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lundi 8 mai 2023

Nouvel attentat hier dans le Vaucluse ?

Des témoins ou des éléments matériels corroborant les dires des gendarmes ? 

Avec eux, j'ai toujours de gros doutes.

Déjà, je sais depuis longtemps comment certains d'entre eux ont tenté de tuer mon père, une fois.

Et ce n'est pas le seul fait que nous puissions reprocher à ces amis ou complices de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest ici, dans le Finistère.

Attention, hein : je ne dis pas qu'ils sont tous mauvais, mais seulement qu'à plusieurs reprises, des gendarmes du Finistère n'ont pas fait leur boulot, ou pas complètement, ou l'ont fait de travers ou à l'envers, toujours à propos d'agressions ou de tentatives d'assassinat ayant principalement visé mon père, et même que certains d'entre eux ont été les auteurs de l'une d'elles. Ensuite, bien sûr, on fait toujours des faux pour enfoncer la victime.

Le gendarme ayant interrogé le criminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi le 14 mars 2011 à Puy-l'Evêque alors qu'il venait de faire assassiner au moins deux témoins gênants de ses activités délictueuses à mon encontre, Patricia Bouchon un mois plus tôt, et un ingénieur de ma connaissance une dizaine de jours plus tôt, s'était lui aussi contenté d'enregistrer ses déclarations sans en vérifier aucune, alors qu'il était bien censé consulter ses deux blogs alors actifs à la recherche d'éléments confirmant mes accusations, qui n'étaient nullement mensongères.

Il sera ensuite très rapidement muté en Guadeloupe tandis que la policière m'ayant précédemment interrogée à Brest quittait la police.

Quant au substitut du procureur de la République de Brest auquel il rendait compte de ses "investigations" et qui sera dans la foulée l'auteur d'un faux à mon encontre, à savoir le Brestois François Dresen, tout comme sa collègue juge d'instruction Mathilde Boissy, qui s'était autosaisie des poursuites Brenterch à mon encontre au mois de décembre 2011, il n'a pas vécu assez longtemps, ni pour voir toute cette procédure annulée en appel le 2 décembre 2015 à Rennes, ni même pour voir les résultats des attentats du 13 novembre 2015 à Paris, en préparation lors de son décès à 41 ans le 14 août 2015 :

http://satanistique.blogspot.com/2022/07/deces-de-lancien-magistrat-brestois.html


 

https://www.ladepeche.fr/2023/05/08/un-homme-arme-dun-couteau-et-dune-barre-de-fer-tente-dagresser-des-gendarmes-en-criant-allah-akbar-il-est-neutralise-11182142.php

Armé d'un couteau et d'une barre de fer, il tente d'agresser des gendarmes en criant "Allah Akbar" et est neutralisé par balles

 

  • Les investigations sont confiées à la brigade de recherches d'Orange et la section de recherches de Nîmes
    Les investigations sont confiées à la brigade de recherches d'Orange et la section de recherches de Nîmes PHOTO DDM
Publié le , mis à jour
Martin Planques avec AFP

l'essentiel Un individu a attaqué des gendarmes du peloton autoroutier d'Orange en criant "Allah Akbar" près de l'aire de repos de Mornas dans le Vaucluse sur l'autoroute A7.

Un homme a été gravement blessé par balles dimanche 7 mai après-midi dans la commune de Mornas, près d'Orange (Vaucluse), par des gendarmes après les avoir menacés, selon des sources proches de l'enquête et de la gendarmerie.

Cet homme se serait précipité vers des gendarmes qui s'approchaient pour un contrôle, brandissant une barre en fer, un couteau et criant "Allah Akbar", a expliqué à l'AFP une source proche de l'enquête. "En dépit des injonctions, il s'avance vivement vers eux et sa détermination très agressive, contraint les gendarmes à ouvrir le feu à plusieurs reprises", a indiqué la gendarmerie de son côté.

L'homme aurait provoqué un accident la veille

L'identité de cet homme, hospitalisé dans un état grave, n'est pas pour l'heure établie, a précisé à l'AFP une autre source proche de l'enquête. Ces faits se sont produits au lendemain d'un accident de bus sur l'autoroute A7 sur cette même commune de Mornas, provoqué par l'un des passagers qui "a voulu s'emparer du volant", a ajouté cette source. À ce stade des investigations, il n'est pas possible d'établir formellement un lien entre l'accident de bus, qui a fait 14 blessés légers selon les pompiers, et la personne blessée par les gendarmes dimanche.

Trois enquêtes ouvertes

Le parquet de Carpentras a de son côté ouvert trois enquêtes, l'une concernant l'accident de bus pour blessures involontaires par conducteur, une autre pour les violences sur les gendarmes et une dernière pour violences par dépositaires de l'autorité publique, a indiqué à l'AFP l'une des sources proches de l'enquête. Les investigations sont confiées à la brigade de recherches d'Orange et la section de recherches de Nîmes.

 

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