Télégramme se plaignent donc que depuis environ un an, cinq d'entre eux ont été convoqués et entendus par la police ou la gendarmerie, à l'instar d'Olivier Cuzon très récemment : une à Lorient pour un présumé recel de violation du secret de l'instruction, trois dans le Finistère suite à une plainte pour diffamation d'un élu qu'ils avaient mis en cause dans un article, et un photographe dans les Côtes d'Armor.

Cette séquence est dite "inédite". Pour les journalistes, il s'agirait de "pressions" exercées sur eux.

Le lecteur lambda dont je suis en déduit qu'auparavant, les journalistes locaux n'ont peut-être jamais fait l'objet d'aucune plainte en diffamation ou relative à une violation du secret de l'instruction, ce qui peut paraître très inquiétant en matière journalistique mais est conforme à ce que l'on observe par ici depuis toujours : nos journalistes n'inquiètent jamais les notables locaux, qu'ils soient élus, fonctionnaires ou autres, ils sont à leur service et n'informent jamais le public de ce qui pourrait les déranger.

Pour retrouver par exemple tous les articles de la presse locale sur les frasques de Christian Barthes, ancien directeur de l'hôpital psychiatrique de Bohars dans les années 1990, violeur, pédophile et proxénète notoire, auteur de violences et malversations diverses, vous pouvez toujours vous accrocher, il n'y en a jamais eu, ou à peine... et à ma connaissance, aucun journaliste ne s'est jamais plaint d'avoir été empêché d'informer le public sur tous les scandales dont cet individu n'était que l'un des protagonistes...

A l'inverse, lorsqu'il s'agit par exemple de calomnier publiquement une victime de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, ils se prêtent à l'exercice de bonne grâce, comme ce fut le cas au lendemain de mon procès brestois d'avril 2013.

Nous avons donc une presse aux ordres. 

Une presse sans histoires, aussi, certes, ce qui est la marque d'une presse aux ordres. 

Or, ce n'est pas ce qu'en attendent ses lecteurs, hormis ceux de la mafia locale.

Les autres n'existant pas aux yeux de nos journalistes locaux se tournent depuis longtemps vers Internet et les réseaux sociaux pour s'informer mutuellement et informer eux-mêmes le public directement, autrement dit faire aussi bien que possible tout le travail que les journalistes professionnels ne font pas, en sachant, comme moi en 2013, qu'il est inutile d'aller porter plainte contre des journalistes aux ordres (j'avoue avoir été très tentée de le faire contre Steven Le Roy pour son torchon du 10 avril 2013, un compte rendu très malhonnête de l'audience de la veille, et n'ai finalement pas déposé de nouvelle plainte, sachant qu'elle finirait comme toutes les autres, puisque j'ai bien contre moi toute la mafia brestoise, ayant le tort, pour commencer, d'avoir toujours été tête de classe durant ma scolarité brestoise, puis femme ingénieure, ce qui est aussi grave que d'avoir toujours eu les meilleures notes en classe, et pour couronner le tout, d'avoir notamment refusé de commettre des crimes et délits contre la Nation pour le compte d'anciens employeurs mafieux et travaillé à l'assèchement de trafics d'armes à partir des stocks de matériels de l'Armée de l'Air, alors qu'à Brest les ouvriers de l'arsenal avaient toujours fait ce qu'ils voulaient avec les stocks de matériels militaires et n'entendaient pas en être privés d'une quelconque manière... ce qui m'a valu à compter des années 1990 de subir du harcèlement moral en entreprise à très haute dose et plusieurs tentatives d'assassinat, la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest et ses complices de la mafia brestoise y ayant toujours été associés).

Cependant, il semblerait que nous ne soyons pas les seuls, puisque les journalistes du Télégramme se plaignent aussi de difficultés croissantes d’accès aux sources policières, de gendarmerie et judiciaires, leur travail habituel de "communication maîtrisée des pouvoirs publics" tendant à leur échapper au profit desdits pouvoirs, "toujours plus tentés d’assurer eux-mêmes leur transmission d’informations, bien souvent sur des plateformes sociales américaines voire chinoise".

Et s'ils devenaient réellement journalistes au lieu de continuer à dépendre exclusivement de ces sources dont la fiabilité peut être sujette à caution ? Y ont-ils parfois songé ? 

Ils auraient alors le soutien de tous leurs lecteurs qui ne demandent pas mieux que de découvrir dans leurs quotidiens les résultats de réelles investigations indépendantes et aussi complètes que possible.

Evidemment, cela implique de rompre avec l'establishment et prendre le risque de lui déplaire.

Mais si de toute façon, même en étant servile, le journaliste n'est plus au-dessus des lois et peut se voir lui aussi convoquer par la police ou la gendarmerie pour répondre de plaintes pour diffamation, pourquoi ne pas tenter l'expérience ?

 

 

https://www.letelegramme.fr/opinions/a-nos-lecteurs-une-pression-inedite-sur-les-journalistes-de-votre-quotidien-6571771.php

[À nos lecteurs] Une pression inédite sur les journalistes de votre quotidien

 

Par Samuel Petit

Cinq journalistes du Télégramme ont été auditionnés en quelques mois. Une pression que nous souhaitons dénoncer.

 

[À nos lecteurs] Une pression inédite sur les journalistes de votre quotidien
(Photo Le Télégramme)

 

La séquence est inédite. En moins d’un an, cinq journalistes du Télégramme ont été convoqués et entendus par la police ou la gendarmerie dans le cadre de leurs fonctions. Cette pression sur notre rédaction n’a jamais été aussi forte depuis la création de votre journal. Nous sommes enclins à penser qu’elle traduit une forme de défiance à l’égard du travail de journalistes professionnels, qui agissent pourtant dans un cadre légal et réglementaire bien charpenté dans notre pays.

Première semonce en mai 2023 : une journaliste de notre rédaction de Lorient est convoquée par l’Inspection générale de la police nationale au commissariat de la ville. Le délit présumé ? Recel de violation du secret de l’instruction. En d’autres termes, l’accusation porte sur la publication d’informations dont nous aurions disposé grâce à une personne ayant violé le secret de l’instruction. La volonté de pression sur une journaliste professionnelle ne fait pas de doute.

Second épisode, en ce mois d’avril : la convocation de trois de nos journalistes, co-auteurs d’un article mettant en cause un élu finistérien. Là encore, trois auditions suite à une plainte pour diffamation. Audition, relevé d’empreintes… La procédure certes, mais, là encore, une pression réelle et contestable.

Enfin, une dernière affaire dont on peine à mesurer l’enjeu. Notre photographe, auteur de la photo prise par drone de l’église incendiée de Bringolo dans les Côtes-d’Armor, suspecté d’utiliser son engin volant sans respecter la loi, a été convoqué ces derniers jours par une brigade de gendarmerie. Entendons-nous bien : les drones sont devenus suspects en cette période de menace d’attentats et c’est normal. Au point de mobiliser la justice sur l’improbable infraction d’un journaliste connu et reconnu dans la région, disposant des autorisations requises ?

« Le rôle des journalistes n’est pas de relayer une communication maîtrisée des pouvoirs publics mais d’informer les citoyens. »

Cette série malencontreuse de convocations et auditions ne vise malheureusement pas que Le Télégramme. Ces derniers mois, des confrères d’autres titres de presse régionale ont subi le même sort. Cette pression intervient dans un contexte bien identifié : difficultés croissantes d’accès aux sources policières, de gendarmerie et judiciaires, corsetage de la communication dans certains parquets, volonté des ministères régaliens de maîtriser depuis Paris l’information sur les troubles à l’ordre public, difficile accès aux données publiques huit ans après la mise en application de la loi pour une République numérique… Qu’elle soit le fruit du zèle de certains ou d’une réelle volonté politique, cette pression est hors de propos à l’heure où l’État s’interroge sur l’avenir des médias d’information.

Pourtant, plus que jamais, le droit à l’information est essentiel. Il ne doit en rien être entravé par ceux qui disent la loi et la font appliquer. Enquêtes empêchées ou abandonnées, affaires dissimulées… Le rôle des journalistes n’est pas de relayer une communication maîtrisée des pouvoirs publics mais d’informer les citoyens. À l’heure où élus ou fonctionnaires seraient toujours plus tentés d’assurer eux-mêmes leur transmission d’informations, bien souvent sur des plateformes sociales américaines voire chinoise, rappelons aujourd’hui que la mission d’information relève des médias et des journalistes professionnels dont les rôles sont établis et reconnus.

 

Olivier Cuzon chez Mediapart avec sa convocation à la police...


https://www.mediapart.fr/journal/france/240424/gerald-darmanin-porte-plainte-en-personne-contre-un-syndicaliste-brestois

Gérald Darmanin porte plainte en personne contre un syndicaliste brestois

Pour un article mettant en doute le « républicanisme » de certains « képis » sur la base de diverses enquêtes de presse, dont certaines de Mediapart, le syndicaliste Olivier Cuzon a été convoqué au commissariat de Brest. La plainte en diffamation émane de Gérald Darmanin en personne.

Mathilde Goanec

« C’est une feuille de chou notre truc, on se demande un peu pourquoi le ministre en personne s’occupe de ça. » À sa grande surprise, Olivier Cuzon, enseignant et syndicaliste brestois chez Sud Éducation, a été convoqué le 19 avril dernier au commissariat de Brest, à la suite d’une plainte de Gérald Darmanin pour diffamation et injure publiques à l’encontre de la police et de la gendarmerie nationales. « Je me suis alors gratté la tête, pour savoir ce que j’avais pu faire ou dire, en manif, le mégaphone à la main, bien que ça ne soit pas trop mon genre… », se remémore le militant.

 

Je ne lirai pas la suite pour 1€, le début me suffit, je suis déjà morte de rire...

Très probablement, c'est donc lui et quelques complices de l'extrême-gauche brestoise qui sont revenus lire l'unique article de mon blog lui étant consacré jusqu'au 20 avril dernier, lequel datait du 8 décembre 2015 :

- une lecture le 15 avril,

- une autre le 18 avril,

- encore une le 19 avril,

- 16 lectures le 20 avril, enregistrées dans la matinée, avant ma première publication de ce jour,

- une lecture le 21 avril,

- une lecture le 25 avril,

soit un total de 21 lectures depuis le 15 avril dernier, pour 268 lectures depuis la publication de l'article.



 

Voilà l'article :

https://satanistique.blogspot.com/2015/12/olivier-cuzon-militant-de-la-gauche.html

Ils devaient chercher un article plus récent susceptible de les éclairer sur la plainte du ministre ou de les aider à y répondre...

Et ce sont eux qui me traitent de paranoïaque...

Ils sont totalement paranos.

Par ailleurs, on notera, comme d'habitude, la levée de boucliers médiatiques dès que l'un d'entre eux commence à voir le début des prémices d'un quelconque souci qui puisse lui advenir, tandis qu'à l'inverse, ils estiment toujours avoir tous les droits à l'encontre de leurs victimes diverses et variées, notamment celui de les faire taire de manière ultra-violente, tout en les discréditant avec des "biographies" entièrement fausses.


Lire ou relire :

http://satanistique.blogspot.com/2024/04/une-plainte-du-ministre-gerald-darmanin.html

http://satanistique.blogspot.com/2024/04/des-soutiens-brestois-du-syndicaliste.html

http://satanistique.blogspot.com/2024/04/affaire-olivier-cuzon-deja-un-tres-long.html

http://satanistique.blogspot.com/2024/04/affaire-olivier-cuzon-le-figaro-retient.html

http://satanistique.blogspot.com/2024/04/affaire-olivier-cuzon-article-douest.html

http://satanistique.blogspot.com/2024/04/encore-un-soutien-pour-olivier-cuzon.html

http://satanistique.blogspot.com/2024/04/de-la-police-des-moeurs.html

http://satanistique.blogspot.com/2024/04/au-tour-de-mathilde-panot-detre.html

http://satanistique.blogspot.com/2024/04/insoumises-multiplication-des.html


mercredi 24 avril 2024

Spammeur toujours là...

Et toujours sur les deux mêmes articles...


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mardi 23 avril 2024

Insoumises : multiplication des convocations par la police

 

 

Hu ! Hu !

Moi, ça va, je n'ai toujours eu que des contrats de travail en bonne et due forme. 

Comme "sale pute de femme ingénieure volant la place des hommes dans le travail", certes, mais au moins, je ne m'en suis jamais cachée, j'ai toujours signé.

A mon humble avis, on va encore avoir quelques surprises avec les clandestines :



Lire ou relire :

http://satanistique.blogspot.com/2024/04/une-plainte-du-ministre-gerald-darmanin.html

http://satanistique.blogspot.com/2024/04/des-soutiens-brestois-du-syndicaliste.html

http://satanistique.blogspot.com/2024/04/affaire-olivier-cuzon-deja-un-tres-long.html

http://satanistique.blogspot.com/2024/04/affaire-olivier-cuzon-le-figaro-retient.html

http://satanistique.blogspot.com/2024/04/affaire-olivier-cuzon-article-douest.html

http://satanistique.blogspot.com/2024/04/encore-un-soutien-pour-olivier-cuzon.html

http://satanistique.blogspot.com/2024/04/de-la-police-des-moeurs.html

http://satanistique.blogspot.com/2024/04/au-tour-de-mathilde-panot-detre.html


7 octobre : démission du chef du renseignement militaire israélien

 

 

Même moi j'avais été avertie sur mon petit blog quasi confidentiel par des messages concomitants des réquisitions complètement folles pour la décision de justice associée me concernant, rendue le 6 octobre 2023.

En provenance de Djeddah, ces commentaires avaient été postés sur l'unique article de mon blog où le conflit Israël-Palestine ait jamais été évoqué.

Ici :

https://satanistique.blogspot.com/2016/07/en-2010-et-2011-les-chinois-de.html?showComment=1694723146443#c2568771744402911778


Traduction :

Entreprise d'assainissement
Drainage des égouts


Et dès le 7 octobre, le terroriste en chef Pascal Edouard Cyprien Luraghi, dont les textes sont laborieusement peaufinés durant plusieurs jours, postait sur son blog un article intitulé "Les salauds de la vie" et illustré par la photographie d'un rat mort signifiant qu'il se réjouissait du "drainage des égouts" entrepris le même jour.

 

A lire ou à relire :

http://satanistique.blogspot.com/2024/04/de-la-police-des-moeurs.html


Au tour de Mathilde Panot d'être convoquée par la police...

Celle d'Olivier Cuzon à Brest s'inscrit bien dans la même série :

http://satanistique.blogspot.com/2024/04/de-la-police-des-moeurs.html

Ce n'est pas direct, mais en définitive, c'est bien aussi de cela qu'il s'agit : mine de rien, il venait d'affirmer ou de réaffirmer un droit de viol et de terrorisme islamiste en se défendant assez maladroitement d'être misogyne, raciste ou nazi (non, non, ce n'est pas moi qui le suis, ce n'est pas l'extrême-gauche qui peut l'être, ce sont les militaires qui nous empêchent d'aller fomenter tout un tas de rébellions armées à travers le monde... et jusque sur le sol français, dans nos collèges et lycées publics où l'on manipulait tranquillement des hordes de jeunes influençables depuis tellement d'années... par exemple quand on s'amusait à amener des manifestations lycéennes hurler des insanités sous les fenêtres de Petitcoucou avant que la police ne nous ramène dans le cortège, sous Jack Lang et Jean-Luc Mélenchon à l'Education nationale, ou bien encore quand on a tiré parti du procès qu'on a fait à Petitcoucou en 2013 pour expliquer à nos élèves ce qu'il en coûte d'être assez méchant pour avoir toujours les meilleures notes à l'école...).

 

Lire ou relire :

http://satanistique.blogspot.com/2024/04/une-plainte-du-ministre-gerald-darmanin.html

http://satanistique.blogspot.com/2024/04/des-soutiens-brestois-du-syndicaliste.html

http://satanistique.blogspot.com/2024/04/affaire-olivier-cuzon-deja-un-tres-long.html

http://satanistique.blogspot.com/2024/04/affaire-olivier-cuzon-le-figaro-retient.html

http://satanistique.blogspot.com/2024/04/affaire-olivier-cuzon-article-douest.html

http://satanistique.blogspot.com/2024/04/encore-un-soutien-pour-olivier-cuzon.html

 

 

https://rmc.bfmtv.com/actualites/police-justice/lfi-mathilde-panot-egalement-convoquee-par-la-police-pour-apologie-du-terrorisme_AN-202404230497.html

LFI: Mathilde Panot convoquée par la police pour "apologie du terrorisme"

 
LP avec CP

Mathilde Panot le 19 décembre 2023 à l'Assemblée nationale

Mathilde Panot le 19 décembre 2023 à l'Assemblée nationale - Ludovic MARIN / AFP

 
Après Rima Hassan, la présidente du groupe LFI à l'Assemblée nationale Mathilde Panot est également convoquée par la police judiciaire pour être entendue dans le cadre d'une enquête pour "apologie du terrorisme".

Après Rima Hassan, Mathilde Panot est elle aussi convoquée par la police judiciaire de Paris pour "apologie du terrorisme". "J’ai reçu ce jour, de la Direction de la Police Judiciaire de Paris une convocation pour être entendue dans le cadre d’une enquête pour 'apologie du terrorisme'", indique la présidente du groupe LFI à l'Assemblée nationale dans un communiqué.

"J’alerte solennellement sur cette instrumentalisation grave de la justice visant à bâillonner des expressions politiques, ajoute Mathilde Panot. Le régime macroniste aura transgressé toutes les limites imaginables. C’est donc la première fois dans toute l’histoire de la Cinquième République qu’une présidente d'un groupe d’opposition à l’Assemblée nationale est convoquée pour un motif aussi grave sur la base d’accusations fallacieuses. Plus inquiétant encore, cette convocation se fonde sur une communication officielle du groupe datant du 7 octobre."

"Nous ne nous tairons pas"

"Nous ne nous tairons pas, assure la présidente du groupe LFI à l'Assemblée. Aucune convocation, aucune intimidation de quelque nature que ce soit ne nous empêchera de protester contre le génocide en cours contre le peuple palestinien. J’appelle tout un chacun à prendre conscience de la mesure des atteintes alarmantes contre la liberté d’opinion et contre la démocratie."

Le 7 octobre, le groupe LFI avait publié un texte qui avait suscité la polémique car il mettait notamment en parallèle l'attaque du Hamas, décrite comme "une offensive armée de forces palestiniennes" et "l'intensification de la politique d'occupation israélienne" dans les territoires palestiniens.

La militante franco-palestinienne Rima Hassan, candidate aux élections européennes en septième position sur la liste de La France insoumise conduite par Manon Aubry, a reçu une convocation de la police le 19 avril, pour "apologie publique du terrorisme (…) commise au moyen d'un service de communication au public en ligne". Elle doit être entendue, librement, à la fin du mois. Les faits qui lui sont reprochés auraient été commis entre le 5 novembre et le 1er décembre. "Je me sens sereine et combative, a affirmé Rima Hassan. Sereine car j'estime n'avoir rien à me reprocher, m'être toujours exprimée de manière critique à la fois envers le Hamas et son mode opératoire terroriste mais aussi d'Israël. Et je suis très combative car je crois que ce sont des manoeuvres politiciennes."

"Un évènement sans précédent" pour Jean-Luc Mélenchon

Sur X, le leader de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon dénonce "un évènement sans précédent dans l'histoire de notre démocratie". "Comme les interdictions de conférences et les condamnations de syndicalistes ont pu se faire sans trop de solidarité, comme certains médias ont concentré leurs coups sur nous sans opposition, l'extrême-droite avance, écrit l'ancien candidat à la présidentielle. Les associations amies de Netanyahu osent porter plainte contre la présidente de notre groupe parlementaire à propos de son communiqué du 7 octobre. La police convoque sans état d'âme à tour de bras une liste que l'on dit très longue. Toute la sphère politique et intellectuelle anti génocide est menacée. Un événement sans précédent dans l'histoire de notre démocratie. On sait dorénavant qui menace la liberté de conscience et pourquoi: protéger un génocide!"

LP avec CP

 

De la police des moeurs...

 

 

Aujourd'hui, les femmes ont accès aux mêmes écoles et emplois d'ingénieurs que les hommes. Ce sont des droits qu'elles ont acquis de manière très progressive des années 1920 jusqu'aux années 1970. En parallèle, on a vu apparaître un nouveau genre de "prostituée", c'est la "sale pute de femme ingénieure qui vole la place des hommes dans le travail".

En conséquence de quoi, de nouvelles "chasses à la femme" ont aussi été ouvertes, mettant à peu près tout le monde d'accord, sauf les intéressées.

Interrogez Olivier Cuzon, Arnaud Hell, Josette Brenterch, etc... ils vous répondront tous en choeur que oui, effectivement, les femmes ingénieurs sont des prostituées. Pour commencer, elles n'ont pas l'intelligence pour être ingénieures, tout le monde le sait. Donc, nécessairement, elles couchent pour obtenir des avis contraires, et ce sont donc bien des prostituées, dont la présence dans les entreprises est un véritable scandale, d'où les chasses auxquelles ils se livrent tous, qu'ils se disent de gauche, de droite, du centre ou d'ailleurs.

Dans l'hypothèse où Olivier Cuzon connaîtrait des policiers ou des gendarmes qui tout comme ses très proches amis de l'extrême-gauche brestoise Arnaud Hell et Josette Brenterch soutiendraient que je suis une prostituée parce qu'ils n'ont jamais pu supporter qu'en réalité je sois ingénieure (j'ai bien été confrontée directement à ce type de policiers à Paris dans les années 1990), il ne peut pas les dénoncer comme misogynes, ce sont ses complices.

Ses dénonciations de gendarmes et policiers misogynes, nazis ou autres ne sont que postures : en affirmant tous ces gens misogynes ou autres de manière gratuite, sans en avoir jamais réellement dénoncé aucun pour de tels faits, il s'affirme lui-même non misogyne, non nazi, etc... ce qui est totalement faux.

A l'extrême-gauche, tout est factice, faux, mensonger, trompeur.

Voici l'article de Sud éducation 29 pour lequel Olivier Cuzon est poursuivi :

http://www.sudeducation29.infini.fr/spip.php?article4135

Publié le 12 octobre 2023, c'est une critique du dispositif des "classes défense sécurité globale", créé à l’issue des attentats de 2015 pour "renforcer les relations entre la défense et le système educatif suite aux attentats qui ont ensanglanté le pays, qui "ont porté atteinte aux valeurs de la République", appelant "de notre part des réponses qui passent par la connaissance, la compréhension, l’échange entre toutes les composantes de la communauté nationale"".

Pourquoi cette critique maintenant et pas plus tôt ? 

Je vois bien un rapport avec l'attaque du Hamas du 7 octobre 2023, associée à la décision prise la veille par des magistrates toutes complices de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest et de son obligé le malade mental et terroriste en chef Pascal Edouard Cyprien Luraghi, et ayant décrété, non seulement que j'étais bien une prostituée, puisque j'ai bien fait des études et toujours exercé comme ingénieur d'études en informatique tant que j'ai pu travailler, mais de plus, qu'une femme ingénieure qui conteste être une prostituée est une paranoïaque nécessitant des "soins" psychiatriques.

Pourritures !

En vérité, ils me reprochent toujours mon travail pour l'Armée de l'Air en 1993 et 1994, dont l'un des buts était de mettre fin à certains trafics d'armes qui arrangeaient bien leurs affaires.


lundi 22 avril 2024

Encore un soutien pour Olivier Cuzon...

Je vous rassure tout de suite, ce n'est toujours pas moi.

Cette fois-ci, c'est la FSU 29, et demain, nous aurons sans doute le comité Théodule et la kermesse de son quartier.

Sur la photo du Télégramme, on reconnaît Olivier Cuzon à droite, portant une doudoune jaune, et à gauche, vêtu d'un anorak bleu turquoise, c'est Arnaud Hell, assassin de toute ma famille - Joël Roma, qui a fait partie de leurs larbins de 1999 à 2005, m'a toujours dit que c'était bien celui-là le pire lorsqu'en 2006 il a commencé à me parler de toutes leurs réunions internes à mon sujet, pour briefer tous les militants sur mon compte (prostituée, débile mentale, folle à lier, etc...) et leur indiquer comment se comporter avec moi (très clairement, comment me harceler), à compter de début 2004 lorsque j'avais commencé à participer aux activités de l'association AC ! Brest, où j'en rencontrais quelques-uns.

Arnaud Hell est prof d'économie à la retraite, tout comme Josette Brenterch, et Olivier Cuzon est prof de physique et chimie.

Le premier est aussi connu pour s'être fait virer du lycée de l'Harteloire dans les débuts de sa carrière en raison d'une affaire de moeurs et certains m'ont rapporté avoir eu la honte de leur vie en sortant avec lui en 2005 en raison de son comportement avec les femmes et les jeunes filles dans la rue, comme quoi il ne s'était pas encore calmé...

La seconde est une alcoolique notoire.

Enfin, chose intéressante, avec ce communiqué de la FSU 29, on en arrive aux attentats de janvier 2015 dont ils furent les organisateurs avec le malade mental et terroriste en chef Pascal Edouard Cyprien Luraghi :

Pour la FSU, « il y a dans cette plainte une atteinte intolérable à la liberté d’expression d’un journal syndical, qui par principe a une expression engagée. Après les attentats de 2015, le pays était réuni pour défendre la liberté de la presse sous la bannière "Nous sommes tous Charlie". Manifestement, cet attachement à une liberté fondamentale en démocratie est à géométrie variable ».

Ces attentats avaient pour but de préparer ma condamnation en appel à Rennes dans le cadre de la procédure abusive que m'avait intentée la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest à compter du mois d'août 2011. Mon co-accusé et co-condamné de première instance, OverBlog, se défendait publiquement en arguant sur la liberté d'expression, tandis qu'en réponse, le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi publiait des articles rageux intitulés "Je hais la liberté d'expression" ou "La liberté d'expression c'est la haine", et subitement, à compter de mai 2014, disparaissait de la toile pour n'y revenir qu'en décembre 2014, ses attentats de janvier 2015 étant fin prêts. Comme tout le monde l'avait tout de suite très bien compris, leur thème était la liberté d'expression, qu'ils entendaient voir restreindre, mais ils avaient obtenu au contraire des manifestations en faveur de la liberté d'expression. On sent bien poindre l'aigreur à ce sujet dans le communiqué de la FSU 29 soutenant aujourd'hui Olivier Cuzon : « Manifestement, cet attachement à une liberté fondamentale en démocratie est à géométrie variable ».


https://www.letelegramme.fr/finistere/brest-29200/nouveau-soutien-au-syndicaliste-brestois-olivier-cuzon-apres-la-plainte-de-darmanin-6570303.php

Nouveau soutien au syndicaliste brestois Olivier Cuzon après la plainte de Darmanin

Dans un communiqué, la FSU 29 « exprime son soutien indéfectible à Olivier Cuzon et à Solidaires 29 » après la plainte pour diffamation visant le directeur de publication du journal de Sud Éducation.

 

Un comité de soutien réunissant des militants syndicaux (FSU, SUD/Solidaires, CGT, FO) mais aussi de la Ligue des droits de l’Homme ou de LFI a apporté leur soutien à Olivier Cuzon, vendredi 19 avril 2024, à sa sortie du commissariat de Brest.
Un comité de soutien réunissant des militants syndicaux (FSU, SUD/Solidaires, CGT, FO) mais aussi de la Ligue des droits de l’Homme ou de LFI a apporté leur soutien à Olivier Cuzon, vendredi 19 avril 2024, à sa sortie du commissariat de Brest. (Le Télégramme/Didier Déniel)

 

Nouveau témoignage de soutien à l’adresse d’Olivier Cuzon, visé par une plainte pour « diffamation et injure publiques à l’encontre de la police et de la gendarmerie » de la part du ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin. Entendu par la police pour un de ses écrits dans la lettre interne de Sud Éducation, le secrétaire de Solidaires 29 a été convoqué le vendredi 19 avril 2024 au commissariat de Brest.

 

« Une liberté fondamentale »

Un comité de soutien, réunissant des militants syndicaux (FSU, Sud/Solidaires, CGT, FO) mais aussi de la Ligue des droits de l’homme ou de LFI, était à la sortie de l’audition.

Pour la FSU, « il y a dans cette plainte une atteinte intolérable à la liberté d’expression d’un journal syndical, qui par principe a une expression engagée. Après les attentats de 2015, le pays était réuni pour défendre la liberté de la presse sous la bannière "Nous sommes tous Charlie". Manifestement, cet attachement à une liberté fondamentale en démocratie est à géométrie variable ».

Il y a dans cette plainte une atteinte intolérable à la liberté d’expression

Au-delà, poursuit le syndicat, « cette plainte s’inscrit dans un contexte plus global de tentatives de censure contre des militants qui s’expriment librement pour faire connaître leurs analyses politiques et leurs mandats. Aussi, la FSU 29 exprime son soutien indéfectible à Olivier Cuzon et à Solidaires 29 ».


Affaire Olivier Cuzon: article d'Ouest France sur ses soutiens

C'est le meilleur des soi-disant "démocrates" de la région...

Il n'y a là que des fonctionnaires qui tous rêvent depuis des lustres pour leur pays et tous les autres d'un "tout-Etat" à la mode soviétique qu'ils ont quasiment réalisé à Brest.

Et l'on sait depuis très longtemps ce qu'ils font de la liberté d'expression :

http://satanistique.blogspot.com/2022/02/la-censure-en-toute-illegalite-une.html

Strictement aucun droit pour leurs victimes, donc.

En revanche, pour eux, la liberté d'expression, de harcèlement, de calomnie publique, de menaces de mort et autres, de viols et d'assassinat, est sans aucune limite.


 

https://www.ouest-france.fr/economie/syndicats/une-vague-de-soutien-apres-la-plainte-a-lencontre-du-syndicaliste-brestois-olivier-cuzon-e95b0a7e-0082-11ef-a017-98428192dcc2

Une vague de soutien après la plainte à l’encontre du syndicaliste brestois Olivier Cuzon

Vendredi 19 avril 2024, Olivier Cuzon, enseignant et syndicaliste brestois, était convoqué au commissariat de Brest (Finistère) pour une plainte déposée à son encontre. Un article paru sur le site Sud éducation 29, dont il est le directeur de la publication, serait l’objet de la procédure en cours. Ce week-end, les messages de soutien n’ont pas cessé, notamment des politiques et des associations finistériennes.

 

Olivier Cuzon a été convoqué au commissariat de Brest.
Olivier Cuzon a été convoqué au commissariat de Brest. | ARCHIVES OUEST-FRANCE
 

« L’opportunité de cette démarche de la part de Gérald Darmanin interroge », peut-on lire dans un communiqué de presse du Parti socialiste du Finistère. Des messages de soutien, comme celui-ci, sont arrivés par vague ce week-end après la convocation d’Olivier Cuzon, syndicaliste et enseignant à Brest, au commissariat de la cité du Ponant, vendredi 19 avril 2024.

Une plainte a été déposée pour « diffamation et injure publique à l’encontre de la police et de la gendarmerie », après la publication d’un article sur le site Sud éducation 29, dont il est le directeur de la publication. Il y critique des dérives qui existeraient dans les « classes défense sécurité globale » (CDSG).

La procédure émanerait du ministre de l’intérieur lui-même, Gérald Darmanin. « Combien de temps allons-nous encore devoir supporter ces mesures liberticides qui mettent à mal notre démocratie, menacée partout ailleurs dans le monde ? », s’insurge, de son côté, l’Union démocratique bretonne (UDB) du Pays de Brest.

« Cela devrait révolter tout démocrate »

Des politiques et associations finistériennes s’inquiètent du contexte actuel, qui ne serait pas favorable aux militants. « Les différentes pressions, annulations, menaces à la liberté d’expression politique, syndicale, associative se multiplient dans notre pays et cela devrait révolter tout démocrate », analyse les Écologistes de Brest.

Ils s’insurgent également des menaces qui planent sur la liberté de la presse. « C’est la liberté de la presse qui est aussi en ligne de mire, Olivier Cuzon étant mis en cause en tant que directeur de la publication syndicale », avance la section du Parti communiste français (PCF) du pays de Brest.

Faut-il supprimer l’aide médicale d’État (AME), qui permet aux étrangers en situation irrégulière d’être soignés en France ?

Le procureur de la République de Brest devra trancher entre classer, ou non, cette plainte.

Les partis politiques et associations qui ont apporté leur soutien : la fédération du Finistère du Parti Socialiste, la section UDB-Pays de Brest, la section de Brest métropole de la Ligue des droits de l’homme, les Écologistes de Brest, LFI - Nupes Brest, L’Autre gauche Brest nouvelle citoyenneté (BNC), la section du pays de Brest du PCF, la FSU 29.

 

dimanche 21 avril 2024

Affaire Olivier Cuzon : Le Figaro retient qu'il est soutenu par la LDH

Cependant, la section brestoise de la LDH n'a plus depuis bien longtemps de Ligue des Droits de l'Homme que le nom...

C'est pourquoi Olivier Cuzon, qui par le passé y était violemment opposé comme tous ses camarades de la gauche "radicale", en fait lui-même partie depuis maintenant plusieurs années : ce n'est tout simplement plus la LDH, c'est autre chose.

Son représentant actuel, Pierre Bodenez, est chef de service psychiatrique à l'hôpital psychiatrique de Bohars, du CHU de Brest, ce même hôpital qui n'a jamais respecté aucun droit humain ni aucune des lois accordant spécifiquement des droits aux personnes qui y sont "hospitalisées", s'était fait épingler à ce sujet en 2021 par le Contrôleur général des lieux de privation de liberté, et au lieu de tenir compte de ses critiques, avait au contraire justifié tous les moyens inhumains employés par son personnel et signifié au public qu'ils seraient maintenus...

Voir ici :

http://satanistique.blogspot.com/2021/07/a-brest-lhopital-psychiatrique-de.html

Voir également à propos de son supérieur hiérarchique Michel Walter, chef du pôle psychiatrie du CHU de Brest, et dont la complicité avec le pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi pour toutes ses exactions à mon encontre est bien établie :

http://satanistique.blogspot.com/2022/03/je-ferais-peur-michel-walter.html

Un ancien directeur de cet hôpital dans les années 1990, Christian Barthes, avait fini par en être expulsé au printemps 2002 après avoir déjà été révoqué de la fonction publique en 1999, puis poursuivi pour de multiples infractions pénales ayant toutes conduit à des condamnations confirmées en appel pour des faits de proxénétisme aggravé, faux et usage de faux, violences diverses, avec armes pour certaines, dénonciations calomnieuses et faux témoignages, usurpations de titres, outrage à agent de police dans l'exercice de ses fonctions, etc... 

S'il fut le seul à être poursuivi et condamné, il n'était pour autant pas le seul coupable de tous ces faits, notamment ceux de proxénétisme aggravé, la direction du CHU de Brest étant également impliquée par fourniture ou mise à disposition de moyens, et ceux de détournement et harcèlement de mineures d'un foyer de l'enfance du Finistère pour lesquels il n'a jamais été poursuivi en dépit de la plainte déposée contre lui par le responsable de ce foyer se plaignant aussi qu'il l'avait menacé de lui faire perdre son emploi en cas de plainte de sa part à propos des détournements de mineures sous sa responsabilité : la preuve en est l'utilisation de cette plainte dans le cadre de seules poursuites pour usurpation de titre du fait qu'il n'était plus directeur hospitalier lors de son dépôt et se prévalait toujours de cette qualité dans le cadre de ses interventions au foyer de l'enfance concerné et auprès de ses mineures pour en faire des prostituées qu'il fournissait en drogues récupérées sur les saisies de la police, sans compter qu'il se prévalait aussi pour ces activités de l'appui du Conseil Général du Finistère...

Son successeur Etienne Morel fut notamment, quant à lui, très impliqué dans l'affaire du chirurgien pédophile Joël Le Scouarnec.

Encore très récemment, ils ont travaillé à verrouiller complètement leur système de fabrication de prostituées :

https://satanistique.blogspot.com/2024/02/sandrine-rousseau-la-rescousse-des.html

https://satanistique.blogspot.com/2024/02/et-hop-michel-walter-en-echo-sandrine.html

https://satanistique.blogspot.com/2024/02/gerard-miller-sandrine-rousseau-michel.html

https://satanistique.blogspot.com/2024/02/sante-mentale-des-jeunes-filles-apres.html

https://satanistique.blogspot.com/2024/02/sandrine-rousseau-et-les-psychiatres.html

https://satanistique.blogspot.com/2024/02/pedocriminalite-et-psychiatres-violeurs.html

https://satanistique.blogspot.com/2024/04/pedocriminalite-sandrine-rousseau-sen.html

Nous avions là et nous avons toujours, très clairement, une bande de criminels, de violeurs, d'assassins. Peu m'importe qu'Olivier Cuzon, Pierre Bodenez ou d'autres n'aient jamais violé ni tué personne, ils sont bien tous complices de tous les crimes commis en bande organisée ou en association de malfaiteurs par certains des leurs. C'est un système mafieux, ils sont tous dedans à se serrer les coudes mutuellement.


https://www.lefigaro.fr/actualite-france/gerald-darmanin-porte-contre-un-syndicaliste-pour-diffamation-20240421

Gérald Darmanin porte plainte contre un syndicaliste pour «diffamation»

 

Olivier Cuzon, directeur de publication du journal du syndicat Sud-Éducation dans le Finistère, a été mis en cause pour un article publié en octobre qui s'interrogeait sur la pertinence des «classes défense, sécurité globale».

Le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, a porté plainte contre un syndicaliste breton qui a été entendu vendredi en audition libre pour «diffamation et injure publiques envers la gendarmerie nationale et la police nationale», a-t-on appris dimanche auprès du militant. Une source proche du dossier a confirmé à l'AFP ce dépôt de plainte pour diffamation émanant du ministre de l'Intérieur.

Le militant, Olivier Cuzon, a été mis en cause en sa qualité de directeur de publication du journal du syndicat Sud-Éducation dans le Finistère, tiré à un millier d'exemplaires et dupliqué sur le site internet de l'organisation, a-t-il expliqué à l'AFP. «J'ai été entendu vendredi au commissariat de Brest par la brigade criminelle (...) Une plainte déposée au nom du ministre de l'Intérieur en personne, je ne m'y attendais pas, il y a une volonté d'intimidation», a déclaré ce professeur de physique-chimie dans un lycée de Brest.

Non signé car «rédigé collectivement», l'article contesté, publié en octobre, s'interrogeait sur la pertinence des «classes défense, sécurité globale», décidées par le gouvernement après les attentats de 2015. Il en évaluait le nombre à 500, «concernant 12.500 élèves». L'article relevait la nature de certains «ateliers» menés dans ce cadre, tels que «fouille de cellule pénitentiaire, tir au pistolet laser».

Ce questionnement est important quand on connait la culture droitière, misogyne et homophobe sous de trop nombreux képis

Extrait de l’article contesté

Il se demandait s'il ne fallait pas voir dans ces classes «une forme d'endoctrinement, un patriotisme désuet et résolument réactionnaire?», poursuivant : «Ce questionnement est important quand on connait la culture droitière, misogyne et homophobe sous de trop nombreux képis». Il mentionnait différentes affaires évoquées dans la presse sur «l'existence de groupuscules nazis dans certaines casernes, les groupes de discussions racistes des policiers et gendarmes».

Cette plainte de Gérald Darmanin a suscité des réactions de soutien à Olivier Cuzon dans le Finistère de la part de personnalités politiques, de syndicats et d'associations. Dans un communiqué, la section locale de la Ligue des droits de l'homme (LDH) «s'inquiète de l'atteinte au droit à l'expression critique de mesures gouvernementales et du comportement de certains membres des forces de l'ordre» et «s'indigne de cette atteinte aux droits fondamentaux d'une presse libre et indépendante».

Selon le ministère des Armées, ces «classes défense» ont «un triple objectif : contribuer à la cohésion nationale, promouvoir l'esprit de défense et garantir l'attractivité des métiers des armées». Après l'audition du syndicaliste, il appartiendra au procureur de classer sans suite ou de poursuivre, a rappelé Olivier Cuzon.

 

Affaire Olivier Cuzon : déjà un très long plaidoyer journalistique en sa faveur...

Il n'est sorti du commissariat que depuis deux jours à peine, et c'est déjà le délire...

La presse nationale aussi s'y est mise...

Pour commencer, il s'étonne que sa feuille de chou à diffusion restreinte, Sud éducation 29, quand même tirée à un millier d’exemplaires et dupliquée sur le site internet de l’organisation (cf. ci-dessous article de Libération), ait pu faire l'objet d'une plainte du ministre de l'Intérieur.

Et alors ? Vous m'avez bien harcelée de dénonciations calomnieuses et procédures abusives à répétition pour un blog qui au mieux de sa forme n'attirait en moyenne pas plus d'une centaine de lecteurs par jour, dont la presque totalité me venait des blogs où vous me calomniez quotidiennement avec tous les jours de nouvelles inventions toutes plus incroyables les unes que les autres, sans compter les menaces de viol, les menaces de mort, les appels au meurtre et au viol, notamment sur des sites islamistes, avec la révélation publique de mon identité et de toutes mes coordonnées, et la publication très régulière de contenus de mes conversations téléphoniques et autres toutes illégalement écoutées ou piratées, et quantité d'autres informations, vraies ou fausses, relevant toutes à l'évidence de l'intimité de ma vie privée - blog "Un petit coucou" chez OverBlog où je me contentais de publier des droits de réponse afin de rétablir a minima la vérité concernant ma propre biographie, à la suite de vos campagnes de calomnies publiques et nominatives massives, véritablement phénoménales.

Ensuite, Olivier Cuzon arguë sur le texte qui lui est reproché comme injurieux et diffamatoire à l'égard des forces de l'ordre :

"La plainte voudrait laisser penser qu’on s’attaque à l’institution, s'agace-t-il. Ce n’est pas le cas de l’article qui cible un certain nombre de dérives individuelles, racistes, sexistes ou homophobes. C’est un travail qui a été documenté par des journalistes, des sociologues et on ne fait que rapporter quelque chose qui existe."

"Je trouve particulièrement dommage que le ministre, au lieu d’essayer de faire le ménage et de faire la chasse à ces groupuscules qui entachent l’image de la Police, s’attaque à des syndicalistes qui dénoncent des faits qui sont avérés et connus."

MDR !!!

Le problème, connard, c'est que ta feuille de chou n'est destinée qu'à tes collègues du 29. Cela signifie que tu n'as aucune défense sérieuse si tu n'es pas capable de donner des exemples précis illustrant tes propos concernant des dérives individuelles ou de groupe racistes, sexistes, homophobes ou autres dans le 29.

Si par contre tu connais effectivement des individus ou des groupuscules qui entachent l'image de la Police ou celle de la Gendarmerie dans le 29, il va falloir que tu les balances, mais il t'appartenait de les avoir déjà dénoncés pour que les autorités aient pu faire le ménage. Pourquoi ne l'as-tu jamais fait ?


https://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/finistere/brest/un-syndicaliste-brestois-vise-par-une-plainte-du-ministre-de-l-interieur-on-cherche-a-nous-faire-taire-2958731.html

Un syndicaliste brestois visé par une plainte du ministre de l’Intérieur, "on cherche à nous faire taire"

 

Ce 19 avril 2024, Olivier Cuzon était convoqué pour une audition au commissariat de Police de Brest. Le syndicaliste brestois y a appris qu’une plainte avait été déposée contre lui pour diffamation et injure publique envers la Police et la Gendarmerie et que cette plainte émanait du ministre de l’Intérieur en personne, Gérald Darmanin. En cause, un article dans le journal de Sud éducation du Finistère.

"Le journal de Sud éducation Finistère, c’est un tout petit journal qui est envoyé dans les salles des professeurs des écoles, collèges, lycées du département, ironise Olivier Cuzon. C’est une feuille de chou sans prétention. C’est quand même très étonnant qu’un ministre de l’Intérieur prenne la peine de déposer une plainte contre le directeur de rédaction que je suis pour un journal qui a une audience très modeste et limitée, c’est beaucoup d’honneurs qu’il nous fait."

Des classes défense qui interrogent l’enseignant

Dans cette "feuille de chou", en octobre 2023, l’enseignant brestois s’étonnait de l’apparition des Classes défense sécurité globale. "Après les attentats de 2015, explique l’article, un protocole a été signé entre le Ministère de l’Education nationale et celui de la défense". Des militaires sont donc appelés à venir dans les salles de classe pour enseigner aux élèves les principes et valeurs de la République.

Le professeur persiste et signe : "C’est un article qui questionne la légitimité des policiers et des gendarmes à intervenir devant nos élèves. Je considère qu’en tant qu’enseignant cela fait partie de nos missions".

Lire : "Liberté, égalité, laïcité", quand l'école redonne du sens aux valeurs de la République et à la laïcité

Et il s’étonne, "l’éducation civique, ce n’est pas forcément à des gens en uniforme de s’en occuper et de faire quelque chose qui pourrait être assimilé à une forme d’endoctrinement ou de militarisation. C’est avant tout aux enseignants de travailler avec les élèves sur ces questions qui sont importantes."

Une forme de militarisation de la jeunesse ?

Olivier Cuzon fait le lien avec le Service national universel que le ministère souhaite étendre à l’ensemble d’une classe d’âge. Il y voit une volonté d’une forme de militarisation de la jeunesse. "Ces 15 jours où les élèves font le lever du drapeau, apprennent à tirer, pourraient être pris sur du temps scolaire. Nous, on pense que ces 15 jours à l’école sont au moins aussi importants que 15 jours pour aller faire un petit service militaire dans les casernes."

Il rappelle que dans tous les cours, les enseignants abordent les notions d’instruction civique, d’éducation à la citoyenneté, de valeurs de la République. "On n’a pas besoin de policiers ou de militaires dans les écoles pour ça. On remet en cause leur légitimité, ils ne sont pas formés pour cela. Ils sont formés pour d’autres missions, qui sont toutes aussi importantes, mais pas pour des missions d’éducation auprès des élèves."

Entendu pendant une heure par les policiers

Une remise en cause qui n’aurait donc pas été du tout au goût du ministre de l’Intérieur, mais c’est surtout le paragraphe sur des dérives des membres des forces de l’ordre qui l’aurait fait sortir de ses gonds. Il y est écrit : " Ce questionnement est important quand on connaît la culture droitière, misogyne et homophobe sous de trop nombreux képis. Les enquêtes de Médiapart révélant l’existence de groupuscules nazis dans certaines casernes, les groupes de discussions racistes des policiers et gendarmes, ou la participation récente de militaires en civil à la répression des dernières émeutes de banlieues ne plaident pas en faveur du républicanisme des militaires."

Sollicité, le cabinet du ministre explique que "l' auteur de cet article accuse des militaires de la gendarmerie nationale d'appartenir à des "groupuscules nazis", de participer, ainsi que des policiers, à des "groupes de discussions racistes " et leur attribue une culture"misogyne" et "homophobe". De telles allégations ou imputations sont de nature à porter atteinte à l'honneur ou à la considération de l'ensemble des militaires de la gendarmerie nationale et des fonctionnaires de la police nationale", et justifie la plainte, "ces propos rendus publics caractérisent le délit de diffamation publique à l'encontre des administrations publiques de la gendarmerie nationale et de la police nationale, délit prévu et réprimé par le premier alinéa de l'article 29 et l'article 30 de la loi du 29 juillet 1881 relative à la liberté de la presse."

Lire : Violences urbaines à Lorient. Gérald Darmanin reconnait que des militaires "ont prêté main-forte" aux forces de l'ordre

Olivier Cuzon a été entendu pendant plus d’une heure par les policiers. "La plainte voudrait laisser penser qu’on s’attaque à l’institution, s'agace-t-il. Ce n’est pas le cas de l’article qui cible un certain nombre de dérives individuelles, racistes, sexistes ou homophobes. C’est un travail qui a été documenté par des journalistes, des sociologues et on ne fait que rapporter quelque chose qui existe."

Lire : Rennes : commission de discipline pour des policiers ayant tenu des propos racistes, homophobes et sexistes

"Je trouve particulièrement dommage que le ministre, au lieu d’essayer de faire le ménage et de faire la chasse à ces groupuscules qui entachent l’image de la Police, s’attaque à des syndicalistes qui dénoncent des faits qui sont avérés et connus."

Atteinte à la liberté syndicale

Le procureur de la République de Brest devra décider de poursuivre l'enseignant ou de classer la plainte du ministre de l'Intérieur. Mais quoi qu’il arrive, pour Olivier Cuzon, le mal est fait. Il parle d’atteinte à la liberté syndicale et de pressions.

"On a tendance à penser que le ministre de l’Intérieur a d’autres chats à fouetter. C’est déstabilisant de se voir infliger une plainte par le ministre de l’Intérieur, on se demande ce qu’on a fait de vraiment très mal pour subir cela."

 

 

"On cherche à faire taire une liberté de parole syndicale alors que c'est un pilier de notre démocratie. On voudrait nous empêcher de parler de choses qui fâchent. Et au-delà de cette atteinte aux libertés fondamentales, c’est un petit coup de pression. On utilise la diffamation comme une arme pour faire taire des syndicalistes, parce que c’est vrai que la prochaine fois qu’on rédigera un article, on aura forcément ça en tête, comme une épée de Damoclès, en se disant, mais attention, là, est ce que je ne vais pas être attaqué".

"On a l’impression qu’il y a une police politique qui cherche à museler un peu une presse libre. C’est une presse d’opinion la presse syndicale, mais on ne s’en cache pas, elle a le mérite d’exister et ça fait partie des grandes libertés constitutionnelles."

"On ne se laissera pas intimider, on ne va pas se laisser faire, on va se bagarrer parce qu’on tient à ces libertés et ce n’est pas un ministre qui fait la loi en France, j’ai toute confiance dans la justice de mon pays et à l’Etat de droit pour que les faits soient rétablis et que justice soit faite."  

De nombreux soutiens

Le syndicaliste a reçu de nombreux soutiens, politiques, associatifs. La Ligue des Droits de l’homme de Brest Métropole évoque une atteinte à la liberté de la presse. Pierre Bodenez son président n’hésite pas lui aussi à parler de "coup de pression" et de "risque d’autocensure."

Un contexte liberticide

Olivier Cuzon ne cache pas une certaine inquiétude. "Il y a une dérive liberticide dans ce pays, déclare-t-il. Dans la semaine, un syndicaliste de la CGT du nord de la France a été condamné pour un tract sur la Palestine, des meetings sont interdits, des libertés associatives sont remises en cause par des subventions qui sont supprimées du jour au lendemain parce que le discours de telle ou telle association ne plaît pas, regrette-t-il. On sent un Etat qui veut s’immiscer de plus en plus dans la vie associative, dans la vie syndicale et qui aimerait bien que les associations soient plus le doigt sur la couture du pantalon."

Mais il l’affirme, cela ne sera pas le cas. "On garde notre liberté, ça fait partie des libertés fondamentales et on se bagarrera pour les faire vivre. "

(avec Florence Malésieux)


https://www.liberation.fr/societe/police-justice/gerald-darmanin-porte-plainte-contre-un-syndicaliste-breton-pour-diffamation-20240421_MATQCCWOE5AMFFKA3DDURMFK64/

Gérald Darmanin porte plainte contre un syndicaliste breton qui avait dénoncé «la culture misogyne et homophobe» dans la gendarmerie

 

Le ministre de l’Intérieur a porté plainte contre le militant Olivier Cuzon, entendu vendredi en audition libre pour «diffamation et injure publiques envers la gendarmerie nationale et la police nationale», a-t-on appris dimanche 21 avril auprès du syndicaliste.

par LIBERATION et AFP

publié aujourd'hui à 15h38

«Il y a une volonté d’intimidation.» Le syndicaliste breton Olivier Cuzon a fait part de sa stupéfaction, lui qui est visé par un dépôt de plainte pour diffamation émanant du ministre de l’Intérieur. Une action en justice confirmée par une source proche du dossier à l’AFP ce dimanche 21 avril.

Olivier Cuzon a été mis en cause en sa qualité de directeur de publication du journal du syndicat Sud-Education dans le Finistère, tiré à un millier d’exemplaires et dupliqué sur le site internet de l’organisation, a-t-il expliqué. «J’ai été entendu vendredi au commissariat de Brest par la brigade criminelle […] Une plainte déposée au nom du ministre de l’Intérieur en personne, je ne m’y attendais pas.», a déclaré ce professeur de physique-chimie dans un lycée de Brest.

Un article sur les classes défense dans le viseur

Non signé car «rédigé collectivement», l’article contesté, publié en octobre, s’interrogeait sur la pertinence des «classes défense, sécurité globale», décidées par le gouvernement après les attentats de 2015. Il en évaluait le nombre à 500, «concernant 12 500 élèves».

L’article relevait la nature de certains «ateliers» menés dans ce cadre, tels que «fouille de cellule pénitentiaire, tir au pistolet laser». Il se demandait s’il ne fallait pas voir dans ces classes «une forme d’endoctrinement, un patriotisme désuet et résolument réactionnaire ?», poursuivant : «Ce questionnement est important quand on connaît la culture droitière, misogyne et homophobe sous de trop nombreux képis.» Il mentionnait différentes affaires évoquées dans la presse sur «l’existence de groupuscules nazis dans certaines casernes, les groupes de discussions racistes des policiers et gendarmes».

Cette plainte de Gérald Darmanin a suscité des réactions de soutien à Olivier Cuzon dans le Finistère de la part de personnalités politiques, de syndicats et d’associations. Dans un communiqué, la section locale de la Ligue des droits de l’homme (LDH) «s’inquiète de l’atteinte au droit à l’expression critique de mesures gouvernementales et du comportement de certains membres des forces de l’ordre» et «s’indigne de cette atteinte aux droits fondamentaux d’une presse libre et indépendante».

Selon le ministère des Armées, ces «classes défense» ont «un triple objectif : contribuer à la cohésion nationale, promouvoir l’esprit de défense et garantir l’attractivité des métiers des armées». Après l’audition du syndicaliste, il appartiendra au procureur de classer sans suite ou de poursuivre, a rappelé Olivier Cuzon.