Le 28 février dernier, j'ai publié cet article où je revenais de manière très succincte sur mon expérience d'ingénieur d'études en informatique pour l'Armée de l'Air, dans les années 1990 :
http://satanistique.blogspot.com/2023/02/les-psychiatres-brestois-meilleurs.html
Je suis habituée aux réactions violentes de la bande de malades mentaux inscrits sur le blog du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi dès que j'aborde la question de ma profession, puisqu'ils m'interdisent toujours de me présenter comme ingénieur informaticien ou d'évoquer ce passé professionnel qui est bien le mien, depuis maintenant une quinzaine d'années.
Entre autres, je rappelle avoir ouvert ce blog en mars 2014 en même temps que son double Petitcoucou chez Unblog parce que je venais de me faire virer d'un site où j'intervenais pour tenter de me défendre contre plusieurs infractions pénales du cyberharceleur Jean-Marc Donnadieu alias NEMROD34 et de ses complices zététiciens ou prétendument "sceptiques", du seul fait que je venais d'ajouter dans ma "bio" la mention "ingénieur".
C'est à lire ou à relire ici :
http://satanistique.blogspot.com/2014/03/les-sceptiques-du-quebec-bannissent-les.html
Le 9 février 2020 encore, j'étais revenue sur ma profession en rappelant des éléments de preuves que j'avais déjà publiés et en publiant une nouvelle pièce, ici :
http://satanistique.blogspot.com/2020/02/pourquoi-helene-sergent-de-20minutesfr.html
Or, dès le lendemain matin à la première heure, j'étais dénoncée à la gendarmerie de Xertigny, près d'Epinal, dans les Vosges, par le couple de malades mentaux et néanmoins cybercriminels Patrice Seray et Francine Cordier, d'éminents "sceptiques".
Leur complice le malade mental Jean-Marc Donnadieu m'avait bien déjà menacée de plaintes ou de procès à de multiples reprises pour le cas où j'évoquerais encore publiquement ma profession.
Et le 28 février dernier, devinez ce qui s'est produit...
A peine mon article était-il publié que j'étais déjà dénoncée aux autorités militaires, cette fois du côté de l'Armée de l'Air.
Alors, que vous a-t-on dit ?
Non, on ne me connaît pas. Ou si, et je suis même très bien.
Ou cela ne vous regarde pas, passez votre chemin.
En tous les cas, pour moi, il n'y a toujours pas de guerre nucléaire, tout va bien, en dehors des saloperies quotidiennes habituelles de la bande de cybercriminels du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi.
Le 2 mars, en même temps que mon outil de capture d'écran était à moitié cassé, comme je l'ai signalé le lendemain, j'étais dénoncée pour "spam" auprès de mon fournisseur d'accès à Internet qui a depuis traité ma réclamation et m'a bien débloqué mon adresse mail.
Sans doute mes "fact-checkers" avaient-ils exprimé là quelques rancoeurs...
Les sachant très paresseux et très mauvais lecteurs, je republie ici les pièces que j'avais déjà publiées par le passé et qui montrent bien que j'ai toujours dit la vérité :
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