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jeudi 31 mars 2016

Deux têtes de porc devant la résidence de l'ambassadeur du Maroc à Neuilly

Moi non plus, je ne donne pas la moindre interprétation à ce geste et soutiens qu’il appartient aux autorités de faire leur enquête.

Cependant, je répète qu’il est urgentissime de mettre hors d’état de nuire le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi.


http://www.lepoint.fr/societe/neuilly-deux-tetes-de-porc-devant-la-residence-de-l-ambassadeur-du-maroc-31-03-2016-2029134_23.php

Neuilly : deux têtes de porc devant la résidence de l’ambassadeur du Maroc


Les têtes de cochon ont été découvertes par le personnel de sécurité. L’ambassadeur, Chakib Benmoussa, était présent. Une plainte contre X a été déposée.


Source AFP
Publié le 31/03/2016 à 15:11 | Le Point.fr
 
"Nous ne voulons pas donner d'interprétation à ce geste, c'est aux autorités de faire leur enquête", a expliqué l'ambassade (photo d'illustration).
« Nous ne voulons pas donner d’interprétation à ce geste, c’est aux autorités de faire leur enquête », a expliqué l’ambassade (photo d’illustration). © GILE MICHEL/SIPA

Deux têtes de porc ont été découvertes jeudi matin sur la grille de la résidence de l’ambassadeur du Maroc en France, Chakib Benmoussa, située à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine), a-t-on appris de source policière. « Les têtes de cochon ont été découvertes par le personnel de sécurité, jeudi, à 9 heures. L’ambassadeur était présent », a indiqué une source policière, et l’ambassade a précisé avoir déposé une plainte contre X. Les têtes ont été retirées par le personnel dans la matinée, a précisé la source policière. La résidence est située au centre-ville de Neuilly, en lisière du bois de Boulogne, dans la banlieue ouest de Paris.

« Nous ne voulons pas donner d’interprétation à ce geste, c’est aux autorités de faire leur enquête », a expliqué l’ambassade. Anouar Kbibech, président du Conseil français du culte musulman (CFCM) et du Rassemblement des musulmans de France (RMF), fédération de mosquées liée au Maroc, a dénoncé « une ambiance malsaine, où les musulmans font l’objet d’actes de stigmatisation ». « Le fait de s’en prendre à la résidence de l’ambassadeur démontre qu’une étape supplémentaire dans la provocation a été franchie. Cette nouvelle profanation vise la représentation diplomatique d’un pays ami de la France, engagé au même titre dans la prévention de la radicalisation et la lutte contre le terrorisme », a-t-il commenté, en exprimant « son soutien à l’ambassadeur à la suite de cette provocation insupportable ». Plusieurs mosquées ont fait l’objet de profanations à la tête de porc ces dernières années, notamment à Montauban, Besançon, Liévin ou dans la banlieue de Dijon.

mercredi 30 mars 2016

Luradjihad n'a pas encore trouvé tous mes amis



Le plages du Mourillon


Quand j’étais petite, je faisais des châteaux de sable avec les frères Perletto.

On m’appelait « la pitchoune » et tout le monde m’adorait.

Personne ne m’aurait touchée, même les chiens errants me protégeaient.

Mais ceux-là sont toujours mes copains.

Et cette fois, il supprime toutes ses saloperies de son blog de merde, le malade mental de Puy-l’Evêque ?


A lire ou à relire :


http://satanistique.blogspot.fr/2016/03/appel-laide-contre-le-cyberdelinquant.html


Lorsqu’en 2010 ont commencé ses campagnes de calomnies publiques nominatives à mon encontre, je pensais que pour une fois le juge Raymond André du Tribunal de Grande Instance de Brest allait s’empresser de faire le nécessaire pour me satisfaire, vu qu’il n’était dans l’intérêt de personne et surtout pas le sien que mes anciennes connaissances puissent apprendre de manière aussi brutale, désordonnée et incontrôlée ce que j’étais devenue, et pour un grand nombre, notamment mes anciens collègues de travail, constater que j’étais toujours en butte aux mêmes saloperies depuis vingt ans et qu’elles n’avaient cessé d’empirer au fil du temps, en raison de la CORRUPTION de magistrats.

Hélas, il a opté pour l’escalade criminelle.

Depuis 2010, les témoins de mon passé comme des diverses exactions dont je suis toujours victime sont activement recherchés pour être éliminés. Beaucoup sont morts.

Pour les identifier, le psychopathe et cyberdélinquant Pascal Edouard Cyprien Luraghi utilise autant ses publications nominatives me concernant que les piratages informatiques et autres écoutes illégales dont les juges brestois savent bien qu’il use également.

Les faire tous disparaître est le préalable indispensable pour qu’il puisse ensuite très tranquillement publier sa version de ma « biographie », presque entièrement fausse, outrageuse pour bien du monde.

Pour enrayer l’hécatombe, il faut d’abord que tout le monde soit prévenu. Se font toujours avoir les premiers ou le plus facilement ceux qui ne le sont pas ou ne se méfient pas. Les « déconnologues » eux-mêmes devraient savoir qu’ils seront eux-mêmes visés après avoir servi, comme bien d’autres avant eux.

mardi 29 mars 2016

Les "déconnologues" n'aiment pas Maître Eolas


Probablement, comme bien d’autres, a-t-il refusé de les suivre en leurs délires hallucinants contre la femme ingénieur que je suis.


http://rue89.nouvelobs.com/2016/03/29/florence-hartmann-dela-lindignation-263589

Florence Hartmann, au-delà de l’indignation

 
Par Daniel Schneidermann Arrêt sur images. Publié le 29/03/2016 à 10h06
11 254 visites 45 réactions   2


Commentaires postés

Publié le 29/03/2016 à 11h32
Les
Akira Kurosawa
sexy sushi
L’indignation journalistique unanime ? Et où on peut savoir ? On lit plus des Eolas tirer sur l’ambulance que des confrères défendre Hartmann. Mais ça fait plaisir aux commentateurs qui peuvent se masturber à propos du corporatisme des journaleux, qui est surtout le fait de ceux qui sont aux ordres.
1 réponse
Publié le 29/03/2016 à 12h00
hilsenrath1 dans Folie
Itzig Finkelstein
génocidé
répond à Akira Kurosawa
Quand Eolas fait mousser son ego, sa cour de notabliaux se trémousse.
1 réponse
Publié le 29/03/2016 à 12h27
cthulhu_tatto_version_by_mesalia-d5ge5lv dans LCR - NPA
Akira Kurosawa
sexy sushi
répond à Itzig Finkelstein
Eolasienne, ça brasse beaucoup d’air.
1 réponse
Publié le 29/03/2016 à 12h29
hilsenrath1 dans Luraghi
Itzig Finkelstein
génocidé
répond à Akira Kurosawa
Quand Eolas va à contre courant, par ici les clients.

Locky et Dridex en forme après le week-end pascal


Certains professionnels s’y attendaient :


http://www.infodsi.com/articles/162032/rancongiciel-locky-botnet-dridex-respecteront-treve-paques.html

Le rançongiciel Locky et le botnet Dridex respecteront-ils la trêve de Pâques ?


samedi 26 mars 2016

Le rançonlogiciel Locky devrait ralentir sa distribution d’e-mail d’hameçonnage pendant le weekend de Pâques. Il pourrait en effet bien se voir poser un lapin – mais rien à voir avec la chasse aux œufs !

Les analystes spécialistes des logiciels malveillants d’Avira pensent que le botnet disséminant le rançongiciel Locky pourrait bien en effet marquer une pause et ne pas envoyer d’e-mails d’hameçonnage en Europe le lundi de Pâques, jour férié qui tombe ce 28 mars.

Si cela se produit, l’étendue du ralentissement observé témoignera de la capacité des opérateurs du botnet à ajuster le rayonnement de leurs actions en fonction des jours fériés régionaux. Le lundi 28 mars sera férié dans la plupart des pays européens et donc chômé par la quasi-totalité des entreprises et administrations. Ce n’est cependant pas un jour férié aux États-Unis.

La stratégie opérationnelle du rançongiciel Locky consiste à déployer de nouveaux vecteurs d’attaque et de nouvelles variantes au début de chaque semaine. De cette manière, les e-mails d’hameçonnage gagnent les entreprises au retour du week-end, lorsque les employés tentent d’écumer rapidement leurs e-mails et avant que les informations relatives aux dernières attaques ne soient divulguées par les médias. Ainsi, l’analyse des tentatives d’hameçonnage interceptées pour la semaine du 7 mars met en évidence le point de départ d’une vague de distribution de Locky le lundi 7 précisément.

« Nous nous attendons à un nombre réduit de tentatives d’hameçonnage par Locky ce lundi, avec une forte hausse dès le lendemain, mardi 29. L’écart observé nous permettra de déterminer précisément la capacité du botnet à adapter sa stratégie de propagation », précise Oscar Anduiza, analyste en logiciel malveillant chez Avira. « Mais même si la propagation ralentit, nous ne nous attendons pas à ce que les ténors du logiciel malveillant prennent congé le week-end – nous devrions découvrir leurs nouvelles tromperies 24 heures plus tard, le mardi. Quoi qu’il en soit, Avira reste sur le pied de guerre. Et les utilisateurs doivent se garder de cliquer sur des e-mails étranges juste parce qu’ils sont en week-end. »

Le rançongiciel Locky a fait irruption au début de l’année. Il a généralement ciblé des entreprises et organisations, envoyant des e-mails imitant des factures d’entreprises légitimes, la plupart du temps à grand renfort d’informations bien renseignées. Après ouverture de cette pièce jointe, les fichiers personnels de l’ordinateur cible sont chiffrés et leurs extensions changées en « locky ». La rançon exigée pour le déchiffrement des fichiers s’est jusqu’à présent élevée de 0,5 bitcoins (175 euros) à 15 000 euros pour un hôpital aux États-Unis.

Locky est distribué par le biais du botnet Dridex. Bien que ce dernier ait jusqu’alors principalement été mis en cause dans la distribution de chevaux de Troie bancaires, il semble désormais cibler le secteur plus lucratif des rançongiciels.

Luraghihad s'excitait déjà sur des factures en juillet 2015

Je l’avais oubliée, celle-là.

En fait, le cyberdélinquant Pascal Edouard Cyprien Luraghi s’est toujours montré obsédé par mes factures depuis juin 2010, mais tout particulièrement celles qui selon lui garantissent ma liberté d’expression depuis que je dois faire appel à des avocats pour me défendre contre toutes ses agressions, internétiques et autres.


Reçu le 21 juillet 2015 à 13h40 le message suivant :


« Bonjour,
Suite à votre fax, vous trouverez ci-joint le duplicata de notre facture,
Cordialement,
Ken Lee
SAS PACHA »


Adresse e-mail d’envoi :

KenLeekzz@survival.fi


Adresses IP d’envoi :

154.121.251.254

Es wurde leider kein passender Ort gefunden.

Et :

IP-Adresse:
213.140.59.3
Provider:
Telefonica International Wholesale Services, SL
Organisation:
DJAWEB





Pays : Algérie


Extraits du code source :

X-Originating-IP: [154.121.251.254]

X-QQ-SSF: 00000000000000F0
X-QQ-WAPMAIL: 1
X-QQ-BUSINESS-ORIGIN: 2
X-Originating-IP: 213.140.59.3
X-QQ-STYLE:
X-QQ-mid: riamail09760163741896274128
From: "Ken Lee" <KenLeekzz@survival.fi>

Subject: Duplicata facture N330843/056936
Mime-Version: 1.0
Content-Type: multipart/mixed;
 boundary="----=_NextPart_E447E3E2_B6AD7E68_A340D617"
Content-Transfer-Encoding: 8Bit
Date: Tue, 21 Jul 2015 13:40:22 +0200

Encore une saleté à pièce jointe infectée en provenance de Turquie


Je l’ai reçue aujourd’hui à 11h01.

Adresse e-mail d’envoi :

fathwaiteShane6450@ttnet.com.tr


Adresse IP d’envoi :

IP-Adresse:
95.9.65.189
Provider:
Turk Telekom





Extraits du source :

X-Originating-IP: [95.9.65.189]

Date: Tue, 29 Mar 2016 12:01:01 +0300
Subject: Credit Card Has Been Declined *2918


Message :

Your credit card has been declined, cancellation notice is enclosed down below.

Nos amis russes ont du flair

En voilà un qui a visé juste :


Nos amis russes ont du flair dans AC ! Brest magnifier Tomgate Llc
Russian Federation FlagTomsk, Russian Federation



https://www.google.fr/ (Keywords Unavailable)
29 Mar 06:12:44


https://fr.wikipedia.org/wiki/Tomsk

Tomsk

45px-Flag-map_of_Russia.svg dans Calomnie
Cet article est une ébauche concernant une ville russe.
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Tomsk
Томск
Blason de Tomsk
Héraldique
Drapeau de Tomsk
Drapeau
Image illustrative de l'article Tomsk
Administration
Pays Drapeau de la Russie Russie
Région économique Sibérie de l’Ouest
District fédéral Sibérien
Sujet fédéral TomskOblastFlag.png Oblast de Tomsk
Maire Ivan Klein
Code postal 634000 — 634069
Code OKATO 69 401
Indicatif (+7) 3822
Démographie
Population 547 989 hab. (2013)
Densité 1 860 hab./km2
Géographie
Coordonnées 18px-Geographylogo.svg dans Corruption56° 30′ Nord 84° 58′ Est
Superficie 29 460 ha = 294,6 km2
Fuseau horaire UTC+07:00 (KRAT)
Heure de Krasnoïarsk
Divers
Fondation 1604
Statut Ville depuis 1782
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Russie
Voir la carte topographique de Russie
City locator 14.svg
Tomsk
Liens
Site web www2.admin.tomsk.ru
Sources
Liste des villes de Russie

modifier Consultez la documentation du modèle
220px-TomskCoin dans Crime
Trois roubles Tomsk en argent de 2004.
Tomsk (en russe : Томск, en altaï : Tom-Tura) est une ville de Russie, en Sibérie occidentale, et le centre administratif de l’oblast de Tomsk. Sa population s’élevait à 547 989 habitants en 2013.

Sommaire

Géographie

Tomsk est située sur la rive droite de la rivière Tom, à 2 880 km à l’est de Moscou, à 163 km au nord-ouest de Kemerovo et à 223 km au nord-est de Novossibirsk.

Histoire

Aux XIVe et XVe siècles, la Sibérie était peuplée de différentes tribus. Sur ce territoire vivaient les Selcoups, les Kets, les Tatars. Ces peuples étaient souvent attaqués par des tribus nomades. En 1603, le prince Toïan s’est alors adressé au tsar pour solliciter son aide.
Le tsar Boris Godounov ordonna la construction d’une forteresse pour protéger la colonie russe contre les attaques des nomades. En 1604, une colline située sur la rive droite du Tom, à l’embouchure de l’Ouchaïka, fut choisie pour implanter la forteresse. Sa construction s’acheva le 27 septembre 1604. Cette date est depuis lors considérée comme celle de la fondation de la ville.
Tomsk fut d’abord peuplée par les militaires. Vers la fin du XVIIe siècle, Tomsk cessa de jouer un rôle stratégique et militaire.
Au XVIIe siècle, la grande route de Sibérie, reliant la Chine à Moscou, qui passait par Tomsk, a contribué au développement commercial de la ville. Elle devient au XIXe siècle la capitale du gouvernement de Tomsk.
La ville abrite aujourd’hui un site de traitement du combustible nucléaire usé et de stockage de déchets radioactifs1 qui relève de la firme Tenex.

Population

Recensements (*) ou estimations de la population2
Évolution démographique
1646 1745 1801 1825 1866 1897*
1 045 5 762 7 125 10 867 22 753 52 210
Évolution démographique, suite (1)
1911 1926* 1939* 1959* 1970* 1979*
111 417 92 485 145 060 248 823 338 389 420 730
Évolution démographique, suite (2)
1989* 2002* 2006 2010* 2012 2013
501 963 487 838 489 879 524 669 539 205 547 989

Éducation

 dans Folie
Façade du bâtiment principal de l’université d’État de Tomsk
Tomsk est la première ville universitaire de Sibérie pour le nombre d’étudiants par rapport à la population (83 600 étudiants pour 500 000 habitants). En 1888 a été ouverte à Tomsk la première université russe à l’est de l’Oural. Aujourd’hui la ville compte sept universités :
  • L’Université d’État de Tomsk, première université en Sibérie, fondée en 1888.
  • L’Université polytechnique de Tomsk, ouverte en 1900.
  • L’Université d’État de médecine de Tomsk, une des écoles de médecine les plus anciennes et les plus cotées de Russie.
  • L’Université d’État de pédagogie de Tomsk.
  • L’Université d’État d’architecture et de construction de Tomsk.
  • L’Université d’État des systèmes de commande et de radioélectronique.
  • L’Institut de droit et d’économie de Tomsk.

Patrimoine

220px-%D0%A1%D0%A4%D0%A2%D0%98 dans LCR - NPA
Ancien palais du gouverneur, aujourd’hui institut physico-technique de Sibérie

Architecture civile

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Architecture sacrée

Personnalités

Voir la catégorie : Naissance à Tomsk.

Maire

  • Ivan Klein, maire de Tomsk depuis le 17 oct. 2013 (Russie unie)

Climat

Le climat de Tomsk est continental. En hiver il y règne un froid sibérien avec des températures minimales pouvant descendre en dessous de −40 °C, voire −50 °C. L’été (période durant laquelle la température journalière est > +15 °C) ne dure que trois mois. La neige recouvre le sol en moyenne 180 jours par an de la fin octobre à début avril. La hauteur de neige est en moyenne de 57 cm à la fin de l’hiver mais peut atteindre 125 cm.
  • Température record la plus froide : −55,0 °C (janvier 1931)
  • Température record la plus chaude : 35,1 °C (juillet 1975)
  • Nombre moyen de jours avec de la neige dans l’année : 132
  • Nombre moyen de jours de pluie dans l’année : 98
  • Nombre moyen de jours avec de l’orage dans l’année : 24
  • Nombre moyen de jours avec du blizzard dans l’année : 26
Relevé météorologique de Tomsk
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −21,5 −20,4 −13,5 −3,7 3,7 9,7 13 10,5 4,5 −2 −12,3 −18,9 −4,2
Température moyenne (°C) −17,3 −15,6 −8 1,3 9,5 15,7 18,7 15,4 8,9 1,2 −8,7 −14,8 0,5
Température maximale moyenne (°C) −12,8 −10,3 −1,8 7,2 16,2 21,9 24,4 21,1 14,4 5,8 −4,7 −10,3 5,9
Record de froid (°C) −55 −51,3 −42,4 −31,1 −17,5 −3,5 1,5 −1,6 −8,1 −29,1 −48,3 −50 −55
Record de chaleur (°C) 3,7 7,1 13,7 26,5 34,4 34,7 35,1 33,8 30,3 25,1 11,6 6,5 35,1
Précipitations (mm) 36 23 22 31 45 61 69 68 49 54 53 43 554
Source : Le climat à Tomsk (en °C et mm, moyennes mensuelles et records)Pogoda.ru.net

Transports

Tomsk est reliée au chemin de fer Transsibérien par une voie secondaire à partir de la gare de Taïga (79 km de Tomsk). Quant à la desserte routière, la ville forme le terminus de la bretelle nord de la route fédérale M53 reliant Novossibirsk à Irkoutsk.

Sports

Le FC Tom Tomsk est le meilleur club de football de la ville. Il joue en première ligue russe.

Santé

Plusieurs cas de grippe aviaire à virus H5N1 hautement pathogène chez des oiseaux y ont été signalés, dont deux foyers en 2006, dont l’un chez des pigeons, selon l’OIE (rapport du 4 août 2006).

Espaces verts

Notes et références

Voir aussi

Liens externes

Sur les autres projets Wikimedia :
  • Tomsk, sur Wikimedia Commons

lundi 28 mars 2016

Les "déconnologues" n'aiment pas mes références





On s’en doutait, c’est confirmé :


http://rue89.nouvelobs.com/2016/03/28/loitravail-peuvent-les-mobilisations-ligne-263563

#LoiTravail : que peuvent les mobilisations en ligne ?


Par Romain Badouard, chercheur. Publié le 28/03/2016 à 13h21
1 047 visites 12 réactions

Commentaires postés

Publié le 28/03/2016 à 16h29
Les
zebao
Les oreilles ont des murs.
Si sur le net les manifs font sourdine, le bruit des bottes devient assourdissant.
1 réponse
Publié le 28/03/2016 à 18h00
hilsenrath1 dans Crime
Itzig Finkelstein
génocidé
répond à zebao
Ah ben c’est la liberté d’expression de la haine garantie sur facture, le Net.
1 réponse
Publié le 28/03/2016 à 19h10
loterie dans Folie
zebao
Les oreilles ont des murs.
répond à Itzig Finkelstein
Faut creuser profond pour y trouver de la poésie..
(Et merci à Pas Tripette d’exister).
Publié le 28/03/2016 à 19h14
hilsenrath1 dans LCR - NPA
Itzig Finkelstein
génocidé
répond à zebao
La poésie des bottes frappant le sol au pas de l’oie existe pourtant : c’est de l’art généré.
1 réponse
Publié le 28/03/2016 à 21h31
loterie dans Luraghi
zebao
Les oreilles ont des murs.
répond à Itzig Finkelstein
Généré pas dit mieux.
1 réponse
Publié le 28/03/2016 à 21h33
hilsenrath1 dans NEMROD34
Itzig Finkelstein
génocidé
répond à zebao
En Algérie jusqu’en 62, il appelaient ça de l’art génènéré.

Le roi du clic fait la révolution : encore 72 morts, dont 29 enfants

Aujourd’hui sur le site Rue89 :

http://rue89.nouvelobs.com/2016/03/28/loitravail-peuvent-les-mobilisations-ligne-263563

#LoiTravail : que peuvent les mobilisations en ligne ?

 
Par Romain Badouard, chercheur. Publié le 28/03/2016 à 13h21
1 047 visites 12 réactions

Commentaires postés
 
commentaires par page
 
Publié le 28/03/2016 à 13h28
 
Publié le 28/03/2016 à 14h30
hilsenrath1 dans Folie
Itzig Finkelstein
génocidé
répond à inspecteur crouton
clic


Et sur l’Obs :

http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20160328.OBS7247/pakistan-ce-que-l-on-sait-de-jamaat-ul-ahrar-qui-revendique-l-abominable-attentat-de-lahore.html

Pakistan : ce que l’on sait de Jamaat-ul-Ahrar, qui revendique l’abominable attentat de Lahore


Pakistan : ce que l'on sait de Jamaat-ul-Ahrar, qui revendique l'abominable attentat de Lahore
A Lahore lundi matin (ARIF ALI)

Ce groupe taliban historiquement proche d’al-Qaeda se dit fier d’avoir tué plus de 72 personnes dont 29 enfants, dans un parc public.



Une énorme explosion, 72 morts dont une trentaine d’enfants, plus de 300 blessés… L’attentat-suicide commis près d’une aire de jeux pour enfants, à l’entrée d’un parc municipal bondé, dimanche soir, à Lahore, à l’est du Pakistan, est l’un des pires de ces dernières années. Il visait des chrétiens, en ce jour de Pâques, mais la majorité des victimes sont musulmanes : principalement des femmes et des enfants venu pique-niquer dans le parc, près des balançoires et des auto-tamponneuses.

Le mouvement a été revendiqué par Jamaat-ul-Ahrar, groupe issu du mouvement des Taliban du Pakistan. « La cible était les chrétiens », a indiqué son porte-parole Ehsanullah Ehsan, précisant qu’il s’agissait « d’envoyer le message au premier ministre Nawaz Sharif que nous sommes entrés dans Lahore », capitale de la région du Penjab et fief dudit premier ministre. Le porte-parole a exprimé un regret étonnant compte tenu du choix de la cible : « Nous ne voulions pas tuer des femmes et des enfants, mais des membres mâles de la communauté chrétienne ».

1. D’où vient Jamaat-ul-Ahrar ?


Jamaat-ul-Ahrar est né des tensions au sein du Mouvement des Taliban du Pakistan : en août 2014, plusieurs dirigeants ont décidé de prendre leurs distances avec ce mouvement qui multiplie les attentats au Pakistan depuis 2007. Ces tensions s’inscrivaient dans le contexte d’une guerre de succession au sein du mouvement, après la mort de son chef Hakimullah Mehsud, tué par un drone américain en 2013.

Le puissant Omar Khalid Khorasani, ancien journaliste, chef des tribus de la région de Mohmand, proche du chef d’Al Qaeda Ayman al Zawahiri (il lui aurait donné asile par le passé), était candidat au poste de commandant suprême. Mais c’est le maulana (« maître ») Fazlullah, né Fazal Hayat, qui a hérité du poste.

Omar Khalid Khorasani a alors pris la tête de la ligne dure du mouvement, fomentant des complots contre Fazlullah. On le soupçonne même d’avoir organisé en février 2014 un attentat à Islamabad pour faire dérailler des discussions entre les talibans et le gouvernement.  Il a fondé en août Jamaat-ul-Ahrar, qui signifie « Congrégation des hommes libres ».

Fazlullah a officiellement exclu Omar Khalid Khorasani en septembre 2014. Ce dernier a entrainé avec lui, dans Jamaat-ul-Ahrar, plusieurs représentants de territoires du nord-est du Pakistan (Mohmand, Bajaur, Khyber, Arakzai) et des militants de villes de la région, Peshawar, Charsadda ou Swat. Dans une vidéo, il a expliqué que le MTP était devenu trop « indiscipliné » et que sa gouvernance chaotique le conduisait les Taliban au désastre.

Omar Khalid Khorasani a confié la direction opérationnelle de son bras droit Qasim Khorasani.  Le nouveau groupe a multiplié les attaques suicides contre divers objectifs. Puis certaines sources ont annoncé que Jamaat-ul-Ahrar, déçu par le faible soutien apporté par Al Qaeda, avait fait allégeance à l’Etat islamique, information qui n’a pas été confirmée.

Finalement, en mars 2015, le porte parole Ehsanullah Ehsana a annoncé que Jamaat-ul-Ahrar était revenu dans le giron du Mouvement des Taliban.

2. Qui dirige aujourd’hui ce mouvement ?


Il est assez difficile d’y voir clair dans la gouvernance de Jamaat-ul-Ahrar. Quelques jours après l’annonce de son retour au sein des Taliban, en mars 2015, son porte parole a indiqué que Omar Khalid Khorasani et Qasim Khorasani avaient quitté volontairement la Choura (conseil exécutif) du groupe. Il a présenté ces départs comme des renouvellements de routine, conformes aux statuts. Visiblement cependant, des tiraillements ont eu lieu et des rumeurs ont même donné les deux hommes pour morts.

Le nouveau chef s’appelle Asad Afridi. Il dirigeait précédemment le sous-groupe représentant la région de Khyber. Il était, avant la scission, membre du conseil central du MPT.

3. Quel est l’objectif poursuivi par Jamaat-ul-Ahrar ?


L’objectif de Jamaat-ul-Ahrar est exactement le même que celui du mouvement souche : renverser le gouvernement pakistanais, imposer un état islamique, reprendre le contrôle de l’arme nucléaire et poursuivre le djihad au niveau mondial, juqu’à ce que le Califat règne en tout lieu…

Ce n’est pas la première fois que le groupe frappe les chrétiens de Lahore : l’année dernière, à Pâques, ils avaient attaqué deux églises catholiques, faisant 20 morts. Dans l’ensemble du pays, les chrétiens représentent seulement 2% de la population, composée principalement de musulmans sunnites.

Lahore est une cible privilégiée des Taliban : c’est une des villes les moins conservatrices et les plus riches du pays. Certains commentateurs ont relié les attentats au débat portant sur un projet de loi sur l’égalité hommes-femmes.  Une trentaine de groupes religieux, hostiles au projet, avaient en effet donné au gouvernement régional jusqu’au 27 avril pour le retirer…

Pascal Riché

Pascal Riché

Journaliste

Attentat de Karachi : dernières nouvelles de l'enquête le 13 novembre 2015





http://www.lemonde.fr/police-justice/article/2015/11/13/attentat-de-karachi-le-temoignage-qui-revele-les-dissimulations-de-la-dst_4808707_1653578.html

Attentat de Karachi : le témoignage qui révèle les mensonges de la DST


Le Monde.fr | 13.11.2015 à 06h52 • Mis à jour le 13.11.2015 à 13h10 | Par Soren Seelow

Sur les lieux de l'attentat de Karachi, le 8 mai 2002.

Personne ne connaît son nom. Dans le dossier d’instruction de l’attentat de Karachi, qui a fait quinze morts dont onze employés français de la Direction des constructions navales (DCN) le 8 mai 2002 au Pakistan, il apparaît sous son seul alias : « Verger ». Verger est un ancien agent de la Direction de surveillance du territoire (DST), l’ancêtre de la DGSI. Il n’avait encore jamais été entendu par la justice. C’est désormais chose faite. A la faveur d’un tour de passe-passe inédit, les magistrats instructeurs sont parvenus à contourner le secret-défense qui leur est opposé depuis le début de cette enquête.


DEPUIS 2009, LE JUGE MARC TRÉVIDIC CHERCHE À SAVOIR SI LE MOBILE POLITICO-FINANCIER A ÉTÉ VOLONTAIREMENT ÉTOUFFÉ AU PROFIT DE LA PISTE ISLAMISTE

Le témoignage de Verger, que Le Monde a pu consulter, a été déclassifié par le ministre de l’intérieur, Bernard Cazeneuve, le 23 octobre. Il vient confirmer des informations longtemps tues par les responsables des services de renseignement : la DST, chargée en 2002 de l’enquête sur l’attentat, avait bel et bien travaillé dès les années 1990 sur un certain Ali Ben Moussalem, aujourd’hui considéré comme un personnage clé de l’affaire.

Depuis 2009, le juge Marc Trévidic – chargé de l’enquête jusqu’à son départ du pôle antiterroriste en août 2015 – cherche à savoir si la DST a enquêté sur cet homme et le lui a caché. En d’autres termes si le mobile politico-financier a été volontairement étouffé au profit de la piste islamiste. Les anciens responsables des services qu’il a auditionnés sur ce sujet se sont systématiquement retranchés derrière le secret-défense. Et ses innombrables requêtes en déclassification concernant Ali Ben Moussalem se sont jusqu’ici heurtées à la même réponse : la DGSI, qui a succédé à la DST, ne retrouve aucune trace de ce travail dans ses armoires.

Ce cheikh saoudien était à la tête d’un réseau d’intermédiaires – dont faisait partie Ziad Takieddine – imposé par le gouvernement Balladur dans plusieurs marchés d’armement en 1994 : la vente des sous-marins français Agosta au Pakistan et des frégates Sawari II à l’Arabie saoudite. Il est le pivot de la thèse selon laquelle l’attentat serait une mesure de rétorsion après l’interruption des commissions prévues par ces contrats. Quelques mois après son accession à la présidence de la République en 1995, Jacques Chirac avait décidé de mettre fin aux versements, qu’il soupçonnait d’avoir financé la campagne de l’ancien premier ministre devenu son rival dans la course à l’Elysée.

Ali Ben Moussalem – qui est mort en 2004 – est considéré comme la principale victime de cette décision, avec un préjudice estimé à 120 millions d’euros. Ses connexions avec les services secrets pakistanais et la mouvance terroriste en font, pour les tenants de la thèse politico-financière, un suspect potentiel.

Lire aussi   Attentat de Karachi : comment Bernard Cazeneuve a permis de contourner le secret-défense 

« Merci pour la France, elle vous le rendra »


Le témoignage de Verger ne suffit pas à étayer le mobile financier de l’attentat. Il confirme en revanche que le renseignement intérieur a bien observé des transactions entre Ben Moussalem et des membres du gouvernement Balladur dans les années 90. La scène qu’il relate a été immortalisée par des « sous-marins » de la DST, des véhicules placés devant la boutique Arije – qui occupait le rez-de-chaussée de la permanence de campagne de Balladur à Paris – en face de l’hôtel Prince de Galles, propriété de Ben Moussalem :
« En 1994-1995, je me suis intéressé aux activités de cheikh Ali Ben Moussalem et de son bras droit, Ziad Takieddine. Gérard Willing [le correspondant de la DST dont Verger était l’officier traitant] m’avait indiqué que la boutique Arije était une plaque tournante de trafics en tout genre et d’armes en particulier. La DST a placé cette boutique sous surveillance. A notre grande surprise, la campagne électorale étant lancée, nous avons observé que des membres du parti républicain de François Léotard [ministre de la défense du gouvernement Balladur] se rendaient dans l’immeuble abritant Arije. (…) Donnedieu de Vabres [chargé de mission auprès de François Léotard] aurait rencontré Ben Moussalem à l’hôtel Prince de Galles. Ce dernier lui aurait remis deux valises, pleines, selon Gérard Willing, d’argent. Donnedieu de Vabres aurait alors remercié Ben Moussalem en lui disant : Merci pour la France, elle vous le rendra. »
Aucune trace de cette surveillance n’a été retrouvée dans les archives de la DGSI. Ce témoignage tend ainsi à confirmer les soupçons des parties civiles, convaincues depuis des années que l’appareil d’Etat leur cache la vérité. « Soit la DGSI ment à la justice et à son ministre de tutelle, soit les souvenirs de cet épisode peu reluisant de la rivalité entre Chirac et Balladur ont été détruits », explique Me Marie Dosé, avocate de plusieurs parties civiles.

Durant les sept premières années de l’instruction, une seule piste a été creusée par la DST : celle d’un attentat perpétré par la nébuleuse Al-Qaida. Il faudra attendre 2008 – et la divulgation par la presse d’un rapport confidentiel commandé par la DCN dès septembre 2002, le rapport « Nautilus » – pour que la piste d’une vengeance liée à l’arrêt des commissions s’impose comme une alternative.

Lire aussi : Affaire de Karachi : si vous avez raté un épisode

Pendant six ans, le juge Marc Trévidic se heurtera au secret-défense opposé par les témoins qu’il auditionne. Faisant suite à de multiples demandes d’actes déposées par Me Dosé, il requiert en 2012, 2013 et 2014 la déclassification des notes de la DST sur Ben Moussalem. Il n’obtiendra qu’un seul document : l’analyse d’un article du quotidien suisse Le Temps, copieusement caviardée et ne présentant aucun intérêt pour l’enquête.

Les déclarations de Verger confirment – pour partie – celles du seul acteur de ce dossier à s’être montré prolixe sur le travail réalisé par la DST durant cette période : Gérard Willing. Cet « honorable correspondant » de la DST a affirmé dans le bureau du juge, le 28 janvier 2013, avoir enquêté sur Ben Moussalem dès 1994 et en avoir rendu compte à Verger, son officier traitant. Il précisait encore avoir transmis une note étayant la piste politico-financière cinq jours après l’attentat.

« Non – Non plus – Non plus – Non »


Son témoignage a depuis été régulièrement contesté – voire discrédité – par plusieurs anciens responsables de la DST. Aucune trace de son travail n’a jamais été retrouvée. Afin de vérifier ses assertions, le juge Trévidic a envoyé le 6 mai des questionnaires à remettre à cinq témoins qu’il n’avait pu entendre ou qui s’étaient retranchés derrière le secret-défense. Les réponses à ces formulaires ont été envoyées directement au ministre de l’intérieur – sans passer par le cabinet du juge – afin que le secret-défense ne puisse lui être opposé. A charge ensuite pour le ministre de les classifier, pour les déclassifier dans la foulée, ce qui est chose faite depuis le 23 octobre.

Les destinataires de ces questionnaires étaient : Jean-Louis Gergorin (ancien directeur de la stratégie du groupe Matra), Raymond Nart (ancien directeur adjoint de la DST), Eric Bellemin-Comte (ancien chef du service de la DST chargé des contacts avec Gérard Willing), Jean-Jacques Pascal (ancien directeur de la DST) et le fameux Verger. Le seul à avoir fait état dans ses réponses d’un travail sur Ben Moussalem est celui dont l’identité demeure à ce jour un mystère. Interrogé sur l’existence de cet agent, l’ancien directeur adjoint de la DST, Raymond Nart, affirme pourtant que l’alias « Verger » ne lui évoque « aucun souvenir ».

Eric Bellemin-Comte – aujourd’hui conseiller auprès du coordinateur national du renseignement à l’Elysée – continue lui aussi d’assurer que, « de mémoire », aucun travail n’a été effectué sur Ben Moussalem par son service. Quant à Jean-Jacques Pascal, ses réponses sont une succession de variations lapidaires sur le thème de la négation :
« J’ignore tout de Monsieur Gérard Willing – Non – Non plus – Non plus – Non – J’en ignore tout – Je ne connais pas le Cheikh Ali Ben Moussalem – Rien – Non. »
Treize ans après les faits, cet ancien patron de la DST continue de se dire convaincu, « à tort ou à raison », que l’attentat est le fait de « la mouvance taliban ».


http://tempsreel.nouvelobs.com/justice/20151113.OBS9364/attentat-de-karachi-les-secrets-de-la-dst-se-devoilent.html

Attentat de Karachi : les secrets de la DST se dévoilent


Attentat de Karachi : les secrets de la DST se d&eacute;voilent
Cérémonie en hommage aux victimes de l’attentat de Karachi perpétré en 2002, en présence de Bernard Cazeneuve, le 8 mai 2015, à Cherbourg. ((AFP PHOTO/CHARLY TRIBALLEAU))

Selon un ex-agent de la DST, le contre-espionnage a bien enquêté sur un certain Ali Ben Moussalem après l’attentat de Karachi.




En 2002, l’attentat de Karachi tuait 15 personnes, dont 11 ouvriers français de la Direction des constructions navales. Une des thèses est celle de la piste islamiste, mais une autre étudie le mobile politico-financier. A savoir une attaque ourdie en représailles à une décision de mettre un terme au versement des commissions, prise par Jacques Chirac, adversaire politique d’Edouard Balladur.

Or, parmi les témoignages d’ex-agents de la direction de la Surveillance du territoire (DST) qui viennent d’être déclassifiés, l’un fournit des éléments susceptibles de corroborer cette dernière thèse, indique « Le Monde », vendredi 13 novembre.

Le témoignage d’un certain « Verger », que le quotidien a pu consulter, « vient confirmer des informations longtemps tues par les responsables des services de renseignement : la DST, chargée en 2002 de l’enquête sur l’attentat, avait bel et bien travaillé dès les années 1990 sur un certain Ali Ben Moussalem, aujourd’hui considéré comme un personnage clé de l’affaire. »

Ben Moussalem, un cheick saoudien à la tête d’un réseau d’intermédiaires


Qui est cet Ali Ben Moussalem ? « Le Monde » le présente comme un « cheikh saoudien [...] à la tête d’un réseau d’intermédiaires - dont faisait partie Ziad Takieddine. « Ses connexions avec les services secrets pakistanais et la mouvance terroriste en font, pour les tenants de la thèse politico-financière, un suspect potentiel », selon le journal qui précise que Ben Moussalem est mort en 2004.

En planque devant la boutique Arije à Paris, « Verdier » assure avoir « observé que des membres du parti républicain de François Léotard [ministre de la défense du gouvernement Balladur] se rendaient dans l’immeuble ».

Citant son supérieur, Gérard Willing, « Verdier » évoque même la remise de valises pleines par Ben Moussalem à Donnedieu de Vabres [alors chargé de mission auprès de François Léotard].
Donnedieu de Vabres aurait alors remercié Ben Moussalem en lui disant : « Merci pour la France, elle vous le rendra », déclare Verdier, comme le rapporte  »Le Monde ».
« Verger » n’est pas le vrai nom de l’agent, mais son alias, précise « Le Monde », qui rappelle les difficultés rencontrées par le juge Marc Trévidic - chargé de l’enquête jusqu’à son départ du pôle antiterroriste en août 2015 - pour que soient déclassifiés les souvenirs d’anciens agents de l’ex-Direction de la surveillance du territoire.

E.H. (avec AFP)
L'Obs

L’Obs

Journaliste


Nota : Verdier est en vérité le nom de la juge excessivement haineuse du Tribunal de Grande Instance de Brest qui entre 2012 et 2014 a catégoriquement refusé de m’entendre sur tout un tas de choses et sérieusement indigné mon avocate en raison de la manière tout à fait scandaleuse dont elle m’a traitée…


http://www.franceinter.fr/emission-affaires-sensibles-attentat-de-karachi-un-mensonge-detat

visuel Affaires sensibles

l’émission du lundi 14 mars 2016

Attentat de Karachi : un mensonge d’état ?


lire(ré)écouter cette émission disponible jusqu’au 08/12/2018 15h00

Aujourd’hui dans Affaires Sensibles, retour sur l’un des dossiers les plus épineux de la Ve République, et non encore élucidé : l’attentat de Karachi, surveni le 8 mai 2002. Ce dossier fait encore peser de lourds soupçons sur certains de nos responsables politiques.

Attentat de Karachi : dernières nouvelles de l'enquête le 13 novembre 2015 dans Corruption mea-affaires
Hommage national au 11 victimes de l’attentat de Karachi © Sipa – 2016

Ouvrir le « dossier  Karachi », c’est « tenter de se glisser dans les failles d’un immense mur du silence ». Ou par analogie encore, c’est essayer d’ouvrir un coffre-fort enfoui dans les sous-sols de l’État. Cette affaire, c’est aussi un immense puzzle politique, diplomatique, industriel, militaire et financier… Un puzzle dont les pièces ont été disséminées aux quatre coins du globe, dispersées dans plusieurs dossiers judiciaires, mises à l’abri dans des coffres blindés ou encore sous la tutelle du secret défense, un cadenas dont beaucoup de journalistes et enquêteurs essaient toujours de trouver la combinaison.

Ici, dans les arcanes de la République, la morale et la vertu cèdent la place à l’opacité et au secret.

Ce qu’on  a compris, malgré tout, c’est qu’il y a deux affaires dans l’Affaire : chacune avec ses propres questions mais avec le sentiment que toutes les deux sont liées.

Pour en parler, nous avons invité le journaliste de Médiapart, Fabrice Arfi. Il est l’auteur, avec Fabrice Lhomme, du livre Le sens des affaires, et d’un documentaire sur l’histoire de l’attentat de Karachi intitulé L’argent, le sang et la démocratie édité en 2013.

invité(s)

fabrice%20arfi dans Crime

Fabrice Arfi

Journaliste à Mediapart

programmation musicale

Lament

Nusrat Fateh Ali Khan et Michael Brook

Lament
label : Gold Circle
parution : 1995
Idir-Pourquoi_cette_pluie_3 dans Folie

Idir

Pourquoi cette pluie ?
label : Saint George
parution : 2002
eminem dans LCR - NPA

Eminem

Lose yourself
label : Aftermath
parution : 2005

bibliographie

Le sens des affaires- Voyage au bout de la corruption

Le sens des affaires- Voyage au bout de la corruption

de Fabrice Arfi
éditeur : Editions Calmann-Lévy
parution : 2014
Le contrat : Karachi, l'affaire que Sarkozy voudrait oublier

Le contrat : Karachi, l’affaire que Sarkozy voudrait oublier

de Fabrice Arfi et Fabrice Lhomme
éditeur : Stock
parution : 2010

dvd

L’argent, le sang et la démocratie

Il y a vingt ans, le gang de Roubaix...

A l’initiative de l’AFP, plusieurs journaux rappellent aujourd’hui l’épopée du gang de Roubaix en 1996 et la coolitude particulière à son égard du ministre de l’Intérieur de l’époque, Jean-Louis Debré, dont je n’oublie pas les « voeux chaleureux » à Ségolène Royal pour mon anniversaire en 2006, et l’humour tout aussi désopilant le 27 mars 2012 lorsqu’il décorait de la Légion d’honneur un professeur de droit de Rennes qui n’est autre que la soeur de mon ancien médecin de famille curieusement retrouvé suicidé dans son cabinet médical en 1996 alors que Josette Brenterch et ses amis du crime organisé harcelaient déjà tous mes médecins à mon sujet, y compris ceux de mon enfance.

Rappelons également que les négociations en 1994 du contrat Agosta par le désormais fameux réseau K provoquaient déjà bien des remous dont le public ne saura jamais rien avant le printemps 2009.



http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20160328.AFP1327/il-y-a-20-ans-le-raid-lancait-son-assaut-contre-les-islamo-braqueurs-du-gang-de-roubaix.html

Il y a 20 ans, le Raid lançait son assaut contre les « islamo-braqueurs » du « Gang de Roubaix »



Roubaix (AFP) – Il est 6 heures, le 29 mars 1996, dans le quartier de l’Alma à Roubaix, lorsque le Raid donne l’assaut contre le « Gang de Roubaix », un bande d’ »islamo-braqueurs » dont le parcours trouve résonance aujourd’hui après les attentats jihadistes en France et en Belgique.

Vingt ans plus tard, au 59, rue Henri Carette, dans ce quartier populaire, à forte population issue de l’immigration, on ne trouve que quelques places de parking. Difficile d’imaginer que ce fut-là le théâtre d’une action sanglante du Raid, se soldant par la mort de quatre des dix membres du gang.

« J’allais au travail et je voyais des policiers partout, je me demandais ce qui se passait », se remémore Pierre, un riverain, expliquant que les maisons défoncées sont restées plusieurs années à l’abandon avant la construction du parking en 2011.

Du 27 janvier au 8 février, plusieurs hold-up et braquages ultra-violents avec armes de guerre ont lieu dans la métropole lilloise, une fusillade faisant un mort à Roubaix. Mais « après le 8 février, ça s’arrête net. On le saura après: deux à trois sont repartis en Bosnie, avec leur maigre butin pour acheter de l’armement lourd et faire quelque chose d’encore plus sérieux », se souvient Romuald Muller, ancien chef de la brigade criminelle de Lille.

Le 25 mars, un fourgon de la Brinks est ainsi attaqué à Leers au lance-roquettes, à la Kalachnikov et à la grenade. Le 27, les enquêteurs réalisent que des membres du gang ont fait un aller-retour à Molenbeek, aujourd’hui fief présumé du djihadisme en Europe. Le 28 mars, la violence monte encore d’un cran: un attentat à la voiture piégée, garée devant l’ancien commissariat, est évité de justesse, à quelques jours d’une réunion du G7 dans la capitale des Flandres.

Cette tentative manquée précipite l’assaut du Raid. Quatre des malfaiteurs, tous issus de la jeunesse roubaisienne immigrée du Maghreb et de Turquie, meurent dans l’effondrement et l’incendie de la maison provoqué par des grenades qu’ils avaient lancées.

Le jour de la fusillade, Jean-Louis Debré, alors ministre de l’Intérieur, explique pourtant que cette affaire relève du « grand banditisme » et nullement « du terrorisme » ou de « l’islamisme ». Les spécialistes de la lutte antiterroriste, eux, sont dépités d’être tenus à l’écart de l’enquête, persuadés qu’il ne s’agissait pas de simples délinquants de droit commun, mais bien des partisans d’un islam radical.

- Des convertis dans le gang -

Parmi les dix membres de la bande, figurent en effet deux convertis, surnommés parfois « les ch’tis d’Allah », nés dans des familles catholiques ouvrières: Lionel Dumont et Christophe Caze, tué le lendemain en Belgique lors de sa fuite et considéré comme le « cerveau » du groupe.

« C’est une des premières fois que la question des convertis se pose, alors qu’aujourd’hui elle est importante vu le nombre de départs de Français vers des terrains de combat », argue Antoine Mégie, maître de conférence en sciences politique à l’université de Rouen et spécialiste de la lutte contre le terrorisme.

La route du « gang de Roubaix » épouse en effet celle de la Bosnie, où plusieurs membres ont combattu dans les rangs des moudjahidine de Zenica en 1994 et 1995, des soldats de l’islam venus combattre les Serbes aux côtés de l’armée bosniaque.

Le politologue Gilles Kepel, dans son ouvrage « Passion française » (Gallimard), rappelle, lui, « qu’après les accords de Dayton de décembre 1995 (mettant fin à la guerre en Bosnie, ndlr), Caze et Dumont s’étaient recyclés dans le djihad sur le territoire français ».

« Au confluent entre grand banditisme et terrorisme islamiste, ils prolongeaient à leur manière frustre l’épopée meurtrière de Khaled Kelkal, abattu quelques mois auparavant le 29 septembre 1995 dans la banlieue lyonnaise ». Selon le chercheur, ils « anticipaient l’affaire Merah » en 2012, « après seize années qui avaient marqué une longue pause du terrorisme jihadiste dans l’Hexagone ».

Sur les dix membres du « gang », quatre sont tués lors de l’assaut, un est tué le lendemain, deux sont incarcérés, deux ont été libérés au début des années 2010 et un n’a jamais été retrouvé.



http://www.lefigaro.fr/politique/2006/10/16/01002-20061016ARTFIG90267-debre_adresse_ses_voeux_chaleureux_a_royal.php

Debré adresse ses  »voeux chaleureux » à Royal

 

    • Par PH. G.
    • Mis à jour le 15/10/2007 à 13:15
    • Publié le 16/10/2006 à 06:00

Jean-Louis Debré ne désarme pas. Dans une interview au JDD hier, le très chiraquien président de l’Assemblée accuse Nicolas Sarkozy de manquer à la solidarité gouvernementale. « Attention à ceux qui sèment le vent, ils pourraient récolter la tempête », prévient-il. « Dénigrer, contester, ­critiquer la politique d’un gouvernement dont on est membre est non seulement une erreur, mais une faute politique. » Au risque d’irriter l’UMP, Debré adresse ses « voeux chaleureux à Ségolène Royal. Elle aussi a dû apprendre à se méfier de ses propres amis. A juste titre. » Réponse du sarkozyste Christian Estrosi : Debré « aspire à devenir mécanicien en chef de la machine à perdre ».PH. G.



http://www.letelegramme.fr/ig/generales/regions/finistere/legion-d-honneur-j-louis-debre-decore-anne-marie-le-pourhiet-31-03-2012-1651982.php

Légion d’honneur. J.-Louis Debré décore Anne-Marie Le Pourhiet


31 mars 2012
 
Nommée chevalier de l'Ordre national de la Légion d'honneur, Anne-Marie Le...
Nommée chevalier de l’Ordre national de la Légion d’honneur, Anne-Marie Le Pourhiet a reçu sa distinction mardi à Paris. Photo DR

Jean-Louis Debré, président du Conseil constitutionnel a remis, mardi dernier, la Croix de chevalier de l’Ordre national de la Légion d’honneur à Anne-Marie Le Pourhiet, professeur agrégé de Droit public à l’Université de Rennes-1, vice-présidente de l’Association française de droit constitutionnel. Jean-Louis Debré rappelait, à cette occasion, que cette Bretonne originaire de Ploudalmézeau «se méfie de la pensée unique», n’est pas «une fanatique de l’Europe et du fédéralisme européen», pas plus que de la décentralisation dont elle dénonce régulièrement «le grand bazar». Lors de cette cérémonie, à laquelle assistaient plusieurs membres du Conseil constitutionnel, parmi lesquels Michel Charasse et Renaud Denoix-de-Saint-Marc mais aussi Jean-Pierre Chevènement, Anne-Marie Le Pourhiet a rappelé que sa mère était si profondément attachée au Général de Gaulle qu’elle s’était demandé si elle n’avait pas été une gaulliste «in utero». Décidément très en verve, elle a rappelé avoir obtenu le prix de l’humour politique pour cette phrase: «Je préfère la Constitution de mon père à celle de ma mère». Auparavant, le président Debré, rappelant son attachement à la Bretagne et au respect de l’environnement, s’était demandé si l’association «Des amis de Carantec», qu’elle a longtemps animée, ne vaudrait pas un jour à l’institution qu’il préside une QPC «question prioritaire de constitutionnalité» (1). En ouverture de son discours, la récipiendaire avait évoqué le «syndrome de la madeleine de Proust» (2).

1. Laquelle permet à n’importe quel justiciable de saisir le Conseil. 2. Dans «À la recherche du temps perdu», le narrateur mange une madeleine et revit une scène de son enfance où il en faisait de même. L’expression désigne un acte apparemment négligeable qui porte une charge émotionnelle du passé.



Cliquer sur les images suivantes pour les agrandir et lire ces textes publiés sur mon ancien blog « Un petit coucou à la recherche d’une liberté perdue » chez OverBlog entre les 18 et 31 mars 2012, à propos de l’affaire Merah :


2012-03-18 Assassinat de militaires dans le Sud-Ouest- le tueur serait traqué sur Internet - Un petit coucou


2012-03-19 L'Armée française trouée par la Mafia - Un petit coucou