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mercredi 26 avril 2023
Décès de François Léotard, ancien ministre de la Défense
Encore un qui a pris la fuite avant d'avoir parlé...
On ne va quand même pas l'en remercier.
Celui-là était un de mes anciens ministres et pas des moindres.
A la Défense entre 1993 et 1995, il est le signataire des deux contrats d'armement Agosta et Sawari II en septembre et novembre 1994 tandis que travaillant sur un projet classé de l'Armée de l'Air, je dérangeais des trafiquants d'armes qui depuis janvier 1994 conditionnaient la signature de ces deux contrats à la fin de ma vie professionnelle, ou de ma vie tout court.
M'ayant ratée à plusieurs reprises à compter du mois de mai 1994, ils avaient ensuite exigé mon assassinat par les "services", qu'ils n'ont jamais obtenu.
Mais pour le reste...
Ils m'avaient promis qu'ils finiraient quand même par me tuer et assassineraient aussi les autres ingénieurs de ma famille.
La "justice" française les a toujours laissés faire en toute connaissance de cause.
D'où toutes les "fêtes" islamistes qui avaient débuté dans les années 1990 et ont repris de plus belle à compter de mars 2012 avec toutes les exactions à mon encontre du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi et tous ses complices : la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, déjà très impliquée dans les années 1990 et 2000, le malade mental Jean-Marc Donnadieu de Béziers et tous ses complices zététiciens ou sceptiques, etc, etc... quantité de journalistes et politiques tous plus pourris les uns que les autres, tous les escrocs des barreaux de Brest, Quimper, Béziers, Paris et Lyon qui ont accepté de m'attaquer à partir de 2010, toujours sur la base de dénonciations calomnieuses des mêmes criminels qui depuis 2008 multipliaient déjà les infractions pénales à mon encontre, et surtout la pute Céline Verdier du TJ de Brest et tous ses complices magistrats CORROMPUS.
Je rappelle ici que ces fêtes se sont toujours calmées quand je parvenais à reprendre un peu le dessus sur le plan judiciaire. Seul problème : j'ai toujours été bien trop seule et isolée pour que justice puisse enfin passer et calmer définitivement la bande de malades.
Je rappelle aussi que depuis juin 2010, sous la houlette de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, très aidée par ses complices magistrats brestois CORROMPUS, ils ont entrepris de rechercher pour les assassiner tous les témoins de ma vraie, mais aussi tous ceux des vraies vies respectives de tous mes proches. Aussi, je pense qu'ils ont encore bien du monde à assassiner et n'arrêteront pas si je suis tuée. Le seul moyen de tout arrêter est bien d'arrêter ces criminels au lieu de leur fournir perpétuellement les moyens de tuer toujours plus comme l'a toujours fait la pute Céline Verdier du TJ de Brest.
DISPARITION - Figure de
l'UDF, il fut aussi ministre de la Culture de 1986 à 1988. Il s'est
éteint à l'âge de 81 ans. Emmanuel Macron a déploré sur Twitter la perte
d'un «esprit libre».
«François Léotard a servi l'État et porté une grande idée de la culture».
Sur Twitter, Emmanuel Macron a annoncé ce mardi la mort de l'ancien
ministre de la Culture puis de la Défense dans les gouvernements de
cohabitation sous François Mitterrand. Celui qui fut aussi maire de
Fréjus et député du Var, mais surtout une figure de l'UDF, s'est éteint à l'âge de 81 ans.
Né le 26 mars 1942 à Cannes dans une famille de
sept enfants, François Léotard fut ministre de la Culture et de la
Communication de 1986 à 1988 dans le gouvernement de Jacques Chirac,
puis ministre de la Défense et ministre d'État de 1993 à 1995 dans celui
d'Édouard Balladur. Il a aussi été président du Parti Républicain, puis
de l'UDF de 1996 à 1998.
Il s'engage en politique en partie pour laver
l'honneur de son père : maire de Fréjus de 1959 à 1971, il avait été
vivement critiqué à la suite de la rupture du barrage du Malpasset qui
avait fait 423 morts en 1959. À 22 ans, François Léotard entre au
séminaire mais renonce au bout d'un an et part au Liban comme coopérant.
À son retour, il intègre l'ENA, où il fonde la première section
syndicale CFDT. Ayant rejoint la droite giscardienne, il est élu maire
de Fréjus (1977-97) puis député UDF du Var.
Hommages de la classe politique
«Avec sa disparition, nous perdons un
esprit libre, un homme de livres et d'engagement. Son Var natal, la
France qu'il a défendue, la République qu'il aimait éprouvent
aujourd'hui une grande perte», a déploré le président de la République.
Dans un tweet, Nicolas Sarkozy a exprimé la «tristesse de voir partir trop tôt l'une des figures les plus brillantes de (s)a génération».
Édouard Balladur, qui fut premier ministre durant la deuxième cohabitation (1993-1995), a confié sa réaction au Figaro en apprenant la mort de François Léotard mardi. Il fut son ministre de la Défense.
«C'est avec beaucoup de tristesse que j'ai
appris la disparition de François Léotard. Durant de longues années, il a
joué un rôle important dans notre vie publique comme chef de parti,
comme ministre des Affaires culturelles, comme ministre de la Défense.
Il a rendu de grands services à notre pays. Il était imprégné de
patriotisme, attaché à ses convictions libérales, mais tolérant,
l'esprit ouvert aux autres», a salué Édouard Balladur, avant d'évoquer le souvenir d'un homme qui avait aussi «une personnalité originale, le goût de la littérature, de la poésie. Je pense à lui avec nostalgie et amitié ».
«La région Sud, sa région, s'incline devant la mémoire de François Léotard, a de son côté écrit le président de la région PACA Renaud Muselier sur Twitter. Il était un homme d'État et de territoires».
Le maire de Nice Christian Estrosi l'a quant à lui qualifié de «formidable défenseur de la droite libérale».
Tout au long de sa carrière politique, François
Léotard s'est de fait échiné à suivre le modèle libéral, en vigueur
outre-Manche et outre-Atlantique dans les années 1980, et à prôner la
rupture avec la tradition étatiste du gaullisme et du socialisme. Il
emmènera dans son sillage Alain Madelin, Gérard Longuet, Jacques
Douffiagues ou Claude Malhuret, un petit groupe surnommé alors la «bande à Léo». En 1995, il soutient Edouard Balladur dans la course à l'Élysée.
Pour son successeur au ministère des Armées Sébastien Lecornu, François Léotard était un «homme de conviction et d'engagement». «Les armées gardent de lui le souvenir d'un homme profondément attaché à la souveraineté et à l'indépendance de la France», écrit-il.
Démêlés judiciaires
Précoce et ombrageux, sportif et stressé, ce
hussard de la politique, en qui beaucoup voyaient un présidentiable en
puissance, avait quitté la politique dans les années 2000. Frappé de «lassitude», François Léotard expliquera ensuite qu'il «ne supportait plus» le monde politique, son aspect «prostitutionnel», fait de «flatterie» et de «mensonge», qu'il lui fallait retrouver «son propre langage». Après avoir remisé ses ambitions, il assurait qu'il aurait aimé être gardien de phare...
François Léotard a également connu des déboires
avec la justice. En 2021, il est condamné à deux ans d'emprisonnement
avec sursis et 100.000 euros d'amende pour «complicité d'abus de biens sociaux» dans le cadre du volet financier de l'affaire Karachi. En 2004, il avait déjà été condamné à dix mois de prison avec sursis pour «financement illégal de parti politique et blanchiment de capitaux».
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