En effet, dès le départ, il y a eu du reuz entre avocats au sujet de l'auteur des faits... et cela continue d'ailleurs tout depuis entre psychiatres...
Rien d'étonnant à cela, il s'agit de l'un des attentats de la série Baudy, celle de l'avocat lyonnais Patrick Baudy, consécutive à sa procédure de taxation d'honoraires hallucinante engagée à mon encontre le 13 décembre 2019, à propos de travaux que j'avais réalisés entièrement seule, alors qu'il n'était pas mon avocat.
En principe, dans ce type de litige, le Bâtonnier rend sa décision dans les quatre mois, et celle-ci peut être prorogée une fois.
En date du 4 avril 2020, nous attendions donc la décision du Bâtonnier, mais ce fut alors un report justifié par les conditions sanitaires, et elle sera finalement rendue au mois d'août.
Cet attentat de Romans-sur-Isère, commis dans sa région, est donc celui censé fêter ma très prochaine condamnation, avant le 14 avril 2020, mais celle-ci ne viendra jamais.
Ce qui s'est quand même bien produit le 4 avril 2020, ce sont les agressions du Soudanais Abdallah Ahmed-Osman, dont certaines mortelles, et l'une des victimes est un ingénieur informaticien qui à mon sens peut bien avoir été victime d'un assassinat finement préparé, programmé et déguisé en attentat islamiste : on tue ou on agresse quelques autres personnes avant et après, et le tour est joué...
Comme rappelé dans mon article d'hier, d'autres victimes de cette série ont bien été assassinées. De plus, concernant Samuel Paty, il avait vécu à Lyon et son assassinat sera suivi de perturbations notables dans le collège lyonnais où il avait commencé sa carrière :
"Incidents notables survenus après l'assassinat
Le , un parent d’élève prend à partie un professeur d’histoire-géographie du collège des Battières, dans le 5e arrondissement de Lyon, collège où Samuel Paty avait commencé sa carrière272. Le père d'élève remet en cause le contenu de son cours sur le principe de laïcité. Le 18 décembre, le professeur est « contraint et forcé » de quitter le collège273 et envisage de changer de métier. Le , des collègues du professeur débrayent pour protester contre le manque de réactions du rectorat274.
Le , un homme est condamné pour avoir appelé à « cramer » la mosquée de Béziers après l'assassinat de Samuel Paty275."
Voir ici :http://satanistique.blogspot.com/2023/04/assassinats-de-samuel-paty-et.html
Toute cette série est bien celle du Lyonnais Patrick Baudy, et elle avait été précédée en 2019 par plusieurs attentats annonciateurs, dont une autre attaque assez extraordinaire d'un Brestois par un Lyonnais, le dénommé Karl Foyer, au mois de juin, à Brest.
A lire ou à relire :
http://satanistique.blogspot.com/2023/04/terrorisme-le-proces-dont-plus-personne.html
Les attentats islamistes commis en France ou contre des Français depuis le 11 mars 2012 ne sont pas seulement le fait de djihadistes, ils sont commandités voire organisés par une espèce d'hydre à plusieurs têtes que l'on peut bien voir se dandiner au-dessus du champ de bataille à la condition d'ouvrir les yeux.
Le bâtonnier Thierry Chauvin démissionne de ses fonctions
Selon les informations du Dauphiné Libéré, le bâtonnier de la Drôme Thierry Chauvin aurait présenté sa démission. Celui qui avait pris ses fonctions au 1er janvier 2020, et qui avait porté le mouvement de grève des avocats drômois, aurait pris sa décision suite à une polémique dont nous nous étions fait l'écho le 11 avril dernier, concernant les droits de la défense de l'auteur présumé de l'attentat de Romans-sur-Isère.
Une polémique née suite à de vifs échanges effectués dans un groupe fermé nommé “Avocats Valence”. Le bâtonnier de la Drôme, Me Thierry Chauvin, avait écrit : “Il peut crever où il veut, rien à… et, moi aussi, je pèse mes mots.” Ce post avait attisé l'indignation de certains de ses pairs. Un commentaire qu'il avait à l'époque expliqué avoir "été publié sous le coup de l’émotion, de la colère, de la révolte face à l’acte terroriste. Mes premières pensées ont été pour les victimes. C’est très certainement excessif…"
Joint par notre rédaction mardi 21 avril au sujet de sa démission, Thierry Chauvin n'a souhaité faire aucune déclaration à la presse.
Le bâtonnier Thierry Chauvin dévoile les raisons de sa démission
Vendredi 24 avril au matin, Me Thierry Chauvin à travers un communiqué envoyé à notre rédaction a souhaité expliquer les raisons de sa démission des fonctions de bâtonnier du barreau de la Drôme : "Le 21 avril dernier, j’ai informé mes confrères que je mettais un terme à mon mandat de bâtonnier. Cette décision est naturellement le fruit d’une longue réflexion mais également de divers sentiments dont j’ai réservé les plus intimes à mes confrères. Pourtant, c’est une tribune écrite par neuf avocats et parue dans une revue juridique le 13 avril qui m’a définitivement convaincu que je ne pouvais plus poursuivre ma mission. Cette tribune se conclut de la façon suivante : « Cet homme-là, Abdallah Ahmed-Osman, est l’un des nôtres. Il nous ressemble. Nous sommes faits de la même chair, des mêmes os et le même sang que le vôtre coule dans ses veines. C’est notre frère."
Et de poursuivre: "Deux de mes prédécesseurs ont applaudi à cette tribune, ils s’en revendiquent. Cinq bâtonniers de la Conférence régionale à laquelle le barreau de la Drôme participe m’ont écrit pour m’indiquer que cette même tribune était le reflet exact de leur pensée. J’ai certainement employé des mots durs à son égard, mais le terroriste présumé ne sera jamais mon frère, jamais ! Dès lors, comment pourrais-je continuer à exercer ma fonction auprès de confrères qui, d’un côté, s’érigent en grands moralisateurs et, de l’autre, insultent la mémoire des victimes et de leur famille. Tout cela n’avait plus aucun sens. En écrivant de tels propos ou en les approuvant, notre profession se discrédite. Je ne pouvais plus en être l’un de ses représentants."
Romans-sur-Isère - Attentat 2020 : l'état psychiatrique de l'auteur présumé divise
- Dans Grand Valence
- 12h15 - 06/04/2023
Une troisième expertise psychiatrique devrait décider de l'avenir judiciaire d'Abdallah Ahmed-Osman, mis en examen des chefs d'assassinats et tentatives d'assassinats en relation avec une entreprise terroriste. Les résultats sont attendus pour juin, après qu'une première, en décembre 2020, a conclu à l'altération. Les conclusions d'une contre-expertise pencher pour l'abolition du discernement du réfugié soudanais au moment des faits.
Des antécédents psychiatriques
Le 4 avril 2020, armé d'un couteau dans les rues de Romans-sur-Isère, le réfugié soudanais, a tué deux personnes et blessé cinq autres. Le Monde, dans un article publié le 6 janvier et après avoir consulté la contre-expertise, rapporte que le terroriste présumé dit être en proie à des hallucinations auditives. "C'est devenu de plus en plus présent. Au début, elles étaient là le soir puis toute la journée. J'avais très peur chez moi", a confié le Soudanais de 36 ans. Les experts, dans leur rapport, précisent que...
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Cet article est paru dans Peuple Libre du 06/04/23. La suite est réservée à nos abonnés.
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