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mercredi 24 mai 2023
Centenaire de l'affaire Seznec, ou comment l'histoire tend à se perpétuer...
Depuis que j'ai commencé à publier sur l'affaire Baudy / Seznec dont je suis assez proche et continue à subir des conséquences extrêmement lourdes, tous les jours fleurissent dans la presse de nouveaux articles sur l'autre affaire Seznec, celle de Guillaume qui cette année devient centenaire.
Le premier article où j'ai parlé de Georges Seznec, qui se trouve être apparenté à Guillaume, est celui-ci, du 19 avril 2023 :
La déferlante concernant Guillaume commence tout de suite après, avec un premier article de Breizh-Info le 23 avril 2023.
Ci-dessous le début du tout dernier, du Télégramme, publié ce matin.
C'est donc dans la commune natale de Guillaume Seznec qu'est venu mourir le 8 août 1991 Roger Jules Baudy, père du Lyonnais Patrick Baudy qui ne deviendra l'avocat de Georges Seznec et son frère Jean-Louis qu'en 2013 alors qu'il était déjà depuis plusieurs années celui du Morlaisien Jean Cabon qui tentait de le faire condamner pour des infractions imaginaires...
Je n'ai vraiment pas fait exprès de me mettre à publier à ce sujet en cette année de centenaire de l'affaire Seznec la plus connue, je n'y pensais absolument pas.
C'est mon côté médium ou "guidée" qui me pousse assez souvent à mettre les pieds dans le plat sans même en avoir conscience.
Cela dit, je ne suis vraiment pas allée chercher les emmerdements de ce côté-là, c'est encore le pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi qui m'a foutue dedans avec sa complice la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, l'un et l'autre n'ayant cessé de me faire harceler par toujours plus de psychopathes qui m'étaient tous inconnus tout en me harcelant aussi judiciairement au moyen de multiples dénonciations calomnieuses et procédures abusives ou tentatives d'escroquerie au jugement, à compter de l'année 2008.
Dimanche
cela fera officiellement un siècle que le conseiller général Pierre
Quéméneur est décédé. À Plomodiern (29), commune natale de Guillaume
Seznec, accusé de son meurtre, ce long fleuve judiciaire, qui a défrayé
la chronique pendant des décennies, a fortement marqué les esprits.
Le
bourg de Plomodiern (2 100 habitants), est bien paisible en ce début
d’après-midi. Au pied de l’église où Guillaume Seznec, fils
d’agriculteurs, s’est marié, le mercredi 18 juillet 1906, à Marie-Jeanne
Marc, fille d’un riche commerçant grainetier, un couple de cyclo
randonneurs fait une pause avant d’attaquer l’ascension du Menez Hom,
qui culmine à 3 km de là. « Bien sûr que je connais l’affaire Seznec,
confie le mari, originaire de la région lyonnaise. Qui ne la connaît
pas ? Je me suis un peu replongé dans cette histoire en lisant le guide
du Routard. Ils en parlent. On n’est pas venu ici spécialement pour ça,
mais c’est bon de le savoir ».
Ici, pas de stèle à la mémoire - avec
Alfred Dreyfus - d’un des plus célèbres bagnards de la Guyane française.
Seul indice officiel de ses origines, une plaque à l’entrée principale
du cimetière, qui indique aux visiteurs où se trouve sa tombe. « Elle a
été installée par la commune, indique Gilles Renaud Scoarnec, qui, il y a
une vingtaine d’années, a quitté Rennes pour s’installer dans la
commune d’origine de sa mère et a créé un blog.
Un
jour, Gilles Renaud Scoarnec, un brin provocateur, écrira une lettre au
maire pour que la place du 19 mars 1962, commémorant la fin de la
Guerre d’Algérie, soit débaptisée et prenne le nom de Guillaume Seznec.
« Ça a créé un sacré raffut, j’en ai conscience. Mais ça a permis de
faire avancer les choses. Car c’était l’omerta autour de Seznec.
Pourtant, la commune avait énormément souffert de cette affaire.
Imaginez il y a un siècle ce qu’a pu produire une armée de journalistes
et de chroniqueurs judiciaires débarquant ici. Et l’impact des nombreux
rebondissements judiciaires qui ont suivi ».
Une tombe fleurie par une inconnue pendant des décennies
Nous
suivons les pas de Gilles Renaud Scoarnec et voici la tombe. Un sobre
monument sur lequel sont gravés les noms de Guillaume Seznec, d’Yves et
Louise, ses parents, mais aussi de sa fille, Jeanne. De longues années
durant, la tombe a été régulièrement fleurie par une personne qui
restait très discrète. Une certitude : il ne s’agissait pas de quelqu’un
de la famille dont les membres avaient pris leurs distances avec la
commune, à la suite du procès aux assises de Quimper, en 1924.
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