Hier, j'ai fait mon petit commentaire sur l'information du jour concernant l'effacement de données sensibles pour une période de plus d'un mois avant l'attaque d'Yvan Colonna le 2 mars 2022 dans la salle de sports de la maison centrale d'Arles où il était détenu :
http://satanistique.blogspot.com/2023/03/assassinat-dyvan-colonna-des-donnees.html
Or, cette information est aujourd'hui démentie par le parquet national antiterroriste, pour lequel il n'y aurait aucune preuve de cet effacement de données (voir ci-dessous).
Mais la fiche carcérale de l'agresseur ne comporterait effectivement plus aucune observation à partir du 29 janvier 2022 (voir ci-dessous).
Il s'agirait donc, de la part de leur hiérarchie, d'un arrêt tout à fait volontaire de l'intégration des signalements des agents pénitentiaires dans la base de données informatisée.
C'est plus grave que l'hypothèse d'un effacement des données.
Précisons par ailleurs que l'attentat islamiste a bien été commis comme d'habitude conformément à un calendrier judiciaire me concernant.
Ma publication du 30 janvier 2022 ou mes lectures préalables à cette publication n'ont donc pas déclenché cet attentat. Par contre, comme cela se produit très souvent sinon quasiment à tous les coups, l'observation de mes faits et gestes privés et publics aura manifestement fourni au terroriste en chef Pascal Edouard Cyprien Luraghi l'idée concrète de cet attentat qui de toute façon, quel qu'il fût, était déjà programmé depuis plusieurs mois.
En atteste le cri de victoire du pédophile le 11 mars 2022 sur Twitter, comme rappelé ici :
http://satanistique.blogspot.com/2023/03/assassinat-dyvan-colonna-un-assassin.html
P.S. : Je repose ma petite question du 10 mars dernier : les dossiers quimpérois du cabinet d'avocats d'Eric Dupond-Moretti avant sa nomination comme ministre de la Justice et Garde des Sceaux ont-ils oui ou non fait l'objet d'un transfert de responsabilité vers le Premier ministre, comme cela aurait dû être le cas ?
Voir ici :
http://satanistique.blogspot.com/2023/03/dupond-moretti-passible-de-poursuites.html
Pour autant que je sache, Eric Dupond-Moretti avait pris la suite de Patrick Baudy auprès d'une partie de ses anciens clients finistériens. Or, ce dernier comptait aussi parmi eux le pédophile et terroriste en chef Pascal Edouard Cyprien Luraghi, auquel il est resté entièrement dévoué, comme bien d'autres avocats et tous les magistrats du Finistère.
Mettre toute la planète à feu et à sang pour satisfaire tous les desiderata de ce débile et malade mental délirant, c'est vraiment trop cool pour tous ces gens-là.
A lire ou à relire, dans l'ordre :
http://satanistique.blogspot.com/2022/01/michel-ucciani-ancien-braqueur-et-du.html
http://satanistique.blogspot.com/2022/03/assassinat-dyvan-colonna-encore-cyprien.html
http://satanistique.blogspot.com/2022/03/les-attentats-islamistes-commis-en.html
http://satanistique.blogspot.com/2023/03/assassinat-dyvan-colonna-un-assassin.html
http://satanistique.blogspot.com/2023/03/assassinat-dyvan-colonna-pas-une.html
http://satanistique.blogspot.com/2023/03/dupond-moretti-triple-bras-dhonneur-et.html
http://satanistique.blogspot.com/2023/03/de-jean-castex-lassassin-dyvan-colonna.html
http://satanistique.blogspot.com/2023/03/dupond-moretti-passible-de-poursuites.html
http://satanistique.blogspot.com/2023/03/aie-encore-une-mauvaise-nouvelle-pour.html
http://satanistique.blogspot.com/2023/03/assassinat-dyvan-colonna-des-donnees.html
Assassinat d’Yvan Colonna : pour le Parquet national antiterroriste, aucune preuve de l'effacement de données sensibles
Selon une information de France Info, le Parquet national antiterroriste a démenti l’effacement d’un signalement d’une surveillante de prison sur un logiciel réservé à l’administration pénitentiaire. Une hypothèse soulevée par le président de la commission d’enquête parlementaire.
Il n’y a aucune preuve que des données sensibles quant à l’agression d’Yvan Colonna au sein de la centrale d’Arles le 2 mars 2022 ont été effacées. C’est ce que soutient le parquet national antiterroriste (Pnat), ce mercredi 22 mars, selon une information de France Info.
Cette hypothèse a été formulée, une semaine plus tôt, par le président de la commission d’enquête parlementaire, Jean-Félix Acquaviva, lors d’une conférence de presse. Ce dernier a notamment pointé du doigt l’absence d’une alerte répertoriée par un agent pénitentiaire dans un logiciel réservé aux détenus particulièrement signalés.
« Je vais le tuer »
Selon les propos de l'élu, une surveillante aurait entendu un groupe de trois détenus, dont le principal suspect, Franck Elong Abé, prononcer : « Je vais le tuer ». « Nous avons les plus grandes interrogations et les plus grands doutes (...) quant à la possible tentative d'effacement de ces données », avait déclaré Jean-Félix Acquaviva.
« Dans le cadre de l'information judiciaire ouverte pour assassinat en relation avec une entreprise terroriste et association de malfaiteurs terroriste criminelle, les investigations portent notamment sur les observations des surveillants pénitentiaires avant, pendant et après les faits, indiquent les magistrats du Parquet national antiterroriste dans un communiqué transmis à France Info. Il n'est pas indiqué que le signalement sur ces propos menaçants aurait été intégré dans le logiciel et donc, par la suite, supprimé. »
Violemment agressé le 2 mars 2022, Yvan Colonna, condamné à la réclusion criminelle à perpétuité pour l’assassinat du préfet Claude Erignac en 1998, est mort des suites de ses blessures le 21 mars 2022. En parallèle des investigations judiciaires, une commission d’enquête parlementaire a été ouverte en janvier dernier. Depuis, 25 auditions ont été menées par les parlementaires.
Assassinat d'Yvan Colonna : la commission d'enquête s'interroge sur la fiche carcérale de Franck Elong Abé
En France, le fichier de gestion nationale des personnes écrouées pour le suivi individualisé et la sécurité centralise toutes les données de chaque détenu. Sur la fiche de Franck Elong Abé, agresseur d'Yvan Colonna à la centrale d'Arles, aucun commentaire n'a été inscrit en février 2022. Les membres de la commission d'enquête parlementaire s'interrogent et pointent "une zone d'ombre".
Genesis, un nom qui marquera peut-être un rebondissement dans l’affaire de l’assassinat d’Yvan Colonna.
Il s’agit en fait du logiciel qui centralise toutes les données concernant les personnes détenues.
Cette base de données recense les détails judiciaires, médicaux et administratifs relatifs aux prisonniers, ainsi que les observations glanées quotidiennement par les surveillants pénitentiaires.
La commission d’enquête parlementaire sur l’affaire Colonna s’est procurée la fiche Genesis de Franck Elong Abé. Un document que France 3 Corse a pu consulter.
De 2014 à janvier 2022, toutes les observations concernant le détenu djihadiste classé DPS (détenu particulièrement signalé) apparaissent.
Problème : à partir du 29 janvier 2022, soit un mois avant l’agression d’Yvan Colonna, aucun commentaire n’est ajouté.
Pour le député RN Romain Baubry, membre de la commission d’enquête, cette interruption pose question. "Elle paraît inhabituelle au vu de l'historique des observations qu'il y a pu avoir sur Franck Elong Abé, souligne-t-il. Effectivement, un mois sans observations, c'est du jamais-vu. Lorsque l'on prend tous les événements passés, toutes les observations qu'il y a pu avoir dans son parcours carcéral, effectivement, ça interroge."
"Il reste deux autres hypothèses"
De son côté, Jean-Félix Acquaviva partage les interrogations du député des Bouches-du-Rhône.
Pour le président de la commission d’enquête, il s’agit d’une nouvelle zone d’ombre. Il demande des explications précises.
"Il reste deux autres hypothèses, expose le député de la deuxième circonscription de Haute-Corse : soit un laisser-aller total qui fait que les agents n'ont pas fait remonter (les informations, ndlr) ; cela ne semble pas être dit par les syndicats qui disaient clairement que ce qui les étonnait c'est qu'ils faisaient remonter des tas d'informations concernant Franck Elong Abé et que c'est à l'échelon supérieur que les choses n'étaient pas intégrées, et qu'ils n'avaient pas de retour sur ce qui était fait des ces informations. Il reste donc la dernière hypothèse, soit un effacement des données. La question c'est "pour quelles raisons ?""
Une question à laquelle la commission d’enquête s’attellera à répondre.
Contactée, l’administration pénitentiaire n’a pour l’heure pas répondu à nos interrogations sur le sujet.
Le sujet réalisé par nos équipes :
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