François Cuillandre sera
prochainement cité à comparaître devant le tribunal judiciaire de Brest
pour injure publique. Nazim Yenier, le fondateur d'un collectif contre
l'insécurité, a engagé une procédure contre le maire après leur
accrochage verbal en plein conseil municipal le 6 février.
"Derrière le masque du berger se cache l'extrême droite turque la plus violente qui puisse exister." C'est
par cette phrase que le maire (PS) de Brest François Cuillandre avait
mis fin à l'intervention impromptue de Nazim Yenier en pleine séance du conseil municipal le 6 février 2024.
À la tête du collectif "les Bergers du quartier" qu'il a fondé en 2021,
il venait de prendre la parole depuis les rangs du public pour fustiger
l'inaction - selon lui - de la municipalité après le dramatique
accident qui a coûté la vie à Cécile Le Lirzin, 84 ans, renversée par
deux jeunes à moto le 23 mars 2023 à Pontanézen. Le militant de 43 ans
n'en est pas à son coup d'essai : il multiplie les vidéos dénonçant la délinquance et l'insécurité à Brest.
Un procès d'ici trois mois
Ulcéré
par l'attaque gratuite - et selon lui infondée - de François
Cuillandre, Nazim Yenier avait exigé en vain des excuses publiques,
avant d'attaquer en justice par le moyen d'une citation directe. Ce
n'est donc pas le parquet qui a engagé les poursuites. Ce lundi à 13h30,
une audience de consignation fixera la date du procès, qui devra se tenir d'ici trois mois. "Il s'agit clairement d'une injure à caractère raciste, en plus de faire référence à des génocidaires", s'indigne l'avocat du plaignant, citoyen français depuis 2014. Me Pierre-Hector Rustique va jusqu'à qualifier le maire de "repris de justice".
Déjà condamné en novembre 2023 à 10.000 euros d'amende dont 7.000 avec sursis pour recel d'abus de confiance, François Cuillandre espère cette fois être relaxé.
Son avocat, Me Dominique Leyer, invoquera notamment l'article 10 de la
Convention européenne des droits de l'Homme, qui protège la liberté
d'expression. En cas de condamnation du maire, le plaignant envisage de
saisir le tribunal administratif de Rennes pour demander des dommages et
intérêts.
Le maire de Brest, François Cuillandre, convoqué au tribunal le 4 juillet pour diffamation
François
Cuillandre est convoqué devant le tribunal judiciaire de Brest le
4 juillet prochain, dans le cadre d’une procédure de citation directe
pour diffamation, engagée par le « Berger du quartier », après son
intervention en conseil municipal, en février.
La
raison : une phrase prononcée par le maire de Brest à l’encontre de
celui qui venait d’interpeller les élus de la majorité brestoise sur
leur peu de soutien envers Laurence Le Lirzin, dont la mère a été tuée en mars 2023 lors d’un rodéo urbain à Pontanézen.
« Qui se cache derrière le masque du berger ? Entre nous, l’extrême
droite turque la plus violente qui puisse exister », avait alors assuré
François Cuillandre au micro.
Pas de débat sur le fond
Des
propos « injurieux », selon Nazim Yenier, dont le conseil Pierre-Hector
Rustique a choisi d’engager une procédure de citation directe pour
diffamation. Ce lundi, pas de nouveau face-à-face devant le tribunal,
mais un simple impératif formel. La convocation des deux parties n’avait
pour but que de fixer le montant de la consignation assurant du sérieux
des démarches engagées par le demandeur.
Le débat de fond sera
renvoyé à l’audience de jugement, a rappelé le président Subts, avant de
proposer à François Cuillandre de s’exprimer. « Ces propos ont été
prononcés après perturbation de la salle du conseil municipal, ce qui
est interdit par le Code des collectivités territoriales », s’est
contenté de rappeler l’élu. La Ville avait, d’ailleurs, saisi le
procureur, après le conseil municipal du 6 février 2024.
Les
deux parties auront l’occasion de s’exprimer le 4 juillet 2024, lors de
l’audience de jugement. La consignation, quant à elle, a été fixée à 1
000 €.
Conflit entre le maire de Brest et le « Berger du quartier » : l’affaire renvoyée au 4 juillet
Le maire socialiste de
Brest (Finistère), François Cuillandre, s’est rendu au tribunal
correctionnel, ce lundi 6 mai 2024. Il fait l’objet d’une citation
directe après un conflit qui l’oppose à Nazim Yenier, surnommé le
« Berger du quartier ». L’audience de consignation a permis de fixer une
caution de 1 000 €. L’affaire est renvoyée au 4 juillet 2024.
Il est arrivé un peu avant le début de l’audience. François
Cuillandre, maire socialiste de Brest et président de Brest métropole
(Finistère), s’est déplacé au tribunal correctionnel, ce lundi 6 mai
2024, accompagné de son avocat, maître Dominique Leyer.
L’élu fait l’objet d’une citation directe devant le tribunal correctionnel, c’est-à-dire sans passer par un dépôt de plainte pour « diffamation envers un particulier par parole, écrit, image ou moyen de communication au public par voie...
Sauf exception, le Parti des Travailleurs (ou POI) a toujours fait bande à part, mais les autres n'en veulent jamais dans leurs rangs communs de toute façon. C'est ainsi que Joël Roma a pu y militer après s'être fait virer de la LCR en 2005 pour cause de désobéissance à la patronne Josette Brenterch, avant de finalement aller militer au Front national après le début des campagnes de calomnies publiques nominatives dont j'ai été victime sur Internet de la part de la même Josette Brenterch à compter de juin 2010 et qui l'avaient lui aussi quelque peu égratigné...
Une fois de plus, ce parti se démarque des autres avec ce soutien tardif aux militants et syndicalistes tous convoqués par la police ces derniers temps pour des auditions dans le Finistère, à Brest et à Quimper, et qu'il dit ainsi "criminalisés", comme s'ils ne l'étaient pas déjà avant toute convocation du seul fait de leurs innombrables actes criminels restant habituellement toujours impunis.
Prenons l'exemple de Roger Calvez, qui a longtemps été associé à Lydie Contignon, ancienne cadre infirmière à l'hôpital psychiatrique de Bohars, où elle a exercé durant plusieurs décennies.
C'est cette femme, adhérente à la CGT et militante au PT ou au POI de très longue date, qui en 2004 avait dit à mon sujet à une personne que j'avais l'occasion de rencontrer de temps en temps : "Méfie-toi d'elle, elle a la réputation d'avoir un QI d'au moins 250 !"
Je ne la connaissais pas, n'en avais jamais entendu parler, mais elle, par contre, semblait très bien renseignée à mon sujet. J'avais donc demandé à la rencontrer, ce qui me paraissait quand même assez naturel et légitime, j'aurais bien aimé savoir d'où elle tenait toutes ses informations me concernant et pouvoir en débattre avec elle. Réponse de l'intéressée : non, il n'en était pas question, mon intelligence était bien trop dangereuse pour elle...
Ben oui, tous ceux qui ont participé aux différentes tentatives d'assassinat dont j'ai été victime depuis les années 1990 le savent bien : ils se sont tous plus ou moins cassé les dents...
Voilà donc une femme qui, tout comme la criminelle Josette Brenterch et tous ses complices brestois et autres, savait pertinemment tous les crimes dont mes proches et moi-même étions victimes depuis des années et ne les a jamais dénoncés, bien au contraire...
Pourquoi ? Comment ? Nécessairement, elle en était bien a minima complice passive.
Le Parti des Travailleurs du Finistère condamne les auditions de manifestants et d’un syndicaliste
Dans un communiqué, le
Parti des Travailleurs du Finistère dénonce, samedi 4 mai 2024, la mise
en cause « des libertés démocratiques » dans le département. Il condamne
notamment l’audition de dix personnes en lien avec la manifestation de
défense de l’hôpital de Carhaix (Finistère) et celle du syndicaliste
brestois Olivier Cuzon.
Le Parti des Travailleurs du Finistère s’insurge dans un
communiqué de presse, transmis le samedi 4 mai 2024, de la remise en
cause « des libertés démocratiques » concernant des
militants et syndicats. Depuis quelques semaines, plusieurs personnes
ont été convoquées par les forces de l’ordre dans le département en lien
avec des manifestations mais aussi des écrits syndicaux.
À Brest (Finistère), c’est le syndicaliste Olivier Cuzon qui a été convoqué au commissariat de Brest (Finistère),
le vendredi 19 avril 2024, pour une plainte déposée à son encontre. La
parution d’un article sur le site Sud éducation 29, dont il est le
directeur de la publication, fait l’objet d’une plainte pour
« diffamation et injure publique à l’encontre de la police et de la
gendarmerie. »
« Le Parti des Travailleurs du Finistère apporte son
soutien aux militants incriminés et se prononce pour l’arrêt immédiat de
ces poursuites », conclut le communiqué.
Le
Parti ouvrier indépendant, absent de la campagne présidentielle,
présentera une candidate, Lydie Contignon, sur Brest-ville. Son but:
faire en sorte de ne pas ratifier le prochain traité européen.
Lydie Contignon et son suppléant, Roger Calvez, le
savent bien. Leurs chances électorales sont maigres mais cette campagne
représente pour eux et leur parti, le POI (*), une occasion en or pour
médiatiser «(leur) grosse motivation politique afin de pouvoir
développer (leur) analyse de ce que l'on appelle la crise». Car pour
eux, en effet, cette «crise n'est pas la nôtre et ses conséquences sont
uniquement liées aux choix monétaires» effectués depuis plusieurs
années. Aussi le parti entend-il mener campagne contre l'austérité qui
serait figée dans le traité européen de Bruxelles installant la fameuse
règle d'or. «Nous ne voulons pas l'amender avant ratification, nous
voulons le supprimer», certifie la candidate qui revendique
40.000pétitionnaires au niveau national («dont plus de 200 à Brest»).
«Rien ne pourra se faire en faveur des ouvriers si ce traité est
ratifié, poursuit-elle, car il conduirait à l'austérité et tout droit
vers la situation actuelle de la Grèce». Estimant pouvoir «faire bouger
les lignes et entamer un combat de classes», le POI préférerait sortir
de ce système afin «de rouvrir des classes qui ferment à Brest» mais
aussi parvenir à un retour du monopole d'État pour les industries de
l'armement. «Maastricht adéfait le statut de travailleur d'État, qui
tirait les salaires vers le haut», regrette Roger Calvez, qui se désole
du tournant pris par DCNS.
Nationalisations voulues
De
la même façon, le leadership local du POI préconise une vague de
nationalisations, notamment dans le secteur de l'industrie navale civile
mais aussi des banques, bien entendu. Prêt à s'allier avec qui se
battrait àses côtés contre le texte européen, le POI ne craint pas la
balkanisation des partis d'extrême-gauche pour ce scrutin. «De toute
façon, nous organiserons une manifestation contre le traité. Sielle est
commune, ce sera une victoire» pour Lydie Contignon et Roger Calvez, qui
veulent «constituer un point d'appui pour la classe ouvrière» au-delà
des échéances.
Initialement suppléante de Denis Breton, Lydie Contignon sera
finalement la candidate en titre pour le Parti ouvrier indépendant
(POI) dans la circonscription de Brest centre. Infirmière cadre à
l'hôpital de Brest, 54 ans, Lydie Contignon est membre du POI depuis sa
création en 2008. Elle militait auparavant au Parti des travailleurs.
C'est d'ailleurs sous cette étiquette qu'elle s'était présentée à la
législative de Brest rural en 1993.
Son suppléant est Roger Calvez, 59 ans. Technicien à
l'Université de Bretagne occidentale (UBO), Roger Calvez s'est également
présenté à plusieurs élections, cantonales, législatives ou
municipales, toujours à Brest.
Ce jeudi matin, à l'appel de la CGT, une dizaine
de personnes ont pris le départ de l'hôpital psychiatrique, à Bohars,
pour une marche de protestation.
« Nous ne sommes pas très nombreux. C'est un peu décevant », reconnaît Lydie Contignon, cadre de santé, qui a été infirmière à l'hôpital psychiatrique du CHRU durant trente-cinq ans.
Ce
jeudi matin, à l'appel de la CGT, ils sont une dizaine à dénoncer la
suppression annoncée de 7,65 postes équivalents temps plein d'infirmiers
au sein de l'établissement, dans le cadre d'un plan de retour à
l'équilibre budgétaire de l'hôpital brestois. Soit une baisse de 1.5%
des postes médicaux et paramédicaux (510 au total).
Des
soins thérapeutiques « transversaux » comme les ateliers poterie et
psychologie corporelle sont remis en cause. Les activités sportives sont
aussi sur la sellette. Un service de gérontologie psychiatrique serait
supprimé.
Pourtant, l'hôpital psychiatrique serait "excédentaire", selon Lydie Contignon.
Les
marcheurs doivent rejoindre la place de la Liberté, à Brest. Ils y
retrouveront d'autres syndicats et salariés de la Caf Assurance-Maladie
et d'autres organismes qui défendent la Protection sociale.
Hier, 300 personnes ont
manifesté contre le projet de budget de la Sécurité sociale. Dont des
infirmiers de l'hôpital psychiatrique, contre la fin d'un service et
d'ateliers thérapeutiques.
Ouest-France
Laurence GUILMO.
Modifié le Publié le
«Nous ne sommes pas très nombreux. C'est un peu décevant», reconnaît Lydie Contignon, cadre de santé, qui a été infirmière à l'hôpital psychiatrique du CHRU durant trente-cinq ans.
Pourtant, l'idée était originale. Hier matin, depuis Bohars, à
l'appel de la CGT, ils n'étaient qu'une dizaine de salariés à marcher
contre la suppression annoncée de 7,65 postes équivalents temps plein
d'infirmiers au sein de cet établissement. Restructuration qui entre
dans le cadre d'un plan de retour à l'équilibre budgétaire de l'hôpital
brestois, en déficit de 8,7 millions d'euros.
Cela représenterait 1,5 % des effectifs médicaux et paramédicaux(510 postes au total). « Pourtant, le pôle psychiatrique n'est pas déficitaire. On est même excédentaire! On ne comprend pas pourquoi un tel effort nous est demandé. »
Poterie et relaxation menacées
Dans le détail, quatre postes d'infirmiers officiant sur des
soins « transversaux » seraient supprimés. Concrètement, les ateliers
poterie et psychologie corporelle (relaxation) sont menacés. Or, ces
activités s'adressent à tous les patients. « La poterie concerne tous les jeunes et les adultes. Soit 600 personnes par an, indique Lydie Contignon. Au lieu de cinq jours par semaine, l'infirmier ne s'y consacrera qu'une demi-journée! »
Tennis, voile, foot, piscine... Les activités sportives sont
aussi sur la sellette avec la suppression du poste infirmier
coordinateur.
Quelles activités continueront d'être proposées aux patients ? « Il ne restera bientôt que l'ergothérapie ! On nous prend des outils de travail », déplore une infirmière. « Ces activités font partie du soin », insiste Lydie Contignon.
Autre remise en cause : le « tutorat », avec la disparition de deux postes infirmiers. «
Jusqu'à présent, les jeunes diplômés sont accompagnés par des
infirmiers expérimentés en soins psychiatriques. C'est important car la
formation à la psychiatrie s'est réduite comme peau de chagrin dans les
écoles d'infirmiers.»
Il est aussi prévu de fermer le service de géronto-psychiatrie « Al Lann 2 ». Soit 25 lits en moins. « En contrepartie, l'autre service de gérontologie psychiatrie sera renforcé mais de trois nouveaux lits seulement.» Une infirmière du service ajoute : «
Les visites à domicile seront renforcées. Mais sera-t-il possible de
garder chez elles des personnes dont beaucoup souffrent d'Alzheimer.Qui va les accueillir sinon ? »
Il y a aussi 0,40 % en moins pour l'équipe d'infirmiers remplaçants. La suppression d'un poste de médecin serait « en pourparlers ». La direction du CHRU devait rendre sa décision mi-novembre. Tous les services sont concernés par le plan de restructuration.
Le
Parti de gauche et le Parti ouvrier indépendant font alliance pour les
départementales. La liste d'extrême gauche présente des candidats sur
deux cantons, à Saint-Marc - Kérichen et à Brest Centre - Recouvrance.
Le Parti ouvrier indépendant (POI) et le Parti de
gauche (PG) ont signé un accord commun pour les départementales. Les
deux points forts de cette alliance d'extrême gauche sont le refus de la
politique d'austérité mené par l'Union européenne et le refus de la
réforme territoriale. Les candidats se disent également motivés par «
l'appel d'air » qu'a créé en Europe l'élection de Syriza en Grèce. Leur
liste s'appelle « République une et indivisible ». Ils présentent deux
binômes, l'un à Saint-Marc - Kérichen et l'autre à Brest Centre -
Recouvrance. Les candidats sur Saint-Marc - Kérichen. Roger
Calvez (POI) et Katell Terrien (POI) sont les deux candidats de la
liste « République une et indivisible » sur le canton de Saint-Marc.
Dominique Ronceray (POI) et Hervé Julien (PG) se présentent en tant que
remplaçants. Il s'était déjà présenté à plusieurs élections, dont les
cantonales de 2011 : Roger Calvez, 61 ans, retraité de la fonction
publique, travaillait à l'Université de Bretagne occidentale en tant que
technicien informatique. Katell Terrien a 38 ans, elle est employée de
commerce et habite à Landerneau. C'est sa première candidature. Les candidats sur Brest Centre - Recouvrance. À
Brest Centre - Recouvrance, les candidats sont Françoise Sage (POI) et
Quentin Marchand (PG). Ils ont pour remplaçants Lydie Contignon (POI) et
Antoine Larfoui (PG). Françoise Sage a 64 ans, elle est retraitée de la
fonction publique. Elle s'était déjà présentée aux cantonales en 2008
et aux élections législatives en 1997. Quentin Marchand est âgé de 29
ans, il est assistant d'éducation et s'était présenté aux élections
municipales de 2014. Les grands points du programme. La
liste d'extrême gauche défend la lutte contre l'austérité et s'oppose à
la réforme territoriale. Ses membres sont également inquiets des
regroupements de communes au sein de communautés d'agglomération. Leur
programme se concentre également sur la sauvegarde des services publics
de proximité, la lutte contre l'étalement urbain en zone agricole et la
possibilité de révoquer des élus.
C'est amusant, on trouve plusieurs de ces articles, en ce moment.
A l'âge indiqué dans celui-ci, je ne me contentais pas de faire de beaux dessins. Entre autres choses, je confectionnais moi-même les vêtements de mes poupées, avec lesquelles je ne jouais pas, d'ailleurs, cela m'ayant totalement passé depuis la maternelle. Bien entendu, je n'avais pas de patron, je créais mes propres modèles et m'appliquais à faire tout comme les vrais dans les moindres détails, comme par exemple les pieds de col et poignets de chemises.
Alors, quel QI ?
Je précise quand même que ma mère avait commencé à me faire coudre à l'âge de deux ans, d'abord des boutons sur des tricots, et j'en décorais tout un tas de tricots...
Et puis, contrairement au malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, aux deux parents gravement déficients, comme il le dit lui-même dans tous les écrits publics qu'il leur a consacrés, j'ai eu deux parents à QI élevés eux aussi. A moins d'accidents graves, lesquels ne se sont jamais produits, ils ne pouvaient donc pas faire de leurs enfants des débiles mentaux...
Voilà, donc : dotée dès la naissance, non pas d'une petite cuillère en argent dans la bouche, mais d'une bonne hérédité, j'ai aussi reçu une bonne éducation, intelligente, avec une maman qui avait déjà une grosse expérience des enfants et de leur éducation, à la fois comme enseignante et comme animatrice de colonies de vacances. Rien à voir avec la mal Renée et son mal René...
Pour savoir si votre enfant est surdoué, soyez attentif à
ses dessins : ces petits détails à observer
Les dessins ou les peintures peuvent révéler le haut
potentiel intellectuel des enfants. Selon cette étude néerlandaise, il
suffirait de jeter un œil à leurs œuvres d'art et d'observer si ces
détails y figurent.
Les parents sont toujours fiers de savoir que leur enfant
est doué : certes, ils doivent souvent les aider à s'adapter à leur
environnement, mais ils sont aussi rassurés quant aux capacités qu'ils
peuvent développer, notamment à l'école. Pour savoir si un enfant est
précoce, surdoué ou à haut potentiel intellectuel (HPI), des tests de QI
sont généralement préconisés. Mais selon une étude néerlandaise, il
suffirait de proposer aux enfants de faire un joli dessin ou une belle
peinture, et d'observer ensuite le résultat. Les scientifiques de
l'Université Radboud, aux Pays-Bas, ont ainsi séparé 120 enfants âgés de
7 à 9 ans en deux groupes, dont un avec 47 enfants ayant un QI de plus
de 130, et leur ont demandé de dessiner une personne en dix minutes.
Résultat : les dessins des enfants doués étaient très particuliers par
rapport à ceux des autres enfants.
En effet, les enfants surdoués pensent différemment, et voient des
choses, des détails, qui ne semblent pas avoir autant d'importance pour
les autres enfants de leur âge. Au total, tous les enfants ont ajouté
quelques détails à leurs dessins comme des boucles d'oreilles ou des
piercings au nez, mais trente accessoires ne se retrouvaient que dans le
groupe de petits artistes HPI. Selon les auteurs de l'étude, ces
détails peu communs pourraient donc typiques des enfants HPI.
Alors, qu'ont-ils dessiné au juste ? Les personnages dessinés
avaient la tête positionnée sur le côté, les mains dans les poches ou
derrière le dos, des mamelons, une petite barbe, des poils sur les bras
ou encore des taches de rousseur. D'autres enfants y ont ajouté des
accessoires sur les chaussures comme des lacets, des éperons sur les
bottes de cowboy, des gants, des ailes, des bretelles, une cravate, un
anneau, un badge. On retrouve aussi des dessins très colorés, et
certains enfants ont ajouté d'autres détails : du maquillage pour les
yeux, un cadre autour de la figure, une chaîne de portefeuille, des
organes génitaux, une queue, des ongles, des pieds avec des orteils,
d'autres personnages, mais aussi un animal ou une mouche.
Comme on peut le voir, tout est dans le détail. Mais cela ne veut pas
dire que les enfants de l'autre groupe n'ont pas d'imagination : ces
derniers ont, eux aussi, ajouté leur petite touche détaillée : un
piercing au nez, un genou, une fermeture éclair sur les chaussures et
des lignes très droites. Selon les chercheurs, ces détails doivent
attirer l'attention lors des examens permettant de déterminer si un
enfant est doué, mais cette étude mérite aussi d'être appuyée par
d'autres recherches, notamment sur le temps de réalisation de la
silhouette qui n'a pas été prise en compte dans le cadre de cette
étude.
Combien d'attentats commis sur le sol français par des Chinois ?
Combien d'ingénieurs français assassinés par des Chinois ?
Le reportage d'Envoyé Spécial me rappelle l'époque où, particulièrement dans les années 1990, mais encore dans les années 2000, ingénieur français ayant déjà fait l'objet de plusieurs tentatives d'assassinat, j'étais systématiquement poursuivie et encore menacée de mort jusqu'au commissariat ou au tribunal où je tentais de m'en plaindre, notamment à Paris, par les "polices" étrangères qui avaient déjà tenté de m'assassiner et ne me lâchaient toujours pas.
Rebelote à partir des années 2010, les "polices" étrangères des deux décennies précédentes ayant été remplacées par la bande des "déconnologues" du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi.
Je n'ai jamais vu nulle part aucun reportage sur ces assassinats d'ingénieurs français, chez eux, en France, par des "polices" étrangères, ou celle constituée par ce malade mental et ses divers complices.
N.B. : J'ai eu plusieurs polices secrètes sur les talons, étrangères et françaises, mais jamais de Chinois, hormis une fois, en 1994, à Paris, un type qui ressemblait à Jean-Claude Bonnal, dit le Chinois, sauf qu'à cette époque ce dernier était censé être en prison, donc ce n'était pas lui, à moins qu'on l'ait fait sortir pour commettre un crime, comme l'échappé de l'hôpital psychiatrique de Bohars du week-end dernier à Brest, ce qui ne peut être exclu.
6 juil. 2012 — François Cuillandre, le maire de Brest, était la semaine dernière en Chine, à Qingdao, pour renforcer les relations entre les deux villes.
8 nov. 2018 — Le maire de Brest, François Cuillandre, a accueilli le vice-maire de Qingdao (sur sa droite) et sa délégation venue avec de nouvelles idées de ...
4 juil. 2012 — Le président de BMO et maire de Brest François Cuillandre y a en effet tissé, en dix voyages, des liens privilégiés. Citoyen d'honneur de ...
3 juil. 2012 — Citoyen d'honneur de Qingdao - une reconnaissance rare en Chine - François Cuillandre a salué « les artisans de ce grand raid, ses vieux ...
30 déc. 2020 — À l'inverse, le professeur Hu Weiguo, natif de Qingdao, vit à Brest depuis près de 30 ans. Il est même un bon ami du maire François Cuillandre.
5 août 2012 — Pas étonnant que le maire de Brest, François Cuillandre, considère Qingdao comme « sa deuxième ville natale ». Il dit s'y être rendu dix ...
6 mai 2012 — Début juillet, François Cuillandre, maire de Brest, les rejoindra pour inviter officiellement le maire de Qingdao à participer aux fêtes ...
8 mai 2014 — Le
Pavillon International comporte plus de 36 jardins, dont un jardin a
été créé par la Communauté de Brest. Pour cette occasion, M. Cuillandre, ...