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vendredi 22 avril 2022

Attentat djihadiste déjoué en 2019 : cinq personnes renvoyées en procès

 

L’attentat déjoué en 2019 était programmé pour début mai alors que le procès de mon principal témoin contre le pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi et sa bande de cybercriminels était alors prévu pour le 14 mai 2019 (il sera finalement reporté au mois d’octobre 2019).

Voir ce que j’en disais ici :

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/04/18/20minutes-fr-media-aux-bottes-du-pedophile-et-terroriste-pascal-edouard-cyprien-luraghi-publie-de-nouvelles-menaces-contre-leurope/

Ce projet d’attentat avait commencé à voir le jour début février 2019, soit au lendemain de la publication du faux témoignage du pédophile contre moi par la fausse journaliste et vraie harceleuse de femmes Hélène Sergent sur le site pro-pédophile 20minutes.fr : comme déjà dit, c’est tout ce qu’il fallait au terroriste en chef Pascal Edouard Cyprien Luraghi pour trouver une nouvelle équipe pour commettre un attentat visant cette fois directement la tête de la République française, sa cible privilégiée depuis sa dernière défaite judiciaire, le 11 avril 2018, comme il n’a cessé de le répéter publiquement à compter de son inscription sur Twitter au mois de février 2019, et encore très récemment :

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/04/20/jean-marc-lafon-nouvelle-victime-du-mythomane-cyprien-luraghi/

Voilà, cette fois l’attentat aura été déjoué. Tous ne le seront pas.

Bravo à Hélène Sergent et toute l’équipe pro-pédophile de 20minutes.fr.

 

 

https://www.lefigaro.fr/flash-actu/attentat-djihadiste-dejoue-en-2019-a-paris-cinq-personnes-renvoyees-en-proces-20220419

Attentat djihadiste déjoué en 2019 à Paris : cinq personnes renvoyées en procès

Par Le Figaro avec AFP

Publié le 19/04/2022 à 23:06, Mis à jour hier à 15:42
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00:00/02:27

Un juge d'instruction antiterroriste a ordonné le renvoi devant la cour d'assises des mineurs spéciale de cinq personnes suspectées d'avoir projeté en 2019 un attentat djihadiste aux abords du Palais de l'Élysée.

Un juge d’instruction antiterroriste a ordonné le renvoi devant la cour d’assises des mineurs spéciale de cinq personnes suspectées d’avoir projeté en 2019 un attentat djihadiste aux abords du Palais de l’Élysée. Atlantis / stock.adobe.com

Un juge d’instruction antiterroriste a ordonné le renvoi devant la cour d’assises des mineurs spéciale de cinq personnes suspectées d’avoir projeté en 2019 un attentat djihadiste aux abords du Palais de l’Élysée, a appris mardi l’AFP de source proche du dossier, confirmant une information du Parisien. Cette ordonnance de mise en accusation, signée jeudi, renvoie cinq personnes «devant la cour d’assises des mineurs spécialement composée pour association de malfaiteurs terroriste en vue de préparer des crimes d’atteinte aux personnes», selon cette source.

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L’un d’entre eux est également renvoyé «pour non-dénonciation de crime constituant un acte de terrorisme», toujours de même source. Un sixième protagoniste du dossier, mineur de moins de seize ans au moment des faits et né en mai 2003, a été «condamné en 2021 par le tribunal pour enfants statuant en matière criminelle à une peine d’emprisonnement partiellement assortie d’un sursis probatoire», a indiqué la source proche. Dans son téléphone avait été retrouvé une photographie de l’intéressé à côté de François Hollande.

D’après des éléments du dossier dont l’AFP a eu connaissance, le dossier a été ouvert début février 2019 autour de la figure d’Alexandre B., 42 ans, «suspecté de fomenter un projet de nature terroriste ciblant les forces de sécurité françaises et impliquant d’autres individus». Ce «partisan du djihad publiait régulièrement sur les réseaux sociaux des articles en faveur du groupe État islamique» et notamment sur Telegram «des vidéos de propagande de l’EI montrant des exécutions et des égorgements», selon ces éléments. Spécificité de cette enquête, une cyber-infiltration puis une infiltration rocambolesque. Elles ont mis à jour «un projet d’action violente ciblant les abords du Palais de l’Élysée, les policiers en faction et éventuellement les civils sur l’avenue».

Le 24 avril 2019, «l’agent infiltré annonçait sur le groupe Telegram avoir fait l’acquisition de deux kalachnikovs», proposées à l’essai à Alexandre B. et à un autre mis en cause, Karim B., dans un appartement parisien géré par l’antiterrorisme, qui déclenchait leur interpellation. Si Karim B. «revendiquait les faits qui lui étaient reprochés», Alexandre B. et le dernier membre du trio suspecté d’avoir envisagé une action violente, Mohamed C., «affirmaient qu’ils n’auraient pas été jusqu’au bout». «Nous considérons que les infiltrés» de la DGSI «sont allés beaucoup plus loin que ce que la loi autorise» et «ont donné du relief au projet», a contesté Me Marc Bailly, avocat de Mohamed C.

 

 

https://www.lefigaro.fr/faits-divers/trois-hommes-renvoyes-aux-assises-pour-des-projets-terroristes-20220420

Trois hommes renvoyés aux assises pour des projets terroristes

 

Par 

Publié hier à 15:18, Mis à jour hier à 15:25
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00:00/04:07

Les infiltrations ont été menées par des hommes de la DGSI et du SIAT, Service interministériel d'assistance technique.

Les infiltrations ont été menées par des hommes de la DGSI et du SIAT, Service interministériel d’assistance technique. Adobe Stock – Illustration

Arrêtés après une infiltration policière inédite, les accusés ont été renvoyés devant la Cour d’assises spéciale de Paris pour avoir fomenté un attentat aux abords de l’Élysée.

C’est l’aboutissement d’un travail entamé en 2019, et ayant requis un engagement hors normes de différents services de police et de renseignement. Cinq personnes ont été déférées devant la Cour d’assises spéciale de Paris pour «association de malfaiteurs terroriste criminelle». Islamistes radicaux, ils prévoyaient de mener un attentat, ayant retenu les abords de l’Élysée.

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Le départ du travail est lancé au début 2019, lorsque la DGSI intercepte des échanges de messages sur les réseaux sociaux, comme l’indique le récit du Parisien . Alexandre B., 39 ans, employé de la mairie de Paris converti à l’islam, publie des vidéos scabreuses de Daech, recueille des informations pour se procurer des armes. Le Parquet National Antiterroriste ouvre une enquête, la DGSI peut procéder à une cyberinfiltration : elle est menée par un agent qui se baptise «Abu Mohamed», et se présente comme un admirateur de l’État islamique. Alexandre B. l’intègre à une boucle de discussion Telegram, dans laquelle il précise ses volontés d’attentat. Les membres du groupe conviennent de se rencontrer.

Toutefois, la DGSI n’a pas les moyens légaux d’envoyer son agent sur le terrain. C’est le SIAT, Service Interministériel d’Assistance Technique, qui est appelé en renfort. Un de ses hommes, au nom de code de Khalil, se fait appeler Abou Bakr. Il prend le relais d’Abu Mohamed pour se rapprocher des vrais djihadistes. Une première rencontre a lieu le 26 février 2019, lors de laquelle il fraternise avec Alexandre B., et découvre qu’une action est envisagée avec d’autres «frères». Des repérages sont même effectués le lendemain au commissariat d’Aulnay-sous-Bois : portes de sorties et bureaux sont inspectés sous le prétexte d’un dépôt de plainte.

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Un nouveau personnage, Karim B., est également introduit. Se surnommant «le samouraï d’Allah», ce dernier est décrit comme schizophrène dangereux, rédigeant des notes justifiant le meurtre de femmes et d’enfants. Un quatrième, Majid rejoint également le groupe : mineur algérien, déjà condamné pour association de malfaiteurs terroriste, il vit dans un centre éducatif à Chelles en Seine-et-Marne, et a convaincu ses éducateurs qu’il est désormais déradicalisé.

Les quatre apprentis terroristes, dont Abou Bakr l’infiltré, se rencontrent tous le 4 avril. Ils travaillent le mode opératoire d’un attentat. Après avoir envisagé les Champs-Élysées, ou un assassinat d’une dessinatrice de Charlie Hebdo, le choix se porte sur les alentours de l’Élysée. «Premier assaut pour faire venir la cavalerie mécréante, et deuxième assaut sur cette cavalerie mécréante. Le plan est simple, jusqu’à tomber chahid [mourir en martyr]», promet Alexandre B..

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«Abou Bakr», du SIAT, tend alors son piège : il dit se charger des armes, notamment grâce à celui qui l’a introduit, Abu Mohamed. Le 19 avril 2019, il récupère les fonds de deux de ses comparses, Alexandre B. et Karim B., pour l’acquisition de mitraillettes AK 47 Kalachnikovs, et va se balader avec eux jusqu’aux abords du palais présidentiel, pour des repérages. Le 24, il annonce avoir acquis deux AK47 et les avoir planquées dans un appartement du 10e arrondissement de Paris. Deux jours plus tard, Alexandre B. et Karim B. pénètrent dans les lieux, et viennent admirer les armes, en réalité neutralisées. Le piège s’est refermé : une équipe de la DGSI les attend en bas de l’immeuble… Le jeune Majid, qui n’a pu se libérer pour venir à Paris, est de son côté arrêté à Chelles.

En garde à vue, les trois protagonistes ont assumé leur volonté de «mourir en martyr», mais ont relativisé leur motivation. Leurs avocats ont d’ailleurs remis en cause les méthodes utilisées par les renseignements et la police, qui auraient poussé à l’infraction. Les investigations ont toutefois été validées par la justice, qui, trois ans après les faits, a renvoyé les mis en cause devant la Cour d’assises spéciale de Paris.

 

 

https://www.leparisien.fr/faits-divers/attentat-dejoue-la-cellule-terroriste-voulait-s-attaquer-a-l-elysee-02-05-2019-8064402.php

Attentat déjoué : la cellule terroriste voulait s’attaquer à l’Elysée

 

Selon l’enquête, les quatre hommes de 17 à 39 ans mis en examen mardi pour terrorisme avaient effectué des repérages autour de la présidence de la République et acquis une kalachnikov.

 

Les personnes arrêtées mardi envisageaient d’attaquer le palais de l’Élysée à la kalachnikov.
Les personnes arrêtées mardi envisageaient d’attaquer le palais de l’Élysée à la kalachnikov. LP/Frédéric Dugit
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Par Jean-Michel Décugis, Éric Pelletier et Jérémie Pham-Lê

Le 2 mai 2019 à 13h17, modifié le 2 mai 2019 à 22h10

En garde à vue, ils n’ont pas caché leur adhésion à l’islam radical. Ni leur volonté de commettre une action violente, projet déjà à un stade avancé lors du coup de filet policier. Selon nos informations, les quatre suspects, Alexandre B., Karim B., Anis M. et M.C., interpellés vendredi puis mis en examen mardi pour « association de malfaiteurs terroriste criminelle » et écroués, envisageaient d’attaquer l’Élysée au fusil d’assaut kalachnikov, mais aussi un commissariat de Seine-Saint-Denis.

La date d’un passage à l’acte au début du ramadan a été évoquée lors de leurs discussions. C’est ce qui ressort des investigations des policiers de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), qui ont fait usage de techniques de surveillance très poussées pour mettre hors d’état de nuire ce groupe de fanatiques du groupe État islamique (EI).

Âgés de 17, 26, 38 et 39 ans, les terroristes présumés, domiciliés à Paris, dans le Val-d’Oise et en Seine-Saint-Denis, étaient dans le viseur des enquêteurs depuis le 1er février. Au cours de leurs préparatifs, les suspects ont effectué des repérages rue du Faubourg-Saint-Honoré (8e arrondissement de Paris), où est située la Présidence de la République. Les analyses de leurs téléphones et les surveillances confirment l’existence de ces déplacements destinés, semble-t-il, à observer les rondes des policiers en faction. Dans leurs échanges, des suspects se seraient vantés de bien connaître l’Élysée et auraient évoqué une porte d’entrée de service. Voulaient-ils s’en prendre aux forces de l’ordre, frapper aveuglément ou cibler une personne en particulier ? L’enquête doit encore le déterminer.

Des mosquées également visées

Une certitude : les investigations révèlent que la cellule djihadiste s’est aussi intéressée au commissariat d’Aulnay-sous-Bois. Là encore, des repérages ont été détectés. « Je m’en fiche de tirer sur des flics même s’ils sont musulmans », a d’ailleurs reconnu, en substance, l’un des suspects en garde à vue. D’autres cibles ont été évoquées, tels l’avenue des Champs-Élysées ou… des mosquées, au motif que les musulmans de France seraient trop modérés. Le groupe, qui discutait sur des messageries chiffrées, était parvenu à collecter 1200 euros pour acquérir un fusil d’assaut kalachnikov. Des réunions ont été organisées à Chelles (Seine-et-Marne).

Parmi les quatre suspects, seul le benjamin était connu pour terrorisme. Ancien lycéen fiché S, M.C. avait été condamné en janvier à trois ans de prison, dont deux avec sursis, pour un projet de départ avorté en Syrie en 2017. Le mineur séjournait depuis dans un centre éducatif fermé situé dans une petite commune de la Seine-Saint-Denis. Selon le centre d’analyse du terrorisme (CAT), M.C. avait été intercepté avec un ami plus âgé sur une autoroute d’Allemagne en février 2017 : il avait alors déclaré aux policiers de la DGSI qu’il comptait « rejoindre l’armée syrienne libre, combattre le régime de Bachar el-Assad et faire de l’humanitaire ». Mais les enquêteurs avaient découvert sur son iPhone de nombreuses chaînes Telegram pro djihadistes, des nasheeds (chants guerriers) appelant à « égorger les mécréants » ainsi que, plus inquiétant, des recherches sur des balles 9 mm et une vidéo montrant des policiers du commissariat de Gonesse (Val-d’Oise).

Pas des « menaces en l’air »

Victime d’une enfance chaotique, M.C. est par ailleurs l’auteur d’une fausse alerte à la bombe commise… le 13 novembre 2015 à la gare de Lyon de Paris. C’est en se procurant un téléphone portable, à l’insu de ses éducateurs qui ignoraient sa radicalisation persistante, que le jeune homme serait entré en contact avec ses complices.

Le profil de l’aîné du groupe intéresse aussi les enquêteurs. À 39 ans, Alexandre B. était, selon une source proche des investigations, le membre le plus actif. Cet habitant du 19e arrondissement de Paris était fonctionnaire à la mairie de Paris, recruté en juin 2013 comme adjoint technique à l’entretien d’un stade sportif. Quant aux deux autres suspects, Karim B. et Anis M., ils n’étaient connus que pour délits de droit commun, le premier également pour des troubles psychiatriques. Un proche des investigations l’assure : « Pour nous, cette cellule ne proférait pas de menaces en l’air et allait agir de façon imminente. »

 

 

https://www.leparisien.fr/faits-divers/attentat-dejoue-contre-l-elysee-un-cinquieme-suspect-arrete-07-05-2019-8067237.php

Attentat déjoué contre l’Elysée : un cinquième suspect arrêté à Strasbourg

 

La DGSI a interpellé mardi matin un mineur de 16 ans dans l’enquête sur un projet d’attentat déjoué fin avril et visant un commissariat de police ou l’Elysée.

 

ILLUSTRATION. Le palais de l’Elysée, rue du Faubourg-Saint-Honoré, est le siège de la présidence de la République et la demeure du chef de l’Etat.
ILLUSTRATION. Le palais de l’Elysée, rue du Faubourg-Saint-Honoré, est le siège de la présidence de la République et la demeure du chef de l’Etat. LP/Olivier Corsan
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Par J.Cl.

Le 7 mai 2019 à 12h58, modifié le 7 mai 2019 à 13h43

Un jeune homme mineur a été interpellé mardi matin à Strasbourg et placé en garde à vue dans le cadre de l’enquête sur un attentat récemment déjoué contre la police, selon une information de TF 1/LCI confirmée par une source judiciaire à l’AFP.

L’adolescent, qui a eu 16 ans lundi, lycéen d’origine tchétchène selon TF 1, a été interpellé au domicile de ses parents par la DGSI sur décision d’un juge d’instruction. Il aurait pu être chargé de diffuser la vidéo d’allégeance à Daech après le passage à l’acte du commando.

Trois hommes de 26, 38 et 39 ans, ainsi qu’un mineur de 17 ans déjà condamné dans une affaire de terrorisme, ont été mis en examen pour association de malfaiteurs terroriste criminelle et écroués le 30 avril dans cette affaire.Interpellés le 26 avril, Alexandre B., Karim B., Anis M. et M.C. sont soupçonnés d’avoir projeté de commettre un attentat au début du ramadan, et avaient effectué des repérages aux abords de l’Elysée et d’un commissariat de banlieue parisienne. Ils avaient aussi acquis une kalachnikov.

Ancien lycéen fiché S, M.C., 17 ans, avait été, selon les informations du Parisien, condamné en janvier à trois ans de prison, dont deux avec sursis, pour un projet de départ avorté en Syrie en 2017. Il avait été placé dans une structure éducative après sa sortie de prison. Ce même jeune homme avait aussi lancé une fausse alerte à la bombe gare de Lyon, à Paris, le 13 novembre 2015, le jour des attentats meurtriers du Bataclan, des terrasses et du Stade de France.

 

mercredi 20 avril 2022

Jean-Marc Lafon, nouvelle victime du mythomane Cyprien Luraghi

 

Jean-Marc Lafon, c’est cet utilisateur de Twitter qui publie soit sous vrai nom, soit sous pseudonyme, je n’en sais rien :

 

https://twitter.com/JM_Lafon

@JM_Lafon
Consultant, formateur. Conflits, terrorisme, haines, désinformation. Compte personnel. L’échauguette : https://youtube.com/channel/UC13GEY1uw88Mrnz4RqIq55w

Francekurultay.fr

Joined March 2012

 

 

Ce dont je suis sûre, par contre, c’est que c’est une des toutes dernières victimes du mythomane Pascal Edouard Cyprien Luraghi et de sa complice la petite pute Hélène Sergent, fausse journaliste et vraie harceleuse de femmes de chez les pro-pédophiles de 20minutes.fr, comme en atteste cette conversation d’il y a deux jours sur Twitter, au cours de laquelle le mythomane l’a renvoyé vers son faux témoignage du 28 janvier 2019, celui qu’Hélène Sergent avait accepté de publier pour relancer toute la machine des attentats islamistes qui s’essoufflait sérieusement depuis le printemps 2018, le terroriste en chef Pascal Edouard Cyprien Luraghi ne trouvant plus personne pour se lancer dans de nouvelles procédures abusives à mon encontre :

 

 

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Cyprien Luraghi
@CyprienLuraghi
·

Apr 18

Tu sais ce que je pense de tout ça…
Are you suggesting that coconuts migrate ?
@Ninifauv
·

Apr 18

Et c’est bien pensé !
Cyprien Luraghi
@CyprienLuraghi
·

Apr 18

C’est totalement à contre-courant de ce que disent M. Lafon et plein d’autres.
Are you suggesting that coconuts migrate ?
@Ninifauv
·

Apr 18

Je ne pense pas que JM Lafon soit partisan de la liberté totale façon Musk : on l’a déjà dit, la dérive sur le net a rendu nécessaire faute de mieux le pseudonymat.
Jean-Marc Lafon
@JM_Lafon
·

Apr 18

Les conditions actuelles sont tout à fait équilibrées… en théorie. Quand ils y mettent les moyens, les enquêteurs trouvent qui se cache derrière un pseudo pour nuire. L’ennui, c’est la pratique car les services sont sous-dimensionnés. On n’amende pas la loi sur cette base !
Cyprien Luraghi
@CyprienLuraghi
·

Apr 18

Je l’ai déjà écrit à quelqu’un d’autre ici, un peu plus tôt : face à la réalité réelle, le blablabla m’est devenu insupportable.
Jean-Marc Lafon
@JM_Lafon
·

Apr 18

L’ennui est que là, votre propos ne s’appuie sur rien pour l’étayer. Ça ne me donne guère envie de le considérer comme autre chose que du bla-bla. À moins que vous consentiez à aller un peu plus loin que du sarcasme abstrait.
Cyprien Luraghi
@CyprienLuraghi
·

Apr 18

Je peux tout à fait l’étayer. En privé. Mes DM sont ouverts.
Jean-Marc Lafon
@JM_Lafon
·

Apr 18

Euh non, nous sommes dans une conversation publique où vous parlez publiquement de mes propos comme de bla-bla. Donc on continue en public ou pas du tout.
Cyprien Luraghi
@CyprienLuraghi
·

Apr 18

OK. Je le fais à contrecœur, étant toujours la cible de cette personne. En 2017

publiait un papier à propos d’un certain Didier. Il s’agit de moi. Sachez que cet article n’aborde que la partie émergée de l’iceberg :

20minutes.fr
«Des centaines d’articles me liaient à des histoires de pédophilie»
Didier, 60 ans, a été la cible de centaines d’articles injurieux et diffamatoires au sein de la blogosphère…
Jean-Marc Lafon
@JM_Lafon
·

Apr 18

Deux remarques d’un qui a aussi eu sa dose de campagnes de boules puantes (mais moins que vous) : 1) la justice et probablement votre avocat ont été en dessous de tout. 2) sous pseudo nous aurions été bien mieux protégés…
Cyprien Luraghi
@CyprienLuraghi
·

Apr 18

Je préfère ne pas dire ce que je pense de l’institution judiciaire. Et bien avant la naissance d’internet j’écrivais des bouquins sous mon vrai nom, donc c’était naturel de continuer ainsi sur ce nouveau support. La personne nommée est face à l’innommé et l’innommable, ici.
Jean-Marc Lafon
@JM_Lafon
·

Apr 18

J’entends bien. Intellectuellement, je ne peux pas admettre que la République restreigne un droit qui protège des millions de gens parce qu’elle n’est pas foutue d’entretenir une Justice digne de ses principes fondamentaux.
Cyprien Luraghi
@CyprienLuraghi
Suite à ça, je me suis en quelque sorte mis en retrait de tout ce qui peu ou prou, a trait à la république. Je ne crois plus au père Noël. Le côté positif de la chose est que j’ai beaucoup appris sur l’esprit humain, et les dessous sales de l’internet. C’est toujours ça de pris.
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Jean-Marc Lafon
@JM_Lafon
·

Apr 18

Je comprends.
 
 
 

L'ultra-fasciste Cyprien Luraghi continue à justifier toutes ses saloperies

 

 

C’est dans ce bout de conversation du 14 avril 2022 sur Twitter :

 

 

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Leo S. Ross
@leodiross
·

Apr 14

« On ne saurait faire boire un âne qui n’a pas soif ». Et comment fait-on pour empêcher un pays qui veut devenir fasciste? « On vote » est très court. Si tous ceux et celles qui « appellent » se bougeaient pour faire fermer leur gueule aux fachos dès qu’ils sortent, on en finirait vite
Leo S. Ross
@leodiross
·

Apr 14

Ce ne serait pas très démocratique, on verrait quelques rudoiements. Mais quel respect, quel démocratie doit-on aux fascistes ?
Cyprien Luraghi
@CyprienLuraghi

Replying to

Le plus important c’est de leur boucler la gueule par tous les moyens possibles. Leur liberté d’expression doit être brutalement anéantie. C’est la première chose à faire.
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N’oublions surtout pas que pour lui les victimes sont toutes « fascistes », car elles se plaignent de ceci ou de celà dans le but d’obtenir des peines de prison ou de réclusion criminelle contre des hommes, par exemple lui-même pour les faits de pédophilie dont il a pu se rendre coupable, ou bien encore pour tous les assassinats qu’il a pu ordonner ou organiser contre mes proches et d’autres témoins de ma vraie vie.

 

Tiens, un plan social chez les pro-pédophiles de chez 20minutes.fr

 

Je ne sais pas de quoi il s’agit, mais si c’est pour virer la petite pute Hélène Sergent et ses copines fausses journalistes et vraies harceleuses de femmes, alors là je suis entièrement pour.

 

https://twitter.com/helenesergent/status/1514633885468053510

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@helenesergent
Demain,

ne paraîtra pas. Nous, salariés du journal, étions en grève ce jeudi pour protester contre le plan social annoncé avec brutalité par notre direction. Nous dénonçons l’opacité et l’absence de stratégie alors que 33 postes sur près de 200 sont menacés.

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mardi 19 avril 2022

Une critique intelligente de la "gauche" française, par Tatiana Ventôse

 


 

Je rappelle pour ma part avoir participé aux activités de l’association AC ! Brest durant deux ans, 2004 et 2005, et avoir été stupéfaite d’y découvrir sous ce vocable de la « gauche » dont ils se réclamaient de vrais fascistes ultra violents, qui en définitive se sont aussi révélés être les pourritures de Brest qui étaient associées à mes harceleurs des années 1990 dans le travail, soit des trafiquants d’armes et proxénètes notoires – je travaillais comme ingénieur d’études en informatique, en particulier sur des projets classés de la Défense nationale -, et ne m’ont plus jamais lâchée depuis cette époque, après les premières de leurs multiples tentatives d’assassinat à mon encontre, et pas seulement contre moi, puisqu’à compter de l’année 1995, notamment dans le Finistère où ce sont bien ceux-là, ces fascistes de « gauche », qui ont toujours tout contrôlé, ce sont tous mes proches comme moi-même qui ont aussi été victimes de tentatives d’assassinat à répétition, ou d’assassinats, pour ceux qui en sont bien morts.

Je me retrouvais donc en fait confrontée aux assassins de ma famille, dont certains, tel Arnaud Hell, s’en présentaient mensongèrement comme des amis depuis des lustres. Ces crapules s’étaient en fait introduites dans l’entourage amical de mes parents à seule fin de pouvoir mieux surveiller et espionner toute ma famille, afin de la détruire entièrement, sans en oublier aucun membre.

Il va de soi que les exactions ont bien continué en 2004 et 2005, et bien au-delà, elles n’ont à ce jour toujours pas cessé du fait que la justice locale est totalement corrompue et accorde toujours tout ce qu’ils veulent aux assassins de ma famille.

A compter de l’année 2008, alors que j’avais commencé à commenter anonymement des articles du site Rue89, la criminelle en chef Josette Brenterch du NPA de Brest m’a fait harceler par toute une bande de cybercriminels dirigée par la pédophile notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi, qui tout depuis a toujours continué à violer tous mes proches et moi-même de toutes les manières à sa disposition : piratages informatiques, écoutes illégales, etc… ainsi qu’à nous calomnier et harceler, prolongeant tous les cyberharcèlements dont j’avais été victime durant les deux premières années par des harcèlements judiciaires tout aussi déments depuis l’année 2010.

Pour la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, la meilleure des défenses est toujours l’attaque.

Voilà pourquoi elle ne cesse d’ajouter de nouvelles exactions à ses précédentes exactions à mon encontre, et jusqu’à toutes ces procédures abusives à travers lesquelles je suis sans cesse accusée mensongèrement de faits de que je n’ai pas commis mais qui sont très souvent de même nature que ceux dont je suis, moi, réellement victime de la part de mes harceleurs Brenterch, Luraghi et autres.

Pour eux, toutes ces procédures sont en fait un jeu où ils n’ont rien à perdre et tout à gagner. Ils n’ont jamais déboursé aucun centime en frais de procédure ou en honoraires d’avocat et seraient très contents s’ils parvenaient à me faire condamner, moi, pour des faits similaires dont ils se sont rendus coupables à mon encontre, en sachant que je ne les ai jamais commis contre eux ni personne d’autre. Réussir à tout inverser à ce point-là, c’est un challenge, voyez-vous. D’où cette fête quasi permanente qui retentit dans tout l’Hexagone et bien au-delà à chaque avancée d’une procédure qui semble les rapprocher toujours plus de la réussite tant espérée : les attentats de 2015 à l’approche de la confirmation tant espérée par la Cour d’Appel de Rennes de ma condamnation de juin 2013, dont on se rappelle encore toutes les festivités (assassinat de Clément Méric et toutes manifestations subséquentes), mais ce fut raté, le superbe feu d’artifice du 14 juillet 2016 pour fêter l’assignation devant le tribunal de grande instance de Paris que j’avais reçue deux jours plus tôt, etc, etc… les assassinats du 23 mars 2018 pour fêter ma condamnation par la Cour d’Appel de Paris, tout près de tomber, les jeunes humanitaires assassinés le 9 août 2020 pour ma condamnation enfin toute proche, etc, etc… mais ce fut toujours raté.

Voilà tout ce qu’est pour moi la « gauche » française.

Et encore, je ne résume là qu’une partie de toutes les horreurs qu’elle m’a données à voir.

 

lundi 18 avril 2022

Comment et pourquoi Sciences Po Bordeaux a formé des putes

 

Au mois de février de l’année dernière, quantité d’articles s’étaient brutalement fait l’écho d’affaires de viols, de harcèlement et d’agressions sexuels dans les IEP, à commencer par celui de Bordeaux où la juge d’instruction ultra corrompue de Brest Céline Verdier a été scolarisée après avoir obtenu son Bac littéraire à Brest. Elle en est apparemment sortie diplômée sans aucun problème, puis a intégré l’Ecole de la Magistrature.

Les dénonciations de l’année dernière portaient sur des faits tellement massifs, rodés, systématisés, qu’il n’est pas possible d’envisager que ces traitements à l’égard des jeunes filles ne fassent pas partie intégrante de leur formation dans les IEP : ou bien elles peuvent supporter d’être réduites à l’état de guenons bonobo et l’acceptent sans aucun problème (ce qui, curieusement, est toujours beaucoup plus facile pour les jeunes filles qui n’ont pas connu l’école républicaine, celle des gueux, mais proviennent comme Céline Verdier ou Josette Brenterch d’établissements catholiques parmi les plus huppés, où elles auraient déjà un certain entraînement), ou bien elles dégagent, n’ayant décidément pas leur place parmi la future « élite » féminine du pays.

C’est clairement un mode de sélection des futures diplômées de Sciences Po, dépendant non pas de connaissances ou de compétences appropriées, mais uniquement d’une faculté particulière dont elles font preuve pour se soumettre aux mâles dominants de ces écoles, lesquels préfigurent les « élites » masculines du pays : ces jeunes femmes n’ont en réalité nullement vocation à les concurrencer, mais uniquement à les servir partout où elles seront employées, par exemple comme magistrates à l’instar de l’ultra corrompue Céline Verdier dont la violence à l’égard des femmes ingénieurs, qui elles ne sont absolument pas concernées par ces histoires de coucheries ou de promotions canapé, est tout à fait effrayante et révèle bien la véritable formation, celle d’une pute extrêmement vulgaire.

On en fait des Ghislaine Maxwell pour les Jeffrey Epstein qui nous gouvernent et tous leurs complices.

Voilà comment et pourquoi l’ultra corrompue juge d’instruction de Brest Céline Verdier a fait du cybercriminel, pédophile et terroriste notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi un véritable Dieu autorisé à violer qui il veut autant qu’il veut et à faire assassiner de braves gens par centaines aussi longtemps qu’il lui plaira.

 

 

https://www.liberation.fr/societe/sciences-po-bordeaux-jai-ete-violee-et-ladministration-a-repondu-par-de-la-violence-supplementaire-20210204_KMZEMP3NL5FZNEEYYVFJARBXVI/

Sciences-Po Bordeaux : «J’ai été violée et l’administration a répondu par de la violence supplémentaire»

 

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«Libération» a pu s’entretenir avec une dizaine d’étudiantes de l’institut d’études politiques victimes d’agressions sexuelles ou de viols, le plus souvent lors de séjours académiques à l’étranger. Dans certains cas, ils auraient été perpétrés par leurs camarades. Toutes questionnent la prise en charge par l’institution.

Le bâtiment de Sciences-Po Bordeaux, sur le campus universitaire de Pessac, mardi. (Rodolphe Escher/Libération)

 

par Eva Fonteneau, correspondante à Bordeaux et Fanny Marlier

publié le 4 février 2021 à 17h59

Elle n’oubliera jamais la couleur bleue du mur. Le sentiment de «tétanie». «L’humiliation.» Puis «l’anéantissement». Ce mois de septembre 2016, Brune (1) le garde gravé au fer rouge dans sa mémoire. La jeune étudiante de Sciences-Po Bordeaux explique avoir été violée à plusieurs reprises par un étudiant d’un autre institut d’études politiques (IEP) français, durant son année de mobilité dans un pays européen, lorsqu’elle était à peine majeure. Quatre années plus tard, le 23 janvier, Brune a choisi de briser le silence sur un groupe Facebook privé des étudiants de l’institut bordelais, galvanisée par la publication d’un autre témoignage. Libérée d’un poids, elle pointe en revanche la responsabilité de l’établissement dans l’aggravation de son mal-être : «J’ai été violée et l’administration a répondu par de la violence supplémentaire. […] Je me suis sentie abandonnée et niée dans ma chair et dans ma souffrance.»

Créé il y a deux semaines, ce groupe Facebook privé dédié à des étudiants de l’école accueille désormais près de 200 témoignages de victimes de violences sexuelles, avec cette phrase en étendard : «La honte change de camp.» Y sont relatés des viols, des agressions sexuelles, des affaires d’inceste, de revenge porn, de zones grises ou encore de stealthing (le retrait du préservatif sans l’accord du ou de la partenaire)… Seize étudiants mis en cause étaient scolarisés dans un IEP français au moment des faits, et certains le…

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https://france3-regions.francetvinfo.fr/nouvelle-aquitaine/gironde/bordeaux/je-crois-qu-on-peut-dire-que-je-l-ai-viole-a-sciences-po-bordeaux-la-parole-se-libere-sur-les-violences-sexuelles-1938820.html

« Je crois qu’on peut dire que je l’ai violé » : à Sciences Po Bordeaux, la parole se libère sur les violences sexuelles

 

Publié le 04/02/2021 à 10h07 • Mis à jour le 05/03/2021 à 16h21
Écrit par MK avec Sandrine Valéro
 
 
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© France 3 Aquitaine

 

Sur un groupe Facebook, des étudiantes et étudiants de Science Po Bordeaux racontent les viols ou agression sexuelles dont elles ou ils ont été victimes, et même parfois auteurs, et rappellent l’importance du consentement.

« Il m’a balancée sur le sol et m’a attaché les poignets. J’ai réussi à me libérer pendant qu’il se déshabillait. Il m’a rattaché les poignets, plus fort. Et il m’a violée ». Ce témoignage, avant de le livrer à France 3 Aquitaine, Claire ( le prénom a été volontairement changé )  l’a posté sur un groupe Facebook privé, rassemblant des étudiant⸱e⸱s de Sciences Po Bordeaux.

Ces mots vont alors lancer une véritable vague de témoignages. Des dizaines d’étudiantes et étudiants bordelais, racontent, à leur tour, les viols et les agressions sexuelles dont ils ont été victimes. Beaucoup racontent avoir été abusé ⸱e ⸱s lors de soirées étudiantes, parfois alcoolisées.

Mahé a ajouté son témoignage après avoir lu les mots de Claire. « Je n’avais pas envie de faire la sourde oreille. Il me semblait important de parler du sujet sans tabou ». Elle qualifie son témoignage de « particulier ».

« Je crois qu’on peut dire que je l’ai violé »

« Quand j’avais 18 ans, lors d’une soirée chez moi, on avait beaucoup bu. Je suis allée dans une chambre, un garçon dormait. Il était dans un sale état. J’ai eu une relation sexuelle avec lui, sans lui demander s’il était réveillé ni comment il allait », reconnaît la jeune femme.

Je me suis rendu compte qu’il l’avait certainement vécu comme quelque chose d’imposé. Je crois qu’on peut dire que je l’ai violé.

Mahé, étudiante

Le consentement en question

« En tant que jeunes, on a une mauvaise idée de ce qu’est le consentement. On ne sait pas le demander, l’exprimer ni le refuser. Ce n’est pas instinctif », poursuit l’étudiante.

Mahé, hier agresseuse, est ensuite devenue victime, au cours d’autres soirées festives.  » J’ai vécu des expériences irrespectueuses. Très récemment, j’ai vécu une expérience sexuelle traumatisante », rajoute-elle. L’étudiante a tenté de voir une psy, sans être convaincue. « Ce qui se passe à Sciences Po, ça peut m’aider, je sais que le plus important dans le processus c’est de dire les choses et d’assumer ses actes ».

« On ne nous fait pas suffisamment confiance »

L’Institut d’Etudes politique de Bordeaux dispose d’une cellule de recueil et d’écoutes destinée à ce genre de situation. Pour autant,  Yves Déloye, directeur de Sciences Po s’est dit « effaré » devant l’afflux de témoignages,  en nombre « largement supérieur aux signalements que nous pouvons traiter en interne ».
« Un nombre considérable de ces cas concerne la scolarité dans l’établissement et pose des questions sur la façon dont on peut réagir et accompagner les victimes »,
estime-t-il. La direction de l’établissement prévoit de mettre en place un programme pour accompagner la libération de la parole sur les volets psychologiques, juridiques et pédagogiques.

On ne nous fait pas suffisamment confiance pour libérer certaine parole. C’est là dessus qu’il faut qu’on travaille, qu’on noue un lien de confiance sur un diagnostic partagé, pour faire avancer notre capacité d’écoute.

Yves Déloye, directeur de Sciences Po Bordeaux

« Céder n’est pas consentir », rappelle de son coté Marion Paoletti,  chargée de mission parité, égalité et diversité au sein de l’université de Bordeaux,  « Il faut se rappeler que l’image du viol violent dans l’espace public est un cas minoritaire. Dans les faits, l’agresseur est souvent un proche.
Entre cette image et celle du consentement libre et joyeux, qui se trouve à l’autre extrémité, on peut problématiser le consentement, notamment en en verbalisant les étapes »
, suggère-t-elle.

Le rôle des universités

Parmi les actions à mettre en place, Marion Paoletti rappelle l’importance de la formation  de la sensibilisation et de la sanction. « Les universités et les écoles sont responsables de ce qui se passe dans leurs enceintes. Il est vrai que souvent les faits se déroulent lors de soirée privées.

Pour autant , dès lors que l’étudiante considère que cela l’empêche de suivre une scolarité normale, de prendre le options qu’elle veut, ou  d’être dans le groupe de TD où se trouve son agresseur, cela a un impact sur l’établissement, et nous sommes fondés à réagir ».

Information complémentaire à propos du reportage vidéo

France 3 Aquitaine a réalisé un reportage télévisé qui n’est plus visible en ligne. Il a été diffusé le mardi 2 février dans l’édition de la mi-journée mais il comportait une erreur, en l’occurence une image qui aurait dû être floutée avant diffusion où apparaît la page d’un groupe Facebook non public. D’autre part, l’une des personnes interviewées s’est ensuite rétractée. Nous ne pouvions donc pas le conserver en consultation en replay.

 

 

https://www.franceinter.fr/sous-le-hashtag-sciencesporcs-les-etudiants-des-iep-denoncent-viols-et-agressions-sexuelles

Sous le hashtag « SciencesPorcs », les étudiants des IEP dénoncent viols et agressions sexuelles

 

par Lorélie Carrive publié le 10 février 2021 à 6h08

 
Réputés former l’élite, les IEP traversent une zone de turbulences. D’un côté, Frédéric Mion, directeur de Sciences Po Paris, poussé à la démission après l’affaire Duhamel. De l’autre, ce déferlement de messages sur les réseaux sociaux, témoignant de violences sexuelles et de la passivité de l’administration.

 

L'Institut d'études politiques de Toulouse

L’Institut d’études politiques de Toulouse © AFP / Lionel BONAVENTURE

 

C’est un effet de masse, une accumulation qui donne le vertige. Depuis quelques jours, des centaines de messages affluent sur les réseaux sociaux. Il y est question de viols, d’agressions sexuelles, et de la coupable passivité de l’administration des Instituts d’études politiques (IEP), les « Sciences Po », ces dix écoles particulièrement sélectives, disséminées sur le territoire hexagonal. Apparu lundi, le hashtag #Sciencesporcs comptait mardi soir sur Twitter plus de 22 000 occurrences, selon l’outil de veille Visibrain. Des enquêtes ont été ouvertes à Toulouse et Grenoble.

Déflagration

D’habitude, sur le groupe Facebook privé des étudiants de Sciences Po Bordeaux, on trouve surtout des programmes de conférence, des rendez-vous d’apéro-débat ou des offres de stage. Mais le 23 janvier dernier, un long message provoque une déflagration. Une étudiante y décrit le viol commis par son petit ami, en avril 2019.

Son post marque le début d’une longue série : quatre jours plus tard, la page comprend déjà une quinzaine d’autres publications de la même tonalité. À l’heure actuelle, elle en compte 166, selon Sexprimons-nous, association féministe de l’IEP bordelais. Celle-ci a lancé lundi un formulaire en ligne, pour continuer à collecter des témoignages.

Faut-il voir, dans cette libération de la parole, un effet de traîne de l’affaire Olivier Duhamel, désormais ex-président de la Fondation nationale de sciences politiques, contraint à la démission après le livre de Camille Kouchner ? Une manifestation a encore eu lieu ce lundi pour réclamer la démission du directeur de Sciences Po Paris, Frédéric Mion, qui était au courant des accusations pesant sur le célèbre constitutionnaliste. Sous pression, celui-ci a d’ailleurs annoncé mardi dans la soirée qu’il renonçait à ses fonctions.

« À Toulouse aussi, on est violé.es »

Toujours est-il que les langues se sont déliées bien au-delà des murs de Sciences Po Bordeaux. Les témoignages compilés sur Instagram par l’activiste féministe Anna Toumazoff passée par Sciences Po Toulouse, émanent de tous les IEP. « Je vous écris car à Toulouse aussi on est violé.es (…). Au début, tu m’insultais comme les autres, même beaucoup plus, et puis tu m’as violée (…). Je dormais et tu as continué. Tu m’as demandé si ça allait, j’ai dit non et tu as fini », raconte notamment Juliette, 20 ans.

La plainte déposée par la jeune femme le 6 février a donné lieu à l’ouverture d’une enquête préliminaire. À Grenoble, le parquet a indiqué avoir reçu deux signalements d’agression sexuelle par la direction de Sciences Po et ouvert des enquêtes dans la foulée.

 

Témoignages compilés sur le compte Instagram d'Anna Toumazoff

Témoignages compilés sur le compte Instagram d’Anna Toumazoff / Capture d’écran

 

Les multiples témoignages évoquent des viols, des agressions sexuelles, survenus parfois lors de week-end d’intégration ou des CRIT, ces compétitions sportives inter-écoles, mais aussi lors de mobilités à l’étranger.

Nombreux sont les messages qui mettent au cause l’attitude de l’administration. Une jeune femme affirme notamment :

« J’ai alerté sur le fait que j’étais harcelée par un élève de l’établissement et aucune réaction. Je leur ai dit que cet élève m’avait violée, aucune réaction. Ils m’ont traitée comme de la merde, ils ne m’ont pas crue et n’ont rien fait. »

Un message assure aussi que l’administration de Sciences Po Strasbourg aurait dissuadé une étudiante de porter plainte pour des faits de harcèlement sexuel. Un autre avance que Sciences Po Paris aurait sanctionné un homme ayant violé une femme avec une bouteille de bière en le changeant de campus. Des professeurs sont également accusés de harcèlement et d’agressions.

« Vigilance » et  »détermination »

À Bordeaux, où tout a commencé, l’association Sexprimons-Nous a rencontré le 2 février le directeur de l’IEP, Yves Déloye. « Maintenant que cette parole tragique a été libérée, elle doit être accueillie avec empathie et traitée avec détermination », déclare le communiqué publié par la direction. Celle-ci s’engage notamment à mettre en place un programme de formation et de prévention. Un groupe de travail doit proposer un plan d’action, en vue d’une mise en œuvre à la rentrée prochaine.

De son côté, l’IEP de Strasbourg a réagi ce mardi, réaffirmant sa « très grande vigilance à l’endroit de toutes les formes de discrimination et de violence » ainsi que son « intransigeance ». « Les procédures mises en place ne semblent pas avoir porté leurs fruits », reconnaît l’Institut. « Aussi l’école s’engage avec les 6 autres Sciences Po du réseau à travailler dès maintenant à la mise en place de nouveaux dispositifs ».

Si certaines voix dénoncent une « culture du viol » qui serait particulièrement marquée au sein de Sciences Po, les membre de Sexprimons-Nous se veulent plus mesurées et réfutent l’idée d’une problématique spécifique liées aux IEP. « Ce que nous avons envie de montrer, c’est que ces violences sexistes et sexuelles n’épargnent pas Sciences Po, mais qu’elles sont aussi partout, dans tout l’enseignement supérieur. Partout. » 

 

https://www.franceinter.fr/societe/sciencesporcs-aucun-fait-avere-ne-doit-rester-impuni-insiste-la-ministre-frederique-vidal

« SciencesPorcs » : « Aucun fait avéré ne doit rester impuni », insiste la ministre Frédérique Vidal

 

par la rédaction numérique de France Inter, Fabien Cazeaux publié le 10 février 2021 à 18h45

 
La ministre de l’Enseignement supérieur souligne aussi l’importance de veiller à ce que celles et ceux qui dénoncent leurs agresseurs ne soient pas obligées de renoncer à leurs études, ce qui constituerait « un deuxième traumatisme ».

 

Frédérique Vidal, ministre de l'Enseignement supérieur, salue la libération de la parole sur les violences sexistes et sexuelles

Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement supérieur, salue la libération de la parole sur les violences sexistes et sexuelles © AFP / Sébastien Muylaert

 

Période houleuse, pour IEP. Les dix Instituts d’études politiques que compte le territoire hexagonal sont secoués à la fois par une vague de dénonciation des violences sexistes et sexuelles et par les répercussions du livre de Camille Kouchner, celui-ci ayant successivement contraint Olivier Duhamel et Frédéric Mion a renoncer à leurs fonctions, à la tête de la fondation qui supervise les Sciences Po pour le premier, et à la direction de Sciences Po Paris pour le second.

Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Frédérique Vidal, apporte son soutien aux victimes. « Aucun fait avéré ne doit rester impuni », insiste-t-elle. La ministre souligne aussi l’importance qu’aucune victime ne soit obligée de renoncer à ses études ou à changer d’établissement.

FRANCE INTER : « Comment réagissez-vous à cette vague de dénonciation de violences sexuelles au sein des IEP ? »

FRÉDÉRIQUE VIDAL : « Je tiens d’abord à dire qu’il est très important que cette parole se libère et que cela conforte tout ce que nous avons mis en place dans l’ensemble des établissements d’enseignement supérieur pour lutter contre ces violences sexistes et sexuelles. Notamment la capacité à recueillir la parole et à aider ces jeunes à aller jusqu’au bout de leur démarche, leur préciser les dispositifs qui peuvent les aider, comme l’aide juridictionnelle.

Et puis, au delà de leurs témoignages, les pousser à agir, à porter plainte de façon à ce qu’aucun fait avéré ne reste impuni. »

Êtes-vous surprise par l’ampleur que prend le phénomène jour après jour

« Je crois qu’on assiste, sur différents sujets, à la libération de la parole et c’est toujours bien. Il y a des pionniers ou des pionnières, en l’occurrence celles qui osent parler et qui font savoir que l’on n’est pas seul. C’est important de se confier et de ne pas culpabiliser parce que l’on est victime.

Les établissements d’enseignement supérieur sont comme le reste de la société. Il y a des faits qui, s’ils sont avérés, doivent être absolument dénoncés et punis. Parce que c’est extrêmement grave et peut-être encore plus sur des jeunes en cours de formation : à la fois dans leurs études, mais aussi en cours de formation de leur personnalité, de ce qui va les construire pour la suite de leur vie. »

« Il ne faut pas rester avec un secret aussi lourd, des blessures aussi graves sans se confier et qu’il y ait réparation. »

Quel soutien pouvez vous apporter votre niveau? 

« Nous allons continuer à accompagner les établissements pour ce recueil de parole et surtout pour donner aux victimes toutes les indications pour les accompagner, les inciter à porter plainte. Il s’agit aussi de veiller à ce qu’elles ne soient pas finalement obligées de s’exclure de leurs études.

Une enquête sur les violences sexistes et sexuelles, commandée au mois de novembre, montre que, dans un cas sur dix, c’est la victime qui quitte ses études, qui quitte l’établissement. C’est là dessus qu’il faut insister. »

« Les victimes n’ont pas à subir un deuxième traumatisme en étant obligé de renoncer aux études qu’elles souhaitaient poursuivre »

Le directeur de Sciences Po Paris, Frédéric Mion, a annoncé ce mardi soir sa démission, après l’affaire Olivier Duhamel. A-t-il bien fait de renoncer à ses fonctions ?

« Frédéric Mion s’en est expliqué à la fois dans une lettre qu’il m’a adressée ainsi qu’à l’ensemble des personnels et des étudiants. C’était important pour moi qu’il y ait une inspection générale pour ramener de la sérénité dans l’établissement. Ce qu’a montré cette inspection, c’est qu’il n’y avait pas eu d’omerta organisée, qu’il n’y a pas eu de violences sexuelles ou sexistes au sein de l’établissement du fait de M. Duhamel. Néanmoins, Frédéric Mion a jugé que, pour protéger l’institution, il était de sa responsabilité de démissionner. Il a pris ses responsabilités.

Mais il faut aussi reconnaître le rôle qu’il a joué, notamment à Paris, en montant l’une des premières cellules d’écoute des violences sexistes et sexuelles dans les IEP en 2015. Il a mis en place des dispositifs tout à fait novateurs dont les autres IEP se sont d’ailleurs emparés, même si l’on doit encore les amplifier. »

Cette décision est-elle de nature à ramener une certaine sérénité à Sciences Po Paris ? 

« Je crois déjà que l’ensemble des protagonistes de Sciences Po, que ce soit les étudiants ou les personnels, ont apprécié la venue de l’inspection, qui est un regard extérieur. Plus de 60 personnes ont été auditionnées. Et ça a déjà ramené une forme de sérénité.

Moi, tout ce que je souhaite, c’est que le second semestre puisse se dérouler à Sciences Po de la façon la plus apaisée possible. Les étudiants sont déjà suffisamment contraints par les mesures sanitaires. »

 

20minutes.fr, média aux bottes du pédophile et terroriste Pascal Edouard Cyprien Luraghi, publie de nouvelles menaces contre l'Europe

 

Qu’est-ce que c’est que ce truc ?
Une réponse à ce que j’ai publié hier ?

Quel est le cinglé qui se relance dans des procédures délirantes à mon encontre ?

P.S. : Je rappelle qu’à compter du 28 janvier 2019, la fausse journaliste Hélène Sergent de 20minutes.fr et toute sa rédaction pro-pédophile ont aidé autant qu’elles ont pu le pédophile et terroriste notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi à relancer toute la machinerie des attentats islamistes en France, alors qu’il n’y en avait quasiment plus depuis la dernière défaite judiciaire de ce malade mental contre moi le 11 avril 2018, d’abord en publiant le 28 janvier 2019 son « témoignage » contre moi, un faux particulièrement outrageux, ensuite en l’incitant à aller s’inscrire sur Twitter pour m’y calomnier aussi, enfin en refusant catégoriquement de supprimer son faux témoignage tout en me refusant de même tout droit de réponse, même sous la forme d’un simple commentaire sous ce faux, tandis que les menaces de mort et appels au meurtre à mon encontre étaient parfaitement bien acceptés et publiés, ainsi que les faux témoignages du complice Jean-Marc Donnadieu.

Conclusion : comme bien d’autres pseudo littéraires à petits QI, la petite pute Hélène Sergent a la haine des femmes ingénieurs qui elles n’ont jamais eu besoin de coucher pour réussir et sont de toute façon incapables d’envisager pareil moyen d’avancement comme un besoin.

Je republie ici la liste des attentats commis en 2018 et 2019 :

 

2018

2019

 

Les attentats du 12 mai 2018, du 11 décembre 2018, et de 2019 ont été organisés plus particulièrement par et pour Jean-Marc Donnadieu de Béziers qui fêtait ainsi les avancées d’une procédure qu’il dirigeait alors par personne interposée contre l’un de mes principaux témoins contre son complice le pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi et toute leur bande de cybercriminels.

 

 

https://www.20minutes.fr/monde/3272855-20220417-groupe-etat-islamique-promet-venger-mort-ancien-chef

Le groupe Etat islamique promet de «venger» la mort de son ancien chef

 

ISLAMISME Dans un communiqué audio diffusé ce dimanche, sur Telegram, l’organisation terroriste appelle aussi ses partisans à reprendre leurs attaques en Europe en profitant de la guerre en Ukraine

20 Minutes avec AFP
Publié le 17/04/22 à 22h33 — Mis à jour le 17/04/22 à 22h33
 
Des combattants de l'Etat islamique hissent leur drapeau au sommet d'un ancien fort militaire,  le 11 juin 2014, à la frontière irako-syrienne.
Des combattants de l’Etat islamique hissent leur drapeau au sommet d’un ancien fort militaire, le 11 juin 2014, à la frontière irako-syrienne. — ALBARAKA NEWS / AFP

 

L’organisation djihadiste Etat islamique (EI) a promis dimanche de «venger» son précédent chef, mort en février, et appelé ses partisans à profiter de la guerre en Ukraine pour reprendre leurs attaques en Europe.

Le 3 février, le président américain Joe Biden avait annoncé la mort de l’ancien dirigeant de l’EI, Abou Ibrahim al-Hachimi al-Qourachi, qui s’était fait exploser au cours d’une opération des forces spéciales américaines dans le nord-ouest de la Syrie, région sous contrôle de jihadistes. Son décès, ainsi que celui de l’ancien porte-parole du groupe avaient été confirmés par l’EI le 10 mars.

L’EI appelle aussi à reprendre les attaques en Europe

«Nous annonçons, en nous appuyant sur Dieu, une campagne bénie pour se venger» de la mort du chef de l’EI, a déclaré Abou Omar al-Mouhajir, le porte-parole du groupe, dans un communiqué audio diffusé dimanche sur Telegram leur étant attribué.

L’EI a également appelé ses partisans à reprendre leurs attaques en Europe en saisissant «l’occasion» du «combat entre croisés», en allusion à l’invasion de l’Ukraine par la Russie.

Abou Hassan al-Hachimi al-Qourachi, nouveau chef de l’organisation radicale sunnite, le troisième du groupe depuis sa création, a jusqu’ici peu fait parler de lui. Après une montée en puissance fulgurante en 2014 en Irak et en Syrie voisine et la conquête de vastes territoires, l’EI a vu son «califat» autoproclamé être renversé sous le coup d’offensives successives dans ces deux pays, respectivement en 2017 et 2019.

10.000 combattants encore actifs entre Irak et en Syrie ?

Mais l’Etat islamique «maintient une présence largement clandestine en Irak et en Syrie et mène une insurrection soutenue de part et d’autre de la frontière entre les deux pays», selon un rapport de l’ONU publié l’an dernier.

Dans ces deux pays, l’organisation djihadiste conserverait «en tout 10.000 combattants actifs», d’après la même source. L’EI a aussi revendiqué des attaques en Afghanistan et au Pakistan et des groupes djihadistes affiliés opèrent également en Afrique.

 

dimanche 17 avril 2022

Menaces d'attentats islamistes en France en mars 2021

 

Quelques précisions à la suite de mon précédent article, concernant toute la série d’attentats commis en France ou contre des Français à compter de janvier 2020, dans le cadre des procédures délirantes d’un complice de mes harceleurs à mon encontre, ce dernier étant un avocat du barreau de Lyon :

En définitive, la menace habituelle d’attentat dans les jours qui précèdent une toujours possible nouvelle condamnation inique et scandaleuse à mon encontre était bien présente avant la décision de la Cour d’Appel de Lyon qui fut prononcée le 16 mars 2021.

Le plan Vigipirate avait été abaissé au niveau « Sécurité renforcée – risque attentat » en date du 5 mars 2021, après avoir été relevé au maximum « Urgence attentat » le 29 octobre 2020 à la suite de l’attaque de Nice :

http://www.sgdsn.gouv.fr/evenement/posture-vigipirate-securite-renforcee-risque-attentat-2/

« Le retour au niveau « Sécurité renforcée – risque attentat » atteste d’un niveau de menace durablement élevé sur l’ensemble du territoire, mais moindre qu’à la fin d’année 2020″, explique le gouvernement.

Toutefois, deux nouveaux projets d’attentats avaient été déjoués avec l’arrestation le 10 mars 2021 de deux suspects radicalisés à Mantes-la-Jolie et à Marseille (voir ci-dessous).

Au moins l’un d’eux peut correspondre à l’attentat que l’on pouvait craindre avant la décision de la Cour d’Appel de Lyon, comme ceux du 13 novembre 2015 avant la décision de la Cour d’Appel de Rennes du 2 décembre 2015, et du 23 mars 2018 avant la décision de la Cour d’Appel de Paris du 11 avril 2018.

 

A lire ou à relire :

http://petitcoucou.unblog.fr/2022/04/17/attentat-de-romans-sur-isere-le-4-avril-2020-une-reconstitution-de-10-heures-mardi/

 

 

https://www.leparisien.fr/faits-divers/terrorisme-deux-jeunes-radicalises-soupconnes-de-deux-projets-d-attentats-interpelles-13-03-2021-8428384.php

« Ils sont dans une dérive personnelle » : des ados radicalisés soupçonnés de projets d’attentats mis en examen

 

Selon nos informations, les policiers de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) ont interpellé mercredi un mineur et un jeune majeur en région parisienne et à Marseille, soupçonnés chacun d’un projet d’action violente, notamment contre des militaires. Ils ont été mis en examen ce samedi.

 

 Un adolescent et un jeune homme ont été placés en garde à vue mercredi par les policiers de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) dans le cadre de deux enquêtes antiterroristes distinctes.
Un adolescent et un jeune homme ont été placés en garde à vue mercredi par les policiers de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) dans le cadre de deux enquêtes antiterroristes distinctes. Le Parisien

 

Par Jérémie Pham-Lê

Le 13 mars 2021 à 13h34, modifié le 14 mars 2021 à 07h19
 
La menace terroriste islamiste reste toujours aussi vivace en France. Et ces deux projets d’attentats, mis en échec en l’espace d’une semaine, illustrent avec acuité le risque « endogène », émanant de très jeunes hommes endoctrinés sur Internet et en proie à des fragilités sociales.

Selon des sources proches de l’enquête, un adolescent de 17 ans et un jeune homme de 18 ans ont été placés en garde à vue mercredi par les policiers de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) dans le cadre de deux enquêtes antiterroristes distinctes.

Interpellés à Mantes-la-Jolie (Yvelines) et Marseille (Bouches-du-Rhône), ces deux suspects radicalisés auraient chacun envisagé de mener une action violente sur sol français. Tous deux ont été mis en examen ce samedi soir par un juge antiterroriste pour « association de malfaiteurs terroriste criminelle » et placés en détention provisoire.

L’un d’eux a reconnu vouloir s’en prendre à des militaires

« Ils présentent tous deux des profils de jeunes actifs sur les réseaux sociaux et sont dans une certaine dérive personnelle », confie une source proche des investigations. Le premier, L., encore mineur, a reconnu devant les enquêteurs qu’il voulait s’en prendre à des cibles militaires, notamment des soldats en faction, par haine de la France.

Les investigations, lancées fin janvier 2021 dans le cadre d’une enquête ouverte par le parquet national antiterroriste (Pnat), ont permis de mettre en évidence une recherche active sur ses cibles ainsi que de complices. Domicilié à Avion (Pas-de-Calais) mais interpellé chez sa mère à Mantes-la-Jolie, l’adolescent était membre d’une chaîne Telegram réunissant des individus radicalisés. Il y exprimait ouvertement sa volonté de « faire payer à la France » sa participation à la coalition anti-Daech en zone irako-syrienne en s’attaquant à des symboles de l’Etat français.

Des contacts avec des djihadistes en zone irako-syrienne

Le second suspect, O., est entré dans le viseur de la justice antiterroriste à la suite d’une visite domiciliaire, dispositif qui a succédé aux perquisitions administratives de l’état d’urgence, menée à son domicile marseillais mercredi. Les policiers de la DGSI ont découvert un nombre impressionnant de documentations de propagande terroriste. D’après les premières investigations, le jeune homme, franco-algérien, avait affiché sa volonté de rejoindre la Syrie. Il était en contact virtuel avec des djihadistes se trouvant sur les théâtres de guerre.

Mais ces derniers temps, il aurait renoncé à son projet de « hijra » [émigration en pays musulman, NDLR] pour mener à la place une action violente en France. Dans le cadre de discussions avec d’autres jeunes appartenant à la mouvance radicale en Europe, il aurait évoqué plusieurs projets ainsi que des cibles sensibles en France. Au moment de son arrestation, ses noirs desseins n’étaient néanmoins pas encore dans une phase aboutie.

Ces deux affaires constituent les premiers projets d’attentats d’inspiration islamiste déjoués de l’année 2021. « La menace terroriste est toujours présente, notre vigilance est extrême », a tweeté ce samedi soir le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin. L’an passé, deux projets violents ont été mis en échec par les services antiterroristes mais cinq attentats sanglants ont été recensés, faisant six morts et neuf blessés. « Nous devons actuellement faire face à des attaques meurtrières bien moins organisées, mais plus difficiles à anticiper du fait de profils plus imprévisibles et souvent assez instables », expliquait le juge antiterroriste David De Pas dans les colonnes du Parisien en novembre dernier, expliquant avoir constaté « un très net rajeunissement des auteurs ». Si les néo-terroristes français sont très souvent isolés, il apparaît qu’ils sont largement influencés par la propagande toujours active des organisations djihadistes, voire en contact numérique avec certains combattants à l’étranger.