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dimanche 19 novembre 2023

Agnès Jaoui : "C'était le but du Hamas d'assassiner précisément ceux qui sont pour la paix."

Oui.

Les cibles des attentats islamistes commis depuis mars 2012 ont quasiment toutes des profils similaires : de gauche ou traditionnellement de gauche, y compris les militaires assassinés par Mohammed Merah, compte tenu de leurs origines, mais pas trop, ces personnes sont haïes par tous les extrémistes.

On rappelle au passage que les toutes premières attaques de la bande de cybercriminels dits "déconnologues" du terroriste islamiste Pascal Edouard Cyprien Luraghi contre des internautes avec lesquels j'avais tissé quelques liens en 2008 sur le site Rue89 eurent lieu dans les commentaires sous les articles de ce site consacrés au conflit Israël/Palestine, au cours de l'été 2008. Elles s'associaient à des commentaires aussi violents des mêmes "riverains" de Rue89 contre Charlie Hebdo nouvelle mouture et son dirigeant Philippe Val, notamment à propos de l'affaire Siné et de son licenciement le 15 juillet 2008, le tout sur fond de soutien à Denis Robert contre Clearstream et son avocat Richard Malka, dont Georges Cortez alias "Homere", qui dès l'année suivante se présentait comme bras armé du NPA en Thaïlande, appelait à couper les doigts, comme l'avaient fait au baron Empain ses ravisseurs en 1978.

Le même Denis Robert avait toujours été vilipendé, moqué ou méprisé par les militants de la LCR qui tous suivaient les avis d'Edwy Plenel à propos de Clearstream jusqu'en 2006 et n'avait acquis leur soutien qu'en fin d'année 2006, pour son rôle et ses tracas dans l'affaire dite Cleastream 2 n'ayant en vérité plus grand-chose à voir avec Clearstream, mais tout, par contre, avec les contrats d'armement Agosta et Sawari II signés en 1994 et les attentats islamistes déjà commis en France ou contre des Français depuis les années 1990.

Pour ce qui me concerne, je n'avais jamais participé à toutes ces discussions très conflictuelles de l'été 2008 sur le site Rue89 et me ferai attaquer par la bande de manière ouverte à partir de mon tout premier commentaire sur le sujet du harcèlement moral en entreprise sous un article du site y consacré début septembre 2008, comme rappelé ici le 28 avril dernier :

http://satanistique.blogspot.com/2023/04/debunker-le-mythomane-cyprien-luraghi.html

Le Rennais Dominique Le Brun alias "Charles Mouloud" (décédé récemment, le 24 septembre 2023, et né le 22 octobre 1958 à Douarnenez), un ancien Brestois proche des militants de la LCR de Brest et notamment de leur cheffe la criminelle Josette Brenterch, m'attaquait déjà de manière sournoise en me traitant d'"ultra-gauchiste" depuis le début de l'été 2008 et semblait être l'instigateur de cette violente attaque de septembre 2008 menée de concert avec le journaliste extrêmement pervers David Servenay.

Travailleur social militant en faveur des sans-papiers et dirigeant semble-t-il une agence Pôle Emploi de Rennes, il ne s'en expliquera que deux ans plus tard, qualifiant alors de "victimisation" toutes les dénonciations de victimes de harcèlement moral dans le travail, comprenant aussi, bien entendu, toux ceux que l'on qualifie désormais de "lanceurs d'alertes" (cliquer sur l'image pour l'agrandir et lire les textes) :

 

2010-06-23 A mes harceleurs- Serge Rodallec un inconnu, vraiment  - Un petit coucou


Quant à son ami et complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi, qui boudait le site Rue89 depuis le mois de mai 2008 et n'y fera un retour officiel qu'au mois de novembre 2008, pour m'attaquer directement dans les commentaires du site, où j'avais été autorisée à me réinscrire sitôt après la suppression de mon premier compte "existe" à l'issue de cette attaque de début septembre 2008, il commençait dès lors à me consacrer des articles de son blog dans lesquels il m'assimilait notamment à Charlie Hebdo (article du 11 septembre 2008 contenant plusieurs jeux de mots sur mon identité et fêtant également l'attentat du 11 septembre 2001) et à Nicolas Sarkozy, alors chef de l'Etat :

http://satanistique.blogspot.com/2023/04/macron-en-tique-chez-cyprien-luraghi.html

En outre, tout en se focalisant sur moi, renseigné à mon sujet par la criminelle Josette Brenterch de la LCR de Brest, il annonçait déjà mûrir tous ses projets futurs de terrorisme islamo-gauchiste :

http://satanistique.blogspot.com/2023/04/le-terroriste-cyprien-luraghi-plus.html

 

 

https://www.bfmtv.com/people/israel-hamas-l-emouvant-temoignage-d-agnes-jaoui-qui-a-perdu-deux-membres-de-sa-famille-dans-le-conflit_AN-202311190235.html

Israël-Hamas: l'émouvant témoignage d'Agnès Jaoui qui a perdu deux membres de sa famille dans le conflit

Jérôme Lachasse
La comédienne et réalisatrice Agnès Jaoui au festival de Cannes en 2019.

La comédienne et réalisatrice Agnès Jaoui au festival de Cannes en 2019. - Loïc Venance - AFP

L'actrice et réalisatrice raconte que plusieurs membres de sa famille du côté son père ont été assassinés et kidnappés depuis le début de la guerre opposant Israël au Hamas.

Agnès Jaoui confie ce dimanche dans les colonnes du Parisien que plusieurs membres de sa famille du côté son père ont été assassinés et kidnappés depuis le début de la guerre opposant Israël au Hamas.

L'adolescente Noya Dan, 13 ans, et sa grand-mère Carmela Dan, 80 ans, ont été tuées tandis que les jeunes Erez Kalderon, 12 ans, et Sahar Kalderon, 16 ans, et leur père Ofer Kalderon, 53 ans, ont été enlevés.

"On a appris que les corps de la grand-mère Carmela et sa petite fille Noya avaient été retrouvés à l’entrée de Gaza, grâce à un drone qui a permis de les identifier. On est toujours sans nouvelles d’Ofer, Erez, et Sahar", révèle-t-elle.

"Tristesse infinie"

L'actrice et réalisatrice du Goût des autres raconte qu'ils habitaient au kibboutz Nir Oz, à la frontière de Gaza. "C'est un kibboutz très à gauche, et ma famille y était pacifiste, travaillant avec les Palestiniens et œuvrant pour la paix", précise-t-elle.

"C'était le but du Hamas d'assassiner précisément ceux qui sont pour la paix, et de semer le chaos, dans les corps et les esprits", complète la comédienne qui refuse de se "laisser entraîner dans la haine".

Agnès Jaoui, dont une partie de sa famille vit encore sur place, raconte être dans "un état de vulnérabilité qu'(elle n'avait) jamais connu, et de tristesse infinie": "Je vois tout le monde se rejeter la faute, avec autant de sauvagerie que d'ignorance."

Et la comédienne d'ajouter: "Les Palestiniens eux aussi meurent et leurs maisons sont détruites, je le sais, et j'en suis profondément meurtrie, et pour l'instant nous sommes tous et toutes perdants."

Marche silencieuse

Elle soutient la marche silencieuse du monde de la culture qui aura lieu ce Paris. Son ambition: "Faire entendre ceux, qui, juifs, arabes, chrétiens, croient encore et toujours à une paix possible et refusent d’être dressés les uns contre les autres."

"J'ai surtout été choquée par le fait qu'avant même la réplique israélienne, certains aient cherché à justifier les massacres, à dire que c'était leur faute", dénonce encore Agnès Jaoui. "C’est faire preuve d’une telle ignorance et d’une telle inhumanité."

"Il y a beaucoup à dire sur le gouvernement Netanyahu et on a mille fois le droit de le critiquer, je suis la première à le faire, (mais) justifier l’injustifiable, parce qu’on est enfermé dans une idéologie, me glace", complète l'actrice.

Croire en une paix possible

Elle reste malgré optimiste et croit à une paix possible: "Je veux y croire, oui, même si aujourd'hui elle paraît loin. Je veux croire qu'arriveront des hommes, ou des femmes, en Israël comme en Palestine, capables de construire une paix stable et pérenne."

"Il existe des gens de bon sens, et modérés, qui œuvrent pour la paix", conclut-elle. "On ne les entend pas beaucoup. Ils ne crient pas comme les extrémistes (...) Ce sont eux qui m’intéressent, et qui feront le monde de demain."

https://twitter.com/J_Lachasse Jérôme Lachasse Journaliste BFMTV

 

jeudi 2 novembre 2023

A Brest, un juge à qui on ne la fait pas....

Ah oui, c'est vrai, je m'en souviens : les islamistes ? des histoires de cour de récré...

 

https://www.letelegramme.fr/finistere/brest-29200/au-tribunal-de-brest-ce-juge-a-qui-on-ne-la-fait-pas-6460820.php

Au tribunal de Brest, ce juge à qui on ne la fait pas

 

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Au tribunal judiciaire de Brest, son opiniâtreté est rarement prise en défaut. En poste depuis 2006, le magistrat Xavier Jublin, qui préside les audiences correctionnelles, a l’art subtil de détricoter chaque phrase pour sortir le prévenu du déni.

 

Le magistrat Xavier Jublin préside les audiences correctionnelles au tribunal judiciaire de Brest depuis 2006.
Le magistrat Xavier Jublin préside les audiences correctionnelles au tribunal judiciaire de Brest depuis 2006. (Photo Le Télégramme/Lionel Le Saux)

 

Si le port de la robe de justice rappelle l’autorité, encore faut-il savoir l’exprimer. Né à Saint-Mandé en 1964, Xavier Jublin, qui préside la chambre correctionnelle de Brest depuis plus de dix-sept ans, est des magistrats de cette étoffe. Il connaît la musique pour orchestrer toutes les partitions d’un débat pénal. Devenu magistrat en 1990 au terme de ses études de droit à Paris, l’homme sait jouer de sa voix et d’une gestuelle propre jusqu’à marquer les procès de son empreinte.