Pourquoi a-t-il fait l'apologie de l'assassinat de ses collègues de Magnanville ?
Parce qu'ils n'ont pas été choisis pour cibles au hasard et devaient être menaçants, d'une manière ou d'une autre, comme étant de possibles témoins gênants.
Aucun rapport entre Jean-Baptiste Salvaing, de Pézenas, ayant jadis travaillé dans l'Hérault, et le malade mental Jean-Marc Donnadieu de Béziers ? Je n'y crois pas une seule seconde.
Noter que l'ex-policier djihadiste Mamadou N'Diaye n'a aucune fiche à son nom sur Wikipédia, où Jean-Marc Donnadieu a pu autrefois faire ce qu'il voulait, par exemple sur la fiche d'OverBlog où se sont retrouvés durant un certain tous les liens vers sa propre base de données supportant sa version entièrement mensongère et absolument délirante de ses procès contre OverBlog :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Mamadou_N%27Diaye
Mamadou N'Diaye
Cette page d'homonymie répertorie différentes personnes portant le même nom et le même prénom.
Pour les articles homonymes, voir N'Diaye.
Mamadou N'Diaye peut désigner :
- Mamadou Michel N'Diaye (1909-1985), marin, boxeur, résistant et chiropracteur sénégalo-français ;
- Mamadou Bamba Ndiaye (1949-2020), homme politique sénégalais ;
- Mamadou Bamba Ndiaye (1957-), homme politique sénégalais ;
- Mamadou N'Diaye (1975-), basketteur sénégalais ;
- Mamadou N'Diaye (1993-), basketteur sénégalais ;
- Mamadou N'Diaye (1945-), footballeur guinéen ;
- Mamadou N'Diaye (1995-), footballeur international sénégalais ;
- Doudou N'diaye Rose (1930-2015), de son vrai nom Mamadou N'diaye, musicien percussionniste sénégalais.
Allez Messieurs Thomas Durand et autres, au boulot... une petite fiche sur Mamadou...
Un ex-policier acquis aux thèses djihadistes condamné à six ans de prison ferme
Mamadou N’Diaye a notamment cautionné l’attentat contre un couple de policiers à Magnanville en 2016. Il a été reconnu coupable d’association de malfaiteurs à visée terroriste et d’escroquerie.
L’affaire n’est pas banale. Un ancien gardien de la paix de 47 ans a été condamné ce lundi 8 juillet à Paris à six ans d’emprisonnement et incarcéré, reconnu coupable notamment d’avoir adhéré à la cause djihadiste entre 2014 et 2016 et d’avoir cherché des noms de personnes radicalisées dans des fichiers de police.
Le tribunal correctionnel, qui a reconnu Mamadou N’Diaye coupable d’association de malfaiteurs à visée terroriste et d’escroquerie, a assorti ces six ans d’une période de sûreté de moitié.
Il a notamment été reconnu coupable d’avoir partagé l’idéologie de l’EI entre 2014 et 2016 avec son frère radicalisé, en regardant des vidéos et suivant des profils de djihadistes sur les réseaux sociaux, cautionné l’attentat contre un couple de policiers à Magnanville en 2016, activé avec ce frère un compte Twitter pour un djihadiste français en Syrie, et consulté dans des fichiers de police les fiches de personnes poursuivies pour terrorisme.
« Une atteinte grave » au travail de la police
Cet ancien gardien de la paix au Kremlin-Bicêtre dans le Val-de-Marne, révoqué depuis, avait été interpellé en juin 2017 dans son commissariat et placé sous contrôle judiciaire. Devenu chauffeur VTC, il a comparu libre au cours du procès qui s’est tenu sur trois demi-journées fin juin.
La présidente Isabelle Prévost-Desprez a estimé qu’il avait porté « une atteinte grave » au travail de la police et à la « confiance » des Français envers les forces de l’ordre.
Ce policier aux bons états de service affecté à la brigade des accidents et délits routiers était notamment intervenu sur les lieux du meurtre d’Aurélie Châtelain, tuée à Villejuif en 2015 sur fond de projet d’attentat avorté, et s’était même porté volontaire en cas de besoin après les attentats parisiens du 13 novembre 2015, un « comportement pouvant être considéré comme inquiétant », selon le tribunal.
Son avocat, Gabriel Dumenil, a fustigé une justice rendue « pour l’exemple » et annoncé qu’il allait faire appel et demander sa libération. Mamadou N’Diaye, qui était jusqu’alors sous contrôle judiciaire, « a pu s’amender, a pu changer », a-t-il souligné.
« C’est une catastrophe pour lui et pour la société. »
« Dédoublement de personnalité » ?
A l’audience, Mamadou N’Diaye avait expliqué avoir été à la fois un adepte de l’EI et un bon policier, impliqué mais dépressif à la suite d’une rupture. Un « dédoublement de personnalité » jugé « fantaisiste » par le tribunal.
Il avait aussi affirmé avoir abandonné cette idéologie au moment où son frère a été interpellé, en 2016. Mais un contact avec un djihadiste en 2017 « démontre le contraire », selon les juges.
Trois autres hommes, détenus, ont été condamnés dans le cadre de ce procès, celui selon le tribunal d’une « cellule terroriste », constituée à divers degrés autour de Salah-Eddine Gourmat. L’enquête avait débuté avec le départ en Syrie de Gourmat, devenu là-bas un cadre de l’EI et tué fin 2016 par une frappe de drone américaine. Les enquêteurs avaient identifié plusieurs soutiens restés en France.
Le principal prévenu, Youssef Ettaoujar, a été condamné à douze ans de prison avec période de sûreté des deux tiers. Lui qui avait conservé des liens avec Gourmat – les deux hommes avaient été condamnés en 2014 pour avoir tenté de rejoindre la Syrie – a été reconnu coupable d’avoir projeté un attentat au fusil d’assaut en France. Le tribunal a aussi révoqué un an de sursis inclus dans sa peine de 2014.
Nasser Benyamina a été condamné à neuf ans de prison et deux tiers de sûreté, notamment pour avoir financé l’EI par le biais d’escroqueries.
Enfin, le frère de Mamadou N’Diaye, Laramy, qui était en contact avec Gourmat et affirme avoir radicalisé le policier, a été condamné à sept ans de prison dont la moitié en peine de sûreté.
Val-de-Marne. Le procès en appel d'un ex-policier, acquis aux thèses djihadistes, débute ce lundi
Mamadou N'Diaye, ancien gardien de la paix au Kremlin-Bicêtre, dans le Val-de-Marne, est soupçonné d’avoir partagé l’idéologie de l’organisation Etat islamique.
Le procès en appel de Mamadou N’Diaye, cet ex policier du Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne) soupçonné d’avoir adhéré un temps aux thèses djihadistes, débute ce lundi à la Cour d’appel de Paris.
Intervenu sur l’attentat avorté à Villejuif
Il est accusé d’avoir partagé l’idéologie de l’Etat islamique entre 2014 et 2016 avec son frère radicalisé, en regardant des vidéos et suivant des profils de djihadistes sur les réseaux sociaux, cautionné l’attentat contre un couple de policiers à Magnanville (Yvelines) en 2016. Il lui était également reproché en première instance d’avoir activé avec ce frère un compte Twitter pour un djihadiste français en Syrie, et consulté dans des fichiers de police les fiches de personnes poursuivies pour terrorisme.
Son procès devant le tribunal correctionnel de Paris, en juillet 2019, avait conduit à une condamnation à six ans de prison. Sa défense, Me Gabriel Dumenil, avait alors souhaité faire appel. Il avait alors dénoncé une condamnation « pour l’exemple » et mis en avant les bons états de service du gardien de la paix. Lors de son passage au commissariat du Kremlin-Bicêtre, il était intervenu sur les lieux du meurtre d’Aurélie Châtelain, tuée à Villejuif en 2015 lors d’un projet avorté d’attentat, et s’était porté volontaire en cas de besoin après les attentats parisiens du 13 novembre 2015.
L’ancien policier acquis aux thèses djihadistes condamné à 7 ans de prison en appel
Mamadou N’Diaye a été condamné, lundi, à sept années de prison. Cet ancien gardien de la paix, reconnu coupable d’avoir adhéré à la cause djihadiste, avait été arrêté dans son commissariat en 2017.
La cour d’appel de Paris a condamné lundi un ancien gardien de la paix, Mamadou N’Diaye, à sept années d’emprisonnement, le reconnaissant coupable d’avoir adhéré à la cause djihadiste entre 2014 et 2016 et d’avoir notamment cherché des noms de personnes radicalisées dans des fichiers de police. En juillet 2019, en première instance, il avait été condamné à six ans de prison.
Sa peine de sept ans est assortie d’une période de sûreté de moitié. La cour a ordonné son maintien en détention et lui a interdit d’exercer un emploi public. Mamadou N’Diaye a été reconnu coupable d’association de malfaiteurs à visée terroriste et d’escroquerie.
Il a été condamné notamment pour avoir partagé l’idéologie de l’organisation Etat islamique (EI) entre 2014 et 2016 avec son frère radicalisé, en regardant des vidéos et suivant des djihadistes sur les réseaux sociaux, cautionné l’attentat contre un couple de policiers à Magnanville en 2016, activé avec ce frère un compte Twitter pour un cadre français de l’EI, Salah-Eddine Gourmat, et consulté dans des fichiers de police les fiches de personnes poursuivies pour terrorisme.
Il s’était porté volontaire après les attentats du 13 novembre
Cet ancien gardien de la paix en poset au Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne), révoqué depuis les faits, avait été interpellé en juin 2017 dans son commissariat et placé sous contrôle judiciaire. « Les faits sont d’une particulière gravité au regard de votre qualité » de policier, a déclaré la présidente de la cour lors du délibéré. Ce sont, de plus, « des faits commis au moment des attentats. La cour a tenu compte de cette période », a-t-elle ajouté.
Ce policier aux bons états de service affecté à la brigade des accidents et délits routiers était notamment intervenu sur les lieux du meurtre d’Aurélie Châtelain, tuée à Villejuif en 2015 sur fond de projet d’attentat avorté, et s’était porté volontaire en cas de besoin après les attentats parisiens du 13 novembre 2015.