Pour son ouvrage de 2014 intitulé "Pour l'Assemblée de Bretagne" (voir ci-dessous).
Voilà la liste de tous les auteurs des Editions Dialogues, mêlant des locaux à quelques personnalités comme Nicole Notat et Edwy Plenel, vieil ami LCR de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest - ce n'est donc pas Mediapart qui fouillera jamais dans les bonnes directions concernant l'affaire de l'attentat de Karachi du 8 mai 2002, le seul objectif de ses journalistes dans cette affaire ne sera toujours que de disculper les véritables auteurs ou commanditaires des attentats tout en servant leur vengeance me concernant :
Fondées en 2010 par Charles Kermarec, les éditions dialogues comptent plus de 120 titres à leur catalogue.
Elles seraient aujourd'hui, le temps de la rentrée littéraire 2021, dirigées par Paulin Michel,
« petit perroquet dodu » qui en aurait fait l'acquisition « à la barre du tribunal », « fortune faite »,
« en vendant des panneaux publicitaires lumineux aux agences immobilières ».
Voici, en quelques mots, une courte présentation des éditions dialogues :
Elles publient aussi de la littérature à son meilleur
Jean Rouaud, Catherine Cusset, Philippe Le Guillou, Paul Fournel,
Georges Perros, Yvon Le Men, Alexis Gloasgen, Hervé Hamon, Hervé Bellec,
Gilles Martin-Chauffier, Xavier Grall, Joseph Cuillandre, Marc Pennec
ont contribué à la qualité reconnue de La petite carrée,
une collection illustrée (par Emmanuel Lepage, Alain Robet, Philippe
Kerarvran, Philippe Mouchès, Nono, Mathurin Méheut, Georges Perros,
Xavier Grall...) dont les auteurs font découvrir à leurs lecteurs un
bout d'intimité, de géographie personnelle ou de l'histoire qui les a
constitués.
Dans des collections actuellement en sommeil, les éditions dialogues ont aussi publié Michel Serres, Elisabeth O'Sullivan, Jean Rohou, Christel Diehl...
Demain verra naître l’Assemblée de Bretagne. Appel à
l’audace, ce livre se lit comme le manifeste d’une Bretagne armée pour
affronter l’avenir.
Quatrième de couverture
Le contexte national en offre la possibilité : François
Hollande en a fait une orientation politique et Manuel Valls en a fixé
le calendrier. Une opportunité pour la Bretagne se présente.
Jean-Jacques Urvoas
propose de la saisir en forgeant une organisation territoriale qui
corresponde aux besoins de la région comme à sa géographie. Son
Assemblée de Bretagne se veut une réponse autant à l’exigence de
simplification de la vie administrative qu’à l’impératif de lisibilité
accrue de l’action politique.
Il balaie ainsi toutes les questions concrètes qui se posent en y
apportant des réponses précises : formation de la collectivité unique,
disparition tout à la fois des conseils généraux et du conseil régional,
architecture repensée entre les métropoles, les agglomérations et les
pays, articulation optimalisée entre le développement régional et local,
mise en place d’un mode de scrutin mixte conjuguant la juste
représentation de la proportionnelle et la solidité de l’implantation
territoriale…
Charles Kermarec, cofondateur de la librairie Dialogues, a
été mis en examen pour « agression sexuelle et harcèlement sexuel ». Une
salariée de la librairie de la rue de Siam a porté plainte pour ces
faits qui se seraient produits au magasin.
Elle ne serait pas la seule. D'autres salariées, au moins une
dizaine, auraient évoqué, devant les enquêteurs, des agressions
sexuelles et, aussi, du harcèlement moral.
L'enquête, ouverte la semaine dernière, aurait ainsi mis au
jour une vingtaine de témoignages concordants dont plusieurs portant
exclusivement sur du harcèlement moral.
« Des accusations mensongères »
Charles Kermarec, bientôt 71 ans, a passé une nuit au
commissariat. Son domicile a été perquisitionné. Placé sous contrôle
judiciaire par une juge d'instruction, il lui est interdit de se
présenter à Dialogues.
Charles Kermarec nie absolument les faits qui lui sont reprochés : « Les
accusations mensongères et la mise en examen dont je fais l'objet sont
le fruit d'une cabale minutieusement orchestrée dont le but est de me
contraindre à quitter Dialogues », déclare le libraire qui évoque également « un lynchage ».
Après avoir récemment vendu Les Enfants de Dialogues et le
café Fleuriot, Charles Kermarec avait confié vouloir se reconcentrer sur
la librairie. Fondée en 1976 avec sa soeur Marie-Paule, décédée à 55
ans en 2007, Dialogues est l'un des commerces phares brestois. Elle
compte plus de 60 salariés, avec un chiffre d'affaires annuel de 16,5
millions d'euros.
En 2010, il avait fondé les editions-dialogues.fr qui, après
avoir publié près de seize livres par an, avait, depuis peu, ralenti le
rythme. Charles Kermarec, beaucoup plus présent à la librairie ces
derniers mois, avait également entrepris d'assurer lui-même les
rencontres avec les auteurs invités. Il confiait ne pas « vouloir partir en retraite avant ses 75ans ».Et pas avant d'avoir trouvé,pour la librairie, « une solution de transmission dans la continuité ».
Auteurs et libraires en soutien à Charles Kermarec, fondateur de Dialogues
Quelques jours après sa
mise en examen, le patron de la librairie Dialogues, à Brest, a reçu un
message de soutien émanant de nombreux auteurs. Charles Kermarec, accusé
d’agression sexuelle, s’était défendu en évoquant une cabale.
Aujourd’hui, des auteurs se montrent solidaires.
Publié le :
22/10/2018
à
12:30
crédit Brigitte Lannaud Levy
Parmi les signataires d’une lettre ouverte, on retrouve Irène Frachon
et Hervé Hamon, deux essayistes de la maison que dirige Charles
Kermarec. Mais ils ne sont pas seuls, bien au contraire.
« Nous, libraires et auteurs qui avons côtoyé et, pour certaines,
au quotidien, Charles Kermarec, fondateur de la librairie Dialogues à
Brest, nous ne pouvons qu’être effarés par l’accusation dont il fait
l’objet [accusation d'agression sexuelle, NdR]. »
Et de poursuivre : « Nous connaissons l’homme depuis bien des
années, nous connaissons son attachement au livre, à la littérature,
nous connaissons sa passion impérieuse pour l’entreprise unique qu’il a
créée et sa fidélité non moins passionnée aux écrivains et aux lecteurs », indiquent les signataires dans leur courrier.
Ils évoquent eux-mêmes une conspiration « qui le vise dans son honneur et nous faisons confiance à la justice pour l’établir ».
Ne pas travestir le mouvement
Jamais le cofondateur de la librairie n’aurait eu le moindre geste ni
attitude déplacés. Les auteurs du courrier lui reconnaissent des
défauts et surtout celui « d’être exigeant, mais s’il est un défaut
qu’il n’a pas et qu’il n’a jamais eu, c’est la goujaterie. Nous avons
assez travaillé avec lui pour savoir que, ni dans ses propos ni dans son
comportement, nous n’avons été témoins de la moindre ambiguïté a
fortiori envers les femmes ».
Et d’insister sur le fait que le mouvement #metoo qui s'est formé sur
les réseaux sociaux, faisant éclater ici et là de véritables scandales,
ne doit pas être détourné de la sorte. « Nous sommes enfin trop
soucieux du respect des femmes pour ne pas être révoltés que cette cause
majeure soit travestie en très basses manœuvres. »
Selon les informations pourtant communiquées, une vingtaine de
témoignages pointerait le comportement du libraire-éditeur. Pour
l’heure, la juge d’instruction a demandé son placement sous contrôle
judiciaire, avec interdiction de se rendre dans la librairie.
Les signataires sont les suivants : Olimpia Bogdon-Verger, éditrice,
ancienne libraire à Dialogues. Géraldine Delauney, libraire (Dialogues).
Irène Frachon, auteure et médecin. Christiane Frémont, universitaire,
auteure. Paul Goupil, journaliste, auteur. Hervé Hamon, écrivain. Yvon
Le Men, poète. Érik Orsenna, de l’Académie française. Alain Rémond,
journaliste, écrivain. Jean Rouaud, écrivain, prix Goncourt. Michel
Serres, de l’Académie française
Harcèlement sexuel : le libraire Charles Kermarec renvoyé en correctionnelle
En 2018, Charles Kermarec,
cofondateur de la librairie Dialogues à Brest, était mis en examen pour
agression et harcèlement sexuel. Après deux ans d’instruction, le
libraire comparaîtra finalement devant un tribunal correctionnel.
Publié le :
15/09/2020
à
16:28
Âgé de 72 ans, Charles Kermarec, est bien connu dans la
ville de Brest : cofondateur de Dialogues, troisième plus grosse
librairie indépendante de France, il avait défrayé la chronique en
publiant l’ouvrage de la pneumologue Irène Frachon qui a contribué à la
révélation du scandale du Médiator.
Mis en examen il y a deux ans, Kermarec dénonçait à l’époque une « cabale minutieusement orchestrée ».
Le libraire avait reçu l'étonnant soutien de dizaines accourant pour
défendre cette figure du monde des lettres. Ce 28 juillet la juge
d’instruction a ordonné son renvoi devant le tribunal correctionnel.
L’instruction concernait une agression sexuelle et un harcèlement
sexuel sur au moins deux personnes, il ne sera finalement jugé que sur
une seule de ces charges : l’agression sexuelle de l’une de ses
employés. Selon Le Telegrame, le libraire aurait « commis
une atteinte sexuelle avec violence, contrainte, menace ou surprise sur
la plaignante, avec cette circonstance que les faits ont été commis par
une personne abusant de l’autorité conférée par ses fonctions, en
l’espèce son employeur ».
Et dans les faits...
En 2016, Charles Kermarec serait allé jusqu'à demander à voir le
bronzage de sa collaboratrice – dissimulé sous un tee-shirt alors
considéré comme superflu. Le reste du comportement serait à l'aune.
Libraire chez Dialogues durant 14 ans, la plaignante avait donc déposé
une main courante, et a depuis toujours maintenu ses déclarations.
Parmi la trentaine de témoins entendus, la majorité assure n’avoir
jamais constaté de gestes déplacés de la part du cofondateur de la
librairie. D’autres relèvent en revanche un management trop autoritaire
qui confine au harcèlement moral. Du reste, trois témoins évoquent un
comportement ambigu.
Si l'on ne connait pas encore la date de l’audience, Charles Kermarec
encourt désormais jusqu’à sept ans d’emprisonnement et 100.000 €
d’amende.
Brest. Charles Kermarec, le cofondateur de Dialogues, reconnu coupable d’agression sexuelle
L’annonce de sa mise en
examen, à l’automne 2018, avait été retentissante à Brest (Finistère).
Au terme d’une audience fleuve, et malgré une demande de relaxe du
parquet, le cofondateur de la librairie Dialogues a été condamné à un an
de prison avec sursis.
L’homme de 74 ans le répète, encore et encore : quand la salariée a quitté son bureau, elle était « enjouée ». Mais une collègue de la jeune femme dit avoir croisé une personne « choquée, en état de panique ».
« Elle n’allait pas bien »
Devant le tribunal judiciaire, celle qui a travaillé quinze
ans à la librairie, rue de Siam, raconte avoir été convoquée pour une
question d’emploi du temps. « Je revenais de vacances. M. Kermarec m’a dit que j’avais un joli bronzage et m’a demandé de lui montrer mon ventre. » Elle explique s’être exécutée, « parce que c’est mon patron ». Charles Kermarec lui aurait ensuite demandé si elle « avait envie ». « J’ai répondu non, et il m’a enlacée. » La scène se serait terminée avec le départ de la salariée.
D’autres employés témoignent l’avoir vue en pleurs ce jour-là et perturbée les semaines suivantes. « Je voyais, au fil des mois, qu’elle n’allait pas bien », dit l’un. « Elle avait peur de se retrouver en tête à tête avec lui », dit un autre.
La jeune femme déposait une main courante quelques semaines plus tard, en septembre 2016, « pour me protéger, mais aussi les autres salariées »,
dit-elle. La plainte ne viendra que plus tard, en janvier 2018, alors
qu’elle est en arrêt de travail pour syndrome anxiodépressif.
Cinq témoins à la rescousse
Elle débouchera sur la mise en examen de Charles Kermarec en
octobre 2018. À l’époque, sont évoqués dans la presse au moins une
dizaine d’autres témoignages d’agressions sexuelles (et pour lesquels un
non-lieu a été décidé).
Sur la scène brestoise, la nouvelle est retentissante. Dans
une tribune, des personnalités volent au secours du libraire, dénonçant « une cabale »
contre le cofondateur de Dialogues. Le Planning familial leur répond,
scandalisé de la remise en cause des propos d’une femme se présentant
comme victime.
À l’audience, partie civile comme défense sont d’accord sur un point : « l’impact désastreux » de cette médiatisation.
Parmi les cinq témoins cités par Charles Kermarec, Irène
Frachon, la pneumologue française ayant fait éclater le scandale du
Mediator, était l’une de celles à avoir pris publiquement sa défense à l’époque. Elle maintient ses déclarations à son procès, encensant le courage et la clairvoyance de celui qui a « osé », à l’époque, l’éditer.
Les quatre autres témoins, tous des salariés de l’entreprise,
assurent n’avoir jamais observé un seul geste ambigu de la part du
patron. D’autres personnes interrogées au cours de l’enquête évoquent
pourtant « des regards malsains », « des photos prises à l’insu de jeunes salariées » et « des mains aux fesses ».
Des « imprécisions » pointées
Tous en revanche reconnaissent « le fort caractère »
du prévenu. Au fil des témoignages, c’est un management parfois très
autoritaire qui est dépeint, ce que reconnaît le mis en cause.
Selon Irène Frachon, interrogée par le président sur la cabale dénoncée à l’époque, ce trait de caractère « peut donner envie à des salariés d’en découdre, de régler des comptes ». Charles Kermarec ne met pas en cause la salariée, qu’il juge « influençable », mais d’autres personnes qui auraient pu la pousser à mentir.
« Le milieu du travail est sujet à des acrimonies, à des revanches, à des rancœurs », abonde Romain Liverato, le vice-procureur. Face à « l’absence de preuve », et « des imprécisions » dans la déclaration de la plaignante, il demande la relaxe.
Le prévenu fera appel
Pour l’avocate de la victime en revanche, aucun doute : « Le notable brestois, le bon libraire, a profité de son statut et a eu un comportement inapproprié vis-à-vis d’une salariée. »
Le tribunal est de cet avis, condamnant Charles Kermarec à un
an de prison avec sursis. Il est également inscrit au fichier des
auteurs d’infraction sexuelle.
La défense a immédiatement annoncé sa décision de faire appel.
À Brest, l’élu Charles Kermarec soupçonné de violences sexuelles sur mineurs démissionne
Réservé aux abonnés
Jean-Luc Padellec le 26 mai 2023 à 12h35
Charles Kermarec, 67 ans, était élu au sein de la majorité brestoise depuis 2014.
(Photo d’archives Nicolas Ollier)
Suspecté
de violences sexuelles sur des mineurs de son entourage, le conseiller
municipal à la ville de Brest et vice-président à Brest Métropole,
Charles Kermarec, a démissionné de ses mandats, ce vendredi 26 mai. La
justice a été saisie.
Nouveau
coup de tonnerre politique à Brest. Le conseiller municipal de Brest
Charles Kermarec a démissionné du conseil municipal, ce vendredi 26 mai
2023. C’est la municipalité de Brest qui a annoncé l’information, dans
un communiqué diffusé à midi, ce vendredi. Le texte fait état « d’une
présomption de faits graves mettant en cause Charles Kermarec ». Ces
faits issus « de témoignages concordants » auraient été rapportés ces
derniers jours à François Cuillandre.
Le
maire de Brest et président de Brest Métropole, a donc saisi le
procureur de la République au titre de l’article 40 du Code de procédure
pénale, qui oblige les autorités qui acquièrent la connaissance d’un
crime ou d’un délit de procéder à un signalement sans délai auprès du
procureur de la République.
Suspecté de violences sexuelles sur mineurs
« François
Cuillandre en a informé Charles Kermarec qui lui a présenté ce jour
(NDLR : ce vendredi) sa démission du conseil municipal, qui entraîne
également sa démission du conseil de métropole », poursuit le
communiqué. « Dans ce contexte, le secret de l’instruction est plus que
jamais de rigueur dans un souci de protection de l’ensemble des
personnes concernées. La collectivité a, pour sa part, pris
immédiatement les responsabilités qui lui incombent », conclut la Ville.
Les
faits qui ont été portés à la connaissance de François Cuillandre ne
sont pas détaillés. Mais selon nos informations, les soupçons pesant sur
Charles Kermarec, ne seraient pas liés à son activité d’élu, et ne
concerneraient donc pas la collectivité elle-même. Charles Kermarec
serait suspecté d’avoir exercé des violences sexuelles sur des mineurs
de son entourage. Sollicité, le procureur de la République Camille
Miansoni indiquait, ce vendredi après-midi, ne disposer « d’aucun
élément communicable à ce stade. »
Élu depuis 2014
Ancien
employé de France Telecom, Charles Kermarec était entré en politique en
2014, à la fin de sa carrière professionnelle, en rejoignant le groupe
de gauche Brest Nouvelle Citoyenneté (BNC) présidé par Patrick Appéré.
Élu en 2014 au sein de la majorité Cuillandre, il avait été nommé
délégué à l’accessibilité de l’espace public et des bâtiments. Réélu en
2020, il était devenu conseiller municipal en charge des équipements
sportifs. Puis, suite au décès brutal de Vefa Kerguillec, autre élue du
groupe BNC, en décembre 2022, il avait été promu vice-président de Brest
Métropole en janvier 2023, délégué aux équipements sportifs et au
nautisme.
N.B. : Le groupe BNC (Brest Nouvelle Citoyenneté) est issu d'une vieille scission du groupe BAGA (Brest à Gauche Autrement) primitivement dirigé par la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest et ses complices Arnaud Hell, Hubert Casel et Patrick Appéré. Se battant tous entre eux pour diriger leur coquille vide, ils avaient fini par se séparer et Patrick Appéré avait alors créé son groupe BNC.
Élu à Brest,
Charles Kermarec démissionne pour "faits graves"
François Cuillandre, maire de Brest et président
de la Métropole, a saisi le procureur de la République pour une
suspicion de faits graves concernant Charles Kermarec.
Charles Kermarec, conseiller municipal de la majorité siégeant au sein du groupe Brest nouvelle citoyenneté (BNC) depuis trois mandats, et 14e vice-président de Brest métropole en
charge des équipements sportifs et du nautisme depuis le 27 janvier
2023, a démissionné de toutes ses fonctions ce vendredi 26 mai 2023.
Le procureur de la République saisi
C’est ce qu’annoncent la Ville et la Métropole dans un communiqué, transmis peu après midi, ce vendredi. Lequel indique :
Saisi de témoignages concordants concernant une présomption de faits
graves mettant en cause M. Charles Kermarec, conseiller municipal de
Brest et vice-président de Brest métropole, François Cuillandre, maire
de Brest et président de Brest métropole, a immédiatement saisi le
procureur de la République au titre de l’article 40 du code de procédure
pénale.
Lequel article stipule que « toute autorité constituée,
tout officier public ou fonctionnaire qui, dans l’exercice de ses
fonctions, acquiert la connaissance d’un crime ou d’un délit, est tenu
d’en donner avis sans délai au procureur de la République et de
transmettre à ce magistrat tous les renseignements, procès-verbaux et
actes qui y sont relatifs ».
Dans le communiqué, François Cuillandre fait savoir qu’il a « informé M. Kermarec, qui lui a présenté ce jour sa démission du conseil municipal, qui entraîne également sa démission du conseil de métropole ».
Et ajoute :
Dans ce contexte, le secret de l’instruction est plus que jamais de
rigueur dans un souci de protection de l’ensemble des personnes
concernées. La collectivité a, pour sa part, pris immédiatement les
responsabilités qui lui incombent.
Violences sexuelles
Selon les informations révélées par France Bleu Breizh Izel, l’élu démissionnaire serait « suspecté de violences sexuelles sur des membres de sa famille ».
La
Ville, que nous avons contactée par téléphone, a indiqué ne pas pouvoir
en dire davantage. Joint à deux reprises par nos soins, Camille
Miansoni,procureur de la Républiqueà Brest, a répondu ne pas disposer « d’élément communicable en l’état ». L’enquête est en cours.
Samuel Paty a une soeur qui se montre déterminée et vient d'obtenir l'ouverture d'une commission d'enquête parlementaire qui tout comme dans le cas de l'assassinat d'Yvan Colonna permettra de mettre en lumière certaines responsabilités.
N'oublions pas que les personnels de l'administration pénitentiaire ont négocié comme jamais auparavant avec le ministre de la Justice et Garde des Sceaux durant tout le temps où ils étaient interrogés par la commission d'enquête parlementaire dont le rapport vient d'être examiné à huis clos mercredi, 24 mai 2023.
La mascarade va donc se poursuivre, cette fois avec les personnels de l'Education nationale. Néanmoins, il y aura quand même quelques débats publics intéressants.
"Je suis la part vivante de Samuel," dit sa soeur.
Et moi je l'ai reçu comme cadeau d'anniversaire en 2020. Il ne s'agissait pas d'une simple coïncidence de date, mais d'un aboutissement généré par la série Baudy qui avait débuté au mois de décembre 2019.
Je suis bien aussi déterminée qu'elle, mais n'ai plus aucun accès ni aux médias ni à rien d'autre en conséquence des campagnes de calomnies monstrueuses dont je suis victime de la part des assassins de plusieurs de mes proches, les mêmes que ceux d'Yvan Colonna et Samuel Paty, ces assassins trouvant aussi très drôle de rythmer toutes leurs procédures abusives ou tentatives d'escroquerie au jugement à mon encontre avec ces attentats "islamistes" sanglants.
Je vais donc continuer à m'exprimer ici, ne pouvant rien faire d'autre.
1°/ la première accusatrice n'aurait-t-elle pas, en vérité, toujours menti sous l'influence de ses proches ?
2°/ qui, en dehors de ces islamistes, pouvait en vouloir à Samuel Paty, particulièrement du côté de l'extrême-droite ou de l'extrême-gauche, ou à Lyon, ou dans la bande des "déconnologues" du terroriste en chef Pascal Edouard Cyprien Luraghi ?
Déjà, là, je vois bien une chose un peu bizarre, le fils du terroriste en chef, Gaspard Luraghi, qui comme sa soeur Shanti Devi et sa mère Annie Belléculée Luraghi a toujours été associé à toutes les saloperies de son père, notamment à mon encontre depuis leurs tout débuts en 2008 alors qu'il n'était toujours que lycéen, est cité comme référent d'éducation à Lyon dans un document public de fin 2020 :
Quels rapports éventuels avait-il avec Samuel Paty ?
N.B. : Gérard Larcher est un grand copain de ma grosse pute au rouge gras. Aussi, vous pensez bien qu'il n'ouvre de commission d'enquête parlementaire qu'avec l'assurance qu'il va pouvoir tout maîtriser. Mais il ne peut de toute façon pas en être autrement quand c'est "l'Etat profond" qui est impliqué : ce machin grouille de politiciens véreux de tous bords.
EXCLU - Mickaëlle, sœur de Samuel Paty, sur Europe 1 : «Je suis la part vivante de Samuel»
5:25
Europe 1
/ Crédit photo : BERTRAND GUAY / AFP
, modifié à
La sœur de Samuel
Paty, Mickaëlle, a écrit une lettre au président du Sénat Gérard Larcher
pour demander l'ouverture d'une enquête parlementaire sur les
"dysfonctionnements" qui ont conduit à l'assassinat du professeur. Sur
Europe 1, Mickaëlle Paty affirme qu'elle est "la part vivante de Samuel"
et partage sa détermination de "gagner ce combat, là où tout le monde a
échoué depuis 40 ans".
Mickaëlle
Paty veut "demander des comptes aux personnes responsables de la
mauvaise gestion, du traitement erroné de la menace pesant sur (s)on
frère et du défaut de prévoyance qui en a découlé". Gérard Larcher
a souhaité mercredi que cette demande soit examinée avec "attention" et
"empathie respectueuse".
En
exclusivité sur Europe 1, la sœur de Samuel Paty a lu cette lettre
poignante. "Je suis la part vivante de Samuel", affirme-t-elle au micro
de Sonia Mabrouk. "Il faut que j'arrive à gagner ce combat, là où tout
le monde a échoué depuis 40 ans", appuie par ailleurs Mickaëlle Paty
dans un entretien exclusif.
Le président de la chambre haute, Gérard Larcher, avait annoncé
mercredi 24 mai examiner une demande émanant de la sœur du professeur
assassiné en 2020 par un terroriste islamiste. Ce jeudi, le Sénat a
officialisé la création d'une commission parlementaire dédiée sur
les dysfonctionnements ayant conduit à la mort de Samuel Paty.
Y a-t-il eu des « dysfonctionnements ayant conduit à l'assassinat » de Samuel Paty
le 16 octobre 2020 par un terroriste islamiste tchétchène ? Le Sénat va
en tout cas tenter de le déterminer au cours d'une commission d'enquête
parlementaire dédiée, révèle Public Sénat
jeudi 25 mai. La demande de l'ouverture de cette commission avait été
formulée par la famille de Samuel Paty. Dans une lettre dont l'existence
a été révélée le mardi 23 mai par le site d'information en ligne
Factuel et publiée le même jour sur notre site, Mickaëlle Paty, la sœur de l'enseignant, disait souhaiter pouvoir « demander
des comptes aux personnes responsables de la mauvaise gestion, du
traitement erroné de la menace pesant sur mon frère et du défaut de
prévoyance qui en a découlé ».
Le
lendemain de la diffusion de cette missive, le président du Sénat,
Gérard Larcher (LR), annonçait que la chambre haute plancherait avec une
« attention » et une « empathie respectueuse » sur la
question. C'est dorénavant chose faite, à en croire le président de la
commission des Lois, François-Noël Buffet (LR), interrogé par Public
Sénat jeudi 24 mai : « J’ai reçu la lettre [de la sœur de Samuel Paty]
je vais prendre contact avec elle assez rapidement et lui répondre.
Nous allons réfléchir à une façon de répondre favorablement à sa
demande. Nous ne pouvons pas laisser une famille dans l’ignorance, en
tout cas nous avons besoin d’avancer. Nous allons prendre des
initiatives très rapidement dès la semaine prochaine. »
En voilà encore un qui connaît fort bien les affaires de l'association quimpéroise AVDJ dont Georges Seznec a été président durant dix ans, depuis sa création au printemps 2011, jusqu'à son décès il y a deux ans.
Pour l'essentiel, les membres de cette association sont ou étaient des commerçants ou des agriculteurs dont aucun n'a jamais été capable d'aller se défendre seul devant les tribunaux, d'où leur extrême dépendance à l'égard d'avocats qui ont toujours fait exactement ce qu'ils voulaient de leurs affaires, tel par exemple l'escroc lyonnais Patrick Baudy.
L'alternative au recours à l'avocat était pour eux celui au politique : Marylise Lebranchu pour Jean Cabon à Morlaix, Christiane Taubira et Jean-Jacques Urvoas pour l'association AVDJ de Quimper.
Jean-Jacques Urvoas n'a été ministre de la Justice que du 27 janvier 2016 au 10 mai 2017.
Auparavant, depuis le 28 juin 2012 et jusqu'au 27 février 2016, il était président de la commission des Lois de l'Assemblée nationale.
Proche de Bernard Poignant depuis les années 1980, il a été aussi député durant dix ans, du 20 juin 2007 au 20 juin 2017, conseiller régional de Bretagne du 29 mars 2004 au 1er juillet 2007, premier secrétaire de la fédération du PS dans le Finistère de 2000 à 2008 et au conseil national du PS comme membre titulaire à l'issue du congrès de Reims du PS de 2008.
Xavier Le Roy, avec qui Georges Seznec a créé son assocation AVDJ en 2011, est le fils d'André Le Roy, un ancien conseilleur municipal de Quimper et propriétaire de la plus ancienne maison de la ville.
Il m'avait contactée dès le mois de mai 2011 :
Le 22/05/2011 à 01:14, xavier a écrit :
22/05/2011 01:14:08
OverBlog : Vous avez reçu un message
Ce message vous est envoyé par un visiteur grâce au formulaire de contact accessible en bas de page de votre blog: unpetitcoucou.over-blog.com
bernard corre xavier nous
allons creer une association contre les abus des mandataires judiciaire
.votre article m interresse sur bernard corre car on a deja pas mal de
choses contre lui et ce n' ai pas un saint loin de la si vous pouvez me
contacter par mail
mon mail associationvdj@orange.fr
cordialement
Le visiteur qui vous envoie cet e-mail n'a pas eu connaissance de votre adresse de messagerie.
L'adresse qui apparaît comme expéditeur n'a pas été vérifiée.
En fait, je n'ai jamais écrit aucun article sur Bernard Corre, mais l'avais cité à propos de la mafia brestoise et de ses violences assez extraordinaires, comme la décision de censure prise par le TGI de Brest en 1998 à l'égard d'Antoine Gaudino et de son éditeur pour le livre La Mafia des tribunaux de commerce (voir ci-dessous).
Puis Jacques Fornès m'avait contactée au mois de janvier 2012 en insistant pour que nous nous rencontrions à Brest avec ses amis Xavier Le Roy et Georges Seznec.
Et enfin au mois de septembre 2013, ce dernier m'avait recontactée à propos de harcèlements qu'il subissait de Jacques Fornès depuis fin 2012, sachant que j'avais été moi aussi harcelée par le même individu à compter du mois de janvier 2012.
Dans l'intervalle, il avait compris que les deux premiers, avec qui il n'était plus en bons termes, avaient souhaité me rencontrer pour des raisons qui n'étaient pas celles alléguées pour le rendez-vous qu'ils m'avaient fixé au mois de janvier 2012, alors que je venais tout juste de recevoir ma première convocation chez le juge d'instruction suite à la plainte avec constitution de partie civile d'août 2011 de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest outrée que j'aie pu publier des droits de réponse concernant ma propre biographie à la suite de tout ce qu'elle en avait fait publier par son complice le pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi à compter du 19 juin 2010, et qui était bien entendu entièrement faux, mensonger, calomnieux, outre que les multiples atteintes à l'intimité de la vie privée commises par la même occasion contre mes proches et moi-même étaient manifestes, tout comme les nombreuses injures et menaces accompagnant ces publications véritablement ordurières.
Notons qu'au mois de décembre 2011, comme je l'avais déjà fait remarquer sur ce blog le 13 février 2017, Richard Ferrand déjà en guerre contre Jean-Jacques Urvoas ne se gênait pas pour faire des allusions publiques aux incroyables saloperies dont j'étais victime sur Internet depuis 2008 :
En fait, toute la classe politique ou mafia locale, qui au-delà de quelques querelles d'egos ou de pure forme a toujours formé un bloc compact tous bords confondus, suivait ce qui se passait...
A noter : Jean-Jacques Urvoas reconnaît lui-même n'être pas loin d'un débile mental, ce qui n'a jamais été gênant pour faire des études de droit ou de la politique :
"Jean-Jacques Urvoas naît à Brest d’un père pharmacien général de l’armée, et d’une mère au foyer3. Il étudie au collège Saint-François de Lesneven puis au lycée Amiral-Ronarc'h à Brest4 ; il se décrit comme « un vrai cancre », indiquant avoir « failli redoubler [sa] seconde » et obtenu son baccalauréat au repêchage3."
Et comme tous les autres politique locaux, quoiqu'il se plaigne lui aussi des innombrables mensonges et affabulations de la perverse et criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, il la trouve absolument géniale et d'une utilité indéniable pour sa faculté à recruter des débiles mentaux et psychopathes comme le pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi, le zététicien pro-pédophile Jean-Marc Donnadieu de Béziers, ou bien encore les locaux Joël Roma, Jacques Fornès et Xavier Le Roy pour assassiner des ingénieurs.
Il convient encore de noter que Georges Seznec m'a toujours dit que j'étais harcelée et calomniée par des gens qui haïssaient mon père. En effet, la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest et ses plus proches amis politiques ont toujours haï mon père depuis les années 1970, notamment du fait qu'il était incorruptible. Cette haine fut très tôt exacerbée par mes résultats scolaires exceptionnels de "surdouée", puis mes études d'ingénieur et mes emplois d'ingénieur d'études en informatique, tandis que tout le reste de la fratrie apparaissait du même niveau et en 1994, les mafieux qui me harcelaient dans le travail colportaient bien dans mon entourage professionnel cette information en provenance de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest : il n'était soi-disant pas normal que les enfants de mon père soient tous ingénieurs et ils seraient tous assassinés pour cette raison.
L'obscurantisme
connaît bien ses ennemis. Quand il se déploie, les livres sont toujours
sa première cible. Il les trie, les censure, les condamne et finit, un
jour ou l'autre, par les brûler. Pourquoi? Tout simplement parce que le
livre est le refuge durable de la liberté d'expression et de pensée. Il
incarne, à la fois, la mémoire et la raison. Il est le champ le plus
fertile de la réflexion, des idées, de l'imagination et de la création.
Il véhicule l'histoire et le temps. Il imprime dans la durée la
diversité des opinions. Bref, il est la trace et la marque de la
civilisation. L'aventure de l'homme est d'abord dans ces bibliothèques,
cathédrales du savoir aux portes grandes ouvertes que les inquisiteurs
de tout poil, politiques ou religieux, n'ont de cesse d'incendier. Nous
n'en sommes, heureusement, pas là. Cependant, l'assassinat économique
tenté, le 28 avril dernier, par le tribunal de Brest contre le livre
d'Antoine Gaudino La Mafia des tribunaux de commerce et les éditions
Albin Michel - condamnées à retirer l'ouvrage sous peine d'astreinte
immédiate de 100 000 francs par exemplaire vendu - est une ombre
menaçante sur la liberté d'écrire. En acceptant - avant de juger sur le
fond - de lever temporairement cette astreinte, la cour d'appel de
Rennes a montré qu'elle était sensible à ce péril. Pas plus que la
presse, le livre n'est au-dessus des lois. Mais l'utilisation abusive de
la loi comme arme de censure financière est dangereuse. Sous le
prétexte que son ton dérange ou déplaît, on n'écrase pas un livre comme
une vulgaire mouche.
La plus vieille maison de Quimper de nouveau habitée dans un an
Publié le 01 avril 1998 à 00h00
Rue
Treuz
Tout arrive à qui sait attendre ! « Le dossier de la rue Treuz
sort des oubliettes », tel était le titre du « Télégramme de Quimper »
le 14 janvier dernier. Cette fois, c'est sûr : le projet est bel et bien
ficelé et le permis de construire 97 10 258 demandé par la SCI du Vieux
Quimper, signé par l'adjoint au maire Daniel Le Bigot, est
opérationnel. La plus vieille maison de Quimper sera de nouveau habitée
au printemps 99. Sans revenir sur toute l'histoire d'un dossier ouvert
par la municipalité Bécam en 1977, rappelons quand même qu'à l'époque
les élus avaient été alertés par André Le Roy, ancien conseiller
municipal. Il était le propriétaire d'une très vieille maison abandonnée
qu'il avait achetée, rue des Gentilshommes, en même temps que son salon
de massage. Pourquoi ne pas rouvrir cette rue Treuz (traverse) que les
riverains des siècles antérieurs s'étaient peu à peu appropriée ? Bonne
idée. Des crédits avaient été votés par le conseil municipal, des
premiers travaux réalisés puis surgirent mille et une difficultés. Le
dossier devenu ingérable finit au fond d'un placard. Restons-en là
aujourd'hui et saluons la bonne volonté de l'intrépide adjoint à
l'urbanisme. C'est finalement lui qui aura fait sortir la rue Treuz
d'une impasse de 20 ans...
Restauration soignée
Les deux filles d'André Le Roy ont constitué une
SCI du Vieux Quimper. Un architecte de La Feuillée, Bernard Le Moing,
s'est saisi du projet de restauration de cette grande maison de quatre
niveaux que les historiens locaux considèrent comme la plus ancienne de
Quimper. En concertation avec les Bâtiments de France, il a étudié une
redistribution intérieure du bâtiment de 10 m sur 7,50 m qui permette le
maintien des percements existants. L'astuce pour conserver des fenêtres
situées à une mauvaise hauteur sera d'en faire des panneaux de nuit. De
l'extérieur ce sera une fenêtre mais pas de l'intérieur. Un escalier en
chêne massif sera monté sur la façade nord remaniée au XIXe siècle. Les
murs anciens seront travaillés au mortier de chaux pour obtenir des
joints de couleur naturelle. Les menuiseries extérieures seront en bois
et les inévitables fenêtres de toit discrètement encastrées.
Trois appartements
A l'intérieur, les planchers aux empoutrements de
bois, irrécupérables, seront remplacés par des dalles en béton. Sécurité
oblige. Les autres niveaux donneront 180 m2 habitables soit un
appartement triplex et deux type II. Un travail considérable et un devis
de travaux qui tourne autour de 1,4 MF. La subvention du PACT-ARIM
(amélioration de l'habitat) sera la bienvenue. Dans ce quartier, pas
question de monter une grue ou d'utiliser de gros engins. Tout sera fait
selon les anciennes méthodes, c'est-à-dire à la main. C'est la raison
pour laquelle les travaux ne commenceront qu'après l'été. On imagine mal
des camions dans la rue des Boucheries en juillet-août. Les
appartements seront prêts six mois plus tard. Les propriétaires ne les
vendront pas, ils les loueront.
Alain de SIGOYER
Ce pignon moyenâgeux de la rue Treuz est, semble-t-il,
le plus ancien de la ville de Quimper. Il reprendra vie avant la fin du
XXe siècle.
Depuis que j'ai commencé à publier sur l'affaire Baudy / Seznec dont je suis assez proche et continue à subir des conséquences extrêmement lourdes, tous les jours fleurissent dans la presse de nouveaux articles sur l'autre affaire Seznec, celle de Guillaume qui cette année devient centenaire.
Le premier article où j'ai parlé de Georges Seznec, qui se trouve être apparenté à Guillaume, est celui-ci, du 19 avril 2023 :
La déferlante concernant Guillaume commence tout de suite après, avec un premier article de Breizh-Info le 23 avril 2023.
Ci-dessous le début du tout dernier, du Télégramme, publié ce matin.
C'est donc dans la commune natale de Guillaume Seznec qu'est venu mourir le 8 août 1991 Roger Jules Baudy, père du Lyonnais Patrick Baudy qui ne deviendra l'avocat de Georges Seznec et son frère Jean-Louis qu'en 2013 alors qu'il était déjà depuis plusieurs années celui du Morlaisien Jean Cabon qui tentait de le faire condamner pour des infractions imaginaires...
Je n'ai vraiment pas fait exprès de me mettre à publier à ce sujet en cette année de centenaire de l'affaire Seznec la plus connue, je n'y pensais absolument pas.
C'est mon côté médium ou "guidée" qui me pousse assez souvent à mettre les pieds dans le plat sans même en avoir conscience.
Cela dit, je ne suis vraiment pas allée chercher les emmerdements de ce côté-là, c'est encore le pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi qui m'a foutue dedans avec sa complice la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, l'un et l'autre n'ayant cessé de me faire harceler par toujours plus de psychopathes qui m'étaient tous inconnus tout en me harcelant aussi judiciairement au moyen de multiples dénonciations calomnieuses et procédures abusives ou tentatives d'escroquerie au jugement, à compter de l'année 2008.
Affaire Seznec : à Plomodiern, une page d’histoire locale difficile à tourner
Réservé aux abonnés
Publié par Didier Deniel le 24 mai 2023 à 06h00
« Quand j’étais gosse, les familles étaient vraiment
partagées. Il y avait les pour et les contre. Après sa libération, en
1947, Guillaume Seznec, qui s’était établi dans le Nord-Finistère, a
tenu à revenir ici. J’ai entendu dire que, dans le bourg, les volets se
fermaient sur son passage », raconte Gilles Renaud Scoarnec.
(Le Télégramme/Didier Déniel)
Dimanche
cela fera officiellement un siècle que le conseiller général Pierre
Quéméneur est décédé. À Plomodiern (29), commune natale de Guillaume
Seznec, accusé de son meurtre, ce long fleuve judiciaire, qui a défrayé
la chronique pendant des décennies, a fortement marqué les esprits.
Le
bourg de Plomodiern (2 100 habitants), est bien paisible en ce début
d’après-midi. Au pied de l’église où Guillaume Seznec, fils
d’agriculteurs, s’est marié, le mercredi 18 juillet 1906, à Marie-Jeanne
Marc, fille d’un riche commerçant grainetier, un couple de cyclo
randonneurs fait une pause avant d’attaquer l’ascension du Menez Hom,
qui culmine à 3 km de là. « Bien sûr que je connais l’affaire Seznec,
confie le mari, originaire de la région lyonnaise. Qui ne la connaît
pas ? Je me suis un peu replongé dans cette histoire en lisant le guide
du Routard. Ils en parlent. On n’est pas venu ici spécialement pour ça,
mais c’est bon de le savoir ».
La
ferme familiale de Kerniol où a vécu enfant Guillaume Seznec. Elle est
située à 3 km du bourg, en direction de la mer. (Le Télégramme/Didier
Déniel)
Ici, pas de stèle à la mémoire - avec
Alfred Dreyfus - d’un des plus célèbres bagnards de la Guyane française.
Seul indice officiel de ses origines, une plaque à l’entrée principale
du cimetière, qui indique aux visiteurs où se trouve sa tombe. « Elle a
été installée par la commune, indique Gilles Renaud Scoarnec, qui, il y a
une vingtaine d’années, a quitté Rennes pour s’installer dans la
commune d’origine de sa mère et a créé un blog.
Un
jour, Gilles Renaud Scoarnec, un brin provocateur, écrira une lettre au
maire pour que la place du 19 mars 1962, commémorant la fin de la
Guerre d’Algérie, soit débaptisée et prenne le nom de Guillaume Seznec.
« Ça a créé un sacré raffut, j’en ai conscience. Mais ça a permis de
faire avancer les choses. Car c’était l’omerta autour de Seznec.
Pourtant, la commune avait énormément souffert de cette affaire.
Imaginez il y a un siècle ce qu’a pu produire une armée de journalistes
et de chroniqueurs judiciaires débarquant ici. Et l’impact des nombreux
rebondissements judiciaires qui ont suivi ».
Une tombe fleurie par une inconnue pendant des décennies
Nous
suivons les pas de Gilles Renaud Scoarnec et voici la tombe. Un sobre
monument sur lequel sont gravés les noms de Guillaume Seznec, d’Yves et
Louise, ses parents, mais aussi de sa fille, Jeanne. De longues années
durant, la tombe a été régulièrement fleurie par une personne qui
restait très discrète. Une certitude : il ne s’agissait pas de quelqu’un
de la famille dont les membres avaient pris leurs distances avec la
commune, à la suite du procès aux assises de Quimper, en 1924.