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samedi 24 mai 2025

Facteur Rhésus négatif : celui des extra-terrestres !

 

 

Extra ! C'est tout à fait moi !

Je n'ai jamais compté mes vertèbres, mais j'ai bien la colonne ultra souple. 

Ah, je suis contente de ma trouvaille du jour :

Je ne descends pas du singe, mais de l'anguille. Super !

La connasse d'écrevisse qui me lit plusieurs fois par jour peut toujours agiter ses grosses pinces, elle ne m'aura pas plus qu'elle ne l'a déjà fait :

https://satanistique.blogspot.com/2016/03/ecrevisse-de-forme.html

Ce serait même plutôt le contraire :

https://www.researchgate.net/figure/Anguille-utilisee-pour-reduire-les-populations-decrevisses-de-Louisiane-La-surface-a_fig8_316964956

 

Pierre-Yves Cadalen : « la démagogie ne fait pas une politique »

Certes, mais elle fait bien des hommes et des partis politiques, le sien pour commencer (LFI) - et des politiques de merde aussi, d'ailleurs, il y en a plein...

Je n'en reviens pas de la connerie de ce mec, à chaque fois qu'il ouvre la bouche, j'en reste médusée.

Sa fiche Wikipédia nous apprend qu'il est passé par le très chic lycée privé Sainte-Anne de Brest, comme Benoît Hamon et la juge ultra corrompue Céline Verdier (SM), dont la haine à l'égard des honnêtes gens est phénoménale, tandis que leur patronne à tous, celle de la LCR ou du NPA de Brest, la criminelle Josette Brenterch, qui a reçu une éducation catholique traditionnelle avec la messe tous les dimanches, est sortie, a priori, tout comme sa soeur, d'un lycée privé de Brest encore plus huppé, celui de la Retraite-Fénelon qui, de son temps, accueillait les jeunes filles de la plus haute bourgeoisie locale.

Voilà le profil de rigueur pour se faire un nom à l'extrême-gauche à Brest - n'y aurait-il pas un os quelque part ?

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre-Yves_Cadalen

Pierre-Yves Cadalen

Pierre-Yves Cadalen
Illustration.
Pierre-Yves Cadalen en 2019.
Fonctions
Député français
En fonction depuis le
(10 mois et 14 jours)
Élection 7 juillet 2024
Circonscription 2e du Finistère
Législature XVIIe (Cinquième République)
Groupe politique LFI
Coalition NFP
Commission Affaires étrangères
Prédécesseur Jean-Charles Larsonneur
Biographie
Date de naissance (32 ans)
Lieu de naissance Brest (France)
Nationalité Française
Parti politique PS (2010-2011)
PG (depuis 2013)
LFI (depuis 2016)
Diplômé de Université Paris-Sorbonne
Sciences Po
EHESS
Profession Enseignant vacataire

Pierre-Yves Cadalen, né le à Brest (France), est un homme politique français, député élu du Finistère depuis juillet 2024[1].

Biographie

Études et parcours professionnel

Pierre-Yves Cadalen est né le 9 juillet 1992 à Brest. Il est enseignant vacataire en sciences politiques et en relations internationales.

À la suite de l'obtention de son baccalauréat avec 20,08/20 au lycée privé Sainte-Anne à Brest, il se rend à Paris pour ses études[2]. En 2013, il est diplômé d'un Bachelor à l'Institut d'études politiques de Paris, et d'une licence de philosophie à l'université Paris-Sorbonne. Après une première année de master en philosophie contemporaine à l'EHESS, il obtient en 2015 un master de recherche en relations internationales, à l'Institut d'études politiques de Paris[3]. En novembre 2019, il finalise sa thèse sur les rapports de pouvoir liés à l’Amazonie en Équateur et en Bolivie[4], et valide son doctorat en sciences politiques, mention relations internationales.

Après avoir enseigné à l'Institut d'études politiques de Paris et à l'UPEC, il est professeur vacataire à l'université de Bretagne-Occidentale depuis 2022. Il s'intéresse notamment aux relations de pouvoir autour des communs environnementaux[3].


https://www.letelegramme.fr/finistere/brest-29200/police-municipale-a-brest-pour-le-depute-pierre-yves-cadalen-la-demagogie-ne-fait-pas-une-politique-6823185.php

Police municipale à Brest : pour le député Pierre-Yves Cadalen, « la démagogie ne fait pas une politique »

 
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Pierre-Yves Cadalen, député de Brest, reste contre la création d’une police municipale et dénonce une « surenchère sécuritaire à coups de solutions factices ».

 

Député de Brest, Pierre-Yves Cadalen, réagit sur le sujet d’une police municipale à Brest.
Député de Brest, Pierre-Yves Cadalen, réagit sur le sujet d’une police municipale à Brest. (Photo d’archives Le Télégramme/Lionel Le Saux)

 

À son tour, le député de Brest, Pierre-Yves Cadalen (LFI) réagit au sujet d’une police municipale à Brest. « Brest est la seule ville de plus de 100 000 habitants à ne pas disposer d’une police municipale. Est-elle pour cela moins sûre que les villes qui en disposent ? Non. La sécurité est un problème sérieux : elle implique des réponses sérieuses. Il faut rappeler qu’elle est une obligation républicaine qui incombe à l’État », insiste le député.

La suite est réservée à nos abonné(e)s.

 

Une attaque au couteau à Hambourg ce 23 mai 2025

Les autorités allemandes donnent à cette heure toujours très peu d'informations sur l'auteur des faits, une femme qui selon la police aurait pu agir « dans un état d’urgence psychiatrique »... sauf que j'ai bien eu la veille mon traditionnel avertissement, un petit pic de 364 consultations, assez modeste en comparaison de celui des 3 et 4 mai, mais quand même...

Depuis le 20 mai, je regardais les chiffres monter en attendant la suite...

La voilà donc qui s'étale à la Une de tous les journaux : un attentat aux Etats-Unis le 21 mai, et celui-ci hier soir à la gare de Hambourg...

 




https://www.leparisien.fr/faits-divers/allemagne-18-blesses-profil-de-la-suspecte-ce-que-lon-sait-de-lattaque-au-couteau-a-la-gare-de-hambourg-24-05-2025-RQFYAUX7BFC7LGQJCJEACXMY3I.php

Allemagne : 18 blessés, profil de la suspecte… Ce que l’on sait de l’attaque au couteau à la gare de Hambourg

Une femme de 39 ans a poignardé des passants « au hasard » sur un quai de la gare de Hambourg (Allemagne) vendredi soir, faisant 18 blessés. Elle est de nationalité allemande et pourrait présenter des troubles psychiatriques.

Une attaque au couteau a fait 18 blessés le 23 mai à la gare de Hambourg, en Allemagne. AFP/Jonas Walzberg
Une attaque au couteau a fait 18 blessés le 23 mai à la gare de Hambourg, en Allemagne. AFP/Jonas Walzberg

 

L’Allemagne de nouveau victime d’une attaque au couteau. Cette fois, elle s’est produite à la gare de Hambourg, deuxième ville la plus peuplée du pays, ce vendredi soir, faisant 18 blessés. Une suspecte, âgée de 39 ans, a été rapidement interpellée.

Que s’est-il passé ?

D’après la police locale, « une Allemande de 39 ans, agissant seule et apparemment au hasard, a poignardé des passants, blessant grièvement certains d’entre eux ». Selon un dernier bilan publié dans la nuit de vendredi à samedi, dix-huit personnes ont été blessées dans l’attaque, dont au moins quatre très grièvement.

L’attaque a entraîné une importante opération de secours. Des photos publiées par l’AFP montraient des blessés pris en charge sur des civières ainsi qu’un quai ferroviaire bouclé par les forces de l’ordre.

Qui est la suspecte ?

L’autrice présumée de cette agression a été arrêtée peu après les faits, en début de soirée, « sans opposer de résistance », selon la police. Les motifs de son geste restent à déterminer mais l’hypothèse d’un mobile politique n’est pas privilégiée, a indiqué un porte-parole de la police.

Pour l’heure, très peu d’informations sur elle n’ont filtré : elle est allemande et a 39 ans. D’après la police, elle se trouvait encore en garde à vue dans la nuit et « doit être présentée à un juge » ce samedi. Selon le journal allemand Bild, elle était connue des services de police. Elle aurait déjà été admise en hôpital psychiatrique par le passé.

« Nous n’avons, jusqu’à présent, aucune indication que la femme ait pu agir pour des motifs politiques », a indiqué sur la chaîne ARD le porte-parole de la police locale Florian Abbenseth, selon lequel les enquêteurs examinent la possibilité que la suspecte se soit trouvée « dans un état d’urgence psychiatrique ». Elle a « agi seule » s’en prenant aux voyageurs présents sur un quai de la gare centrale de la deuxième ville la plus peuplée d’Allemagne, très fréquentée en ce début de week-end.

Quelles sont les réactions ?

Le chancelier Friedrich Merz s’est dit « bouleversé » par cet acte de violence. « Mes pensées vont aux victimes et à leurs proches. Mes remerciements vont à toutes les forces d’intervention sur place pour la rapidité de leur aide », a-t-il également écrit sur le réseau social X.

Dans un communiqué rapporté par Bild, la Deutsche Bahn - la société allemande des chemins de fer - a fait part de sa « profonde consternation ». « Nos pensées et notre compassion vont aux blessés », écrit-elle.

Le maire de Hambourg Peter Tschentscher s’est pour sa part dit « choqué ». « De nombreuses personnes ont été blessées, certaines grièvement. Un grand merci à la police et aux services d’urgence pour leur intervention rapide », a-t-il écrit sur son compte X. « Je souhaite beaucoup de courage aux victimes du crime et j’espère que les blessés graves seront également secourus », a-t-il ajouté.

L’Allemagne a connu ces derniers mois plusieurs attaques meurtrières à l’arme blanche qui ont choqué le pays, ainsi que des attentats à motif djihadiste et des violences d’extrême droite qui ont mis au premier plan les questions de sécurité. Samedi dernier, quatre personnes ont été blessées lors d’une agression au couteau dans l’ouest du pays. L’auteur présumé est un Syrien de 35 ans arrêté par les autorités qui suspectent un attentat islamiste. Il avait frappé un groupe de personnes devant un bar du centre-ville de Bielefeld avant de prendre la fuite.

L’agression au couteau d’un écolier de 12 ans dans la cour de son école par un de ses camarades de 13 ans a également fait les gros titres de la presse cette semaine. Selon les statistiques de la police criminelle, quelque 8 900 agressions à l’arme blanche ont été commises en Allemagne en 2023, représentant un peu moins de 6 % de la catégorie des violences « ayant entraîné des blessures corporelles graves et dangereuses ».

 

https://www.lefigaro.fr/international/etats-unis-deux-personnes-tuees-par-balle-pres-du-musee-juif-de-washington-20250522

Employés d’une ambassade d’Israël tués à Washington : ce que l’on sait du drame


Les deux victimes, un homme et une femme, auraient été visées mercredi à l’extérieur du Musée juif de la capitale. Donald Trump a condamné ces «horribles meurtres» motivés par «l’antisémitisme».

Selon le quotidien israélien Yediot Ahronot, un homme et une femme ont été tués par balle mercredi 21 mai au soir à l’extérieur du Musée Juif de Washington, la capitale fédérale américaine, où se tenait un événement organisé par le Comité Juif Américain.

Selon la chaîne d’information en continu CNN, ces deux personnes seraient liées à l’ambassade d’Israël aux États-Unis. Le journaliste Barak Ravik, du média Axios, a précisé de son côté qu’ils avaient été abattus à bout portant.

Il s’agirait d’un jeune couple qui était «sur le point de se fiancer», a indiqué Yechiel Leiter, l’ambassadeur d’Israël aux États-Unis. «Un jeune homme a acheté une bague cette semaine avec l’intention de demander sa petite amie en mariage la semaine prochaine à Jérusalem. C’était un couple magnifique», a-t-il ajouté.

«Libérez la Palestine»

D’après des responsables interrogés par des médias locaux, un homme a été aperçu en train d’arpenter les abords de ce musée de la capitale américaine avant d’ouvrir le feu. Selon le récit recueilli par CNN d’un témoin présent sur place juste après la fusillade, après avoir tiré sur les deux victimes, le suspect aurait attendu l’arrivée de la police pendant dix minutes et se serait fait passer pour un témoin de la scène. Une fois interpellé, il aurait crié «Free Palestine» («Libérez la Palestine»).

Pamela Smith, chef du département de la police métropolitaine, a déclaré lors d’une conférence de presse qu’un suspect a été arrêté. «Nous pensons que la fusillade a été commise par un seul suspect, actuellement en garde à vue. Avant la fusillade, le suspect a été observé en train de faire les cent pas devant le musée», a-t-elle déclaré. L’homme, identifié comme étant Elias Rodriguez, 30 ans, est originaire de Chicago. «Il s’est approché d’un groupe de quatre personnes, a sorti une arme de poing et a ouvert le feu, touchant nos deux défunts», a complété Pamela Smith.

Le suspect actuellement interrogé par la police et le FBI

Selon Dan Bongino, le directeur adjoint du FBI, Elias Rodriguez, le suspect serait actuellement entendu par la police de Washington ainsi que par le FBI. «La fusillade a eu lieu à proximité de notre bureau de Washington. Nos agents du FBI sont immédiatement intervenus et ont porté secours après l’attaque. Les premiers indices suggèrent qu’il s’agit d’un acte de violence ciblée», a écrit Dan Bongino sur X. «Notre équipe du FBI est pleinement mobilisée et nous vous fournirons des réponses dans les meilleurs délais, sans compromettre la recherche de nouvelles pistes», a-t-il poursuivi.

Quelques minutes après le drame, le directeur du FBI, Kash Patel, avait confirmé que son équipe et lui-même avaient été informés de la fusillade. «Alors que nous travaillons avec la police métropolitaine pour réagir et en savoir plus, priez pour les victimes et leurs familles dans l’immédiat», a-t-il écrit sur X.

D’«horribles meurtres» motivés par «l’antisémitisme»

Donald Trump a aussitôt condamné ces «horribles meurtres» motivés par «l’antisémitisme». Le secrétaire d’État américain Marco Rubio a par la suite assuré que les autorités retrouveraient les responsables de la fusillade. «C’était un acte éhonté de violence lâche et antisémite. Ne vous y trompez pas : nous retrouverons les responsables et les traduirons en justice», a-t-il écrit sur le réseau social X.

«Deux membres du personnel de l’ambassade israélienne ont été tués de manière insensée ce soir près du musée juif de Washington. Nous enquêtons activement», a quant à lui écrit Kristi Noem, secrétaire à la sécurité intérieure des États-Unis, sur X.

La procureur générale des États-Unis Pam Bondi a déclaré de son côté être arrivée rapidement sur les lieux. «Je prie pour les victimes de ces violences alors que nous nous efforçons d’en savoir plus», a-t-elle simplement commenté, précisant s’être entretenue à plusieurs reprises avec Donald Trump par téléphone ces dernières heures à ce sujet.

«Ni la terreur ni la haine ne nous briseront»

Le président israélien Isaac Herzog a également réagi après l’attaque. «Je suis dévasté par les scènes à Washington DC. Il s’agit d’un acte méprisable de haine, d’antisémitisme, qui a coûté la vie à deux jeunes employés de l’ambassade d’Israël. Nos pensées accompagnent les proches des victimes et nos prières accompagnent les blessés. Je leur adresse mes sincères condoléances», a-t-il écrit sur X. Avant d’ajouter : «Nous soutenons l’ambassadeur et tout le personnel de l’ambassade. Nous soutenons la communauté juive de Washington et des États-Unis. L’Amérique et Israël resteront unis pour défendre notre peuple et nos valeurs communes. Ni la terreur ni la haine ne nous briseront.»

L’ambassadeur d’Israël auprès des Nations Unies, Danny Danon, a réagi aux informations relayées par les médias concernant la fusillade, déclarant dans un communiqué sur X : «La fusillade mortelle survenue en marge de l’événement qui s’est tenu au Musée juif de Washington, DC – au cours duquel des employés de l’ambassade d’Israël ont également été blessés – est un acte de terrorisme antisémite odieux.»

 

mercredi 21 mai 2025

A Rennes, des "antifascistes" empêchent une interpellation

Le Télégramme parle bien d'extrême-gauche, mais Rennes Infos Autrement emploie encore le terme d'"ultra-gauche" qui ne correspond à rien... sauf qu'un des militants fautifs a bien été interpellé, que la presse rapporte les faits, et que dans ces conditions il ne s'agirait pas d'entacher la réputation toujours immaculée de partis politiques qui se réclament de grands intellectuels, même s'ils n'en comptent pas dans leurs rangs, et dont certains des membres ont la prétention d'incarner l'Etat ou la République... C'est pénible.

 

https://www.letelegramme.fr/ille-et-vilaine/rennes-35000/a-rennes-des-militants-dextreme-gauche-empechent-une-interpellation-6785348.php

À Rennes, des militants d’extrême gauche empêchent une interpellation

Samedi 22 mars, à Rennes, des policiers en patrouille ont tenté d’interpeller deux jeunes circulant à scooter, sans casque. Mais plusieurs individus, qui participaient à une soirée organisée par l’extrême gauche, ont empêché l’opération.

 

Une personne a été interpellée après l’altercation avec a police et placée en garde à vue.
Une personne a été interpellée après l’altercation avec a police et placée en garde à vue. (Photo d’illustration Lionel Le Saux/Le Mensuel)

 

Samedi 22 mars 2025, vers 22 h 40, une patrouille de police qui circule dans le quartier de Cleunay à Rennes repère un scooter avec deux personnes sans casque. Les policiers invitent le conducteur du deux-roues à se ranger sur le bas-côté pour procéder à un contrôle, mais les deux individus abandonnent aussitôt l’engin pour partir en courant.

L’un des policiers engagé à la poursuite des fuyards se retrouve alors à proximité du « Bâtiment à Modeler », où se tenait une « soirée festive », organisée dans la foulée des manifestations d’extrême gauche « contre le fascisme et le racisme ».

Il semble que l’interpellation qui s’annonçait aurait alors été contrariée par les militants présents à cette soirée, comme le révèlent nos confrères du site Rennes Info Autrement, évoquant une vingtaine d’individus s’étant interposés, invectivant les policiers, permettant au suspect de s’enfuir à nouveau.

Une personne a été interpellée à ce moment et placée en garde à vue. Elle a écopé d’une composition pénale à vocation citoyenne, indique ce mardi 25 mars le commissariat de police de Rennes.

 

https://www.rennes-infos-autrement.fr/interpellation-tendue-a-cleunay-un-policier-pris-a-partie-lors-dune-soiree-ultra-gauche/

INTERPELLATION TENDUE À CLEUNAY : UN POLICIER PRIS À PARTIE LORS D’UNE SOIRÉE ULTRA-GAUCHE

 

Le samedi 22 mars 2025, vers 22h40, dans le quartier de Cleunay à Rennes, un équipage policier repérait un scooter avec deux individus démunis de casque. Alors que les forces de l’ordre faisaient signe au conducteur de s’arrêter pour un contrôle, les deux individus abandonnaient le deux-roues et prenaient la fuite en courant. L’un des fonctionnaires rattrapait l’un des fuyards devant le « Bâtiment à Modeler », situé 2 rue André Trasbot, où se tenait une soirée organisée par une population appartenant visiblement à la mouvance ultra-gauche. L’interpellation tournait alors à l’affrontement : une vingtaine d’individus s’interposaient en saisissant le policier, permettant au suspect de prendre la fuite. Un des auteurs de cette agression était toutefois interpellé sous les cris hostiles d’une cinquantaine de personnes scandant : « Tout le monde déteste la police ». L’individu interpellé était placé en garde à vue.


dimanche 18 mai 2025

Paris : un homme tente d'étrangler deux femmes dans le métro

A chaque fois, des usagers l'ont fait fuir avant qu'il n'ait fini le travail... comme pour moi pour une des tentatives d'assassinat commanditées par mon employeur en 1994, mais celui-ci ne s'est pas arrêté à une agression, il a attaqué deux femmes au même endroit à une heure d'intervalle.

Deux coup sur coup, ça ne passe pas inaperçu...

Deux attaques identiques pour deux membres de la même famille avec les mêmes commanditaires, ça frappe aussi les esprits normaux...

 

https://www.leparisien.fr/faits-divers/deux-voyageuses-du-metro-agressees-station-pyrenees-a-paris-17-05-2025-7HC7GQGRABH2DKZ5NKSZG7C4JU.php

Un homme tente d’étrangler deux femmes dans le métro à Paris

Le suspect, qui a agressé les deux femmes à une heure d’intervalle samedi matin à la station Pyrénées, a été interpellé par des agents de la RATP. Un examen devait avoir lieu pour évaluer son état psychique.

Illustration. L'une des deux femmes agressées samedi matin, a subi un étranglement alors qu'elle se trouvait dans l'escalator de la station Pyrénées. LP/Frédéric Choulet
Illustration. L'une des deux femmes agressées samedi matin, a subi un étranglement alors qu'elle se trouvait dans l'escalator de la station Pyrénées. LP/Frédéric Choulet

 

Matinée cauchemardesque pour deux usagères du métro, ce samedi, à la station Pyrénées (XXe), sur la ligne 11 du métro. À une heure d’intervalle, ces deux femmes ont été agressées par un même auteur. Toutes deux étranglées, au point, pour l’une, de perdre connaissance.

La première victime a été agressée vers 8h30, alors qu’elle empruntait l’escalator de la station Pyrénées. Un homme l’a étranglée alors qu’il se trouvait derrière elle. Des usagers sont intervenus, mettant en fuite l’agresseur, qui a quitté la station de métro, pour disparaître avenue Simon-Bolivar.

Puis il est revenu dans la station, et s’en est pris à une autre femme, une heure plus tard. Cette fois, ce sont des agents RATP qui sont intervenus. L’auteur, dans un premier temps, a été mis en fuite comme la première fois et s’est volatilisé dans la rue. Pour peu de temps.

Les victimes conduites à l’hôpital

Un appel général a été lancé, et le suspect a été repéré à quelques mètres de là, près du McDonald’s. Il a finalement été interpellé par une équipe du GPSR, les agents de Sûreté de la RATP.

Pendant ce temps, les secours étaient au chevet des victimes. Les deux femmes agressées ont été prises en charge par les sapeurs-pompiers. L’une serait enceinte. Elles ont été conduites à l’hôpital pour des examens complémentaires, précise la RATP qui fait part de « sa vive émotion suite à l’agression des deux voyageuses ».

Quant au suspect, il a été confié à la Sûreté régionale des transports, rue de l’Évangile (XVIIIe). Un examen doit notamment évaluer son état de santé psychique. Sollicité, le parquet de Paris n’a pas répondu.

Une semaine auparavant, deux agentes de la RATP s’étaient fait agresser à la station Châtelet, par un homme arrêté à la suite par des agents du GPSR. Elles avaient été frappées à la tête et au ventre, l’une était également enceinte.

 

Affaire Bétharram : des plaintes pour "crime contre l'humanité"

Je soutiens à 100%, et il faut continuer : dans les entreprises aussi, il se passe des choses abominables. Par exemple des femmes enceintes ou supposément enceintes que leurs employeurs font massacrer par leurs hommes de main pour qu'elles ne puissent pas leur faire payer de congé maternité, ou même, stériliser à leur insu par leurs propres médecins corrompus à cet effet. Ou bien encore toutes les opérations dites de "harcèlement moral" dont le but est bien d'obtenir la mort des victimes par suicide, et pas seulement leur départ de l'entreprise.

 

https://www.lindependant.fr/2025/05/17/affaire-betharram-cest-inedit-quatre-anciens-eleves-de-letablissement-onazam-deposent-plainte-pour-crime-contre-lhumanite-contre-la-congregation-12702290.php

Affaire Bétharram : "C’est inédit", quatre anciens élèves de l’établissement Onazam déposent plainte pour "crime contre l’humanité" contre la congrégation religieuse

 

  • La congrégation des prêtres du Sacré-Coeur de Jésus de Bétharram se situe à Lestelle-Bétharram.
    La congrégation des prêtres du Sacré-Coeur de Jésus de Bétharram se situe à Lestelle-Bétharram. - Wikimédia
 
 
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"S’il faut, je ferai des kilomètres pour que l’on entende le son de ma voix et être reconnu", a insisté l'un des plaignants.

Quatre anciens élèves ont déposé plainte pour "crime contre l’humanité" jeudi 15 mai contre la congrégation religieuse des Prêtres du Sacré-Cœur de Jésus de Bétharram. Une démarche inédite qui pourrait faire basculer l’affaire du collège lycée Onazam de Limoges (Vienne), a rapporté France 3.

Cette action pourrait permettre de lever la prescription et d’obtenir une reconnaissance par la justice pénale des violences physiques et sexuelles que les victimes disent avoir subies dans les années 1960. Les plaignants se sont également lancés dans cette démarche afin d’éviter "que des mineurs de moins de quinze ans se fassent violer par des prêtres ou des laïcs dans un cadre éducatif", a plaidé l’une des victimes à l’origine de cette action auprès de nos confrères. Le sexagénaire a été scolarisé dans l’établissement entre 1967 et 1975.

Des agressions en colonies de vacances

Les quatre hommes membres du "Collectif Limoges Onazam" ont déposé plainte individuellement entre février et mars 2025 pour des faits remontants entre 1960 et 1970. Ils dénoncent avoir subi pendant des années des châtiments corporels, attouchements, viols et humiliations. Durant cette période, et depuis 1948, les pères de Bétharram dirigeaient l’établissement catholique avec plusieurs fonctions : surveillance, enseignement et encadrement des colonies de vacances dans les Pyrénées-Atlantiques où y étaient envoyés les élèves de Limoges…

Jusqu’à présent, les violences physiques et sexuelles dénoncées par les plaignants sont soumises à un délai de prescription, aujourd’hui largement dépassé. Déposer plainte pour "crime contre l’humanité" pourrait bien faire sauter ce verrou, ces derniers étant imprescriptibles.

Mais pour le moment, aucun autre collectif de victimes des pères de Bétharram n’a entamé une telle action. "La dernière fois qu’une telle démarche a abouti remonte à 1994, dans le dossier Papon. Tous nos espoirs reposent sur les épaules de la procureure de la République de Limoges, explique l’une des victimes à France 3. Car, en effet, c’est à cette dernière que revient le pouvoir de juger la plainte recevable, et, dans ce cas, ouvrir une instruction.

Onze critères

Et pour que ces agressions et violences sexuelles soient reconnues comme "crime contre l’humanité", elles doivent néanmoins cocher onze critères, dont "le viol […] ou toute autre forme de violence sexuelle de gravité comparable" ou encore "les actes inhumains de caractère analogue causant intentionnellement de grandes souffrances ou des atteintes graves à l’intégrité physique ou psychique".

Si la procureure de Limoges Emilie Abrantès a confirmé à nos confrères avoir bien été informée de l’existence de ces plaintes, elle n’a pas souhaité communiquer davantage à ce sujet. Du côté de la congrégation de Bétharram, basée Lestelle, celle-ci n’a pas souhaité répondre aux sollicitations des journalistes, qui ont été renvoyés vers ses précédents communiqués. Cette dernière estime avoir "déjà eu l’occasion à plusieurs reprises de s’exprimer dans les médias" sur l’affaire Onazam par le passé.

Dans l’un d’eux publié le 14 mars, elle assurait par ailleurs "avoir pris la mesure de la gravité des violences commisses au sein de l’institution Notre-Dame de Bétharram (l’établissement des Pyrénées-Atlantiques visé par plusieurs dizaines de plaintes, NDLR) durant plusieurs décennies. […] La congrégation tient à assurer de son soutien et de ses profonds regrets […] et va tout en œuvre pour que les victimes de violences sexuelles commises par des religieux puissent obtenir reconnaissance et réparation."

Une vingtaine de victimes indemnisées

La congrégation religieuse a indemnisé une vingtaine de victimes, tous anciens élèves de l’institution Notre-Dame de Bétharram via la Commission de reconnaissance et de réparation. Cette instance indépendante, née du rapport Sauvé, est financée par les différentes congrégations religieuses chargées de traiter les abus au cas par cas et d’évaluer les répercussions des violences subies pour proposer un dédommagement financier.

"D’autres solutions existent, mais dans un contexte politique délétère, elles ne peuvent aboutir par manque de volonté. Une loi constitutionnelle aurait permis une prise de conscience nationale", estime Bertrand, qui se bat aujourd’hui avec le collectif de Limoges pour que la reconnaissance et la prise en charge des victimes viennent de l’État. "Je veux que tout ça ne soit pas oublié, il faut que ce soit jugé. Cela ne s’oublie pas, pour moi, il n’y a pas prescription. S’il faut, je ferai des kilomètres pour que l’on entende le son de ma voix et être reconnu", a encore fait valoir un autre plaignant, qui entend ne rien lâcher.