Il m'arrive assez souvent de faire des trucs en apparence complètement fous ou sans aucun intérêt, avec l'assurance très étrange que je vais trouver, je ne sais quoi, mais je vais trouver. C'est mon côté médium ou "guidée", poète comme disaient les anciens.
En deux ou trois jours de petites recherches généalogiques sur le cas Baudy, j'ai déjà pas mal avancé.
Je rappelle qu'il s'agit de cet avocat lyonnais qui brutalement, le 13 décembre 2019, alors que mes harceleurs les deux malades mentaux et néanmoins cybercriminels et terroristes islamistes notoires Pascal Edouard Cyprien Luraghi et Jean-Marc Donnadieu cherchaient vainement depuis le début de l'année à relancer leur machinerie habituelle à mon encontre, à savoir une grande et longue procédure abusive à base de dénonciations calomnieuses rythmée par des attentats sanglants marquant toutes les étapes de ladite procédure, et spécialement celle du délibéré avant la condamnation injuste et injustifiée escomptée, s'est lancé à mon encontre dans une procédure de taxation d'honoraires aussi aberrante qu'hallucinante.
J'ai déjà parlé du caractère totalement hallucinant de cette procédure par laquelle Patrick Baudy tentait de me faire condamner à lui payer très cher des travaux que j'avais réalisés seule alors qu'il n'était pas mon avocat mais celui de certains de mes adversaires et n'appréciait pas plus qu'eux les résultats que j'avais obtenus à l'issue de cette procédure.
Il y a d'autres éléments dont je n'ai pas encore parlé, notamment ceux-ci : la décision de justice qu'il entendait me faire lui payer très cher au moyen de cette procédure de taxation d'honoraires ne venait pas de tomber, elle remontait au mois de décembre 2017 et l'audience où il prétendait mensongèrement être allé plaider ma cause (j'y étais allée moi-même et ne l'avais pas vu, mais il n'était de toute façon pas attendu, en tous les cas pas pour moi, et ne sera d'ailleurs jamais capable d'apporter la moindre preuve d'un quelconque déplacement pour cette audience) avait eu lieu au mois de novembre 2017.
Il a donc finalement été débouté de toutes ses demandes à mon encontre au motif de la prescription biennale, ses dernières diligences alléguées pour justifier ses demandes étant antérieures à celles-ci de plus de deux ans, mais le magistrat lyonnais qui a définitivement tranché ce "litige" vraiment très spécial au mois de mars 2021 avait bien aussi motivé sa décision par toute une série d'éléments factuels montrant sans l'ombre d'un doute que l'avocat lyonnais Patrick Baudy n'avait jamais effectué aucune de ces diligences.
Non seulement ses demandes étaient donc totalement hallucinantes, comme je l'ai déjà expliqué, mais en plus, compte tenu de cette prescription biennale, et ne serait-ce que pour cette raison, il n'avait strictement aucune chance de gagner dès l'instant où je pouvais me défendre, ce qui fut pour moi assez facile en première instance, et moins évident en appel du fait que pour cette seconde procédure je devais obligatoirement être présente ou représentée à Lyon, faute de quoi Patrick Baudy allait obtenir tout ce qu'il demandait sur la base de ses seules allégations mensongères à l'audience.
Aussi, dès qu'il fut acquis pour tout le monde que je serais bien représentée pour cette audience (il suffisait de lire illégalement tous mes échanges de mails, comme l'ont toujours fait mes harceleurs depuis 2008 avec l'accord de la pute Céline Verdier du TJ de Brest), l'avocat lyonnais Patrick Baudy se lançait dans une nouvelle procédure abusive à mon encontre, au sens où il déposait plainte contre moi pour dénonciation calomnieuse auprès du procureur de la République de Brest début décembre 2020 au motif que j'avais qualifié sa procédure de taxation d'honoraires de tentative d'escroquerie au jugement, ce qui n'était bien que ça, outre que j'étais encore calomniée, notamment traitée de menteuse et malhonnête, comme d'habitude, et par-dessus le marché accusée de ne même pas payer mes avocats que j'aurais fait travailler gratis avec de superbes résultats à mon profit... et en même temps il annonçait qu'il allait demander à Lyon un sursis à statuer jusqu'à l'issue de cette nouvelle procédure dont il attendait bien évidemment une condamnation à mon encontre pour "dénonciation calomnieuse", sachant que les magistrats brestois ne demandent pas mieux que de me condamner quand mes harceleurs les sollicitent à cet effet...
Je rappelle ici qu'à partir du moment où il était acquis que je pourrais me défendre en appel à Lyon, derechef Patrick Baudy était certain de perdre. Il cherchait donc à gagner du temps avec sa nouvelle plainte contre moi à Brest, qui a bien été suivie par Isabelle Johanny ayant tout de suite mis le paquet pour obtenir des "preuves" (en fait des "témoignages" de poids) contre moi... mais cette enquête préliminaire n'étant pas aussi rapide que la procédure de taxation d'honoraires, après avoir obtenu un premier report d'audience le 8 décembre 2020, il était obligé d'abandonner sa demande de sursis à statuer à l'audience du 16 février 2021 et se voyait à nouveau débouter de toutes ses demandes à mon encontre un mois plus tard, c'est-à-dire, bien sûr, de ses demandes d'honoraires initiales, dont le montant n'avait cessé de croître depuis décembre 2019, mais aussi d'une demande de dommages et intérêts pour procédure abusive et injustifiée... parce qu'en février 2021 il avait bien rajouté une telle demande à mon encontre, comme en atteste cet extrait de la décision de mars 2021 :
Tout le reste était déjà incroyable, mais alors ça, c'est le bouquet : c'est lui qui multiplie les procédures abusives et injustifiées à mon encontre, et en plus, il demande à me faire condamner, moi, à lui verser des dommages et intérêts pour procédure abusive et injustifiée, alors que c'est bien lui qui a initié toutes les procédures, comme le fait très justement observer le magistrat lyonnais.
D'où mes interrogations sur toutes les audaces extraordinaires dont fait preuve cet avocat :
http://satanistique.blogspot.com/2023/04/comment-lavocat-lyonnais-patrick-baudy.html
http://satanistique.blogspot.com/2023/04/dou-vient-laudace-de-lavocat-lyonnais.html
Il est donc fils de Roger Jules Joseph Baudy, un médecin parisien dont le grand-père Jules Henry Baudy et ses parents, originaires des Ardennes, s'étaient installés à Paris dans la seconde moitié du XIXème siècle, et qui s'est marié en 1939 avec l'héritière de la maison Viallon de Saint-Cyr-au-Mont-d'Or, propriété ancestrale d'une famille de cultivateurs, vignerons, puis bouchers, fabricants de bougies et négociants lyonnais.
Cette dernière est née curieusement non pas à Lyon où résidait toute sa famille depuis des lustres, mais à 108 km de distance, à Romans-sur-Isère, le 5 septembre 1917, près de huit mois après le décès de son père présumé, qui était mobilisé pour la Grande Guerre, et par la suite, en 1959, elle et son frère aîné Pierre Paul Gaultier ont été adoptés par la soeur de son père présumé, veuve depuis le 2 août 1916 et dont elle portait déjà le nom et le prénom, alors que sa mère présumée, héritière de la maison Viallon, était bien toujours en vie (décès en 1973 à l'âge de 94 ans). Aussi, sa filiation réelle n'est peut-être pas celle qui a été déclarée à sa naissance. L'on notera par ailleurs que sa famille a continué à entretenir des relations privilégiées avec la ville de Romans-sur-Isère, puisque la seconde épouse de son mari Roger Jules Joseph Baudy, remarié deux ans après son décès en 1980, en est aussi originaire. Enfin, il y a bien des aliénés et fous dangereux dans la famille Viallon/Joannon de Saint-Cyr-au-Mont-d'Or, ce qui n'empêchera pas son fils Patrick René Marie Baudy de faire des études de droit et de devenir avocat, tout comme son oncle Pierre Paul Gaultier.
Pour autant, il est encore bien loin d'atteindre la notoriété de son cousin germain Gérard Rameix, fils de la seconde soeur de son père, Françoise Marguerite Juliette Baudy, née le 15 septembre 1928 à Paris 10ème arrondissement, qui tout comme son aîné Roger Baudy était médecin, et mariée avec un autre médecin, Pierre Jacques Marie Rameix, qui fut interne des Hôpitaux de Paris et Chef de clinique à la Faculté de Médecine :
https://geneafrance.com/france/deces/?deces=30831503
BAUDY Francoise Marguerite Juliette
- Nom : BAUDY
- Prénom : Francoise Marguerite Juliette
- Date de naissance: 15-09-1928
- Commune de naissance: PARIS 10 EME ARRONDISSEMENT
- Date de décès: 15-05-2013
- Commune de décès: Angervilliers
Voir ici leur descendance :
Et leur fils aîné, Gérard Rameix, énarque, ancien conseiller technique au cabinet du Premier ministre Jacques Chirac de 1986 à 1888, directeur de la Caisse nationale d'assurance-maladie des travailleurs salariés (CNAMTS) à compter d'octobre 1993 puis directeur adjoint du cabinet du Premier ministre Alain Juppé en 1997, entre autres :
https://gw.geneanet.org/wikifrat?n=rameix&oc=&p=gerard
(Gérard Eugène Henri RAMEIX)
|
Parents
- Pierre RAMEIX 1920-2009
- Françoise BAUDY ca 1920-2013
Union(s) et enfant(s)
-
Marié le 19 septembre 1975, Paris, 75005, Île-de-France, France,
avec Suzanne ARATHOON 1952 dont
- Marie Anne RAMEIX ca 1976
- Claire RAMEIX ca 1978
- Solange RAMEIX ca 1980
- Cécile RAMEIX ca 1982
- Agathe RAMEIX ca 1984
Fratrie
- Gérard RAMEIX 1952
- Jacqueline RAMEIX ca 1954
- Michèle RAMEIX ca 1956
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Notes
Notes individuelles
Gérard Rameix est le président de l'Autorité des marchés financiers depuis le 1er août 2012.
1 - Biographie
- Sommaire
Gérard Rameix, diplômé d’études supérieures de droit public et de l’Institut d’études politiques de Paris est un ancien élève de l’École nationale d’administration ENA dans la promotion Mendès-France.Il commence sa carrière à la Cour des Comptes comme auditeur (1978) puis conseiller référendaire (1982). Détaché en qualité de chargé de bureau à la Direction du budget du ministère des Finances, Gérard Rameix réintègre la Cour des comptes en 1984, puis est nommé conseiller technique au cabinet du Premier Ministre de 1986 à 1988. Directeur des affaires industrielles (1989) puis des opérations financières et des investissements (1990) à la société Hottinguer Finances, il devient président de la société Finindex en 1990. En 1993, Gérard Rameix est nommé directeur de la Caisse nationale d'assurance maladie puis devient, en 1997, directeur adjoint du cabinet du Premier Ministre. Directeur général de la Commission des opérations de bourse en 1997, il est nommé secrétaire général de l'Autorité des marchés financiers à sa création en 2003, poste qu'il occupera jusqu'en 2009, avant de devenir Médiateur du créditaux entreprises. Il est président de l’AMF depuis août 2012.
Mai 2009
1.1 - Gérard Rameix est nommé Médiateur du Crédit aux entreprises
Gérard Rameix, 57 ans, Conseiller Maître à la Cour des comptes - IEP Paris - ENA/Promotion Pierre Mendès France - est nommé Médiateur national du Crédit aux entreprises par décret du Président de la République. Il succède dans ces fonctions à René Ricol.
En onze mois, René Ricol et ses équipes ont traité 11 114 dossiers, dans deux cas sur trois avec succès, débloquant ainsi 1,5 milliard d'euros et préservant près de 150 000 emplois.
Ces succès illustrent la nécessité d'un soutien public aux entreprises afin de ne laisser aucune d'elle seule face à ses difficultés de financement. Le dispositif de Médiation du Crédit aux entreprises a été pérennisé dans sa forme actuelle jusqu'au 31 décembre 2010.
La nomination de Gérard Rameix comme Médiateur du Crédit s'inscrit dans la continuité au plus près des besoins de nos sociétés.
De formation juridique et économique, Gérard Rameix a mené toute sa carrière au service de l'économie française et de ses entreprises.
Gérard Rameix a exercé diverses fonctions et a acquis une connaissance aiguë du fonctionnement et du développement des entreprises privées : chef de bureau au ministère de l'économie et des finances, directeur de la caisse nationale de l'assurance maladie des travailleurs salariés, directeur de la commission des opérations de bourse, secrétaire général de l'autorité des marchés financiers (AMF) puis chargé de dossiers sociaux à la 5ème chambre de la Cour des comptes.
Son expérience reconnue auprès des acteurs privés comme publics permettra de conforter l'action de la Médiation du Crédit aux entreprises.
17 juillet 2012
1.2 - Gérard Rameix proposé pour remplacer M. Jouyet à la tête de l'Autorité des marchés financiers
Le premier ministre Jean-Marc Ayrault envisage de proposer au président François Hollande de nommer Gérard Rameix au poste de président de l'Autorité des marchés financiers (AMF), où il succéderait à Jean-Pierre Jouyet, a indiqué Matignon mercredi 11 juillet dans un communiqué.
Cette annonce intervient au lendemain du feu vert accordé par le Parlement à la nomination de M. Jouyet à la tête de la Caisse des dépôts et consignations (CDC).
La nomination à la tête de l'AMF de M. Rameix, actuellement médiateur du crédit, devra elle aussi recevoir l'approbation des commissions compétentes de l'Assemblée nationale et du Sénat, précise le communiqué.
Les présidents de l'Assemblée, Claude Bartolone, et du Sénat, Jean-Pierre Bel, "sont saisis de ce projet de nomination, afin que la commission compétente de chacune des assemblées se prononce dans les conditions prévues par le cinquième alinéa de l'article 13 de la Constitution", précisent les services du premier ministre dans un communiqué.
1.2.1 - Un énarque de 60 ans
M. Rameix, un énarque de 60 ans, ancien de la Cour des comptes, a passé près de douze ans à l'AMF, qu'il a quittée en janvier 2009. A son départ, il en était le secrétaire général.
En début de carrière, il a été en poste à la direction du budget du ministère de l'économie et des finances, de 1984 à 1986, puis conseiller technique du cabinet du premier ministre Jacques Chirac, entre 1986 et 1988.
Il est devenu président de la Société Finindex à partir de 1990, avant de rejoindre la Caisse nationale d'assurance maladie des travailleurs salariés (CNAMTS) au poste de directeur en 1993.
Il a ensuite été nommé directeur adjoint du cabinet du premier ministre Alain Juppé, en 1997. Il a occupé les fonctions de directeur général de la Commission des opérations de Bourse (COB, devenue depuis l'AMF) jusqu'en novembre 2003.
De mai à septembre 2009 – date à laquelle il a été nommé médiateur du crédit –, il occupait les fonctions de conseiller maître, président de section à la 5e chambre de la Cour des comptes de Paris.
- Le Monde.fr avec AFP : http://www.lemonde.fr/politique/article/2012/07/11/gerard-rameix-propose-pour-remplacer-m-jouyet-a-la-tete-de-l-autorite-des-marches-financiers_1732393_823448.html
25 juillet 2012
1.3 - AMF: nomination de Rameix approuvée
L'Assemblée nationale et le Sénat ont donné aujourd'hui leur feu vert à la nomination de Gérard Rameix à la tête de l'Autorité des marchés financiers (AMF), en remplacement de Jean-Pierre Jouyet parti diriger la Caisse des dépôts et consignations (CDC).
M. Rameix, actuel médiateur du crédit, avait besoin que trois cinquièmes des voix des commissions des Finances de l'Assemblée comme du Sénat, votant à bulletins secrets, ne s'opposent pas à sa nomination comme président de l'AMF par le président de la République.
A la commission de l'Assemblée, la nomination de M. Rameix a été quelque peu difficile puisqu'il a recueilli 16 voix favorables, 11 voix contre et une abstention. A celle du Sénat, il a obtenu 26 votes pour, les communistes ont voté contre et deux abstentions. M. Rameix, un énarque de 60 ans, ancien de la Cour des comptes, a passé près de 12 ans à l'AMF qu'il a quittée en janvier 2009. A son départ, il en était le secrétaire général.
3 août 2012
1.4 - Gérard Rameix officiellement nommé président de l'AMF
Gérard Rameix a été officiellement nommé président de l'Autorité des marchés financiers (AMF) dans un décret daté du 1er août et publié vendredi au Journal officiel, en remplacement de Jean-Pierre Jouyet, parti diriger la Caisse des dépôts (CDC). M. Rameix, auparavant médiateur du crédit, avait été proposé à la tête du gendarme des marchés début juillet par Matignon, et sa nomination avait obtenu le feu vert des deux commissions des Finances, celle du Sénat et celle de l'Assemblée nationale, le 25 juillet.
M. Rameix se retrouve aux manettes de l'AMF alors que la crise de la dette en Europe fait vaciller les marchés et entraîne la défiance des investisseurs. "Une de mes premières missions sera de rassurer, souligne ce haut fonctionnaire. Je pense avoir les cartes en main pour cela".
Cet énarque de 60 ans, ancien de la Cour des comptes, a passé près de 12 ans à l'AMF qu'il a quittée en janvier 2009. A son départ, il en était le secrétaire général. En début de carrière, il a été en poste à la direction du budget du ministère de l'économie et des finances, de 1984 à 1986, puis conseiller technique du cabinet du premier ministre Jacques Chirac, entre 1986 et 1988.
1.4.1 - Un habitué des arcanes financières
Il est devenu président de la société Finindex, spécialisée en gestion de fonds, à partir de 1990, avant de rejoindre la Caisse nationale d'assurance-maladie des travailleurs salariés (CNAMTS) au poste de directeur en 1993. Il a ensuite été nommé directeur adjoint du cabinet du premier ministre Alain Juppé en 1997.
Il a occupé les fonctions de directeur général de la Commission des opérations de Bourse (COB, devenue depuis l'AMF) jusqu'en novembre 2003. De mai à septembre 2009 - date à laquelle il a été nommé médiateur du crédit -, il occupait les fonctions de conseiller maître, président de section à la 5e chambre à la Cour des comptes de Paris. "Nous avons réussi à trouver des accords entre les banques et les entreprises dans deux tiers des cas et ainsi contribué à sauver environ 280 000 emplois", se félicite-t-il.
De ses années à l'AMF, il garde en mémoire des dossiers emblématiques comme le feuilleton Sacyr-Eiffage où le gendarme français de la Bourse avait réussi à prouver des irrégularités dans la tentative de prise de contrôle du français par l'espagnol. Quelques souvenirs douloureux lui reviennent aussi à l'esprit comme l'affaire Rhodia dans laquelle le gendarme de la Bourse a été soupçonné d'avoir modifié son rapport d'enquête pour protéger Thierry Breton, administrateur de Rhodia devenu par la suite ministre des finances. Personnellement visé, Gérard Rameix a intenté un procès en diffamation encore en cours.
Naissance
22h20Sources
- Personne, famille: CdBdM
- Naissance: Paris 6ème, Année 1952, Acte n°186
- Union: Paris 5ème, Année 1975, Acte n°344
Aperçu de l'arbre
Pierre RAMEIX 1920-2009 | Françoise BAUDY ca 1920-2013 | |||||
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Gérard RAMEIX 1952 |
https://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%A9rard_Rameix
6e arrondissement de Paris
Nationalité | |
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Formation | |
Activités |
Distinction |
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Gérard Rameix, né le à Paris, est un haut fonctionnaire français. Il est président de l'Autorité des marchés financiers de 2012 à 2017.
Biographie
Gérard Rameix, diplômé d’études supérieures de droit public et de l’Institut d’études politiques de Paris, est un ancien élève de l’École nationale d'administration (ENA) dans la promotion Mendès-France. Il commence sa carrière à la Cour des comptes comme auditeur en 1978 puis conseiller référendaire en 1982. Détaché en qualité de chargé de bureau à la direction du budget du ministère des Finances, Gérard Rameix réintègre la Cour des comptes en 1984, puis est nommé conseiller technique au cabinet du Premier ministre de 1986 à 1988. Directeur des affaires industrielles (1989) puis des opérations financières et des investissements (1990) à la société Hottinguer Finances, il devient président de la société Finindex en 1990. En 1993, Gérard Rameix est nommé directeur de la Caisse nationale d'assurance maladie puis devient, en 1997, directeur adjoint du cabinet du Premier ministre. Directeur général de la Commission des opérations de bourse en 1997, il est nommé secrétaire général de l'Autorité des marchés financiers à sa création en 2003, poste qu'il occupera jusqu'en 2009, avant de devenir Médiateur du crédit aux entreprises. Il est président de l’AMF d' à 1,2.
Distinctions
- Officier de la Légion d'honneur le (chevalier du )3
Notes et références
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