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dimanche 12 mars 2023

Cyberattaque du CHRU de Brest : la section cybercriminalité du parquet de Paris s'est saisie de l'enquête

Quand on sait que le parquet de Brest va jusqu'à "perdre" des dossiers très importants en matière de terrorisme islamiste ou "islamigré", comme dit le terroriste en chef Pascal Edouard Cyprien Luraghi, et que l'ensemble des magistrats brestois se moque bien des victimes de ce cybercriminel, cette décision apparaît pleine de bons sens.

Voir mes précédents commentaires sur cette affaire :

http://satanistique.blogspot.com/2023/03/le-chru-de-brest-victime-dune.html

http://satanistique.blogspot.com/2023/03/cyberattaque-du-chu-de-brest-une.html

J'en rajoute encore un peu à propos de l'attentat de Karachi du 8 mai 2002, que j'ai déjà évoqué du fait que la précédente cyberattaque du CHU de Brest remonte à cette année-là, à une période où j'étais sortie d'affaire suite aux tentatives d'assassinat dont j'avais été victime avant l'attentat, et faisais le point avec plusieurs spécialistes sur tous les dégâts causés et les éventuels traitements à mettre en place. 

Le 8 mars dernier, j'ai aussi republié des documents montrant que jusqu'en 1995 et spécialement en 1994 alors que j'avais déjà été victime de plusieurs tentatives d'assassinat, je travaillais bien comme je l'ai toujours dit comme ingénieur d'études en informatique "sur un projet complexe et difficile, couvert par le "secret défense"", "chez MATRA", mais il s'agissait bien d'un très gros projet de l'Armée de l'Air.

Voir ici :

http://satanistique.blogspot.com/2023/03/on-samuse-encore-fact-checker-mon-cv.html

J'occupais sur ce projet le poste d'ingénieur concepteur le plus sensible du fait que ses particularités m'amenaient à travailler en profondeur sur l'intégralité de ce projet, moi et moi seule (mais c'était régulièrement le cas partout où je travaillais : je me tapais toujours les trucs les plus difficiles, et souvent dans des contextes assez sensibles), et compte tenu de mes relations anciennes, et très bonnes, avec les responsables de l'Armée de l'Air, ce qui n'était pas du tout le cas pour mes collègues sur ce projet qui au contraire entretenaient avec eux des relations assez tendues voire conflictuelles, j'étais aussi par certains complètement assimilée à l'Armé de l'Air.

Or, en 2002, ayant précédé l'attentat, il y eut, non seulement l'assassinat du journaliste américain Daniel Pearl, du même âge que moi à cinq jours près, mais selon des publications que je ne retrouve plus actuellement, également des menaces concernant plusieurs dirigeants du groupe MATRA devenu EADS en 2000, ainsi que la disparition suspecte d'une ancienne analyste de l'Armée de l'Air, morte ou tuée. 

Je n'ai jamais vu publier son identité.

Pour ce qui me concerne, j'ai bien survécu, mais ai bizarrement complètement perdu mon passé professionnel, surtout depuis les publications du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi me concernant, lesquelles avaient débuté en juin 2010 simultanément à l'annonce de la parution du tout premier numéro du magazine "Inspire" d'Al-Qaïda.

En effet, les magistrats ultra CORROMPUS du TJ de Brest font systématiquement des vérités judiciaires de toutes ses inventions calomnieuses à mon encontre - ils n'ont en fait toujours produit à mon sujet que des faux criminels.

 

https://www.francetvinfo.fr/internet/securite-sur-internet/cyberattaques/cyberattaque-au-centre-hospitalier-de-brest-la-section-cybercriminalite-du-parquet-de-paris-saisie_5704277.html

Cyberattaque au centre hospitalier de Brest : la section cybercriminalité du parquet de Paris saisie

 
L'établissement hospitalier fonctionne "en mode dégradé" mais "aucune fuite de données de santé n'a été identifiée", assure la direction.
Article rédigé par
Radio France
Publié
Temps de lecture : 1 min.
 
CHU de Brest (illustration). (FRED TANNEAU / AFP)

 

La section cybercriminalité du parquet de Paris s'est saisie de l'enquête sur la cyberattaque qui a visé le centre hospitalier de Brest (Finistère) jeudi 9 mars dans la soirée, a appris franceinfo auprès du parquet vendredi 10 mars.

À Brest, le CHRU (centre hospitalier régional universitaire) fonctionne en "mode dégradé" depuis l'attaque mais "aucune fuite de données de santé n'a été identifiée", a indiqué la direction de l'établissement. 

"Le jeudi 9 mars à 20 heures 33, le CHU de Brest a fait l'objet d'une intrusion dans son système d'information", a ajouté la direction de l'hôpital dans un communiqué, ajoutant que "des serveurs ont été impactés". Les communications avec l'extérieur sont perturbées et "jusqu'à nouvel ordre", l'hôpital n'est "pas en mesure de proposer la télé-expertise, la téléconsultation ni la prise de rendez-vous". Les appels téléphoniques restent possibles.

Une cellule de crise a été activée et une plainte a été déposée au commissariat de Brest. Aucun détail n'a été donné ni par la justice, ni par l'hôpital, sur l'identité des pirates informatiques, ni sur le type de cyberattaque.

 

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