compteur

vendredi 31 mars 2023

Bientôt un nouveau remaniement ministériel ?

Elisabeth Borne serait donc remplacée, et très probablement aussi l'actuel ministre de la Justice, qui traîne de plus en plus de casseroles derrière lui...

Cela tombe plutôt bien pour eux.

On les dit fatigués, ils vont pouvoir se reposer un peu ou au moins changer de rythme.

Mais surtout, ce sont deux Béliers, pour lesquels le printemps est toujours un renouvellement ou un nouveau départ. 

Qui plus est, ils sont de la même année et n'ont que deux jours d'écart : Élisabeth Borne est née le 18 avril 1961 à Paris et Éric Dupond-Moretti le 20 avril 1961 à Maubeuge.

Ils sont donc globalement concernés par les mêmes cycles. 


P.S. : A votre avis, entre les mages ou astronomes chaldéens dont le système plurimillénaire est toujours vivace et fonctionnel, et les zététiciens de la bande Thomas Durand / Gérald Bronner, qui est-ce qui va gagner ?


https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/elisabeth-borne-etouffee-cette-petite-phrase-etonnante-lachee-en-coulisses_516814

Élisabeth Borne étouffée ? Cette petite phrase étonnante lâchée en coulisses

Clara Gaillot | à 08h58

Alors que la France traverse une crise sociale violente, Emmanuel Macron et Élisabeth Borne semblent déterminés à prouver qu'ils n'habitent pas une tour d'ivoire. Le président sera pour cela en déplacement dans les Hautes-Alpes ce jeudi 30 mars, tandis que la Première ministre partira dans la Nièvre vendredi. Une sortie attendue avec beaucoup d'impatience par la cheffe du gouvernement.

Réunions, débats, chahut. Ces trois mots semblent résumer le quotidien d'Élisabeth Borne depuis plusieurs semaines. En première ligne de la réforme des retraites, officiellement adoptée le 20 mars dernier à l'Assemblée nationale grâce à l'utilisation d'un énième 49.3, la Première ministre a enchaîné les concertations sans jamais aller à la rencontre des Français. Alors que la 10e journée de mobilisation contre la loi s'est déroulée ce mardi, non sans heurt, Emmanuel Macron et sa cheffe du gouvernement sont impatients de retrouver le terrain et de prouver au passage qu'ils ne sont pas hermétiques aux préoccupations du peuple.

Pour cela, le président a annoncé à la dernière minute son déplacement sous hautes tensions à Savines-le-Lac (Hautes-Alpes), ce jeudi 30 mars, pour présenter son “Plan eau”. Élisabeth Borne, elle, se rendra dans la Nièvre ce vendredi. Un déplacement synonyme de respiration pour l'ex-préfète de Poitou-Charentes. “Je veux sortir, je veux voir des gens !” aurait-elle déclaré à son entourage, selon les informations du Parisien. Même si ces déplacements sont surveillés de près par la sûreté intérieure, ils semblent vitaux au tandem à la tête du pouvoir. On connaît la passion du chef de l'État pour l'échange et la confrontation, même si ceux-ci peuvent en ce moment s'avérer violents.

>> PHOTOS – Élisabeth Borne : retour sur l’évolution physique de la Première ministre

Élisabeth Borne consciente de la fragilité de sa position

À en croire ses proches de Matignon, Élisabeth Borne n'est toutefois pas plus inquiète que cela à l'idée de croiser des Français en colère. “Ça ne l’inquiète pas plus que cela. Elle a connu ce genre de situation par le passé, notamment pendant de la loi Travail où elle était prise à partie par des syndicats”, rapporte l'un de ses conseillers au Parisien. Si la Première ministre est consciente que ces déplacements conditionneront son maintien à la direction du gouvernement, Emmanuel Macron, lui, sait pertinemment que la suite de son quinquennat repose sur ces futures interactions et prises de parole.

Ce jeudi, seul un discours d'une quarantaine de minutes est prévu dans les Hautes-Alpes. Aucun bain de foule n'est donc inscrit à l'agenda du président. Mais ses ministres savent bien qu'Emmanuel Macron est imprévisible. “Avec lui, ça peut toujours bouger au dernier moment. Il peut très bien s’arrêter au bord de la route, au milieu d’un village, et improviser une déambulation de quelques minutes pour serrer des mains”, souligne ainsi l'un d'entre eux dans le quotidien.

“On est très inquiet” : l’entourage d’Emmanuel Macron frileux avant son prochain déplacement - Gala
À lire aussi
“On est très inquiet” : l’entourage d’Emmanuel Macron frileux avant son prochain déplacement - Gala

Crédits photos : Stephane Lemouton / Bestimage

 

https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/elisabeth-borne-remplacee-ce-nouveau-nom-surprenant-qui-circule-pour-matignon_516909

Élisabeth Borne remplacée ? Ce nouveau nom surprenant qui circule pour Matignon

Inès Cussac | à 07h02

La Première ministre est dans la tourmente depuis le 49.3. Plusieurs rumeurs soufflent le nom d'un homme politique bien connu des Français pour la remplacer.

C'est la tempête à Matignon. Depuis l’activation de l’article 49.3 de la Constitution pour faire passer en force la réforme des retraites voulue par Emmanuel Macron, la crise sociale gronde. Élisabeth Borne avait déjà réussi à conserver, de peu, son poste à Matignon après la motion de censure transpartisane. Désormais, les parlementaires sont divisés et la colère des Français se poursuit. D’après une information de nos confrères de L’Express, publiée ce jeudi 30 mars, l’entourage élyséen aurait une petite idée pour apaiser les tensions : remplacer Elisabeth Borne par… Gérard Larcher, le président du Sénat. "C’est le seul qui saurait apaiser, c’est un centriste de droite, le seul qui ne filerait pas des boutons à Olivier Dussopt", remarque un observateur politique issu des Républicains.

Ce n’est pas la première fois que le président du Sénat est cité pour Matignon. Après le Covid, déjà, et avant l’élection présidentielle de 2022, Gérard Larcher est considéré comme apte à remplir les missions de Premier ministre. En juin dernier, certains opposants au président de la République réclamaient déjà la démission d’Elisabeth Borne. "C’est peut-être au Sénat que se trouve la solution", avait glissé Brigitte Macron dans les colonnes du Canard Enchaîné.

>>> PHOTOS - Élisabeth Borne : son évolution physique

La petite phrase de Bruno Retailleau

Gérard Larcher est une figure de la droite. Élu depuis 2014 à la tête de la chambre haute du Parlement, il est considéré comme étant le seul à pouvoir garantir une vraie coalition des droites. Selon le quotidien, la rumeur d’une telle décision serait arrivée jusque dans les couloirs du Palais du Luxembourg. Le président des Républicains au Sénat aurait même taquiné le patron des sénateurs avec cette petite phrase : "Faut que tu te prépares !" rapporte L’Express. Ce à quoi l’intéressé a répondu par un petit rire.

“Stupide” : Emmanuel Macron exaspéré par Elisabeth Borne, sa confidence assassine - Gala
À lire aussi
“Stupide” : Emmanuel Macron exaspéré par Elisabeth Borne, sa confidence assassine - Gala

Article écrit en collaboration avec 6Médias.

Crédits photos : Raphael Lafargue / Pool / Bestimage


https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/eric-dupond-moretti-use-et-un-peu-las-le-ministre-de-la-justice-retablit-la-verite_516822

Éric Dupond-Moretti “usé” et “un peu las” ? Le ministre de la Justice rétablit la vérité

Olivia Micenmacher | à 10h29

Éric Dupond-Moretti est très en forme et compte bien le faire savoir. Si certains le disent fatigué par son ministère, le Garde des Sceaux a tenu à rétablir la vérité auprès de nos confrères du "Parisien" ce 30 mars 2023.

Il est d'humeur combative. Éric Dupond-Moretti est au cœur de la crise sociale et politique qui secoue le pays depuis le passage de la loi sur la réforme des retraites. Le ministre de la Justice a accordé une interview au Parisien ce 30 mars 2023 : il défend l'ordre républicain mais évite sciemment d'utiliser le mot "crise" pour qualifier la situation actuelle. Des rumeurs le disent fatigué mais le garde des Sceaux dément : "Moi, je suis fatigué quand je vais me coucher à 23 h 45, surtout que je me lève à 5 heures. Mais c’est tout. Je suis déterminé comme jamais".

Son changement de vie après sa carrière d'avocat pénaliste semble toujours lui convenir parfaitement. il avoue même au Parisien avoir découvert beaucoup de choses en arrivant place Vendôme et que l'on ne pouvait pas tout faire, surtout pas ce que l'on voulait. L'ex ténor du Barreau a tout de même dû descendre d'un ton du haut de ses nouvelles fonctions, mais c'est un sacrifice qu'il semble heureux de devoir faire pour servir la démocratie.

PHOTOS - Éric Dupond-Moretti : les membres de sa galaxie en quelques images

Éric Dupond-Moretti et Isabelle Boulay, une relation longue distance

Les voyages au Canada doivent aussi participer à la fatigue ressentie par le ministre de la Justice lorsqu'il se couche. Dans le numéro de Gala paru ce jeudi 30 mars, sa compagne, Isabelle Boulay s'est confié auprès de nos journalistes sur leur couple à distance : "Je me divise entre deux continents, deux pays" a expliqué la chanteuse. Un mode de vie que son compagnon, à qui il arrive aussi de pousser parfois la chansonnette, a bien voulu accepter par la force des choses : "Je suis une très grande amoureuse, très fidèle mais, en même temps, j’ai besoin de solitude. Éric comprend ma nature… Je suis une femme qu’on attend. Il le sait" a-t-elle ainsi dévoilé. Précisant qu'ils ont "trouvé leur équilibre ainsi", le nouveau poste de son partenaire amoureux n'empêche pas l'artiste-interprète de continuer à mener "une vie calme, simple" : "Je fais mon marché, je prends le métro. Depuis qu’il est place Vendôme, on s’intéresse un peu plus à notre couple mais j’ai toujours été quelqu’un de discret, de pudique" a-t-elle reconnu.

Crédits photos : Anne-Christine Poujoulat/Pool/Bestimage


Qui l'eût cru ? Le cabinet Dupond-Moretti et Vey tient de la Maison de l'Horreur de Puy-l'Evêque...

Pour l'heure, enquêtes journalistique et déontologique convergent...


Egalement à lire ou à relire :

http://satanistique.blogspot.com/2023/03/dupond-moretti-triple-bras-dhonneur-et.html

http://satanistique.blogspot.com/2023/03/de-jean-castex-lassassin-dyvan-colonna.html

http://satanistique.blogspot.com/2023/03/dupond-moretti-passible-de-poursuites.html

http://satanistique.blogspot.com/2023/03/aie-encore-une-mauvaise-nouvelle-pour.html

http://satanistique.blogspot.com/2023/03/assassinat-dyvan-colonna-un-dementi.html

 

Et pour ce qui est de la Maison de l'Horreur de Puy-l'Evêque, voici comment elle a achetée en 2003 pour son actuel propriétaire Pascal Edouard Cyprien Luraghi :

http://satanistique.blogspot.com/2016/04/cyprien-luraghi-de-fideles-amis-tres.html



https://www.lemonde.fr/societe/article/2023/03/30/soupcons-de-harcelement-m-antoine-vey-ancien-associe-d-eric-dupond-moretti-vise-par-une-enquete-de-l-ordre-des-avocats-de-paris_6167628_3224.html

Soupçons de harcèlement : Mᵉ Antoine Vey, ancien associé d’Eric Dupond-Moretti, visé par une enquête de l’ordre des avocats de Paris

« Libération » a rassemblé une vingtaine de témoignages sur le comportement de l’avocat au sein de son cabinet, présenté comme « un tourbillon de moqueries, de brimades, d’injonctions – très souvent contradictoires –, d’humiliations ». Le quotidien évoque aussi du harcèlement sexuel.

Le Monde avec AFP

Publié aujourd’hui à 18h01, modifié à 18h23

Temps de Lecture 2 min.

L’avocat Antoine Vey, ancien associé du garde des sceaux, Eric Dupond-Moretti, est visé par une enquête de l’ordre des avocats de Paris après des accusations de harcèlement moral ou sexuel provenant de collaborateurs, a appris l’Agence France-Presse (AFP), jeudi 30 mars, de source proche du dossier, confirmant une information de Libération.

« Je ne peux laisser proférer de telles allégations. Je les démens et établirai les faits », a répondu l’intéressé, sollicité par l’AFP. « Je concède être un avocat exigeant, parce que nous intervenons dans un cadre où nous devons à nos clients un total engagement, une forte disponibilité et la protection de leurs intérêts », a ajouté MVey.

« J’attends d’avoir rapidement l’opportunité de m’en expliquer devant le conseil de l’ordre, dans la sérénité et le contradictoire. Je dénonce les méthodes choquantes employées », a encore déclaré celui qui était l’associé depuis 2016 d’Eric Dupond-Moretti et jusqu’à l’arrivée de celui-ci à la tête du ministère de la justice en juillet 2020.

Lire aussi : Du procès Merah à celui d’« Air Cocaïne », Antoine Vey, contre-ténor du barreau parisien

Dans une longue enquête publiée jeudi, Libération assure avoir rassemblé une vingtaine de témoignages sur le comportement de l’avocat au sein de son cabinet, présenté comme « un tourbillon de moqueries, de brimades, d’injonctions – très souvent contradictoires –, d’humiliations ». Le quotidien évoque aussi du harcèlement sexuel et des « mains sur les cuisses imposées » à une ex-collaboratrice.

Ces « comportements ont sapé la confiance professionnelle et fragilisé la santé » des victimes, d’après Libération. Le quotidien évoque des démissions, une procédure aux prud’hommes en cours et une possible procédure pénale à venir.

Dupond-Moretti pourrait être entendu

Une source proche du dossier a confirmé à l’AFP que l’ordre des avocats de Paris avait ouvert de son côté, en janvier, une enquête déontologique à la suite de plusieurs signalements, et a déjà entendu huit personnes, d’autres restant à entendre. Cette procédure, qui peut durer des mois, débouchera éventuellement sur l’ouverture d’une procédure disciplinaire qui peut aboutir à des sanctions, par exemple une interdiction d’exercer.

D’après certains des témoignages produits par Libération, Eric Dupond-Moretti était au courant des accusations visant son associé, mais n’a pas réagi. Sollicité par l’AFP, son entourage n’a souhaité faire « aucun commentaire ». Les enquêteurs déontologiques pourraient demander à entendre Eric Dupond-Moretti, selon le quotidien, une information confirmée par la source proche du dossier.

Aux termes d’un décret de déport pour prévenir d’éventuels conflits d’intérêts, le garde des sceaux a interdiction d’avoir des remontées d’informations sur des dossiers qu’il avait eu à connaître en tant qu’avocat ou dont son ancien associé a la charge.

Lire aussi : Article réservé à nos abonnés Harcèlement, discriminations : les avocats, pour eux-mêmes, rechignent à engager des poursuites

Le barreau de Paris, qui réunit de nombreux cabinets d’affaires prestigieux, a créé en 2015 une commission spécifique à la question du harcèlement.

« Depuis le début de mon mandat et jusqu’à son terme, j’entends appliquer une politique de tolérance zéro en matière disciplinaire » sur ces questions, a assuré le 24 mars à l’AFP la bâtonnière de Paris, Julie Couturier.

Dans des éléments transmis à l’AFP, le Conseil national des barreaux a rappelé que « 16,9 % de la profession déclare avoir été victime de harcèlement en 2022 ». Il organise un colloque vendredi 31 mars sur le sujet à Paris pour évoquer des « recours trop peu connus ».

Lire aussi : Sexisme, différences de salaire : face aux discriminations, des avocates sans défense

Le Monde avec AFP

 

https://www.madmoizelle.com/lancien-associe-deric-dupond-moretti-antoine-vey-accuse-de-harcelement-1514067

L’ancien associé d’Eric Dupond-Moretti, Antoine Vey, accusé de harcèlement

1

Avatar de skargard
30 mars 2023 à 18h02
skargard
L'article de Libé insiste bien sur le fait que c'est Dupont Moretti qui l'a mis en place; il lui a même filé son cabinet quand il a été nommé Ministre de la justice. Ils étaient meilleurs potes et proches collab.
Pourquoi ce n'est pas mis dans l'article? On a un chapeau qui donne une info comme si elle ne valait rien alors qu'elle est centrale dans le sentiment d'impunité de l'autre tête d'harceleur.
On a quand même un ministre qui est problématique sur plusieurs points (et tiens, la grossesse chez les avocats, ça a toujours été quelque chose. Il n'y avait pas de congé mater il y a peu donc Monsieur DM est mouillé aussi sur ce point...) et le mag fait silence radio.
Par contre, pour vouloir nous refiler des aspis, il y a du monde et il y a toutes les infos. Je suis dépitée.


jeudi 30 mars 2023

Des réactions au rapport de la Commission Bronner sur la "désinformation" ou le "complotisme"

Il est vrai qu'on ne trouve pas grand-chose, les journalistes aux ordres sont peut-être tous restés dans l'attente des réactions du chef à l'Elysée.

L'article Wikipédia mentionne le problème initial de composition de la Commission soulevé par Irène Frachon et les critiques d'AOC-Média sur son rapport, également des critiques préalables à ses travaux en 2021, et c'est tout (voir ci-dessous).

Quand il se raconte, Gérald Bronner dit qu'il a parlé très tôt. Né le 22 mai 1969 à Nancy, il est Gémeaux, signe dont la parlotte est effectivement la grande spécialité. C'est une parlotte de voisinage, celle des commères du village. 

En face, sur l'axe de la communication dont il est le premier pôle, se trouve le signe du Sagittaire, qui est celui d'Emmanuel Macron. Peu importent tous ses défauts, celui-là voit quand même plus loin que le bout de son nez, il décoche ses flèches à distance.

Du coup, les commérages de la bande de copains de la Commission Bronner, avec tous ses ragots et ses perfidies, pour lui c'est du caca, un point c'est tout. 

Il n'a pas eu les "Lumières" qu'il attendait, mais c'était couru d'avance :

"L'absence de juriste ou d'experts du droit est critiquée d'autant que la commission a comme mission de faire des recommandations juridiques30."

Ces notions relèvent de son signe astrologique, le Sagittaire, et cette coïncidence n'est pas un fait du hasard, il a demandé ce qu'il voulait vraiment.

Elles sont à l'opposé du signe des Gémeaux où elles se trouvent en défaut.

La Commission Bronner n'est pas sortie de son village de mauvaises langues présentant une très forte propension au mensonge, ses productions sont en opposition flagrante à toute notion de droit, elles tendent même à une aliénation de droits fondamentaux par une bande d'escrocs.

L'étranger est encore du domaine du Sagittaire et ne pouvait être sérieusement pris en compte par cette Commission Bronner.

 

A lire ou à relire :

http://satanistique.blogspot.com/2023/03/gerald-bronner-le-valet-plus-royaliste.html


https://fr.wikipedia.org/wiki/Commission_Bronner

Commission Bronner

Commission Bronner
Histoire
Fondation
Cadre
Surnom
Commission Bronner
Type
Pays
Organisation
Membres
14
Fondateur
Président

Les Lumières à l'ère numérique (dite commission Bronner) est une commission française chargée de faire des propositions dans les champs de l'éducation, de la régulation des réseaux sociaux1, de la lutte contre les « diffuseurs de haine » et de la désinformation. La commission, présidée par le sociologue Gérald Bronner, est installée par le président de la République Emmanuel Macron le .

Contexte

Manifestation contre le passe sanitaire à Paris, le 17 juillet 2021.

Depuis 2017, les autorités françaises et européennes multiplient les initiatives pour lutter contre les manipulations et désinformations de l'information sur Internet[réf. nécessaire]. Le Parlement français a adopté une loi contre la manipulation de l'information fin 2018. La loi crée un devoir de coopération des plateformes, qui doivent mettre en œuvre des mesures en vue de lutter contre la diffusion de fausses informations susceptibles de troubler l'ordre public. Le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA), qui est chargé de la supervision de l'application de la loi, a publié le le deuxième bilan de l’application et de l’effectivité des mesures mises en œuvre par les plateformes pour lutter contre la diffusion de fausses informations2.

En , le service de vigilance et de protection contre les ingérences numériques étrangères (Viginum), une agence nationale de lutte contre les manipulations de l'information, est mis en place sous l'égide du secrétariat général de la Défense et de la Sécurité nationale (SGDSN). Il doit « veiller, détecter et caractériser les opérations d'ingérence numérique étrangères aux fins de manipulation de l'information sur les réseaux sociaux », en particulier dans le cadre de l'élection présidentielle française de 2022, qui suscite des "inquiétudes" d'ingérences étrangères3 .

La régulation des plateformes est en cours de révision au niveau européen. Les autorités françaises espèrent une adoption du « Digital Services Act » en 20224,5. En parallèle, la Commission européenne envisage de renforcer son code des bonnes pratiques contre la désinformation en ajoutant des contraintes et des obligations6.

Hasard du calendrier, deux députés ex-LREM, Matthieu Orphelin et Paula Forteza, publient le un rapport sur le complotisme dans lequel ils font dix propositions7. Le Conseil national du numérique a également publié en juin une étude sur les infox afin de nourrir le débat avant la prochaine élection présidentielle8,9.

Objectifs

La commission Bronner a huit thématiques de travail : le rôle des algorithmes[Lesquels ?](il s'agit de la révolution algorithmique en matière d’organisation de l’information et du rôle des logiques algorithmiques dans les dynamiques de diffusion de la fausse information), le financement des infox, les moyens de développer l'esprit critique, la liberté éditoriale des médias face à la pression de la dérégulation du marché de l'information, types de dispositifs juridiques possibles, les mécanismes psychologiques et sociologiques qui conduisent à la diffusion de fausses nouvelles, les ingérences étrangères et le type de citoyenneté numérique et d'espace démocratique renouvelé pouvant être mis en place10.

Jean Garrigues insiste sur l'indépendance du groupe de réflexion : «Notre mission est justement d'identifier ce qu'est le complotisme, sans partir d'aucun présupposé», «Notre objectif n'est pas de fixer ce qui relève du raisonnable et du vrai, mais de démonter un certain nombre de mécanismes qui l'obstrue"11.

Le communiqué de l'Élysée précise les objectifs12 :

  1. « Définir un consensus scientifique qui sera mis à disposition du grand public, des médias, des acteurs de la société civile sur l'impact d'Internet dans nos vies de citoyens : notre information, notre rapport à l'autre, notre représentation du monde et de nous-même, notre exposition à des biais cognitifs qui peuvent enfermer.
  2. Formuler des propositions dans les champs de l'éducation, de la prévention, de la régulation, et de la judiciarisation des entrepreneurs de haine afin de libérer la société des bulles qui enferment une partie de nos concitoyens et nourrissent les extrémismes, la haine, la violence, les dérives sectaires et les obscurantismes.
  3. Proposer de nouveaux espaces communs de la démocratie, de la citoyenneté, du collectif qui puissent trouver leur place dans le monde numérique, donner du sens à des citoyens isolés.
  4. Développer une analyse historique et géopolitique de l'exposition de la France aux menaces internationales qui pèsent sur notre démocratie et notre société au travers d'Internet et des recommandations sur les enjeux à porter dans le débat international et européen. »

Critiques

L'objectif même de la commission est critiqué. Pour la journaliste Eugénie Bastié, « il ne faut pas surestimer une menace complotiste qui, si elle existe, reste marginale ». Elle rappelle que les trois quarts des Français sont vaccinés et qu'une large majorité a approuvé le passe sanitaire13. Julien Giry, chercheur en science politique à l’université de Tours, rappelle qu'« il n’existe à ce jour aucune étude de long terme permettant de conclure à une hausse du nombre de personnes adhérant à une vision conspirationniste ».
L'historien Emmanuel Kreis déplore l’utilisation massive du qualificatif « théorie du complot » par les politiques et les experts, ce qui a contribué à galvauder la notion14.
La philosophe Aliénor Barrière dénonce « une captation de la raison par le pouvoir étatique. Elle se fait ainsi l’écho d’une dialectique porteuse d’une autorité morale. Le pouvoir politique se teinte d’une forme de religiosité gardienne du culte de la Raison, de la Vérité, des Lumières. La commission sera alors la sainte inquisition de Ceux qui Savent : les Sachant contre les opinions « porteuses d’une face sombre »15. Cette interprétation est aussi celle de Philippe Bilger qui dénonce également « une manœuvre politique dont le seul but est de démontrer que, puisque ce pouvoir rejette les fake news, il est forcément dépositaire de la vérité et de l'honnêteté »16.
En octobre 2021, François-Bernard Huyghes, directeur de recherches à l'Iris et président de l'Observatoire stratégique de l'information, déclare dans Le Figaro : «Ce qui m'inquiète, c'est le mélange de beaucoup de notions à la fois». «On met dans un même panier les “fake news”, qui existent depuis toujours, avec le “discours de haine”, le “complotisme”.

L'intervention de l'État est également questionnée. Pour Eugénie Bastié, « ce n’est pas à l’État de lutter contre le complotisme, mais à chaque citoyen ». Pour le maire de Cannes David Lisnard, l'État doit se concentrer sur « le niveau de l'instruction publique, l'apprentissage de la raison critique et de l'esprit scientifique, meilleurs antidotes au complotisme »17.

Fonctionnement

Le , Le Journal du dimanche évoque pour la première fois la création d'une commission devant analyser « l'impact d'Internet sur notre démocratie et notre société »18. Puis L'Express dévoile un peu plus l'initiative présidentielle dans deux articles publiés le 27 et le 19,20. La commission Bronner, officiellement intitulée « Les Lumières à l'ère numérique », est lancée le 29 septembre. Il s'agit de la troisième commission mise en place par Emmanuel Macron durant le quinquennat21.

La commission a tenu sa première réunion le 17. Gérald Bronner et Laurent Cordonier travaillent à temps plein pour la commission. Tous les membres se réunissent une à deux fois par semaine10. La commission procède à des auditions : grands acteurs français du monde numérique, experts sur la question de la régulation algorithmique20, médias10, juges et magistrats22, etc. Pour plus de transparence, les auditions sont filmées10. Le rapport est rendu public le 11 janvier 202223 et communiqué à chaque personne candidate à l'élection présidentielle20. 150 auditions et contributions ont été réalisées24. Il présente de manière synthétique l'état des connaissances de la désinformation à l'ère du numérique et propose 30 recommandations de moyens de lutte.

Les conclusions du rapport sont vivement critiquées dans AOC-Média par Julien Giry, Antoine Hardy, Philippe Huneman, Emmanuel Kreis, Jérôme Lamy et Arnaud Saint-Martin25.

Composition

La commission est composée initialement de quatorze personnes (sept hommes et sept femmes) et présidée par Gérald Bronner. Le Progrès a annoncé à tort la présence du sénateur Patrick Chaize au sein de la commission Bronner26. Il a juste assisté au lancement de la commission27.

La composition de la commission est critiquée, notamment, le 30 septembre 2021, dans une tribune du Monde28 par la pneumologue Irène Frachon29 pour la présence de l'urologue Guy Vallancien, lequel démissionne le et n'est pas remplacé. L'absence de juriste ou d'experts du droit est critiquée d'autant que la commission a comme mission de faire des recommandations juridiques30.

Membres de la commission

Gérald Bronner en 2018.
  1. Gérald Bronner, sociologue, membre du conseil scientifique de Conspiracy Watch31 et du conseil d'administration de la Fondation Descartes32 et rédacteur au Point33
  2. Roland Cayrol, politologue et directeur de recherche associé au Centre de recherches politiques de Sciences Po (CEVIPOF)34
  3. Laurent Cordonier, chercheur en sciences sociales à la Fondation Descartes
  4. Frédérick Douzet, professeure de géopolitique à l'Université Paris-VIII et membre du conseil scientifique de la Fondation Descartes35
  5. Rose-Marie Farinella, ancienne journaliste, professeure des écoles, spécialisée dans l'analyse des infox36
  6. Aude Favre, journaliste et créatrice de la chaîne YouTube Aude WTFake
  7. Jean Garrigues, historien, professeur à l’université d’Orléans, président du Comité d’histoire parlementaire et politique et rédacteur à Franc-Tireur37
  8. Rahaf Harfoush, consultante en stratégie, écrivaine et membre du Conseil national du numérique
  9. Rachel Khan, actrice, écrivaine, juriste et rédactrice à L'Express et Franc-Tireur38
  10. Anne Muxel, directrice de recherches en sociologie et en science politique au CEVIPOF39, directrice du domaine Défense et société de l'Institut de recherche stratégique de l'École militaire (IRSEM) et membre du conseil d'administration de la Fondation Jean Jaurès
  11. Rudy Reichstadt, directeur de l'Observatoire du complotisme (association éditrice du site Conspiracy Watch) et rédacteur à L'Express et Franc-Tireur38
  12. Iannis Roder, professeur agrégé d'histoire en Seine-Saint-Denis, président de l’Observatoire du conspirationnisme (association éditrice du site Conspiracy Watch)40 et directeur de l'Observatoire de l'éducation de la Fondation Jean Jaurès
  13. Bertrand Warusfel, professeur de droit à l'Université Paris-VIII et avocat.
  14. Annette Wieviorka, historienne, spécialiste de l'histoire et de la mémoire de la Shoah

Guy Vallancien

Le , Guy Vallancien est désigné membre de la commission « Les Lumières à l'ère numérique »41. La présence de l'urologue et membre du conseil scientifique de l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques est vite critiquée. La pneumologue Irène Frachon, lanceuse d'alerte de l'affaire du Mediator, publie une tribune dans Le Monde où elle qualifie Guy Vallancien de « fer de lance d'une nébuleuse de médecins (…) qui, depuis des années et sans vergogne, tentent de (…) nier la gravité du drame humain causé par le Mediator », et déplore sa participation à la commission, estimant qu'elle ne fera que « creus[er] un peu plus le fossé entre beaucoup de nos concitoyens et les élites qu'ils critiquent, à tort ou parfois à raison »42,43. Outre l'affaire du Mediator, l'affaire dite du charnier de Paris-Descartes est évoquée. Guy Vallancien dirigeait le Centre du don des corps de l'université de Paris-Descartes au moment des faits. Enfin, le médecin venait d'écoper le 11 juin d'un blâme de la part de l'Ordre des médecins pour avoir rédigé un certificat médical « mensonger »44. La commission décide le de maintenir Guy Vallancien dans ses rangs45. Mais les critiques se poursuivant, Guy Vallancien démissionne trois jours plus tard tout en dénonçant l'« honteuse campagne de dénigrement ignoble et mensonger »46.

Notes et références


  • « Commission Bronner, régulation des réseaux sociaux, éducation aux médias : comment lutter contre l’essor du complotisme ? » [archive], sur Franceinfo, (consulté le )

  • Caroline Sallé, « Le CSA, les fake news et la présidentielle » [archive], sur Le Figaro, (consulté le )

  • « Présidentielle 2022 : la France se prépare à la propagande sur les réseaux sociaux pendant la campagne », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne [archive], consulté le )

  • « Emmanuel Macron installe une commission sur le complotisme présidée par le sociologue Gérald Bronner », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne [archive], consulté le )

  • « Régulation numérique européenne : La France veut aboutir en 2022 » [archive], sur CB News (consulté le )

  • Dominique Desaunay, « Union européenne: un nouveau code des bonnes pratiques contre la désinformation en ligne » [archive], sur RFI, (consulté le )

  • Arnaud Bélier, « Traiter le complotisme par le mépris ou la censure ne suffit pas : c’est même « une erreur » », Ouest-France,‎ (lire en ligne [archive])

  • « CNNum : « Récits et contre-récits. Itinéraire des fausses informations en ligne » » [archive], sur nextinpact.com, (consulté le )

  • Ingrid Vergara, « Fausses informations : le CNNum veut nourrir le débat avant la présidentielle en France » [archive], sur Le Figaro (consulté le )

  • Juliette Pousson, « Complotisme et désinformation : c’est quoi cette commission contre les fake news lancée par Macron ? » [archive], sur leparisien.fr, (consulté le )

  • https://www.lefigaro.fr/actualite-france/desinformation-et-complotisme-la-nouvelle-commission-bronner-interroge-20211005 [archive]

  • « « Les Lumières à l'ère numérique » : lancement de la commission Bronner. » [archive], sur elysee.fr, (consulté le )

  • Eugénie Bastié, « Lutter contre le complotisme : rôle de l’État ? » [archive], sur cnews.fr (consulté le )

  • Youness Bousenna, « Commission Bronner : et si on surestimait l'importance du complotisme ? » [archive], sur marianne.net, (consulté le )

  • « Commission Bronner : vers un affrontement entre la raison et la liberté ? » [archive], sur fr.irefeurope.org (consulté le )

  • « Que va faire Gérald Bronner dans cette galère ? » [archive], sur Justice au Singulier (consulté le )

  • Élisabeth Pierson, « Désinformation et complotisme : la nouvelle commission Bronner interroge » [archive], sur Le Figaro, (consulté le )

  • « Les indiscrets », Le Journal du dimanche,‎

  • Laureline Dupont, « Pourquoi et comment Emmanuel Macron a décidé de s'attaquer au complotisme » [archive], sur LExpress.fr, (consulté le )

  • Laureline Dupont et Thomas Mahler, « Gérald Bronner : "La rationalité n'appartient à aucun camp en particulier" » [archive], sur LExpress.fr, (consulté le )

  • La commission des 1000 premiers jours de l'enfant en 2019 et le rapport Blanchard Tirole en 2021.

  • « Désinformation et complotisme : cinq questions sur la Commission Bronner, chargée de lutter contre les "fake news" » [archive], sur Franceinfo, (consulté le )

  • Noémie Lair, « École, signalements, publicité : les recommandations du rapport Bronner pour lutter contre la désinformation » [archive], sur franceinter.fr, (consulté le )

  • « Complotisme, infox... La commission Bronner décrypte le « chaos informationnel » », La Croix,‎ (ISSN 0242-6056, lire en ligne [archive], consulté le )

  • « Panique morale à l’Elysée ! sur le rapport de la commission Bronner » [archive], sur AOC media - Analyse Opinion Critique, (consulté le )

  • « Dangers du numérique : le sénateur Patrick Chaize intègre une commission portée par Emmanuel Macron » [archive], sur leprogres.fr (consulté le )

  • Patrick Chaize, « Invité à l’Élysée, pour le lancement de la commission Bronner » [archive], sur patrick-chaize.fr, (consulté le )

  • https://www.lemonde.fr/idees/article/2021/09/30/irene-frachon-la-composition-de-la-commission-bronner-sur-le-complotisme-laisse-perplexe_6096624_3232.html [archive]

  • https://www.nouvelobs.com/societe/20211001.OBS49365/irene-frachon-epingle-la-composition-de-la-commission-sur-le-complotisme-lancee-par-emmanuel-macron.html [archive]

  • H. S., « Pourquoi la commission Bronner connaît-elle des débuts chaotiques ? » [archive], sur 20minutes.fr (consulté le )

  • « Newsletter du 10 janvier 2021 » [archive], sur conspiracywatch.info (consulté le )

  • « CA Archive » [archive], sur Fondation Descartes (consulté le )

  • « Gérald Bronner - Journaliste du Point » [archive], sur Le Point.fr (consulté le )

  • « Roland Cayrol » [archive], sur sciencespo.fr, (consulté le )

  • « Scientific-Committee » [archive], sur Fondation Descartes (consulté le )

  • « Rose-Marie Farinella, l’institutrice qui forme ses élèves à débusquer les fake news » [archive], sur Franceinfo, (consulté le )

  • « FRANC-TIREUR par FRANC-TIREUR » [archive], sur KissKissBankBank (consulté le )

  • Olivier Ubertalli, « Presse : « Franc-Tireur » veut être « un libelle contre les extrémismes » » [archive], sur Le Point, (consulté le )

  • « Anne Muxel | Sciences Po CEVIPOF » [archive], sur sciencespo.fr, (consulté le )

  • « Trois questions à Iannis Roder » [archive], (consulté le )

  • M. R., « Commission Bronner sur le complotisme : face au tollé, Guy Vallancien se retire » [archive], sur LExpress.fr, (consulté le )

  • Irène Frachon, « La composition de la “commission Bronner” sur le complotisme laisse perplexe », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne [archive], consulté le )

  • Fabien Leboucq et Luc Peillon, « Qu'est-il reproché au chirurgien Guy Vallancien, membre de la commission «Bronner» contre les fake news ? » [archive], sur Libération (consulté le )

  • Anne Jouan, « Le Pr Guy Vallancien, l’urologue des stars, sanctionné par l’Ordre des médecins » [archive], sur marianne.net, (consulté le )

  • Cecilia Arbona et Olivier Bénis, « Guy Vallancien reste membre de la commission Bronner contre les fake news » [archive], sur franceinter.fr, (consulté le )

    1. « Commission sur le complotisme : le controversé professeur Guy Vallancien annonce sa démission », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne [archive], consulté le )

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes