Tiens, c'est drôle, dans la bande Luraghi on m'a plusieurs fois appelée Christine, à commencer par le malade mental Jean-Marc Donnadieu de Béziers, par exemple dans le message rapporté ci-dessous, du 26 juin 2010.
Etant donnés les contenus de ce message, je rappelle quand même que cet individu et ses complices sont constamment dans l'inversion accusatoire à mon égard, que ce sont eux qui jouent et ne cessent de me calomnier tout en multipliant à mon encontre des infractions pénales graves, qu'à cette époque, le sieur Donnadieu venait m'agresser sur mon blog plusieurs fois par jour, en plus d'aller me calomnier sur d'autres sites, par exemple ceux de ses copains "sceptiques", et qu'il reconnaîtra publiquement fin 2011 après avoir enfin réussi sa première escroquerie au jugement contre mon ancien hébergeur de blog OverBlog avoir en fait toujours agi pour le compte de son complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi.
Je ne m'appelle pas Christine.
Je n'ai jamais rien fait de mal ni participé à quoi que ce soit d'illégal, et c'est justement ce qu'on me reproche, la pute Céline Verdier du TJ de Brest en tête.
Pour ce qui est des "putains" et des "maquereaux" de le République, par contre, je suis d'accord.
Concernant leur cynisme aussi.
Et pour ma part, je n'ai jamais évolué dans les plus hautes sphères de l'Etat.
Mais je n'en étais quand même pas très loin, c'est vrai.
Par exemple, je sais bien que durant les premiers mois de 1994, le ministre du Budget Nicolas Sarkozy emmerdait mes harceleurs en leur refusant tout ce qu'ils demandaient, ils me le reprochaient assez... comme si j'en étais responsable, et je n'y étais pour rien...
Comme ils m'accusaient systématiquement de tous leurs déboires dans leurs affaires pourries, alors qu'à chaque fois, je n'y étais vraiment pour rien et n'étais même pas au courant avant qu'ils ne viennent m'en faire reproche et à nouveau me secouer et me menacer de mort, j'en connaissais quand même un rayon.
C'est ainsi que j'ai su aussi que certains d'entre eux avaient eu affaire à la DST après leurs premières tentatives d'assassinat à mon encontre. Ils en étaient outrés... Si on ne peut même plus tuer qui on veut quand on veut, où va-t-on ?
|
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire