«On a entendu ce que disaient nos compatriotes, les magistrats et les personnels de justice», a assuré Éric Dupond-Moretti dans un entretien à l'AFP.
Oui, voilà, c'est ça le problème, vous n'écoutez jamais les premiers concernés, en l'occurrence les justiciables et plus particulièrement les victimes de faits répréhensibles qui de toute évidence pour vous n'existent pas.
Pour commencer, je vais donc rappeler que si j'avais été écoutée lorsque j'ai commencé à solliciter la "justice" à propos des faits de harcèlement moral en entreprise associés à des écoutes téléphoniques illégales, même une sonorisation illégale de mon domicile, déjà des montagnes de calomnies et les menaces de mort évidentes dont j'étais victime dans le cadre de mon activité professionnelle dans les années 1990, très probablement, il n'y aurait jamais eu aucun attentat islamiste commis en France ou contre des Français, ni dans les années 1990, ni durant les décennies suivantes, a fortiori depuis mars 2012, tous ces attentats commis depuis 2012 étant manifestement le fait du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi et de ses complices, parmi lesquels les magistrats tous CORROMPUS que j'ai vainement sollicités à compter des années 1990, dont, notamment, ceux du TJ de Brest à compter de 2010 à propos des publications de ce malade mental à mon sujet.
Imaginez tous les moyens libérés pour travailler sur d'autres dossiers sans tous ces attentats... Même chose pour tous les autres crimes et délits commis par les mêmes malfaiteurs que j'ai toujours vainement dénoncés depuis les années 1990.
Et même chose pour tous les autres crimes et délits commis par des malfaiteurs déjà dénoncés sans aucun succès par des victimes jamais écoutées ou pire encore, elles-mêmes poursuivies et condamnées inutilement pour leurs dénonciations parfaitement justifiées.
Concernant la procédure de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest à mon encontre, engagée sur sa plainte initiale avec constitution de partie civile du 19 août 2011 et définitivement clôturée le 8 mars 2016 par une décision de non admission de son pourvoi en cassation contre l'arrêt du 2 décembre 2015 de la Cour d'Appel de Rennes m'ayant relaxée de tous les chefs de la poursuite, rappelons ce qui suit :
1°/ Compte tenu des multiples erreurs de droit qu'elle contenait à propos des faits d'injures et diffamation allégués, cette plainte aurait dû être d'emblée rejetée pour cause de nullité par le juge d'instruction qui en a accusé réception en 2011, à savoir le doyen Raymond André.
2°/ La prescription de l'action publique étant déjà acquise pour tous ces faits présumés d'injures et de diffamation lors du dépôt de la plainte, il s'agissait d'une raison de droit supplémentaire qui aurait dû entraîner d'emblée le rejet de cette plainte par le juge Raymond André.
3°/ Les faits de droit commun allégués par la plaignante, à savoir une prétendue révélation publique de son identité alors qu'elle me calomniait et multipliait les révélations relatives à l'intimité de ma vie privée sur les deux blogs alors actifs du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi sous le pseudonyme de "Chepita", n'ayant jamais fait l'objet d'aucune précédente plainte, celle-ci était également irrecevable pour cette raison et aurait dû de ce fait être d'emblée rejetée par le juge Raymond André.
4°/ La juge d'instruction néanmoins désignée pour instruire cette plainte, à savoir la juge Mathilde Boissy, s'étant autosaisie des faits de la poursuite en allant elle-même rechercher sur mon blog un texte à qualifier d'injures et diffamations non prescrites, avait ainsi entaché sa procédure d'une nouvelle cause de nullité qui entraînera d'ailleurs un non-lieu à poursuivre pour ces faits présumés d'injures et diffamations pour moi, mais bizarrement pas pour mon hébergeur de blog OverBlog qui environ six mois après la clôture de l'information judiciaire sera finalement mis en examen et renvoyé en correctionnelle comme étant mon soi-disant "complice" par une nouvelle juge d'instruction ayant pris la suite de Mathilde Boissy, Muriel Corre, qui estimait qu'il aurait dû se défendre seul au fond sur ces faits présumés d'injures et diffamations qui en réalité n'en étaient pas, auxquels il a toujours été étranger et pour lesquels je n'étais moi-même plus poursuivie.
5°/ Après cette nouvelle cause de nullité, la juge Mathilde Boissy continuait à entacher toute la procédure d'autres causes de nullité alors qu'elle aurait dû, tout comme précédemment le doyen des juges d'instruction Raymond André, tout refuser d'instruire dès sa saisine en raison des multiples défauts de droit des plaintes de Josette Brenterch.
6°/ Bien avant le renvoi en correctionnelle, j'avais versé au dossier toutes les preuves et explications montrant, d'une part, que Josette Brenterch avait elle-même révélé son identité sur les blogs de son complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi avant que je n'en fasse de même sur le mien, que je n'avais donc ainsi commis aucune infraction pénale, et d'autre part, que toutes ses autres accusations à mon encontre, qu'elles fassent ou non l'objet de la poursuite, étaient mensongères. Ses inventions et accusations calomnieuses à mon encontre démarraient en effet dès la toute première phrase du texte de sa plainte et se poursuivaient non seulement avec ses plaintes mais également avec ses déclarations au juge tout au long de la procédure.
Les plaintes de Josette Brenterch à mon encontre, uniquement des dénonciations calomnieuses, et toute cette procédure délirante de bout en bout, n'auraient donc jamais dû pouvoir prospérer, mais les magistrats brestois, tous CORROMPUS, estimaient sans doute qu'il était pour eux très rentable de perdre du temps et de l'argent à me poursuivre pour avoir publié des droits de réponse visant à rétablir a minima la vérité à propos de ma biographie à la suite des campagnes de calomnies monstrueuses dont j'étais victime sur la toile de la part de Josette Brenterch et tous ses complices "déconnologues" et "zététiciens" ou "sceptiques" depuis 2008, avec une inflation considérable et de nouvelles infractions pénales en pagaille à compter de juin 2010, pour lesquelles ils refusaient illégalement d'instruire mes plaintes parfaitement justifiées.
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