C'est en tous les cas un probable ami du Dr Roger Baudy, père de Patrick.
Et toutes les attaques de métros, bus, aéroports, avions, peuvent être inspirées des attaques de trains de la Résistance.
Notons que sa fille se prénomme Diane, tout comme celle de Patrick Baudy née en 1985, Diane Chatelet de l'émission Affaire conclue, et le groupe de gendarmerie régulièrement cité dans l'affaire des tueries du Brabant, constitué dans les années 1970 (une inspiration commune ?) :
https://gw.geneanet.org/etiennechristiaens?n=close&oc=&p=robert
- Né le 30 avril 1922 - Forest Bruxelles, 1000, , Bruxelles-Capitale | Brussel-Hoofdstad, Belgique
- Décédé le 6 décembre 2003 - Uccle, 1180, , Bruxelles-Capitale | Brussel-Hoofdstad, Belgique, à l'âge de 81 ans
- Sénateur honoraire - Général major
Union(s) et enfant(s)
- Marié avec Christian Bednar dont
Sources
- Décès: Faire part LLB
Aperçu de l'arbre
http://satanistique.blogspot.com/2022/10/diane-chatelet-daffaire-conclue-un.html
La brigade Diane: une unité antiterroriste née au sein de la gendarmerie
Par RTBF
La piste actuellement suivie par les enquêteurs dans les tueries du Brabant concerne particulièrement Christian Bonkoffsky, à l’époque gendarme à la brigade d’Alost et ancien membre de la Brigade Diane. Il aurait avoué à son frère – peu avant de décéder en 2015 - qu’il était le "Géant" de la bande des "tueurs du Brabant". Ce n’est pas la première fois que l’on parle de la Brigade Diane.
Une unité de gendarmerie à l'origine des Forces spéciales belges
La Brigade Diane était une unité spéciale de la gendarmerie. Elle fut constituée suite à la prise d’otages et l’exécution des membres de la délégation israélienne aux Jeux Olympiques de Munich, en 1972. Dans la foulée, la question s'est posée en Belgique: dispose-t-on d'une unité de police capable d'intervenir dans de telles circonstances? C'est ainsi que la Brigade Diane voit le jour au sein de la gendarmerie. Une Gendarmerie séparée de la police et faisant partie de l'Armée. C'est en son sein qu'est recruté le personnel jugé le plus apte pour ce type de mission. Il fallait des personnes courageuses et techniquement à la hauteur, se souvient Eric Liévin, lieutenant de gendarmerie et commandant du peloton d’intervention de 1976 à 1983 au sein de la Brigade Diane.
"Il y avait des cow-boys. On sortait de cette prise d'otages à Munich et il fallait recruter des personnes avec suffisamment de sang froid pour exposer leur vie pour sauver d'autres vies, détaille Eric Liévin au micro de la RTBF. A cette époque-là on, on cherchait donc des profils qui avaient ce sang froid, ce courage et qui osaient prendre des risques. Évidemment, ce sont des personnes qui ont les défauts de leurs qualités. Il faut pouvoir bien contrôler ce personnel et s'assurer qu'il n'a pas de mauvaises fréquentations. Ou qu'une une évolution de la vie ne prenne pas une mauvaise voie. Parce que sinon, de service de l'Etat et au service de la société, ils peuvent éventuellement mal tourner".
Depuis lors la Brigade Diane a été restructurée et divisée en plusieurs sections. Elle est devenue l'escadron spécial d'intervention. Enfin, rappelons que ce n'est pas la première fois que l'on s'intéresse à des membres de la Brigade Diane dans les tueries. Certains voyaient notamment déjà à l'époque un rapprochement entre les techniques de tir utilisées par les tueurs du Brabant et cette unité d'élite.
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https://www.lalibre.be/belgique/2003/12/07/le-dernier-close-combat-7OQDWTBX2NHDXPOUZKE5AEODIA/
Le dernier Close-combat
Vaincu par la maladie, le général Robert Close -«Bob»- est décédé à l'âge de 81 ans. Ses funérailles auront lieu jeudi en l'église St-Jacques-sur-Coudenberg, dernière étape d'un chemin que jalonnèrent de multiples combats. Un livre-choc l'avait rendu célèbre en 1976. Ancien sénateur, il prit aussi à coeur la cause de Léopold III.
Publié le 06-12-2003 à 00h00
ÉVOCATION
En juillet 1996, dans sa retraite montagnarde de Bosco Chiesanuova, entouré des mélèzes, des cèdres et des sapins qu'il planta voici plus de quarante ans, le général Robert Close concluait ses mémoires (1) en notant qu'un jour prochain, ses amis pourraient dire, paraphrasant un mot célèbre: «Il n'est pas là où il repose, mais dans le livre qu'il m'a laissé» ... Ce jour est arrivé.
Vaincu par la maladie, «Bob» est décédé à l'âge de 81 ans. Ses funérailles auront lieu jeudi en l'église St-Jacques-sur-Coudenberg, dernière étape d'un chemin que jalonnèrent de multiples combats. Car l'homme ne faisait pas partie du régiment des tièdes. «Aux grands prêtres du conformisme et de la modération , écrivait-il, j'ai une confession à faire: toute ma vie, j'ai été un intégriste de l'amitié, un fondamentaliste de la liberté et un toxicomane de la vérité!»
C'est une thèse-choc qui le fit connaître, en 1976, en Belgique et à l'étranger. Publiée sous le titre «L'Europe sans défense?», elle démontrait que l'infériorité occidentale dans le domaine des forces conventionnelles, alors que le nucléaire était neutralisé par la dissuasion mutuelle, créait une situation où les armées de l'URSS et de ses alliés pourraient arriver «sur le Rhin en quarante-huit heures». S'ensuivit un véritable tollé. Le ministre allemand Georg Leber exigea que l'auteur soit relevé de ses fonctions du Collège de Rome pour ne pas contaminer les officiers de la RFA avec ses «théories erronées» selon lesquelles «toute l'armée allemande ne servirait qu'à régler la circulation des troupes soviétiques»... Mais l'officier persista et signa.
Hanté par la guerre, Robert Close avait de quoi l'être. Né en 1922, il venait d'entrer à l'Ecole royale militaire quand le Reich déclencha son offensive foudroyante. Prenant part à la campagne de 1940, prisonnier de guerre jusqu'en décembre, il entra ensuite dans la résistance (réseau Luc-Marc) jusqu'à son arrestation par la Gestapo, qui lui fit connaître trois camps de concentration successifs de 1942 à 1945.
Un témoin à charge
Poursuivant sa carrière militaire après la Libération, il étudia les sciences économiques, puis politiques et diplomatiques à l'ULB, fut commandant adjoint de l'Ecole de guerre belge, maître de conférences à l'Université de Liège, commandant de la 16e Division blindée en Allemagne... Mais il dut quitter prématurément la carrière militaire après avoir égratigné Karel Van Miert, alors président du Parti socialiste flamand. A l'époque, Armand De Decker, aujourd'hui président du Sénat, dénonça «ce qui, à mes yeux, apparaissait comme l'exécution d'un témoin à charge, qui, en voulant mieux servir l'armée à laquelle il appartenait, avait le courage d'en dénoncer les faiblesses» .
Le Démosthène belge entra alors en politique et fut sénateur libéral de Bruxelles, de 1981 à 1987, mais ce nouveau «Close-combat» se termina également par une rupture, suivie d'un engagement au sein du mouvement unitariste Belgique-Europe-België, resté marginal.
Dans les dernières années de sa vie, il se consacra, toujours avec la même fougue, à la défense de la mémoire de Léopold III. Devenu un familier d'Argenteuil, il bénéficia d'un large accès aux archives du Roi et se fit son avocat dans un vibrant ouvrage publié en 2001 (2). Il nous confia récemment qu'il détenait des confidences enregistrées de la princesse Lilian, avec laquelle ses relations furent parfois orageuses.
«Ma vie , disait-il, me paraît bien remplie et plutôt fertile en rebondissements imprévus» . En effet...
© La Libre Belgique 2003
(1) Publiés sous le titre «Gauche! Droite!» aux Editions Ligne Claire. (2) «Léopold III. Les non-dits», même éditeur.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Close
Robert Close
Robert CloseFonctions Suppléant de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe
Belgique- Sénateur belge Biographie Naissance
Bruxelles
(à 81 ans)Décès
BruxellesNationalité Activités Autres informations Grade militaire Robert Charles Adolphe Marie Lucien Close, né le à Bruxelles et y décédé le , est un militaire et homme politique belge.
Biographie
Formation
Il est élève à l'École royale des cadets, antichambre de l'École royale militaire où il entre en 1939 (85e promotion I.C. - Infanterie-Cavalerie).
Durant la Seconde Guerre mondiale, Robert Close est résistant. Fait prisonnier par les Allemands, il passe successivement par trois camps de concentration entre 1942 et 1945.
Carrière militaire
Robert, dit Bob, Close fit une brillante carrière militaire.
- En 1948, il est lieutenant au 1er régiment de Guides.
- En 1961, il est désigné pour le Commandement suprême des Forces Alliées en Europe (SHAPE).
- En 1965, il est affecté au Cabinet de la Défense nationale.
- En 1967, il est nommé attaché militaire à l'Ambassade de Belgique à Londres.
- En 1970, il rejoint le corps professoral de l'École de guerre.
- En 1971, il prend le commandement de la 17e Brigade blindée.
- En 1974, il est nommé commandant adjoint au Collège de défense de l'OTAN à Rome.
- En 1975, il se met à dos le Pentagone et le président du Comité militaire de l'OTAN après avoir fait circuler une étude qui aboutit à un plaidoyer pour une armée européenne.
Il devient commandant de la 16e Division blindée (1976) et publie à cette époque un livre qui allait lui assurer une notoriété internationale : L'Europe sans défense ? Le général Close dresse dans cet ouvrage le relevé détaillé de la situation alarmante de la défense militaire de l'Europe et affirme la possibilité pour les blindés soviétiques d'atteindre le Rhin en quarante-huit heures en cas d'une offensive foudroyante des troupes du Pacte de Varsovie contre les pays de l'OTAN. L'ouvrage crée un séisme au sein de l'OTAN1. Et provoque la colère des milieux de gauche.
En 1980, alors président de la commission pour les problèmes nationaux de défense de la Belgique, il est démis de ses fonctions pour avoir critiqué Karel Van Miert, président du Parti socialiste flamand, à propos de son opposition à l'installation de missiles de l'OTAN en Belgique2,3, et présente sa démission des cadres actifs de l'armée belge.
En parallèle de sa carrière militaire, Robert Close, étudie les sciences économiques, politiques et diplomatiques à l'ULB et, diplômé, est maître de conférences à l'Université de Liège4.
Militant politique
En 1980, il devient membre de la Ligue anti-communiste mondiale (World Anti-Communist League) et préside sa branche belge. Il accède à la présidence de la WACL à deux reprises, en 1983, lors de la conférence annuelle de l'association tenue au Luxembourg, dans une salle du Parlement européen du quartier du Kirchberg5, et en , lors d'une conférence tenue à Bruxelles. La WACL est à cette date renommée Ligue mondiale pour la liberté et la démocratie (World League for Freedom and Democracy)6. Il est aussi membre du bureau exécutif du Conseil européen de la liberté (European Freedom Council, EFC) lié à la WACL.
Membre du PRL à partir de 1980, il se présente aux élections en 1981 et est élu sénateur sur une liste de ce parti . Il y siège jusqu'en 1987, année où il quitte le PRL, déçu.
En 1983, il fonde avec Jacques Jonet, Paul Vankerkhoven et Nicolas de Kerchove l'Institut européen pour la paix et la sécurité. Le général Close est alors encore vent debout contre les mouvements pacifistes, dans le contexte de la guerre fraîche et de la crise des euromissiles7.
En 1991, il rejoint le BEB-n (Entente belge – nouvelle / Belgische Eenheid – nieuw)8, petit parti droitier unitariste. Il quitte ensuite ce parti et rejoint le Front national . En 1996, il quitte ce dernier avec Roger Nols et Marguerite Bastien pour fonder par la suite le Front Nouveau de Belgique.
Proche, sur la fin de sa vie, d'Alain Escada, il contribue à la rédaction de diverses de ses publications, comme la revue Polémique.
Dans les dernières années de sa vie, il défend la mémoire de l'ancien roi des Belges Léopold III, dans des interventions, dans la presse belge et avec un livre (Léopold III les «non-dits», 2001)9,10. Il est alors un des conseillers de la veuve de Léopold III, Lilian Baels11.
Ouvrages
- Robert Close (préface de Henri Simonet), L'Europe sans défense ? : 48 heures qui pourraient changer la face du monde, Éditions Arts et voyages, coll. « Collection Inédits », Bruxelles, 1977, 359 p. (ISBN 2-8016-0050-4)
- Ernst Albrecht, Guido Brunner, Jacques Chirac, Robert Close... [et al.] (hrsg. von Gerhard Mayer-Vorfelder und Hubertus Zuber), Welches Europa? : Antworten, Seewald, Stuttgart, 1977, 327 p. (ISBN 3-512-00479-2)
- Robert Close, Europe without defense: 48 hours that could change the face of the world, Pergamon Press, coll. « Pergamon policy studies », New York, cop. 1979, XV-278 p. (ISBN 0-08-023108-X)
- Robert Close (en collaboration avec Nicolas De Kerchove ; préface de Michael Voslensky), Encore un effort et nous aurons définitivement perdu la Troisième Guerre mondiale, P. Belfond, Paris, 1981, 297 p. (ISBN 2-7144-1446-X)12,13,14
- Jacques A.-M. Noterman (préface de R. Close), Que faire pour survivre à la guerre nucléaire ? : informations pratiques destinées à augmenter de façon significative, et à peu de frais, les chances de survie d'une famille en période de guerre, y compris nucléaire, Epécé, Ciney, 1984, 40 p.
- Général Robert Close, Gauche ! droite !, Les Éditions Ligne claire, Bruxelles, 1996, préface d'Armand de Decker, (ISBN 2-87115-002-8) (mémoires)
- Général Robert Close, Léopold III : les "non dits", Les Éditions Ligne claire, Bruxelles, 2001, 297 p. (ISBN 2-87115-011-7)
Lien externe
- Vaute Paul, « Le dernier Close-combat », site de La Libre Belgique, 6 décembre 2003 (Lire en ligne [archive])
Notes et références
- LE COMMANDANT DES FORCES ALLIÉES EN EUROPE CENTRALE ESTIME " INSENSÉE " L'HYPOTHÈSE D'UNE AVANCE DES BLINDÉS RUSSES, Le Monde, 24 mars 1976 [archive], Les régions Nord et Sud de l'alliance atlantique constituent le talon d'Achille de l'OTAN AFFIRME LE GÉNÉRAL HAIG, Le Monde, 11 janvier 1977 [archive].
- Vaute Paul, « Le dernier Close-combat », lalibre.be, 6 décembre 2003.
- Auteur de vigoureuses critiques contre la politique militaire et les socialistes flamands Le général Close est démis de ses fonctions, Le Monde, 25 février 1980 [archive] (L'homme politique belge est qualifié d'agent conscient ou inconscient de l'impérialisme soviétique par le général Close).
- Paul Vaute, op. cit.
- rtl.lu, 26 novembre 2013, "16. März: Bommeleeër-Affäre: Vernachlässigte Pisten (Teil 7)" [archive], evue.lu, "KAFFEEKRÄNZCHEN KALTER KRIEGER" [archive]
- ABN correspondence, september-october 1990, p. 37-38 [archive]
- Le Monde, 26 février 1983, général Robert Close, "Assez de palabres ! " [archive], « Pacifisme et barbarie Réplique... au général Close », Le Monde.fr, (lire en ligne [archive], consulté le )
- (fr) Site du BEB-n [archive]
- Michel Dumoulin, Léopold III : les enjeux d’une controverse, CHTP-BEG - n°10 / 2002 (Lire en ligne [archive])
- Vaute Paul, Le général Robert Close, sénateur honoraire: « Le Roi dans son livre a parlé à son peuple. L'engouement qu'il suscite prouve qu'il a eu raison », lalibre.be, 16 juillet 2021 (Lire en ligne [archive])
- « La princesse Lilian est morte, pas l'affaire Baels Des obsèques nationales ? A Argenteuil, la princesse recevait les grands de ce monde Le faux brûlot Mertens Les passages litigieux Robert Close : « Une narratrice fascinante » Antoinette Spaak : « Un rôle négatif » » [archive], sur Le Soir (consulté le )
- Compte-rendu dans Études internationales, vol. 13, n° 4, 1982 [archive]
- Michel Tatu, " Encore un effort... et nous aurons définitivement perdu la troisième guerre mondiale ", Le Monde, 9 décembre 1981 [archive]
- :
Liens externes
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