L’hypothèse n’est pas retenue par les autorités, quoique l’homme ayant apparemment menacé des policiers leur ait dit être un terroriste et avoir agi en tant que tel.
Observons que le malade mental extrêmement dangereux Pascal Edouard Cyprien Luraghi semble avoir retenu son souffle toute la journée d’hier, mais ce n’est peut-être qu’une coïncidence.
En effet, exceptionnellement, il n’a rien posté sur Twitter de toute la journée et n’y est réapparu qu’en fin de soirée pour écrire ceci :
Les sous-merdes existent pour de vrai.
Erratum : « penser à celle d’une secte ».
L’idéologie enseignée par les
tenanciers de la république actuels, fait pas mal penser à une secte de
type scientologique, faut dire.
En réponse à
De but en blanc De pute en plan (version alsacienne)
Je ne m’en approche plus, des psychotiques en décompensation sur internet. Chat échaudé craint l’eau froide.
Il répondait notamment à ce tweet d’une de ses vieilles complices extrêmement malsaines :
https://twitter.com/Ouenja/status/1205578552181178370
Tweeter
Voir les nouveaux Tweets
Conversation
«Les murs écoutent et les putes parlent »
Cyprien Luraghi
@CyprienLuraghi
En réponse à
De but en blanc De pute en plan (version alsacienne)
9:04 PM · 13 déc. 2019·Twitter Web App
Rappelons donc que ce malade mental tente vainement de faire interner en psychiatrie les victimes de ses harcèlements en bande organisée sur Internet comme dans la « vraie vie » et jusque dans les tribunaux depuis maintenant plus de dix ans.
En effet, il avait commencé à rechercher des médecins, particulièrement les miens, et à en exiger des internements en psychiatrie de ses victimes dès le premier semestre de l’année 2009.
Or, sous prétexte que je suis ingénieur alors que je n’ai jamais été qu’une femme, ce qui le dérange au plus haut point, non seulement il me fait passer pour folle depuis tout ce temps, mais il m’a aussi construit une sérieuse réputation de « pute » avec tous ses délires calomnieux à mon encontre.
https://www.lemonde.fr/societe/article/2019/12/13/un-homme-menacant-la-police-avec-une-arme-blanche-a-ete-tue-par-les-forces-de-l-ordre-a-la-defense_6022751_3224.html
Un homme menaçant la police avec une scie a été tué par les forces de l’ordre à la Défense
Echappé d’un hôpital psychiatrique, ce Marocain de 42 ans en situation irrégulière a tenté d’attaquer trois policiers vendredi. Le caractère terroriste n’a pas été retenu.
Un homme qui menaçait des policiers avec une arme blanche a été tué par les forces de l’ordre, vendredi 13 décembre, dans le quartier d’affaires de la Défense, près de Paris, a déclaré la procureure de Nanterre, Catherine Denis.
Echappé le 18 juin d’un hôpital psychiatrique parisien où il avait été admis en 2018, l’homme, muni d’une scie pour plaques de plâtre, s’est approché vers 10 h 20 de trois fonctionnaires de police, en les menaçant de mort, selon les premiers éléments de l’enquête dévoilés par le parquet. Les agents, qui n’ont pas été blessés, « ont fait des sommations à plusieurs reprises, lui demandant de lâcher son arme, ce qu’il n’a pas fait. Il s’est jeté sur eux », a rapporté Catherine Denis. Les trois policiers ont alors ouvert le feu « pour stopper l’individu et éviter de se faire grièvement blesser ou tuer ». « Les fonctionnaires de police ont tiré six balles, au moins l’une d’elles a atteint l’individu », a précisé la magistrate lors d’une conférence de presse.
Inscrit au fichier des personnes recherchées
Les secours sont par la suite intervenus, mais le décès a été déclaré à 11 h 31. Le caractère terroriste n’a pas été retenu pour la tentative de meurtre. L’assaillant, un ressortissant marocain de 42 ans en situation irrégulière, était inscrit au fichier des personnes recherchées depuis son évasion de l’hôpital psychiatrique. Il avait fait l’objet de plusieurs hospitalisations en milieu psychiatrique.
Les faits se sont déroulés voie des Bâtisseurs dans le quartier d’affaires très fréquenté, à l’ouest de la capitale. Les policiers étaient intervenus à la suite de l’alerte d’une hôtesse d’accueil d’une entreprise de La Défense qui avait vu l’homme se frapper la tête contre des vitres. Il avait été vu « depuis quelques jours ou quelques semaines dans le quartier de La Défense et squattait dans les voies souterraines ou les sous-sols », a ajouté la procureure.
De nombreuses attaques ou tentatives d’attaque ont visé ces dernières années les forces de l’ordre en France. Au début d’octobre, un agent administratif de la Préfecture de police de Paris, Mickaël Harpon, avait tué au couteau quatre de ses collègues dans l’enceinte même de la prestigieuse institution, avant d’être abattu.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire