Costaud !
Je ne me rappelle pas que l'on ait eu droit à ça avec Christophe Castaner, celui qui a fait ses classes dans le grand banditisme. Et pourtant, il était déjà pas mal...
A noter : Eric Dupond-Moretti et son associé Antoine Vey avaient pris la suite de l'escroc fini Patrick Baudy dans le Finistère pour l'essentiel de ses escroqueries finistériennes avec la complicité de magistrats locaux ultra CORROMPUS vers la fin 2019.
Résultats : toujours rien de bon pour leurs clients finistériens, dont le principal a depuis fini six pieds sous terre, mais un portefeuille ministériel tout à fait inattendu pour Eric Dupond-Moretti dont l'associé avait dès lors complètement lâché ses clients finistériens, après un petit sursaut d'attention à leur égard juste avant la nomination d'Eric Dupond-Moretti comme ministre de la Justice et Garde des Sceaux.
Et le procureur de la République de Quimper d'alors, Thierry Lescouarc’h, d'être sitôt nommé « conseiller services judiciaires » au sein du cabinet du tout nouveau ministre de la Justice...
Ce dernier était arrivé à Quimper en même temps que Céline Verdier, grande complice du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi depuis 2012 au moins.
Par ailleurs, sur différents sujets intéressant ce pédophile et ses complices finistériens, par exemple l'anonymat sur Internet, Eric Dupond-Moretti tenait depuis longtemps les mêmes discours fallacieux.
Je rappelle encore que le cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi s'est toujours amusé à défoncer des tas d'anonymes sous son vrai nom, ce qui ne lui a jamais posé aucun problème, alors que toutes ses victimes accusent de très graves préjudices, pour celles qui n'ont pas été purement et simplement assassinées.
Mais Jean Castex doit bien savoir tout cela lui qui théoriquement a dû suivre les dossiers des clients finistériens du cabinet Dupond-Moretti après le décret qu'il avait lui-même signé fin octobre 2020, dont au moins deux complices notoires du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi.
Triple bras d'honneur : Marleix (LR) demande à Borne de ne pas laisser le geste de Dupond-Moretti sans «suite»
DOCUMENT - Dans un courrier adressé jeudi à Matignon, le chef de file de la droite parlementaire dénonce une «insulte à la représentation nationale». Les deux hommes n'ont quant à eux pas échangé directement depuis l'incident.
Un geste pour le moins vulgaire, des regrets, et désormais, une lettre. Après avoir visionné les images du triple bras d'honneur que le ministre de la Justice, Éric Dupond-Moretti, lui a adressé, le patron des députés LR, Olivier Marleix, a fait parvenir un courrier à Élisabeth Borne.
Les remontrances adressées au Garde des Sceaux par la présidente de l'Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, et le recadrage de la première ministre, ne le satisfont pas. Pas plus d'ailleurs que les «excuses» publiquement formulées par le locataire de la Chancellerie. Olivier Marleix, président du groupe Les Républicains à l'Assemblée, a ainsi adressé un courrier à Élisabeth Borne ce jeudi, pour réclamer une réaction…
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Après ses bras d’honneur, la menace d’Éric Dupond-Moretti pour éviter de s’excuser
Orange avec 6Medias, publié le jeudi 09 mars 2023 à 09h37
Mardi 7 mars, le ministre de la
Justice a assené deux bras d’honneur en direction du chef des députés
Les Républicains (LR), Olivier Marleix, à l'Assemblée nationale à la
suite de l’évocation de ses démêlés judiciaires. Refusant de s’excuser
dans l’hémicycle, l’ancien ténor du barreau aurait d’abord menacé de
démissionner, selon Mediapart.
L’exécutif dans la tourmente.
Après des débats chaotiques sur le projet de réforme des retraites à l’Assemblée nationale, la chambre basse du Parlement a connu une nouvelle scène surréaliste, mardi 7 mars.
En pleine discussion sur la proposition de loi visant à instaurer une peine d’inéligibilité obligatoire contre les auteurs de violences conjugales ou intrafamiliales déposée par Aurore Bergé, cheffe des parlementaires Renaissance, le ministre de la Justice Éric Dupond-Moretti a adressé - à deux reprises - un bras d’honneur en direction du président du groupe des députés LR Olivier Marleix, a rappelé Mediapart.
Ce geste fait suite à l’évocation par l’élu de l’Eure de sa mise en examen pour prise illégale d’intérêts et de son renvoi devant la Cour de justice de la République (CJR). “Si mon geste a été mal interprété, je présente mes excuses [à Olivier Marleix] ainsi qu’à toute la représentation nationale”, a fini par dire l’avocat devant les députés, raconte le média en ligne.
La défense de sa “présomption d’innocence”
Mais avant cela, le Garde des Sceaux a admis non pas un, mais deux bras d’honneur “accompagnés de parole” défendant sa “présomption d’innocence”, face à la colère de l’opposition. Olivier Marleix fustigeait la proposition de loi du gouvernement, la qualifiant d'“opportuniste”, quelques semaines après la réintégration d’Adrien Quatennens, député LFI, condamné pour violences conjugales. Il a rappelé les “onze condamnations dans la majorité” et les “huit mises en examen dont celle du secrétaire général de l’Élysée et celle du garde des Sceaux, accusés l’un et l’autre de prise illégale d’intérêts”.
Avant de revenir, calmé, dans l’Hémicycle, le ministre de la Justice était entouré par un groupe de crise improvisé. En étaient, selon Mediapart, la présidente du groupe Renaissance Aurore Bergé, le ministre des Relations avec le Parlement, Franck Riester et la présidente de l’Assemblée, Yaël Braun-Pivet. Pour chacun, ce n'était pas discutable, il devait s’excuser. “C’était surréaliste. Il est parti en toupie, c’était impossible de le faire redescendre”, a raconté un témoin à Mediapart. Suite à cela, le ministre aurait agité devant eux la menace de sa démission. “Je vais aller à l’Élysée et remettre ma démission !”, aurait dit Éric Dupond-Moretti.
Les excuses du gouvernement
L’événement a poussé Elisabeth Borne à contacter le ministre après son intervention. “La Première ministre lui a dit que ce comportement n’avait pas sa place dans l’hémicycle”, a expliqué un membre de son entourage à Mediapart.
Dans les médias, bien que certains tentent de trouver des excuses à Éric Dupond-Moretti - comme le porte-parole du gouvernement Olivier Véran, qui a mis cela sur le compte de son caractère “entier” - la présidente de l’Assemblée a fustigé ces gestes sur France Info. “Je lui ai dit que si les faits dont on parlait étaient avérés, c’était quelque chose de grave et qu’il fallait qu’il s’excuse. J’attends du gouvernement qu’il soit respectueux de l’institution que je préside.”
Quimper. Le procureur Thierry Lescouarc’h nommé au cabinet du ministre de la Justice... |
Thierry Lescouarc’h, procureur de la République de Quimper (Finistère), est nommé au cabinet du ministre de la Justice à compter du 24 août. Il était procureur depuis le 1er septembre 2014.
Thierry Lescouarc’h, procureur de la République de Quimper (Finistère), quitte ses fonctions ce dimanche 23 août 2020. Comme l’annonçait le Journal Officiel le 31 juillet, il est nommé « conseiller services judiciaires » au sein du cabinet du ministre de la Justice, Éric Dupond-Moretti. Cette nouvelle fonction sera effective à partir du 24 août 2020.
Breton d’origine, Thierry Lescouarc’h était arrivé au poste de procureur le 1er septembre 2014. Auparavant, il avait été procureur à Alès, dans le Gard.
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