En voilà encore un qui connaît fort bien les affaires de l'association quimpéroise AVDJ dont Georges Seznec a été président durant dix ans, depuis sa création au printemps 2011, jusqu'à son décès il y a deux ans.
Pour l'essentiel, les membres de cette association sont ou étaient des commerçants ou des agriculteurs dont aucun n'a jamais été capable d'aller se défendre seul devant les tribunaux, d'où leur extrême dépendance à l'égard d'avocats qui ont toujours fait exactement ce qu'ils voulaient de leurs affaires, tel par exemple l'escroc lyonnais Patrick Baudy.
Voir ici :
http://satanistique.blogspot.com/2023/05/quont-fait-pour-eux-les-avocats-de.html
L'alternative au recours à l'avocat était pour eux celui au politique : Marylise Lebranchu pour Jean Cabon à Morlaix, Christiane Taubira et Jean-Jacques Urvoas pour l'association AVDJ de Quimper.
Jean-Jacques Urvoas n'a été ministre de la Justice que du 27 janvier 2016 au 10 mai 2017.
Auparavant, depuis le 28 juin 2012 et jusqu'au 27 février 2016, il était président de la commission des Lois de l'Assemblée nationale.
Proche de Bernard Poignant depuis les années 1980, il a été aussi député durant dix ans, du 20 juin 2007 au 20 juin 2017, conseiller régional de Bretagne du 29 mars 2004 au 1er juillet 2007, premier secrétaire de la fédération du PS dans le Finistère de 2000 à 2008 et au conseil national du PS comme membre titulaire à l'issue du congrès de Reims du PS de 2008.
Xavier Le Roy, avec qui Georges Seznec a créé son assocation AVDJ en 2011, est le fils d'André Le Roy, un ancien conseilleur municipal de Quimper et propriétaire de la plus ancienne maison de la ville.
Il m'avait contactée dès le mois de mai 2011 :
22/05/2011 01:14:08
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bernard corre
xavier
nous allons creer une association contre les abus des mandataires judiciaire .votre article m interresse sur bernard corre car on a deja pas mal de choses contre lui et ce n' ai pas un saint loin de la si vous pouvez me contacter par mail
mon mail associationvdj@orange.fr
cordialementLe visiteur qui vous envoie cet e-mail n'a pas eu connaissance de votre adresse de messagerie.
L'adresse qui apparaît comme expéditeur n'a pas été vérifiée.© 2011 over-blog.com - Tous droits réservés
En fait, je n'ai jamais écrit aucun article sur Bernard Corre, mais l'avais cité à propos de la mafia brestoise et de ses violences assez extraordinaires, comme la décision de censure prise par le TGI de Brest en 1998 à l'égard d'Antoine Gaudino et de son éditeur pour le livre La Mafia des tribunaux de commerce (voir ci-dessous).
Puis Jacques Fornès m'avait contactée au mois de janvier 2012 en insistant pour que nous nous rencontrions à Brest avec ses amis Xavier Le Roy et Georges Seznec.
Voir ici :
http://satanistique.blogspot.com/2022/11/pierre-jean-chalencon-et-gael-perdriau.html
Et enfin au mois de septembre 2013, ce dernier m'avait recontactée à propos de harcèlements qu'il subissait de Jacques Fornès depuis fin 2012, sachant que j'avais été moi aussi harcelée par le même individu à compter du mois de janvier 2012.
Voir là :
http://satanistique.blogspot.com/2023/05/jacques-fornes-antiquaire-dans-le-sud.html
Dans l'intervalle, il avait compris que les deux premiers, avec qui il n'était plus en bons termes, avaient souhaité me rencontrer pour des raisons qui n'étaient pas celles alléguées pour le rendez-vous qu'ils m'avaient fixé au mois de janvier 2012, alors que je venais tout juste de recevoir ma première convocation chez le juge d'instruction suite à la plainte avec constitution de partie civile d'août 2011 de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest outrée que j'aie pu publier des droits de réponse concernant ma propre biographie à la suite de tout ce qu'elle en avait fait publier par son complice le pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi à compter du 19 juin 2010, et qui était bien entendu entièrement faux, mensonger, calomnieux, outre que les multiples atteintes à l'intimité de la vie privée commises par la même occasion contre mes proches et moi-même étaient manifestes, tout comme les nombreuses injures et menaces accompagnant ces publications véritablement ordurières.
Notons qu'au mois de décembre 2011, comme je l'avais déjà fait remarquer sur ce blog le 13 février 2017, Richard Ferrand déjà en guerre contre Jean-Jacques Urvoas ne se gênait pas pour faire des allusions publiques aux incroyables saloperies dont j'étais victime sur Internet depuis 2008 :
http://satanistique.blogspot.com/2017/02/on-revient-toujours-plougastel.html
En fait, toute la classe politique ou mafia locale, qui au-delà de quelques querelles d'egos ou de pure forme a toujours formé un bloc compact tous bords confondus, suivait ce qui se passait...
A noter : Jean-Jacques Urvoas reconnaît lui-même n'être pas loin d'un débile mental, ce qui n'a jamais été gênant pour faire des études de droit ou de la politique :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Jacques_Urvoas
"Jean-Jacques Urvoas naît à Brest d’un père pharmacien général de l’armée, et d’une mère au foyer3. Il étudie au collège Saint-François de Lesneven puis au lycée Amiral-Ronarc'h à Brest4 ; il se décrit comme « un vrai cancre », indiquant avoir « failli redoubler [sa] seconde » et obtenu son baccalauréat au repêchage3."
Et comme tous les autres politique locaux, quoiqu'il se plaigne lui aussi des innombrables mensonges et affabulations de la perverse et criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, il la trouve absolument géniale et d'une utilité indéniable pour sa faculté à recruter des débiles mentaux et psychopathes comme le pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi, le zététicien pro-pédophile Jean-Marc Donnadieu de Béziers, ou bien encore les locaux Joël Roma, Jacques Fornès et Xavier Le Roy pour assassiner des ingénieurs.
Il convient encore de noter que Georges Seznec m'a toujours dit que j'étais harcelée et calomniée par des gens qui haïssaient mon père. En effet, la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest et ses plus proches amis politiques ont toujours haï mon père depuis les années 1970, notamment du fait qu'il était incorruptible. Cette haine fut très tôt exacerbée par mes résultats scolaires exceptionnels de "surdouée", puis mes études d'ingénieur et mes emplois d'ingénieur d'études en informatique, tandis que tout le reste de la fratrie apparaissait du même niveau et en 1994, les mafieux qui me harcelaient dans le travail colportaient bien dans mon entourage professionnel cette information en provenance de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest : il n'était soi-disant pas normal que les enfants de mon père soient tous ingénieurs et ils seraient tous assassinés pour cette raison.
https://www.lexpress.fr/informations/l-arme-de-la-censure_628975.html
L'arme de la censure
L'obscurantisme connaît bien ses ennemis. Quand il se déploie, les livres sont toujours sa première cible. Il les trie, les censure, les condamne et finit, un jour ou l'autre, par les brûler. Pourquoi? Tout simplement parce que le livre est le refuge durable de la liberté d'expression et de pensée. Il incarne, à la fois, la mémoire et la raison. Il est le champ le plus fertile de la réflexion, des idées, de l'imagination et de la création. Il véhicule l'histoire et le temps. Il imprime dans la durée la diversité des opinions. Bref, il est la trace et la marque de la civilisation. L'aventure de l'homme est d'abord dans ces bibliothèques, cathédrales du savoir aux portes grandes ouvertes que les inquisiteurs de tout poil, politiques ou religieux, n'ont de cesse d'incendier. Nous n'en sommes, heureusement, pas là. Cependant, l'assassinat économique tenté, le 28 avril dernier, par le tribunal de Brest contre le livre d'Antoine Gaudino La Mafia des tribunaux de commerce et les éditions Albin Michel - condamnées à retirer l'ouvrage sous peine d'astreinte immédiate de 100 000 francs par exemplaire vendu - est une ombre menaçante sur la liberté d'écrire. En acceptant - avant de juger sur le fond - de lever temporairement cette astreinte, la cour d'appel de Rennes a montré qu'elle était sensible à ce péril. Pas plus que la presse, le livre n'est au-dessus des lois. Mais l'utilisation abusive de la loi comme arme de censure financière est dangereuse. Sous le prétexte que son ton dérange ou déplaît, on n'écrase pas un livre comme une vulgaire mouche.
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