Jean-Marc Lafon, c’est cet utilisateur de Twitter qui publie soit sous vrai nom, soit sous pseudonyme, je n’en sais rien :
https://twitter.com/JM_Lafon
Francekurultay.fr
Ce dont je suis sûre, par contre, c’est que c’est une des toutes
dernières victimes du mythomane Pascal Edouard Cyprien Luraghi et de sa
complice la petite pute Hélène Sergent, fausse journaliste et vraie
harceleuse de femmes de chez les pro-pédophiles de 20minutes.fr, comme
en atteste cette conversation d’il y a deux jours sur Twitter, au cours
de laquelle le mythomane l’a renvoyé vers son faux témoignage du 28
janvier 2019, celui qu’Hélène Sergent avait accepté de publier pour
relancer toute la machine des attentats islamistes qui s’essoufflait
sérieusement depuis le printemps 2018, le terroriste en chef Pascal
Edouard Cyprien Luraghi ne trouvant plus personne pour se lancer dans de
nouvelles procédures abusives à mon encontre :
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Conversation
Tu sais ce que je pense de tout ça…
Are you suggesting that coconuts migrate ?
·
Apr 18
C’est totalement à contre-courant de ce que disent M. Lafon et plein d’autres.
Are you suggesting that coconuts migrate ?
·
Apr 18
Je ne pense pas que JM
Lafon soit partisan de la liberté totale façon Musk : on l’a déjà dit,
la dérive sur le net a rendu nécessaire faute de mieux le pseudonymat.
Les conditions actuelles
sont tout à fait équilibrées… en théorie. Quand ils y mettent les
moyens, les enquêteurs trouvent qui se cache derrière un pseudo pour
nuire. L’ennui, c’est la pratique car les services sont
sous-dimensionnés. On n’amende pas la loi sur cette base !
Je l’ai déjà écrit à quelqu’un d’autre ici, un peu plus tôt : face à la réalité réelle, le blablabla m’est devenu insupportable.
L’ennui est que là, votre
propos ne s’appuie sur rien pour l’étayer. Ça ne me donne guère envie
de le considérer comme autre chose que du bla-bla. À moins que vous
consentiez à aller un peu plus loin que du sarcasme abstrait.
Je peux tout à fait l’étayer. En privé. Mes DM sont ouverts.
Euh non, nous sommes dans
une conversation publique où vous parlez publiquement de mes propos
comme de bla-bla. Donc on continue en public ou pas du tout.
OK. Je le fais à contrecœur, étant toujours la cible de cette personne. En 2017
publiait un papier à propos d’un certain Didier. Il s’agit de moi.
Sachez que cet article n’aborde que la partie émergée de l’iceberg :
20minutes.fr
«Des centaines d’articles me liaient à des histoires de pédophilie»
Didier, 60 ans, a été la cible de centaines d’articles injurieux et diffamatoires au sein de la blogosphère…
Deux remarques d’un qui a
aussi eu sa dose de campagnes de boules puantes (mais moins que vous) :
1) la justice et probablement votre avocat ont été en dessous de tout.
2) sous pseudo nous aurions été bien mieux protégés…
Je préfère ne pas dire ce
que je pense de l’institution judiciaire. Et bien avant la naissance
d’internet j’écrivais des bouquins sous mon vrai nom, donc c’était
naturel de continuer ainsi sur ce nouveau support. La personne nommée
est face à l’innommé et l’innommable, ici.
J’entends bien.
Intellectuellement, je ne peux pas admettre que la République restreigne
un droit qui protège des millions de gens parce qu’elle n’est pas
foutue d’entretenir une Justice digne de ses principes fondamentaux.
Suite à ça, je me suis en
quelque sorte mis en retrait de tout ce qui peu ou prou, a trait à la
république. Je ne crois plus au père Noël. Le côté positif de la chose
est que j’ai beaucoup appris sur l’esprit humain, et les dessous sales
de l’internet. C’est toujours ça de pris.
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Je comprends.
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