Mais quel culot !
Moi, c’est carrément toutes mes idées de 2004 et 2005 pour la lutte contre le chômage, la précarité et les exclusions qu’ils m’ont volées, à commencer par un combat contre le harcèlement moral en entreprise que je n’ai pas pu mener longtemps dans ce cadre-là, puisqu’il a toujours justifié à peine avais-je commencé à m’exprimer sur le sujet au mois d’octobre 2004 toutes les tentatives absolument dégueulasses de la criminelle Josette Brenterch de me faire exclure de l’association AC ! Brest – dès le mois de décembre 2004, elle avait organisé à mon insu une réunion destinée à convaincre tous les autres membres actifs de l’association de la nécessité de m’en exclure au motif que je n’aurais été qu’une folle, en leur demandant à tous le secret à propos de cette réunion, son objet, resté un mystère pour tous jusqu’à ce qu’ils soient réunis, et bien sûr, tout ce qu’elle leur avait raconté à mon sujet à cette occasion… raté ! Dès le lendemain ils m’avaient tout rapporté tant elle les avait écoeurés, ils l’avaient en fait quittée assez rapidement et laissée à ses délires haineux à mon encontre après qu’elle leur eut exposé l’objet de cette réunion secrète dont personne ne devait me parler.
Et je ne suis pas la seule que cette criminelle et ses amis du NPA aient pillée et massacrée tout à la fois, c’est même chez eux un procédé habituel.
Donc, le slogan que Macron leur aurait piqué, vous pouvez être certains qu’ils l’ont eux-mêmes volé à l’une de leurs victimes, comme tout le reste.
« Si on avait su, on l’aurait fait breveter »: Poutou ironise sur la reprise d’un slogan du NPA par Macron
La petite phrase d’Emmanuel Macron lâchée samedi au détour de plus de deux heures et demi de meeting n’est pas passée inaperçue. Entre autres emprunts, le président-candidat a évoqué la question de la dépendance et du scandale des Ehpad Orpéa, estimant que sujet des personnes âgées dépendantes que « nos vies, leurs vies valent plus que tous les profits ».
Une sortie qui évoque largement le slogan du Nouveau parti anticapitaliste (NPA), notamment visible sur les affiches de campagnes d’Olivier Besancenot en 2002 et 2007, « Nos vies valent plus que tous leurs profits ».
Invité sur France Inter ce dimanche matin, le successeur d’Olivier Besancenot, Philippe Poutou, a d’abord réagi ironiquement: « Si on avait su, on l’aurait fait breveter, ça nous aurait rapporté des sous », a-t-il lâché dans un sourire.
« On réagit en souriant parce que c’est tous les culots d’un Macron et de sa bande. Ils sont habitués à ça en fait, à faire comme si de rien n’était, ou même à se montrer à l’opposé de ce qu’ils sont en réalité », a ensuite fustigé le Bordelais.
« Pas le premier à utiliser des slogans des autres »
« Il utilise des slogans, il en utilise d’autres visiblement, ce n’est pas le premier à utiliser des slogans des autres pour essayer un peu de faire illusion, en pleine affaire McKinsey c’est vrai qu’il y a aussi une manière de sortir un peu du scandale et puis de dénoncer ce qui se passe dans les Ehpad alors que l’enquête qui a été faite elle est pas complètement rendue publique », a tancé l’ancien ouvrier de Ford à Blanquefort.
Le rapport d’enquête effectué après les révélations du journaliste Victor Castanet sur le groupe Orpéa doit être rendu public d’ici « quelques jours », a indiqué le gouvernement.
Poutou veut un parler « d’un service public pour les Ehpad »
Pour Philippe Poutou, la référence d’Emmanuel Macron au slogan-phare du NPA « permet de rappeler le scandale des Ehpad, de montrer que quand le privé s’occupe de ces choses-là et de la santé, ça devient très grave ».
« C’est pour ça qu’on discute d’un service public pour les Ehpad, pour les personnes âgées et même globalement c’est l’idée du service public pour tout ce qui concerne les besoins fondamentaux de la population qui est incontournable parce que quand on voit que le privé s’occupe de ces choses-là, il s’intéresse à ses profits, à des logiques de rentabilité et ça coûte très cher », juge Philippe Poutou.
Samedi, le candidat à la présidentielle pour la troisième fois avait réagi à l’emprunt d’Emmanuel Macron dans un tweet au vitriol: « Pendant que ses copains les riches volent l’argent public, Macron nous vole nos slogans. Décidément, ces gens osent tout, c’est même à ça qu’on les reconnaît », avait-il taclé, paraphrasant quant à lui la célèbre réplique des Tontons Flingueurs, « les cons ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnaît ».
La phrase a aussi suscité une réaction d’Olivier Besancenot, là encore sur Twitter: « Du coup, pour le slogan, on fait comment? On envoie un RIB au cabinet de conseil McKinsey? »
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