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vendredi 30 juin 2023

Jean-Luc Mélenchon l'émeutier en chef...

Il vient d'appeler ses troupes à ne pas toucher aux écoles, bibliothèques ou gymnases...

Pour le reste, par contre, y'a toujours pas de problème...

A noter : par cet appel public, le grand chef confirme aussi ce que j'ai déjà dit dans mes précédents articles du jour, à savoir que les chefs brestois sont bien les assassins d'ingénieurs Arnaud Hell et Josette Brenterch.

 


Le trafiquant de drogue Cyprien Luraghi réclame toujours la légalisation du cannabis...

... comme il réclame toujours la légalisation de toutes ses activités illicites, dont, autrefois, les radios pirates, et aujourd'hui, le piratage informatique et les écoutes illégales pour se "documenter" sur ses "personnages" de "romans", toujours des personnes existant réellement qu'il pille et ruine de toutes les manières possibles et imaginables, sans oublier, bien entendu, la pédophilie.

Et cette fois, il se réclame d'un autre "humoriste"...



Violences urbaines : des émeutiers de 12 à 15 ans

Est-il utile de rappeler comment et pourquoi la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest m'a fait juger et condamner en correctionnelle par ses complices magistrats ultra CORROMPUS du TJ de Brest au printemps 2013 (condamnation annulée en appel à Rennes le 2 décembre 2015 ) ?

Elle me reprochait de l'avoir publiquement contredite concernant ma propre biographie qu'elle avait entrepris de faire publier par son complice cybercriminel et harceleur le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi à compter du 19 juin 2010.

Tout ce qu'elle faisait publier par ce malade sur ses deux blogs alors actifs, ou qu'elle venait y raconter elle-même sous le pseudonyme de "Chepita", à propos de ma vie professionnelle, de ma vie privée, intime, de mes parents, de nos relations, de ma personnalité, de mon état santé, notamment sur le plan mental, et bien sûr de ma participation aux activités de l'association AC ! Brest en 2004 et 2005 était entièrement faux, elle n'a jamais cessé de mentir et d'inventer n'importe quoi pour me calomnier.

Mais elle n'admettait pas que je puisse publier des démentis et droits de réponse à la suite de ses très violentes et monstrueuses campagnes de calomnies publiques à mon encontre en attendant que la "justice" brestoise, sollicitée, ne prenne le relais, ce qu'elle ne fera jamais notamment par haine des ingénieurs. 

En effet, Josette Brenterch a toujours considéré qu'il fallait me faire taire dans la violence à propos de moi-même ou de tous ses mensonges et inventions calomnieuses concernant ma propre biographie, qu'elle m'interdit toujours de dénoncer ou de contredire, tout comme d'ailleurs tous ses complices de la bande du pédophile et mythomane notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi. Et à compter de septembre 2010, elle avait donc décidé de me faire poursuivre et condamner pour avoir osé démentir toutes ses inventions calomnieuses à mon sujet et quelque peu rétabli la vérité concernant ma propre biographie, notamment sur le plan professionnel et de mon activité dans l'association AC ! Brest en 2004 et 2005.

Je rappelle ici que je n'avais jamais évoqué cette dernière d'aucune manière avant que cette criminelle n'en fasse très brutalement publier une version entièrement mensongère par son complice le cybercriminel et harceleur Pascal Edouard Cyprien Luraghi. J'avais seulement indiqué avoir été victime de harcèlement moral dans le travail, alors que j'exerçais comme ingénieur d'études en informatique en SSII, sans fournir aucune précision qui aurait permis d'identifier qui que ce soit. Mais c'était déjà beaucoup trop pour Josette Brenterch qui ne peut absolument pas tolérer que j'aie des relations ou même de simples contacts avec qui que ce soit et ne supporte pas davantage de me voir publier des commentaires anonymes tout à fait anodins sur des sujets non polémiques, car dès que je commence à m'exprimer quelque part, il apparaît très rapidement que je ne suis en rien la personne qu'elle décrit partout comme une débile mentale folle à lier depuis maintenant plusieurs décennies. 

Me faisant toujours surveiller illégalement depuis les années 1990, notamment par piratages informatiques et écoutes illégales, elle avait donc réagi dès mes premiers commentaires publics anonymes sur le site Rue89 en 2008 en me faisait harceler par ses complices de la bande du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi.

Et ses complices magistrats ultra CORROMPUS du TJ de Brest estimant qu'en effet elle avait le droit de violer l'intimité de ma vie privée, de me calomnier et me menacer de mort autant qu'elle le voulait sans être aucunement dérangée par mes démentis qu'elle qualifiait de "diffamatoires" à son encontre du fait que je disais "calomnieux" tous ses romans publics concernant ma vie privée, avaient organisé mon procès pour ces motifs le 9 avril 2013 et ce furent trois heures d'audience totalement démentes où la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest et son avocat l'escroc David Rajjou m'avaient encore calomniée non stop, mon propre avocat, manifestement acheté par mes harceleurs et calomniateurs, les ayant laissés faire autant qu'ils le voulaient sans jamais les contredire au fond, ne demandant qu'une annulation de la procédure sans me défendre aussi sur le fond en plaidant l'exception de bonne foi, ce qui sera fait en appel à Rennes par un autre avocat - je rappelle ici qu'en déposant à mon encontre des plaintes toutes nulles qui auraient dû être rejetées d'emblée pour ce motif par les juges d'instruction de Brest, Josette Brenterch et ses avocats m'interdisaient toute défense au fond au moyen de l'exception de vérité.

Or, la grande salle d'audience du tribunal correctionnel de Brest était archi comble, Josette Brenterch ayant notamment fait venir à ce spectacle qu'elle avait organisé pour toute la ville les élèves de 4ème d'une de ses amies prof de l'extrême-gauche, avec celle-ci, afin de les éduquer : bien travailler à l'école puis faire des études d'ingénieur et exercer ensuite comme ingénieur, c'est mal, c'est très très mal, c'est de la méchanceté pure, c'est une folie qu'il convient de réprimer très sévèrement.

On a encore entendu des choses similaires au procès de l'ingénieur assassin de DRH Gabriel Fortin ces jours-ci : la valeur travail et le goût du sport que lui auraient inculqués sa mère, c'est mal, c'est très très mal, c'est ainsi qu'elle en aurait fait un tueur...

Et l'on s'étonne aujourd'hui qu'une salle de sport ait entièrement été détruite à Brest la nuit dernière...

Enfin bref, voilà l'éducation que reçoivent à Brest bien des collégiens : ne travaillez pas, c'est mal, c'est très très mal...

Pas convaincus ?

Voici également un courriel que j'avais reçu du débile mental Joël Roma à l'époque où il me harcelait sur la base de toutes les inventions calomnieuses de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest à mon encontre, et plus largement contre tous les ingénieurs :


Le 30/06/2007 à 23:25, Joel ROMA a écrit :
Ils ne t'ont pas encore viré de leur site les bobos?
S'il avait fallut compter sur ces couillons pour faire avancer d'une part la société dans le but de la rendre enfin plus humaine, cela se saurait, et nous aurions de ce fait des comptes de résultats d'une part écologique, puis d'autre part sociétal,  ce à l'échelle mondial! Toutes avancées soit disant positives pour l'homme fini par être récupéré par leurs chefs supérieurs en grades de mes deux et se concrétise par la mise en place de politiques à but capitaliste!!! Matériels militaire, satellites espions,  missiles, armes nucléaires en tous genre... Il est vrais que les ouvriers que tu n'aimes pas n'oseraient pas imaginer ce genre de technologie de pointe dont une certaine partie ne sert qu'à les tuer militairement d'une part, puis d'autre part empoisonnés en temps de paix par les labos producteurs de produits pesticides avec en objectif  le système productiviste soit disant dans le but nourrir la planète; et après tout ce cirque médiatiquo-intello de mes deux, il n'est pas rare de voir ces idiots d'ingé et consorts rouler en quatre quatre avec leurs sacoches bardé de travail pour la maison "hum... quelle gourmandise"! Quelle bande de dégénérés qui non content de vivre une vie de con martyrisent leurs gosses pour faire des études comme eux, et finir sur la paille endetté jusqu'aux yeux, pathétique!!! A fond les études au point d'en oublier de vivre leurs adolescence, et après à fond comme tu l'as sans doute toi aussi fait pour vivre ta vie "intellectuelle" et finir en milieux carcéral sous tranxène! C'est donc si bon que cela le bagage? ou est-ce le regard de l'autre qui justifie toute cette souffrance (reconnaissance sociale de "l'élite" boiteuse et boosté aux amphétamines lorsque certains d'entre eux soit disant réussissent à quel prix)! Demain mes seigneurs vous serez cuit dans votre jus, et le capital pour lequel vous êtes pour une grande part toujours soumis puisque dans l'attente d'une partie du gâteau  "Dime" prélevé sur le compte de l'ouvrier vous sautera à la gueule!
Tu peux faire toujours allusion à Josette, elle t'avais bien mieux ciblé que moi à l'époque, et avait  avec d'autres bien d'autres personnes reconnu ta souffrance.
Quant aux ouvriers, tu ne les connais pas! Ils représentent ce que tu exècres le plus au monde, l'humilité toi qui reste imbue de ta petite personne... vaniteuse. Tu en es devenue neuneu!
Va faire du sport et aérer tes neurones bien mal en point!
Joël

 

Contrairement aux (futurs) ingénieurs, les protégés de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest ont bien vécu ou vivent bien leur adolescence...


 

https://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/finistere/brest/mort-de-nahel-on-va-vivre-des-semaines-compliquees-a-brest-la-tension-s-installe-dans-les-quartiers-2805584.html

Mort de Nahel. “On va vivre des semaines compliquées”. À Brest la tension s'installe dans les quartiers

 
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Voitures fracassées, commerces vandalisés, mairie et commissariat de quartier dégradés, Brest a subi une nouvelle nuit de violence suite au décès du jeune Nahel tué par un policier à Nanterre. Ce 30 juin, le responsable de la maison du quartier de Bellevue donne le pouls de la jeunesse brestoise.

“Ce qui est très perturbant, c’est que ce sont des très jeunes qui commettent ces dégradations” confie le directeur de la maison de quartier Bellevue à Brest. Ce vendredi 30 juin, Jean-Philippe Demolder constate les dégâts après une nouvelle nuit de heurts suite au décès du jeune Nahel tué par un policier lors d'un contrôle routier à Nanterre.

Dégradations contre le commissariat, la mairie et le collège

À Brest, cette troisième soirée de violence a débuté dans le centre-ville puis s’est propagée dans le quartier de Bellevue. “Le collège, la mairie annexe et le commissariat ont subi des dégradations” assure celui qui dirige depuis 2006 l’association d’éducation populaire.

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Violences urbaines à Brest dans la nuit du jeudi 29 au vendredi 30 juin. ©Mathieu Herry/FTV

“J’ai vécu les émeutes de 2005, cela s’en rapproche” analyse Jean-Philippe Demolder. “Les jeunes réagissent mais il y a aussi d'autres prétextes. Quand ils pillent des magasins, cela n’a rien à voir avec le jeune Nahel”.

Ce qui m’inquiète c’est qu’ils sont très jeunes, entre 12 et 15 ans pour la plupart.

Jean-Philippe Demolder. Directeur de la maison de quartier Bellevue-Kérinou

“Ce qui m’inquiète c’est qu’ils sont très jeunes, entre 12 et 15 ans pour la plupart et qu’ils sont hors des radars” glisse le responsable de la maison de quartier. Ces quelques dizaines de jeunes se déplacent par petits groupes. Ils communiquent par messagerie téléphonique et sont très mobiles. “On parle de jeunes qui sont déjà dans des trafics, loin des interventions de nos animateurs de rues. Nous n’avons pas de marge de manœuvre pour intervenir” regrette Jean-Philippe Demolder. “Ces jeunes sont suivis par la prévention spécialisée, nos éducateurs ne les croisent pas”.

Cela risque de durer plusieurs semaines.

Jean-Philippe Demolder, président de la maison de quartier de Bellevue-Kérinou à Brest

“Cela risque de durer plusieurs semaines” souffle celui qui vit au cœur de quartier de Bellevue. “Les images tournent en boucle sur les téléphones, et via les chaînes d’infos en continu, cela alimente la colère via les réseaux sociaux”.

Une baisse des aides pour la maison de quartier

Alors que la colère s'embrase dans le quartier. Le moral de son équipe n’est pas au beau fixe. “Nous devons licencier trois travailleurs sociaux. Le département a supprimé des aides en direction des publics les plus fragiles, ceux qui percevaient le RSA”. Une décision qui fait boule de neige. L’équipe se réduit, les interventions vers les personnes les plus fragiles disparaissent. La maison de quartier poursuit son travail de terrain mais ne peut pas répondre à tous les problèmes du quartier.

“Les décideurs publics doivent travailler en profondeur sur les grandes actions à mettre en place, certaines décisions ne nous aident pas” regrette celui qui est à la tête de la structure de cohésion sociale de ce quartier de Brest qui connaît un embrasement violent depuis le décès de Nahel, 17 ans, tué par le tir d’un policier le 27 juin 2023 à Nanterre.

 

Emeutes en Bretagne...

Vous voulez savoir où l'extrême-gauche est la plus active ou la mieux organisée dans les départements bretons ?

Ah ben c'est pas compliqué, en voici la carte :

Brest, Rennes, Saint-Brieuc, Lorient.

A éviter absolument cet été pour des vacances au calme.


https://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/mort-de-nahel-nouvelle-nuit-de-violences-urbaines-en-bretagne-2805365.html

IMAGES. Mort de Nahel : à Brest, Rennes, Saint-Brieuc, retour sur une nuit de violences urbaines en Bretagne

 
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La nuit du jeudi 29 au vendredi 30 juin a à nouveau été marquée par des violences urbaines suite à la mort de Nahel. 667 interpellations sont à noter dans toute la France. En Bretagne, des dégradations ont eu lieu dans les villes de Rennes, Brest, Saint-Brieuc ou encore Lorient.

De nombreux incidents ont eu lieu en Bretagne dans la nuit de jeudi à vendredi pour protester contre la mort de Nahel. Une troisième nuit de violences urbaines après que le jeune de 17 ans a été tué à Nanterre par un policier mardi 27 juin lors d'un contrôle de son véhicule.

À Brest, des violences dans le centre-ville

Des voitures et du mobilier urbain ont brûlé, des commerces ont vu leurs vitrines brisées avant d'être pillées. Il y a eu également de nombreux tirs de mortiers d'artifice. Un club de sport Physic form a été entièrement brûlé, a constaté le reporter de France Bleu Breizh Izel sur place.

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Des feux de poubelle dans le centre-ville de Brest ©Mathieu Herry/FTV

Selon les informations de France Bleu, sept individus ont été interpellés à Brest. Dans le quartier de Bellevue, le commissariat, la mairie annexe et le collège Jospéhine Baker ont subi des dégradations.

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Violences urbaines à Brest dans la nuit du jeudi 29 au vendredi 30 juin. ©Mathieu Herry/FTV
 

À Rennes, la vidéosurveillance arrachée

C'est dans le quartier du Blosne que les violences ont éclaté avec notamment des tirs de mortier d'artifice.

Un engin de chantier a été volé. Un lampadaire a été arraché, des voitures ont été dégradées.

À Saint-Brieuc, la Maison des Jeunes et de la Culture ravagée

Dans les Côtes d'Armor, les pompiers sont intervenus à 17 reprises dans la nuit. Ces opérations ont mobilisé une quarantaine de personnes. Un feu de bâtiment a endommagé une maison des jeunes de 400 mètres carrés.

 

Des feux de poubelle et des voitures ont également été endommagés. Un sapeur-pompier a été blessé est en urgence relative suite au caillassage d'un véhicule de secours.Des commerces ont été dégradés dans la ville.

 

À Lorient : les quartiers se réveillent

Dans le quartier du Bois du château des feux ont également été signalés.

 

Emeutes : deuxième nuit de violences à Brest...

.... ou quand certains Brestois découvrent, horrifiés, tout l'amour que leur porte l'alcoolique notoire Josette Brenterch du NPA de Brest...

Parce que c'est encore bien elle qui organise, comme les émeutes de l'automne 2005 qui avaient été suivies de couvre-feu, le tout ayant alors eu pour but d'étouffer complètement la révolte des chômeurs, précaires et exclus du réseau de collectifs AC ! qui venaient de se faire très brutalement déposséder de leur outil de lutte contre le chômage, la précarité et les exclusions par la folledingue Josette Brenterch et ses complices de la LCR.

Voir ici :

http://unpetitcoucou3.unblog.fr/2016/05/20/octobre-2005-la-lcr-expulse-dac-ses-chomeurs-precaires-et-exclus/

Et là :

http://unpetitcoucou3.unblog.fr/2016/05/20/la-veritable-scission-dans-ac/


Extrait  de l'article Wikipédia :

https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89meutes_de_2005_dans_les_banlieues_fran%C3%A7aises

Le journaliste de Rue89 David Servenay relève qu'« en décrétant l'état d'urgence, le Premier ministre Dominique de Villepin réclame aussi l'intervention de l'armée aux côtés de la police, mais la hiérarchie militaire et le ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy s'y opposent. Le président de la République Jacques Chirac tranche en faveur de ce dernier. L'épisode provoque une première secousse dans l'armée, qui s'interroge sur son rôle en matière de maintien de l'ordre45 ».

 

J'ai dû commencer à faire chier ce M. de Villepin du jour où je suis sortie du ventre de ma maman. Ce n'est pas ce qu'il dit à mon sujet ?

 

 

https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/mort-de-nahel-deuxieme-nuit-de-violences-a-brest-entre-incendies-et-affrontements-4569814

Mort de Nahel : deuxième nuit de violences à Brest, entre incendies et affrontements

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Dans la nuit de jeudi à vendredi, la ville de Brest a été victime d'une deuxième nuit de violences après la mort de Nahel, tué par le tir d'un policier à Nanterre. Cette fois, elles n'ont pas épargné le centre-ville, des commerces ont été pillés. Sept individus ont été interpellés.

 

 Les stigmates des feux de la nuit au centre-ville de BrestLes stigmates des feux de la nuit au centre-ville de Brest © Radio France - Nicolas Olivier


De nouvelles violences ont éclaté dans la nuit de jeudi à vendredi à Brest, après la mort de Nahel, mardi à Nanterre, un adolescent de 17 ans tué par un policier alors qu'au volant, il tentait d'éviter un contrôle. "Une nuit de chaos", résume le reporter de France Bleu sur place, qui a commencé vers 23 heures, "impossible de tout raconter".

Selon nos informations, sept individus ont été interpellés à Brest.

Du jamais vu

250 personnes se sont d'abord rassemblées à 18 heures jeudi place de la Liberté à Brest, en hommage au jeune homme et contre les violences policières, à l'appel de plusieurs syndicats, associations et partis de gauche. Mais certains sont ensuite allés défier les forces de l’ordre rue Colbert, près du commissariat central.

"Pourquoi nous ?"

La situation a ensuite dégénéré, avec "beaucoup d'affrontements entre policiers et petits groupes très mobiles" selon le sous-préfet de Brest Jean-Philippe Setbon.

Des dizaines de jeunes s'étaient donné rendez-vous sur les réseaux sociaux (notamment sur Snapchat) et ils ont convergé de tous les quartiers de la ville pour aller "casser" dans le centre-ville : poubelles en feu, mobilier urbain renversé ou incendié, notamment avenue Clemenceau. Ils ont joué au chat et à la souris avec les policiers et gendarmes, dépassés par la situation.

Boutiques vandalisées et pillées en centre-ville

Quatre arrêts de bus proches de la gare n'ont plus de vitre, les bris de verre jonchent la chaussée. Il y a eu des voitures saccagées à coups de barre de fer, d'autres ont flambé. Il y a eu également de nombreux tirs de mortiers d'artifice. Les dégâts sont importants et disséminés dans presque toute la ville.

Des commerces ont été pillés : Jott a sa vitrine brisée, une centaine de doudounes ont été volées selon le gérant, qui a passé la nuit à surveiller le reste de son stock. L'enseigne Lacoste a été visée, comme une compagnie d'assurance, une supérette rue Yves-Collet.

Saint-Pierre

Dans le quartier Saint-Pierre, c'est un club de sport Physic form qui a entièrement brûlé entre 2h30 et 3h. Il ne reste plus rien à l'intérieur. C'est un tas de cendres. Il y avait selon une employée, "des machines toutes neuves, il y en a pour des centaines de milliers d'euros de préjudice". Quelques employés se sont rassemblés, très émus, devant cet établissement. "Il n'y a plus rien, ce sont des années de travail qui viennent de partir en fumée. C'est choquant, on se demande : pourquoi nous ?", s'interroge Juliette, manager et coach sportif au club.

De mémoire de Brestois, des violences urbaines à ce niveau-là, sont un événement inédit.

Jamel Ben Ghanem est le gérant de Games Park Indoor, une aire de jeux pour enfants qui se trouve juste sous la salle de sports. Il se dit dégoûté : "C'est complètement inondé. Il y a de l'eau partout, nous sommes au sous-sol." Pourquoi ont-ils touché à un parc de loisirs pour enfants ? Ça n'a pas de sens ! Ils ont des enfants, des petits frères ?!"

Bellevue

À Bellevue, la mairie annexe et le poste de police ont été dégradés, marqués encore ce jeudi matin par les fumées, des vitres brisées. Une agence bancaire a également été dégradée.

 

 Poste de police de Bellevue à Brest, après les violences du 29/06Poste de police de Bellevue à Brest, après les violences du 29/06 © Radio France - Nicolas Olivier

 

 La mairie annexe de Bellevue à Brest dégradéeLa mairie annexe de Bellevue à Brest dégradée © Radio France - Nicolas Olivier


Kerourien

Le centre social de Kerourien a été en partie incendié, un local de BMH (Brest métropole habitat) a été détruit et pillé.

 

 Après la nuit de violences à KerourienAprès la nuit de violences à Kerourien © Radio France - Nicolas Olivier

 

Après la nuit de violences à Kerourien à BrestAprès la nuit de violences à Kerourien à Brest © Radio France - Nicolas Olivier
 

Polémique sur la circulation des bus

Bibus avait décidé "d'interrompre la circulation des bus et des tramways" jeudi soir à 18 heures. Brest Métropole souhaitait que le réseau fonctionne jusqu'à 22 heures.

 

 L'arrêt de bus Kennedy gare à Brest a été vandaliséL'arrêt de bus Kennedy gare à Brest a été vandalisé © Radio France - Nicolas Olivier

 

 

jeudi 29 juin 2023

A Chartres comme à Brest, l'association Anticor est décidément très mal nommée...

Lire ou relire à ce sujet :

http://satanistique.blogspot.com/2023/06/anticor-la-tres-malnommee-perdu-son.html

 

https://france3-regions.francetvinfo.fr/centre-val-de-loire/eure-et-loir/chartres/un-delegue-d-anticor-soupconne-d-avoir-fait-chanter-la-mairie-de-chartres-2804879.html

Un délégué d'Anticor soupçonné d'avoir fait chanter la mairie de Chartres

 
Publié le
Écrit par Etienne Merle 
 

Le délégué départemental d'Eure-et-Loir de l'association contre la corruption est soupçonné par la Justice d'avoir tenté de faire chanter le directeur de cabinet du maire de Chartres en avril 2022. L'homme aurait proposé de vendre son silence en échange d'avantages en nature, ce qu'il conteste fermement.

L'association Anticor multiplie les tempêtes. Après le retrait de son agrément par le tribunal administratif de Paris, le 23 juin dernier, c'est l'un de ses délégués départementaux qui est dans la tourmente.

Selon Le Parisien, Jocelyn Corron, le représentant de l'association anticorruption dans le département d'Eure-et-Loir est visé par une enquête diligentée par le parquet de Chartres pour "chantage". Il est soupçonné d'avoir tenté de faire pression sur Foulques de Ledinghen, le directeur de cabinet du maire de Chartres, Jean-Pierre Gorges. Une information confirmée par le procureur de la République de Chartres, Frédéric Chevallier.

Au cœur des soupçons, une rencontre entre les deux hommes le 28 avril 2022. Le directeur de cabinet, suspicieux vis-à-vis de ce rendez-vous, a décidé de l'enregistrer discrètement : "J'avais été alerté par un élu local d'une commune près de Chartes, qui aurait été victime d'un chantage de la part de ce monsieur. Je me suis dit qu'il allait peut-être aussi tenter de me faire chanter", explique-t-il à France 3.

"Je suis ouvert à toute proposition"

Cet enregistrement, nos confrères du Parisien en ont révélé des extraits. Jocelyn Corron aurait ainsi proposé d'échanger son silence sur un dossier compromettant pour le maire de Chartres en échange d'avantages en nature, comme un nouvel appartement.

L'homme semble même poser un ultimatum au directeur de cabinet : "Je suis ouvert à toute proposition. Mais autant vous dire si pour une raison X, vous n’estimez pas que c’était un aspect primordial pour la survie de l’humanité, je ne pourrai pas retenir les chevaux bien longtemps. Ce n’est pas une espèce de chantage, c’est une question de logique", rapporte le journal régional.

"Je n'ai jamais cherché à obtenir quoi que ce soit"

La version de Jocelyn Corron est diamétralement opposée. Le référent nie toute tentative de chantage. "On essaie de m'abattre parce que je dérange", affirme-t-il. Selon lui, "les extraits sont sortis de leur contexte". Il assure n'avoir "jamais demandé quoi que ce soit", et jure que c'est le directeur de cabinet qui est à l'initiative de cette réunion et pas l'inverse : "C'était un traquenard", lance le militant anticorruption.

Cela cause du tort à l'ensemble des référents qui font un travail formidable partout en France.

Élise Van Beneden, présidente d'Anticor

Reste que l'homme est mis en examen pour chantage et renvoyé en correctionnelle en janvier 2024. Du côté d'Anticor, on assure tomber des nues : "On a du mal à trouver les mots. C'est la trahison de tout ce que l'on représente", s'agace la présidente de l'association, Elise Van Beneden.

L'association a d'ores et déjà suspendu Jocelyn Coron à titre conservatoire, et le comité d’éthique de l'association a été chargé d'instruire ce dossier.

 

mercredi 28 juin 2023

Quand les escrocs de la Tronche en biais invoquent la DGCCRF...

 

 

Thomas Durand de la Tronche en biais, employé pour cette activité de youtubeur depuis 2014 par le couple Patrice Seray / Francine Cordier et son associé de toujours et pour tout Jean-Marc Donnadieu de Béziers, a enfin compris qu'il allait se faire taper au portefeuille... mais pas comme je le suis, moi, par sa bande d'escrocs et leurs nombreux complices, depuis 2010 ou 2011, en toute illégalité, uniquement au moyen d'escroqueries très soutenues par les magistrats ultra CORROMPUS du TJ de Brest... non, juste, pour lui, avec un arsenal juridique adapté à la situation.

Rappelons donc quelles étaient les activités "professionnelles" de Jean-Marc Donnadieu avant qu'il ne commence à me harceler sur mon blog, au mois d'avril 2010, ne demande ensuite à mon hébergeur la suppression de mon blog au motif que je n'aurais été qu'une folle passant son temps à diffamer des tas de gens sur Internet, après que je l'eus banni de mon blog parce qu'il venait uniquement m'y insulter, et ne poursuive finalement ses cyberharcèlements sur le plan judiciaire en attaquant mon hébergeur de blog au motif principal que j'aurais "révélé" son identité sur mon blog si peu lu qu'il en était confidentiel, alors qu'il avait toujours "révélé" lui-même cette identité, avec toutes ses coordonnées, sur tous les sites où il s'exprimait sous le pseudonyme de NEMROD34, dont le sien, "professionnel", dénommé "kivenkoi34500.com", supportant une activité de publicitaire pour les commerçants de Béziers qu'il avait débutée au mois de février 2010... et aussi mon blog... ainsi que le site Le Post où il me reprochait d'avoir soi-disant fait de la publicité pour ce blog nouvellement créé fin mars 2010, alors que j'avais été bannie de ce site un mois plus tôt, cette création ayant été précisément consécutive audit bannissement... 

La condamnation de mon hébergeur de blog OverBlog qu'il avait finalement bien obtenue en appel pour la première fois le 15 décembre 2011 était également motivée par des "révélations" concernant sa situation conjugale... qu'il avait faites lui-même sur mon blog comme sur de nombreux autres sites...

Enfin, pour s'éviter toute contradiction de ma part en m'écartant de toutes ses procédures contre OverBlog, il prétendait tout aussi mensongèrement que tout le reste être "obligé" d'attaquer judiciairement mon seul hébergeur de blog au motif qu'il n'aurait pu connaître mon identité... alors que depuis le 19 juin 2010, il l'étalait sur de nombreux sites avec ses complices de la bande du cybercriminel et pédophile notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi, avec également celles de plusieurs de mes proches et toutes nos coordonnées. Toutes leurs "révélations" concernant l'intimité de nos vies privées, assorties d'innombrables calomnies et menaces de mort, étaient bien évidemment délictueuses sans l'ombre d'un doute et de surcroît le résultat de piratages informatiques et écoutes illégales.

Son avocat Philippe Desruelles de Béziers avait lui aussi mon identité et toutes mes coordonnées depuis le 2 juillet 2010.

Nous avons donc là des spécialistes de l'escroquerie au jugement.

Voici ci-dessous tout un ensemble de copies d'écran concernant l'ancien site "kivenkoi34500.com" de Jean-Marc Donnadieu, datées de 2010 et 2011, les plus tardives du 5 novembre 2011. C'est sur ce site "professionnel" qu'en fin d'année 2011 il affichera aussi tout un tas de saloperies sur mon compte, avec sa version entièrement mensongère de ses attaques à mon encontre depuis le printemps 2010 et jusqu'à la condamnation en référé de mon hébergeur de blog OverBlog, prononcée le 15 décembre 2011 par la Cour d'appel de Montpellier.

On rappelle encore que lui et ses complices de la bande du cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi ont toujours vertement reproché à la société OverBlog d'avoir une activité commerciale, et notamment de faire de la publicité. Ils en tiraient des arguments pour demander sa condamnation en Bretagne (tentative d'escroquerie au jugement de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest) comme dans l'Hérault.

Enfin, Jean-Marc Donnadieu m'a aussi toujours accusée d'être la cause de l'insuccès total de son activité de publicitaire et voulait même à une certaine époque me réclamer des dommages et intérêts délirants parce qu'il était toujours au RSA depuis qu'il avait quitté son emploi d'agent hospitalier de Béziers en 2004...

Voir ici son CV en ligne :

http://myreader.toile-libre.org/uploads/My_53fc91103ec7c.pdf

Là, quelle était son activité parallèle de modérateur du forum Sceptic Ovni de ses complices Patrice Seray et Francine Cordier, devenu depuis Ufo-scepticisme :

http://satanistique.blogspot.com/2014/04/nemrod34-moderateur-ca-demenage.html

Là, quelques rappels de leurs attaques communes à mon encontre :

http://satanistique.blogspot.com/2020/03/vent-de-panique-chez-mes-harceleurs.html

Et là leur création ASTEC pour l'emploi de Thomas Durand :

http://satanistique.blogspot.com/2023/05/zetetique-acerbe-la-secte-aux-pieds.html


Et pourquoi toutes ces escroqueries ou tentatives d'escroqueries au jugement à mon encontre ou contre mes soi-disant "complices" ? 

D'abord pour m'interdire toute forme d'expression publique, même anonyme, car dès que je commence à m'exprimer on s'aperçoit très rapidement que je ne suis absolument pas la personne pour laquelle la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest assure depuis des décennies de très vastes campagnes de publicité mensongère. Ensuite pour renforcer toute cette publicité mensongère avec de nouvelles montagnes de calomnies, y ajouter notamment une étiquette de "délinquante", et aussi pour me dépouiller de toutes mes ressources et me contraindre à terme à la prostitution, l'un des objectifs de toujours de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest à mon encontre, sachant que je suis bien ingénieur, ce qu'elle n'a jamais pu supporter.

Egalement pour se faire du fric sur mon dos ou celui de mes soi-disant "complices", cela va de soi.

Rappelons encore que cette femme et ses complices, réels, ceux-là, sont tous très violemment opposés aux associations de consommateurs, qui relèvent d'initiatives privées et représentent un secteur privé concurrentiel des services de l'Etat qui selon eux ne devrait pas exister et serait même extrêmement dangereux, autant pour l'économie du pays, ses entreprises, ses commerçants, que tous ses services étatiques. C'est pourquoi, ayant toujours été très violemment combattues par toute l'extrême-gauche, elles n'ont toujours pas le même poids en France qu'aux Etats-Unis.

Or, mon père est à l'origine de tout le réseau breton des UFC-Que Choisir, raison pour laquelle elle a entrepris de le "punir" en faisant assassiner toute sa famille.










 


mardi 27 juin 2023

Altobella Cappelleri, la belle Italienne du Sud-Ouest...

 

 

Qui reconnaît-on dans cette belle personnalité ? 

Josette Brenterch la "Mère Sup" du NPA de Brest, ou le "Konducator" du Sud-Ouest Pascal Edouard Cyprien Luraghi ?

L'un et l'autre.

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_Altobella_Cappelleri

Affaire Altobella Cappelleri

Affaire Cappelleri
Titre Affaire Altobella Cappelleri
Fait reproché Homicide
Pays Drapeau de la France France
Ville Aucamville
Date
Nombre de victimes 1 : Georges Hourdin
Jugement
Statut Affaire jugée
Tribunal Cour d'assises du Tarn-et-Garonne à Montauban
Recours En appel en à la cour d'assises de Haute-Garonne à Toulouse

L'affaire Altobella Cappelleri aussi appelée « affaire de l'auberge rouge » et « affaire Cappelleri » des nom et prénom de la prévenue, est une affaire criminelle française qui débute en par un témoignage déposé à la gendarmerie de Verdun-sur-Garonne. Il concerne la séquestration, les violences subies et la disparition en 1997 de Georges Hourdin à l'Auberge du Tail, victime de sa propriétaire Altobella Cappelleri.

On découvre que pour faire disparaitre le corps de Georges Hourdin, sa tortionnaire aurait donné son corps en pâture aux cochons. Il fut ensuite jeté dans un puisard, puis 3 mois plus tard réduit en cendre dans la cheminée de l'auberge.

Les faits

En un témoin se présente à la gendarmerie de Verdun-sur-Garonne et demande à pouvoir témoigner anonymement, ce qui lui est accordé. Il déclare que plusieurs années plus tôt, en 1997, dans l'Auberge du Tail à Aucamville, Georges Hourdin, la soixantaine, a été séquestré pendant plusieurs années puis tué. Il déclare qu'après sa mort son cadavre a été donné à manger aux cochons de l'auberge, puis que les restes ont été jetés dans un puits.

Enquêtes

Enquête liée à l'identification de Georges Hourdin

L'identité de la victime n'apparait pas dans le fichier des personnes disparues.

Les recherches sur Georges Hourdin permettent à la gendarmerie de découvrir qu'il fait un séjour en hôpital psychiatrique à Bar-le-Duc, où il est placé d'office en raison d'un état d'ébriété avancé.

Son compte en banque est crédité de 1,5 Euro.

Issu d'une fratrie de 7 enfants, l'une de ses sœurs dit que Georges ne parle plus depuis son retour de la Guerre d'Algérie et que personne dans la famille n'a plus de nouvelle de lui.

En consultant les registres de l'hôpital de Toulouse les gendarmes découvrent qu'il y séjourne en 1988 et qu'à cette époque il donne comme adresse celle de l'Auberge du Tail.

Enquête liée à l'Auberge du Tail

Les enquêteurs s'intéressent alors à l'Auberge du Tail. Ils découvrent qu'elle est fermée depuis 4 ans mais qu'Altobella Cappelleri, sa propriétaire, y vit toujours en compagnie de sa fille handicapée sourd-muette et d'un ouvrier agricole, Franck.

Le mari d'Altobella, Armand Laveyron, est décédé. Altobella Cappelleri a francisé son prénom après son mariage et se faisait appeler Isabelle Laveyron.

L'enquête met en lumière différentes rumeurs inquiétantes à son sujet : la patronne ne serait pas aimable, ce qui aurait fait fuir une partie de la clientèle. Il se dit aussi que lorsque l'auberge était ouverte Altobella y organisait des parties de débauche avec des notables, et qu'elle aurait incité sa fille à avoir des relations sexuelles avec un détaillant en Champagne pour négocier des tarifs avantageux sur ses produits.

Le au matin, Altobella, sa fille et son fils Claude, et Franck sont placés en garde à vue.

Garde à vue et perquisition à l'Auberge du Tail

Audition d'Altobella

Altobella Cappelleri dit qu'elle connaît George Hourdin, qu'elle lui a offert l'hospitalité, mais qu'elle n'a plus de nouvelles de lui depuis 1993, année au cours de laquelle elle situe son départ de l'auberge.

Audition de Franck

Franck déclare aux gendarmes qu'il est arrivé à l'Auberge du Tail à l'âge de 8 ans. Madame Altobella lui donnait alors des tâches simples à réaliser. Il s'y est alors installé, puis à l'âge de 18 ans elle lui confie un véritable emploi : s'occuper de la ferme, bricoler, sortir les poubelles, balayer la cour. Il dit d'Altobella qu'elle est gentille mais que sous l'emprise de l'alcool elle peut être violente. Elle l'aurait violé en le forçant à coucher avec elle, elle le bat. En plein hiver, elle le force à se déshabiller dans la cour extérieure de l'auberge puis le lave au jet d'eau froide. Il dit que malgré ces mauvais traitements il reste à l'auberge parce qu'Altobella lui fait peur.

Franck déclare que Georges Hourdin se présente affamé et accablé à l'auberge et qu'Altobella accepta de l'héberger. Toutefois cet hébergement se résume à coucher parterre sur une couverture dans la buanderie. Franck dit qu'Altobella frappe Georges.

Dans son témoignage, il affirme qu'à plusieurs reprises Altobella le force à violer George alors que ni l'un ni l'autre ne sont consentant. Altobella filme ces viols, puis se sert de la vidéo pour menacer Franck de la montrer à sa famille chaque fois qu'il fait mine de vouloir partir.

Franck dit que Georges est parti du jour au lendemain et qu'il ne sait pas où il est.

Audition du fils aîné d'Altobella : Claude

Claude est le fruit d'une union d'Altobella avec son premier mari.

Il déclare aux gendarmes ne plus vivre à l'auberge mais avoir déjà vu Georges être maltraité et souvent blessé. Il dit que Georges était souvent ivre, donc qu'il ne sait si ces blessures sont consécutives à des violences ou à des chutes. Il dit néanmoins qu'Altobella bat souvent Georges et l'accable de reproches.

Questionné sur sa vie à l'auberge, Claude dit que, lorsqu'il est petit, sa mère, Altobella, le jette tout nu dehors en pleine nuit. Tout le monde vit sous la menace permanente d'Altobella. Claude raconte qu'une fois, alors que son petit frère a uriné au lit, sa mère lui brûle le sexe avec une cigarette.

Concernant Georges, Claude explique aux gendarmes qu'une nuit sa mère l'appelle au téléphone pour lui demander de venir à l'auberge. Une fois sur place elle lui explique que Georges a fait une mauvaise chute, qu'il est mort, et que son cadavre est dans la buanderie. Sa mère lui demande alors de s'occuper du corps.

Claude fait comprendre finalement aux enquêteurs que Georges est mort des suites des maltraitances et des sévices répétés infligés par Altobella. Selon ses dires, sa mère le force alors à porter le cadavre jusqu'à la porcherie. Claude dit qu'il prend l'initiative de nourrir discrètement mais copieusement les cochons juste avant de leur présenter le corps de Georges. Les cochons n'y touchent pas. Claude met le cadavre dans un puisard sous une dalle de béton. 3 mois plus tard, Altobella demande à Claude d'en sortir le cadavre pour le brûler. Claude et Armand, le mari d'Altobella, le placent dans la cheminée de l'auberge. Toute la nuit Armand l'enduit de graisse de canard pour attiser la combustion. Au matin Altobella met les cendres dans un sac poubelle, elle le donne à Claude qui va jusqu'à Toulouse le jeter dans un container public.

Perquisition

Les scientifiques de la gendarmerie, en utilisant du Luminol, détectent des traces de sang dans la buanderie et la porcherie. Toutefois l'enquête ayant lieu sept ans après les faits allégués, il n'est pas possible d'en établir une origine humaine.

Les gendarmes ne trouvent pas la vidéo du viol commis par Altobella sur Franck et Georges, mais ils trouvent une vidéo où Georges apparait blessé à l'oreille pendant un dîner de réveillon.

Confrontation entre d'Altobella Cappelleri, Franck et Claude

Au début de cette confrontation les trois personnes se trouvent dans une même pièce de la gendarmerie, côte à côte. Rapidement il s'avère qu'Altobella a une emprise sur Franck et Claude. Un simple regard d'Altobella sur eux suffit à les faire taire, se recroqueviller sur leurs chaises et regarder par terre.

Pour qu'elle ne puisse pas les influencer, les gendarmes décident de tendre une couverture au travers de la pièce entre Altobella et les deux hommes.

Altobella rejette en bloc les accusations proférées contre elle par son fils et par Franck.

Enquête financière

En , la Sécurité sociale de Montauban contacte la gendarmerie pour faire savoir que Georges était titulaire d'une pension d'invalidité de 3 000 francs par mois, qu'il avait été domicilié à l'Auberge du Tail jusqu'en 1997. Altobella avait pourtant déclaré ne plus avoir de nouvelle de Georges depuis 1993. Elle aurait donc perçu cette pension en tout illégalité.

Nouvelle audition d'Altobella

Lors de cette audition Altobella reconnait que Georges est décédé chez elle.

Son mari Armand étant mort, Altobella invente une autre version : ce dernier aurait surpris sa propre mère et Georges en pleine copulation. Ils se seraient disputés, puis battus, et Georges serait tombé sur le rebord de la piscine.

Elle concède avoir aidé à faire disparaitre le corps, avec le même scénario que celui décrit par son fils.

Fin 2005, l'Auberge du Tail est détruite dans un incendie.

Procès

Procès de premier recours

Le procès se déroule devant la cour d'assises de Montauban. Claude n'est pas poursuivi car considéré comme ayant agi sous l'emprise de sa mère. À cette date, les faits caractérisant le viol commis par Franck sur Georges sous la contrainte de Altobella sont alors prescris.

Altobella est la seule accusée, poursuivie pour séquestration ayant entraîné la mort de Georges Hourdin. La défense d'Altobella est assurée par Maître Gilbert Collard, il plaide un accident survenu un soir d'ivresse.

Verdict : Altobella Cappelleri est alors condamnée à 15 ans de réclusion criminelle, elle se pourvoira en appel.

Procès en appel

Le procès en appel se tient devant la cour d'appel de Toulouse. Le est rendu le Verdict : Altobella Cappelleri est condamnée à 20 ans de réclusion criminelle1,2.

Notes et références


  • « Aucamville. 20 ans de prison pour l'aubergiste accusée de mort sur un SDF » [archive] Article de Claire Lagadic publié le 30 septembre 2010 dans La Dépêche du Midi

    1. « Vingt ans de prison à l'aubergiste » [archive] Article publié le 30 septembre 2010 dans 20 minutes

    Voir aussi

    Articles connexes

    Médiagraphie

    Articles de presse

    Documentaire radio.

    Europe 1. Hondelatte raconte.« Altobella Cappelleri, son auberge et ses cochons » [archive]. Le 14 décembre 2021

    Documentaires télévisés

    Émission radiophonique