Je rappelle être victime de la bande de cybercriminels du pédophile et terroriste "islamigré" Pascal Edouard Cyprien Luraghi de manière continue depuis 2008, comme le savent à peu près tous les magistrats de Brest et Quimper au moins depuis que j'ai commencé à leur dénoncer ces faits en 2010, mais ils refusent catégoriquement d'en poursuivre les auteurs, car ils estiment, d'une part, que me faire subir ce viol quotidien ad vitam aeternam, à moi la "sale pute de femme ingénieur", c'est vraiment trop cool, et d'autre part, que ces criminels font oeuvre de salubrité publique en recherchant, identifiant et éliminant tous mes anciens collègues ou anciennes connaissances, dont, bien évidemment, un grand nombre d'autres ingénieurs, mais aussi, que le chef de bande Pascal Edouard Cyprien Luraghi n'a cessé d'exiger mon internement psychiatrique en urgence et "à vie" à compter du printemps 2009.
Or, ces bons psychiatres Michel Walter et autres du CHRU de Brest tardent quand même à le satisfaire... à telle enseigne qu'en février 2015, sa bonne épouse Annie Luraghi, qu'il a toujours fait participer à toutes ses exactions à mon encontre, tout comme ses enfants, et qui apparaissait sous son seul prénom dans la liste de mes pirates en 2011 (voir documents ci-dessous), s'énervait déjà avec Michel Walter qui ne m'avait toujours pas internée, et lui adressait de ce fait une lettre recommandée avec accusé de réception :
Depuis hier soir à 20h30, c'est la cyberattaque dans la foulée d'autres menaces récentes, voire d'un attentat islamiste hier environ un quart d'heure plus tôt à Hambourg.
Noter que la précédente panne informatique ou très probable cyberattaque ayant paralysé le CHU de Brest remonte au 28 septembre 2002, soit l'année de l'attentat de Karachi du 8 mai 2002... et des tentatives d'assassinat par empoisonnements criminels dont j'avais été victime au tout début du printemps de cette année-là.
A cette date, je consultais encore plusieurs spécialistes, notamment pour des examens divers, comme en atteste l'année suivante mon médecin traitant tout en me certifiant en bonne santé mentale :
Et je me souviens très bien d'un incident au cours d'une consultation chez le néphrologue, à savoir une intrusion dans son système informatique. J'avais ensuite eu la surprise de constater que ma date de naissance dans son dossier informatisé nominatif me concernant avait été modifiée, ce n'était plus la mienne mais celle d'un de mes anciens employeurs harceleurs... Un genre de signature, sans doute...
Le CHRU de Brest victime d'une cyberattaque. "Aucune fuite de données n'est pour l'instant identifiée"
Depuis 20h30, ce jeudi 9 mars 2023, le centre hospitalier de Brest est la cible d'une cyberattaque. Il est, pour ainsi dire, coupé du monde puisque "tout lien avec l'extérieur a été impacté", selon la direction. Laquelle précise ne pas avoir constaté pour l'instant de fuites de données. Les services d'urgence sont assurés
Le CHU de Brest est victime d'une cyberattaque depuis ce jeudi 9 mars, dans la soirée. "L'analyse du processus d'attaque a montré que des serveurs ont été impactés" annonce la direction de l'hôpital dans un communiqué.
Cellule de crise activée
Des mesures pour sécuriser le système informatique ont été immédiatement mises en place, lequel fonctionne néanmoins "en mode dégradé". Une cellule de crise a été activée et une plainte déposée au commissariat de Brest.
"Le CHU, est-il précisé dans le communiqué, a isolé son système d'information internet pour limiter la propagation de l'attaque". Le site internet de l'hôpital est inaccessible. "Les applications du CHU en lien avec l'extérieur sont touchées : prise de rendez-vous, consultation d'imageries médicales, envoi de résultats d'examens aux établissements partenaires" prévient encore la direction.
"Pas de fuite de données identifiée"
Selon la direction du CHU de Brest, "aucune fuite de données de santé n'a été pour l'instant identifiée. Aucune donnée n'est compromise en interne".
L'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (ANSSI) travaille aux côtés des équipes techniques de l'hôpital brestois qui est, pour l'heure, coupé du monde. "Le CHU n'est pas en mesure de proposer la téléexpertisé, la téléconsultation ni la prise de rendez-vous, explique-t-on. Il n'y a plus de connexion possible avec les autres établissements de santé, les médecins libéraux, les associations et les SAMU".
Les appels téléphoniques fonctionnent toujours (02 98 22 33 33). Les services d'urgence sont assurés. "Aucune déprogrammations de soins n'est envisagée".
Le 28 septembre 2002, le CHU de Brest avait déjà été paralysé par une panne informatique, faisant craindre un piratage. Les urgences avaient été redirigées vers d'autres établissements de santé.
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