compteur

samedi 8 avril 2023

Terrorisme : le procès dont plus personne ne parle depuis son ouverture le 3 avril 2023

Il s'agit du procès de djihadistes ayant projeté un attentat en 2019, sitôt après cette publication calomnieuse du duo Pascal Edouard Cyprien Luraghi / Hélène Sergent (la copine de Jawad Bendaoud, logeur des terroristes du 13 novembre 2015) sur le site 20minutes.fr, le 28 janvier 2019, et qui avait justement pour but de relancer toute la merde Luraghi contre moi, avec son lot d'attentats islamistes habituel :

https://www.20minutes.fr/high-tech/2435127-20190128-cyberharcelee-centaines-articles-liaient-histoires-sordides-pedophilie-nom-partout

Je n'ai été avertie de cette publication que le 9 avril 2019 et ai tout de suite écrit à la journaliste (voir ci-dessous). Bien sûr, je n'en obtiendrai jamais aucune réponse correcte, et pour cause : elle n'avait pas été trompée par le mythomane Pascal Edouard Cyprien Luraghi, elle faisait déjà partie de son groupe terroriste depuis bien longtemps et lui avait même conseillé de s'inscrire sur Twitter pour pouvoir mieux se répandre en calomnies à mon encontre et y trouver encore tout un tas de complices, ce qu'il fit dès le mois de février 2019.


Le 09/04/2019 à 21:50, Petitcoucou a écrit :
Bonsoir,

Je viens de lire cet article qui m'a été signalé aujourd'hui même par un lecteur de blog qui est probablement votre soi-disant témoin "harcelé" :

https://www.20minutes.fr/high-tech/2435127-20190128-cyberharcelee-centaines-articles-liaient-histoires-sordides-pedophilie-nom-partout

Je suis la femme censée le harceler. Vous a-t-il montré mon ou mes blogs (c'est le même en trois exemplaires) ? J'y raconte la vraie histoire de ses harcèlements à mon encontre, car c'est bien lui qui me harcèle et non l'inverse. Il me harcèle depuis le début avec tous ses amis qui se disent tous mensongèrement "harcelés" par moi. Pascal Edouard Cyprien Luraghi (je pense qu'il vous a bien donné son nom) n'a toujours eu sur les sites Rue89 et Le Post que des activités de harcèlement en meute avec sa bande de "déconnologues". Ils ont harcelé ensemble de nombreux autres riverains ou posteurs de ces deux sites, également des journalistes, notamment Hugues Serraf que vous pourriez contacter et qui vous confirmerait mes dires. Yann Guégan a été modérateur de Rue89 durant plusieurs années. Il pourrait aussi vous confirmer qu'il a désactivé de nombreux comptes de Cyprien Luraghi sur ce site au motif du "harcèlement personnel" auquel il se livrait contre différents autres internautes.

Par ailleurs, les activités délictueuses de cet individu et de ses complices harceleurs ne s'arrêtent pas à du cyberharcèlement "ordinaire", car il s'agit d'une bande de pirates informatiques qui m'ont toujours piratée depuis le début de leurs harcèlements en bande organisée à mon encontre, en 2008, sur le site Rue89... du fait que je commentais des articles de ce site relatifs au harcèlement moral en entreprise, un problème que je connais bien pour en avoir été victime... Selon eux, le harcèlement moral en entreprise n'existe pas, il n'existerait que des fous ou des folles se plaignant de faits qui n'existent pas. Dès mes tout premiers commentaires sur ce sujet, une des leurs est venue me traiter de folle et cela a toujours continué, ils m'ont toujours tous traitée de folle, allant jusqu'à raconter que j'aurais été un "cas lourd psychiatrique" qui aurait passé la moitié de son temps en hôpital psychiatrique et l'autre à harceler des gens, pas seulement à partir du moment où ils ont commencé à m'accuser de les harceler, c'est-à-dire quand même pas tout de suite mais environ deux ans après le début de leurs harcèlements à mon encontre, quand j'ai commencé à en parler sur le premier blog que j'ai créé, sur OVERBLOG, après avoir été bannie successivement des sites rue89 et Le Post en conséquence de leurs harcèlements à mon encontre. Cyprien Luraghi ne se contentait pas de mes harceler sur ces sites, il en harcelait aussi tous les jours les journalistes et modérateurs en en exigeant mon exclusion, qu'il a obtenue à l'usure de ces personnes qui ont fini par céder à ses harcèlements quotidiens me concernant.

Donc, deux ans après le début de ses harcèlements à mon encontre, faits d'injures et diffamations quotidiennes, de diverses menaces, et surtout de harcèlements très vicieux à l'aide de multiples allusions aux éléments de ma vie privée qu'il obtient pas piratages informatiques et écoutes illégales (il appelle ça son "mimi chatouilleur"), Cyprien Luraghi décide de passer à la vitesse supérieure en révélant au public mon identité, qu'il connaît depuis le début alors que je ne l'ai jamais donnée à personne, mais aussi quasiment toute ma "biographie" selon Josette Brenterch du NPA de Brest qui est la seule personne de son groupe que je connais avant de m'inscrire sur le site Rue89, fin 2007. Cette personne alimente depuis le début tout le groupe LURAGHI en "informations" à mon sujet, qui sont pour la plupart ses propres inventions calomnieuses à mon encontre, mêlées à des éléments vrais, comme l'identité et toutes les coordonnées. Elle est toujours restée dans l'ombre durant les deux premières années de harcèlements. J'avais bien compris dès le début que le groupe LURAGHI me harcelait pour son compte ou celui de son groupe politique, la LCR, sans savoir auquel ou auxquels des militants de la LCR de Brest j'avais affaire. Elle s'est révélée à peine quinze jours après le début des "révélations" publiques me concernant faites par son complice Pascal Luraghi sur deux de ses blogs au mois de juin 2010. Là, les atteintes à l'intimité de la vie privée dont je suis victime sont évidentes : révélation de l'identité, et de tas d'autres éléments de la vie privée, de la vie professionnelle, même de la vie "sentimentale"; en fait, presque tout est faux, on m'invente des amants que je n'ai jamais eus avec tous les détails de nos relations intimes, et même les motifs de rupture pour des liaisons qui n'ont jamais existé (le mythomane est le soi-disant "écrivain" Pascal Edouard Cyprien Luraghi qui ne cesse de mentir et d'inventer n'importe quoi pour me calomnier, tout comme sa complice Josette Brenterch du NPA de Brest). On m'invente toute une vie très éloignée de ma vraie vie en tous ses aspects et on m'accuse mensongèrement d'avoir menti sur ma profession et le fait que j'ai été victime de harcèlement moral en entreprise. Cyprien Luraghi affirme et raconte partout que je m'inventerais une vie qui ne serait pas la mienne sous couvert d'anonymat. Evidemment, c'est faux. Cependant, même si c'était vrai, je ne vois pas en quoi cela pourrait lui porter préjudice, ma vie ne le concerne en rien, et de toute façon, je suis anonyme et n'ai jamais cité personne. Là, deux ans après le début de leurs harcèlements à mon encontre, je suis donc très clairement attaquée par des gens, Cyprien Luraghi en tête, qui n'ont à me reprocher que d'avoir fait quelques commentaires anonymes sur le site Rue89 sur le sujet du harcèlement moral en entreprise, en me présentant comme ingénieur d'études en informatique ayant été victime de tels faits, ce qui est la stricte vérité. Et cela va continuer, publiquement, durant des mois, des années... ce n'est toujours pas fini. A peu près tout ce qu'il vous a raconté est mensonger. Mes commentaires sur le site Rue89 étaient très appréciés par les autres commentateurs du site, également ses journalistes qui en retenaient souvent dans leurs "sélections" de commentaires. A l'inverse, ceux de LURAGHI et ses amis n'étaient quasiment jamais sélectionnés. Cyprien Luraghi est énormément motivé par la jalousie. Sur Rue89, il s'attaquait particulièrement à ceux qu'il appelait les "premiers de la classe", c'est-à-dire ceux qui écrivaient bien, avaient des choses à dire, et voyaient souvent leurs commentaires sélectionnés comme intéressants ou pertinents, ce qui était mon cas.

Je m'arrête là pour l'instant et continuerai si vous me le demandez. Je pourrais alors vous fournir mon témoignage complet, mieux structuré que ce que je viens d'écrire, ainsi que bien des éléments de preuve montrant qui vous ment, et ce n'est pas moi.

Dans l'attente de vous lire, je vous souhaite une bonne soirée.

Bien cordialement,

Petitcoucou.


Noter que le taré qui m'avait avertie de cette publication le 9 avril 2019, manifestement un complice du terroriste Pascal Edouard Cyprien Luraghi ou lui-même, ne l'avait fait que pour m'inciter à y réagir de manière très virulente, il l'avait dit explicitement, il attendait de moi "encore des centaines d'articles de blog"... Pas de plainte, non, mais bien "encore des centaines d'articles de blog"... qui auraient pu justifier une nouvelle plainte contre moi, avec dépôt en fanfare comme d'habitude, cette fois du côté de l'Elysée, donc...

Par ailleurs, mon blog Petitcoucou venait tout juste de réapparaître dans Google après une disparition mystérieuse de trois jours :

http://satanistique.blogspot.com/2019/04/ce-matin-petitcoucou-est-de-retour-dans.html

Mais je subissais exactement la même agression du terroriste islamiste Jean-Marc Donnadieu de Béziers et de son complice journaliste de toujours Jean-Pierre Amarger de Midi Libre depuis le 2 avril 2019, à propos d'une décision de justice remontant à plus de deux ans. Là aussi, on tentait très clairement d'obtenir de ma part des réactions susceptibles de justifier une nouvelle plainte contre moi.

Avertie tout de suite de cette nouvelle publication calomnieuse par Jean-Marc Donnadieu qui attendait que j'y réagisse, j'étais effectivement allée la commenter sur le site Midi Libre (exercice qui me sera rigoureusement interdit sur le site 20minutes.fr où je n'obtiendrai non plus aucun droit de réponse, tandis que les menaces de mort à mon encontre étaient les bienvenues) et commentais aussi sur ce blog en parallèle :

http://satanistique.blogspot.com/2019/04/comment-jean-marc-donnadieu-de-beziers.html

http://satanistique.blogspot.com/2019/04/nemrod34-na-jamais-ete-anonyme-sur.html

http://satanistique.blogspot.com/2019/04/alerte-nouvelles-inventions-de-jean.html

http://satanistique.blogspot.com/2019/04/lescroc-jean-marc-donnadieu-de-beziers.html

http://satanistique.blogspot.com/2019/04/derniere-pirouette-de-lescroc-jean-marc.html

 

On note à un moment donné, le 4 avril 2019, cette intervention du journaliste lui-même dans les commentaires, en réponse à son ami et complice Jean-Marc Donnadieu :

 

Comment Jean-Marc Donnadieu de Béziers saborde tout seul son plan média... dans Folie
– Il y a 13 minutes
Jean Pièrre A. C’était pas une bonne idée et pourquoi faire ?
J’ai du mal à comprendre ?

 

D'où l'on déduit que, très clairement, les deux complices ont publié leur merde à mon encontre avec un objectif précis, mais que le plan ne se déroule pas tout à fait comme prévu et aussi, que le journaliste ne semble pas avoir très bien compris ce que son complice terroriste recherchait vraiment avec cette publication calomnieuse.

Je rappelle ici que le principe de toutes les publications délictueuses dont je suis victime sur Internet depuis 2008 a toujours été le même depuis les toutes premières, celles de "Pomponette75", début septembre 2008, en complicité avec le pervers David Servenay, sur le site Rue89 : on attaque la cible à mort en sachant qu'elle ne pourra pas porter plainte ou en tous les cas pas de manière efficace, du fait qu'on a déjà acheté un paquet de magistrats (ce qui m'a été répété 36000 fois par mes agresseurs, et ce, dès les années 1990, et encore dans les années 2000 à Brest, par exemple par la petite merde Joël Roma lorsqu'il me harcelait lui aussi, et à nouveau dès le début des nouvelles attaques dont j'étais victime sur le site Rue89 en 2008 et 2009), et on attend qu'elle commence à se défendre pour demander à son encontre des sanctions de complices journalistes ou magistrats, alors qu'elle n'a toujours dit que la vérité et n'attaque personne (la pédophilie du cybercriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi, je n'ai commencé à en parler, d'abord assez discrètement, qu'en cours d'année 2019, à cause de la publication du 28 janvier 2019, puis de manière très claire à compter de l'année 2020 seulement).

En multipliant ces publications calomnieuses faites par des journalistes sur des sites d'information d'une autre dimension que leurs propres blogs, mes harceleurs tentaient très clairement de relancer des plaintes contre moi, celles-ci s'accompagnant toujours automatiquement des mêmes cris de victoire du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi, à savoir de nouveaux attentats islamistes.

Et cela devient bien visible dès la mi-avril 2019 :

http://satanistique.blogspot.com/2019/04/terrorisme-une-nouvelle-vague.html

Voilà par ailleurs les trois seuls attentats effectifs répertoriés par Wikipédia pour 2019 :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_d%27attentats_islamistes_en_France

 


Sont détenus à Condé-sur-Sarthe lors de l'attentat du 5 mars 2009 le futur assassin d'Yvan Colonna à la Centrale d'Arles en mars 2022, ainsi que Youssouf Fofana.

L'auteur des faits, Michaël Chiolo, a déclaré vouloir venger son ancien codétenu Cherif Chekatt, auteur de l'attentat de Strasbourg du 11 décembre 2018. Plusieurs détenus l'ont conseillé sur la façon de frapper les surveillants, notamment Jérémy Bailly, un des membres de la cellule terroriste de Cannes - Torcy, également très proche de Larossi Abballa avant qu'il ne devienne en juin 2016 l'assassin des policiers de Magnanville, dont l'un au moins, Jean-Baptiste Salvaing, originaire de Pézenas dans l'Hérault, doit avoir un contentieux avec Jean-Marc Donnadieu, qui a eu assez longtemps une copine résidant à Pézenas, et a aussi très longtemps fréquenté le Cap d'Agde où Jean-Baptiste Salvaing a exercé.

A cette époque, Jean-Marc Donnadieu dit avoir déposé une plainte contre moi, ce qu'il répète encore dans ses commentaires de début avril 2019 sur le site Midi Libre. En fait, il y en a deux, mais elles n'ont jamais quitté son tribunal où elles ont été classées sans suite sans aucune enquête préalable (comme d'habitude, ce sont des plaintes de fou, totalement délirantes, où il ne cesse de mentir et d'affabuler; par exemple, il prétend encore que j'aurais toujours été anonyme sur Internet, ce qui l'empêchait de porter plainte contre moi et l'avait obligé à attaquer mon ancien hébergeur de blog OverBlog à partir de mars 2011, mais que la procédure de son bon ami Pascal Edouard Cyprien Luraghi contre moi à Paris du printemps 2016 au printemps 2018 viendrait enfin de lever mon anonymat... sauf qu'il oublie encore qu'ils l'avaient déjà fait eux-mêmes à compter de juin 2010 sur divers blogs et sites publics, illégalement, bien sûr, et même qu'il a dû répondre en juillet 2011 au Commissariat de Béziers d'une très grosse quantité d'injures, diffamations, menaces et atteintes à l'intimité de la vie privée à mon encontre...).

La première a été introduite par une lettre au procureur de la République de Béziers du 20 novembre 2018, enregistrée le 11 décembre 2018 (classement sans suite du 18 juillet 2019).

Attentat associé, commis par Cherif Chekatt :

En même temps, il fait poursuivre un Strasbourgeois par un de ses amis ou complices, toujours avec son avocat de Béziers Philippe Desruelles... et les crèches et marchés de Noël, c'est bien lui qui s'excite dessus depuis le début... et l'attentat de décembre 2014 à Nantes avait bien été commis par un toxicomane ayant vécu plusieurs années au Cap d'Agde puis à Béziers, où il avait eu des problèmes avec la justice...

La seconde a été introduite par une pré-plainte en ligne du 5 février 2019 (je l'aurais diffamé). Vu que l'auteur a été entendu par la gendarmerie dès le lendemain matin à la première heure, il a sûrement bon espoir que cela va continuer à fonctionner comme il l'entend, mais cela n'ira pas plus loin, cette nouvelle plainte par laquelle il a rappelé la précédente est classée sans suite le 14 mai 2019.

En cette date du 5 février 2019, il s'était saisi de ce texte pour signaler :

http://satanistique.blogspot.com/2019/02/nouvelles-menaces-dattentats-islamistes.html

Où j'avais écrit :

"Il me promet cette fois d’avoir bientôt d’excellentes raisons d’en vouloir aux immigrés, comprenez ceux qu’avec ses potes extrême-gauchistes il manipule pour commettre des attentats islamistes, à la sortie de prison, ou dès le séjour en prison, ou à chacune des étapes de la chaîne déterministe qui en fait des délinquants, puis des djihadistes."

D'où, peut-être, l'attentat du 5 mars 2019 dans la prison de Condé-sur-Sarthe.

Par ailleurs, les menaces étaient bien réelles (voir ci-dessous). 

Ce sont toujours mes harceleurs qui choisissent le timing des attentats, en fonction de ce qu'ils sont en train de comploter contre moi ou attendent de la justice à mon encontre (uniquement des condamnations injustes et injustifiées, pour n'importe quoi, toutes leurs poursuites à mon encontre procèdent toujours du même harcèlement débuté en 2008 sur le site Rue89). Mais pour ce qui est du thème de l'attentat qui de toute façon est bien prévu, j'ai remarqué qu'ils s'inspirent assez souvent de mes réponses ou de mes intérêts du moment.

Voilà donc deux nouveaux attentats qui à mon avis répondent très bien au schéma habituel des attentats organisés par les deux malades mentaux Pascal Edouard Cyprien Luraghi et Jean-Marc Donnadieu et leurs complices cybercriminels.

Au mois de mai 2019, cela se passe à Lyon, puis en octobre 2019 à Paris.

Enfin, les attentats vont bien redémarrer en 2020 grâce au Lyonnais Patrick Baudy qui a accepté de se lancer dans des procédures absolument délirantes à mon encontre à compter du mois de décembre 2019.

Depuis le printemps 2018 et l'échec définitif à Paris du cybercriminel, harceleur, mythomane et calomniateur notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi, qui début mars 2016, suite à l'échec définitif de sa complice la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest à mon encontre à Rennes le 2 décembre 2015, avait recommencé ses publications calomnieuses du genre extrêmement violent et dangereux contre mes proches et moi-même, ce qui m'avait amenée à publier d'assez nombreux textes explicatifs ou rectificatifs (avec 462 articles au total, l'année 2016 reste celle où j'en ai produit le plus, dont 49 en mars, 60 en avril et 64 en mai tandis que les deux complices consultaient un nouvel avocat pour une nouvelle procédure à Paris), en dehors de la procédure engagée dans le Sud contre mon témoin strasbourgeois à la suite de règlements de comptes publics entre Jean-Marc Donnadieu, ses complices prétendument "sceptiques" et lui sur Facebook depuis le début de l'année 2018, il n'y avait eu que les pétards mouillés du même Jean-Marc Donnadieu s'échinant à son tour à relancer toute une procédure contre moi dans l'Hérault. D'où ce très petit nombre d'attentats meurtriers en 2019.

N.B. : Au cours de cette année 2019, Jean-Marc Donnadieu m'avait dit qu'un "fils de" allait déposer plainte contre moi ou venait de le faire. Je n'ai jamais vu la couleur de cette plainte. Peut-être encore un pétard mouillé de la bande...

En revanche, nous avions eu un attentat très bizarre à Brest le 27 juin 2019, celui du Lyonnais Karl Foyer :

http://satanistique.blogspot.com/2019/06/terrorisme-un-truc-de-ouf-brest.html

http://satanistique.blogspot.com/2019/12/ou-lon-reparle-de-karl-foyer-et-de-son.html

Voici la lettre où il expliquait que pour lui tout aurait commencé le 18 avril 2019 vers 23h30 :

https://www.mizane.info/attentat-de-brest-letrange-lettre-de-karl-foyer/

Et encore une tentative contre des policiers, à la Défense, le 13 décembre 2019, jour même où Patrick Baudy avait engagé sa procédure hallucinante à mon encontre  :

http://satanistique.blogspot.com/2019/12/une-attaque-terroriste-la-defense-hier.html

Il s'agissait donc là de l'attentat inaugural de cette nouvelle procédure.

Que se passait-il à Lyon depuis le printemps 2019 ?

Un rapport avec Gaspard Luraghi, fils du psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi, que ce dernier associait déjà à tous ses harcèlements à mon encontre en 2008 et 2009 en l'incitant notamment à y participer lui aussi très activement sur le site Rue89 et quelques autres, ce qu'il faisait au printemps 2009 alors qu'il n'était encore que lycéen ? 

Il vit à Lyon depuis des années.

Par ailleurs, Mohamed Hichem Medjoub, l'auteur de l'attentat du 24 mai 2019 à Lyon, citoyen algérien arrivé en France en août 2017 et resté sur le territoire en situation irrégulière après un refus de titre de séjour suivi de sa désinscription de l'école d'informatique Epitech, aurait délibérément agi peu de temps avant les élections européennes afin de « faire monter le vote populiste et raciste [...] pour pousser les musulmans à la révolte ».

Or, dans son message de menaces à peine déguisé du 4 février 2019, Jean-Marc Donnadieu évoquait Laurent Wauquiez, président du conseil régional d'Auvergne-Rhône-Alpes, qu'il accusait de "dire du mal des immigrés"...

Enfin, le procès contre mon témoin strasbourgeois, initialement prévu en février 2019, avait été reporté une première fois au mois de mai 2019 et une seconde fois au mois d'octobre 2019. Et le 18 décembre 2019, Jean-Marc Donnadieu s'était fait un plaisir de m'annoncer sa condamnation par un commentaire sur cet article :

http://satanistique.blogspot.com/2019/12/une-attaque-terroriste-la-defense-hier.html

Il a depuis été entièrement blanchi en appel, par un arrêt rendu fin novembre 2022, à l'issue d'un nouveau procès s'étant tenu en octobre 2022.

Cette affaire ne me concernait en rien mais était à l'évidence de nature à discréditer mon témoin et peut avoir été montée de toutes pièces, après un éventuel travail de manipulation, uniquement dans ce but.

 


https://www.marianne.net/cinq-hommes-accuses-davoir-projete-un-attentat-djihadiste-pres-de-lelysee-juges-a-paris

 

Cinq hommes accusés d'avoir projeté un attentat djihadiste près de l'Élysée en 2019 jugés à Paris
Vue de la cour d'assises de Paris
Riccardo Milani / AFP 
 

Cinq hommes accusés d'avoir projeté un attentat djihadiste près de l'Élysée en 2019 jugés à Paris

 

Terrorisme

 
Par , Avec AFP

Publié le


Cinq personnes accusées d'avoir planifié une attaque aux abords du palais présidentiel sont convoquées devant la cour d'assises des mineurs spéciale de Paris à compter de ce lundi 3 avril. Ils ont été interpellés entre le printemps et l'été 2019. L'attentat djihadiste a été déjoué par deux membres de la DGSI infiltrés au sein du groupe terroriste.

 

La cour d'assises des mineurs spéciale de Paris a commencé à juger lundi cinq hommes, interpellés en 2019 après une opération d'infiltration d'agents de la DGSI et soupçonnés d'avoir projeté un attentat djihadiste aux abords de l'Élysée. Les accusés, âgés de 17 à 39 ans lors de leur interpellation entre avril et juillet 2019, sont jugés pour association de malfaiteurs terroriste. Quatre comparaissent dans le box, le cinquième libre sous contrôle judiciaire. L'essentiel du procès, prévu jusqu'au 19 avril, doit se tenir à huis clos, du fait de la minorité de deux accusés au moment des faits reprochés.

Les hommes étaient dans le viseur de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) depuis le 1er février 2019 en raison de leur adhésion aux thèses islamistes radicales et au "jihad armé". En raison de sa dangerosité supposée, le groupe avait été infiltré par deux agents du renseignement intérieur. Des écoutes et des propos tenus lors de réunions préparatoires avaient mis au jour, selon l'accusation, "un projet d'action violente ciblant les abords du palais de l'Elysée, les policiers en faction et, éventuellement, des civils sur l'avenue des Champs-Elysées".

Infiltrations

Le 24 avril 2019, un des agents infiltrés, un cyber-patrouilleur agissant sous le pseudonyme d'Abu Mohamed avait annoncé sur un groupe de la messagerie cryptée Telegram avoir fait l'acquisition de deux kalachnikovs, en fait des armes démilitarisées. Il indiquait que les armes avaient été déposées dans un appartement près de la gare du Nord à Paris, sous surveillance.

Deux jours plus tard, deux membres du groupe, Alexandre Benon et Karim Berdjeghloul, accompagnés du deuxième agent infiltré sous le pseudonyme d'Abou Bakr, se sont rendus dans l'appartement. Un troisième homme, Farid X. (identité modifiée), considéré comme l'émir du groupe, n'avait pu honorer le rendez-vous car retenu dans son foyer pour jeunes délinquants. Alexandre Benon et Karim Berdjeghloul avaient été interpellés à leur sortie de l'appartement.

Farid X. l'avait été un peu plus tard dans son foyer et un quatrième homme, soupçonné d'avoir participé au financement du projet, à son domicile. En juillet 2019, un cinquième homme, Adam X. (identité là aussi modifiée), proche de Farid X., avait été arrêté, soupçonné de ne pas avoir dénoncé le projet d'attaque dont il avait connaissance. Avant de l'être dans le cadre de cette affaire, Farid X. avait été arrêté en Allemagne en février 2017, à l'âge de 15 ans, pour avoir tenté de rejoindre la Syrie et combattre dans les rangs du groupe Etat islamique (EI).

 

https://www.leparisien.fr/faits-divers/attentat-dejoue-la-cellule-terroriste-voulait-s-attaquer-a-l-elysee-02-05-2019-8064402.php

Attentat déjoué : la cellule terroriste voulait s’attaquer à l’Elysée

 

Selon l’enquête, les quatre hommes de 17 à 39 ans mis en examen mardi pour terrorisme avaient effectué des repérages autour de la présidence de la République et acquis une kalachnikov.

 

Les personnes arrêtées mardi envisageaient d’attaquer le palais de l’Élysée à la kalachnikov.
Les personnes arrêtées mardi envisageaient d’attaquer le palais de l’Élysée à la kalachnikov. LP/Frédéric Dugit

En garde à vue, ils n'ont pas caché leur adhésion à l'islam radical. Ni leur volonté de commettre une action violente, projet déjà à un stade avancé lors du coup de filet policier. Selon nos informations, les quatre suspects, Alexandre B., Karim B., Anis M. et M.C., interpellés vendredi puis mis en examen mardi pour « association de malfaiteurs terroriste criminelle » et écroués, envisageaient d'attaquer l'Élysée au fusil d'assaut kalachnikov, mais aussi un commissariat de Seine-Saint-Denis.

La date d'un passage à l'acte au début du ramadan a été évoquée lors de leurs discussions. C'est ce qui ressort des investigations des policiers de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), qui ont fait usage de techniques de surveillance très poussées pour mettre hors d'état de nuire ce groupe de fanatiques du groupe État islamique (EI).

Âgés de 17, 26, 38 et 39 ans, les terroristes présumés, domiciliés à Paris, dans le Val-d'Oise et en Seine-Saint-Denis, étaient dans le viseur des enquêteurs depuis le 1er février. Au cours de leurs préparatifs, les suspects ont effectué des repérages rue du Faubourg-Saint-Honoré (8e arrondissement de Paris), où est située la Présidence de la République. Les analyses de leurs téléphones et les surveillances confirment l'existence de ces déplacements destinés, semble-t-il, à observer les rondes des policiers en faction. Dans leurs échanges, des suspects se seraient vantés de bien connaître l'Élysée et auraient évoqué une porte d'entrée de service. Voulaient-ils s'en prendre aux forces de l'ordre, frapper aveuglément ou cibler une personne en particulier ? L'enquête doit encore le déterminer.

Des mosquées également visées

Une certitude : les investigations révèlent que la cellule djihadiste s'est aussi intéressée au commissariat d'Aulnay-sous-Bois. Là encore, des repérages ont été détectés. « Je m'en fiche de tirer sur des flics même s'ils sont musulmans », a d'ailleurs reconnu, en substance, l'un des suspects en garde à vue. D'autres cibles ont été évoquées, tels l'avenue des Champs-Élysées ou… des mosquées, au motif que les musulmans de France seraient trop modérés. Le groupe, qui discutait sur des messageries chiffrées, était parvenu à collecter 1200 euros pour acquérir un fusil d'assaut kalachnikov. Des réunions ont été organisées à Chelles (Seine-et-Marne).

Parmi les quatre suspects, seul le benjamin était connu pour terrorisme. Ancien lycéen fiché S, M.C. avait été condamné en janvier à trois ans de prison, dont deux avec sursis, pour un projet de départ avorté en Syrie en 2017. Le mineur séjournait depuis dans un centre éducatif fermé situé dans une petite commune de la Seine-Saint-Denis. Selon le centre d'analyse du terrorisme (CAT), M.C. avait été intercepté avec un ami plus âgé sur une autoroute d'Allemagne en février 2017 : il avait alors déclaré aux policiers de la DGSI qu'il comptait « rejoindre l'armée syrienne libre, combattre le régime de Bachar el-Assad et faire de l'humanitaire ». Mais les enquêteurs avaient découvert sur son iPhone de nombreuses chaînes Telegram pro djihadistes, des nasheeds (chants guerriers) appelant à « égorger les mécréants » ainsi que, plus inquiétant, des recherches sur des balles 9 mm et une vidéo montrant des policiers du commissariat de Gonesse (Val-d'Oise).

Pas des « menaces en l'air »

Victime d'une enfance chaotique, M.C. est par ailleurs l'auteur d'une fausse alerte à la bombe commise… le 13 novembre 2015 à la gare de Lyon de Paris. C'est en se procurant un téléphone portable, à l'insu de ses éducateurs qui ignoraient sa radicalisation persistante, que le jeune homme serait entré en contact avec ses complices.

Le profil de l'aîné du groupe intéresse aussi les enquêteurs. À 39 ans, Alexandre B. était, selon une source proche des investigations, le membre le plus actif. Cet habitant du 19e arrondissement de Paris était fonctionnaire à la mairie de Paris, recruté en juin 2013 comme adjoint technique à l'entretien d'un stade sportif. Quant aux deux autres suspects, Karim B. et Anis M., ils n'étaient connus que pour délits de droit commun, le premier également pour des troubles psychiatriques. Un proche des investigations l'assure : « Pour nous, cette cellule ne proférait pas de menaces en l'air et allait agir de façon imminente. »

 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire