C'est une affaire qui avait fait un peu de bruit à Brest il y a quelques mois.
Le procès, attendu depuis le printemps, s'est tenu le 12 septembre dernier et les juges ont rendu leur verdict aujourd'hui, soit 1000,00 € d'amende et autant en dommages et intérêts pour le plaignant, pour des injures publiques "en raison de l'origine, l'ethnie, la nation, la race ou la religion par une personne dépositaire de l'autorité publique" .
On note une grosse différence de traitement de l'information entre Le Télégramme et France Bleu (voir articles ci-dessous).
Lors de son procès, le maire avait maintenu ses propos tout en reconnaissant méconnaître "l'extrême-droite turque la plus violente qui puisse exister", propos injurieux objet de la poursuite.
Il peut faire appel de cette décision.
Quant au plaignant, il compte poursuivre aussi devant le tribunal administratif.
A titre de comparaison, je rappelle tous les procès informels et tout à fait formels auxquels j'ai droit depuis octobre 2004 avec la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest et ses divers complices, tous ne cessant d'inventer absolument n'importe quoi pour me calomnier.
En juin 2005, comme rappelé il y a deux jours, plusieurs d'entre eux avaient fait irruption dans une réunion interne de l'association AC ! Brest dont je faisais alors partie pour nous accuser mensongèrement de n'importe quoi, et notamment d'avoir transformé la permanence de cette association en "succursale du Front national", alors qu'ils ne fréquentaient plus cet endroit depuis au moins un an et ne savaient rien des propos qui pouvaient s'y tenir :
http://satanistique.blogspot.com/2024/09/en-2005-josette-brenterch-ment-ses.html
Et il y a aussi le procès de 2013 pour lequel j'avais eu le même président d'audience que François Cuillandre le 12 septembre dernier, Xavier Jublin, alors que, victime de campagnes de calomnies publiques nominatives absolument immondes depuis juin 2010, j'étais jugée pour avoir osé publier des démentis et droits de réponse : 20.000,00 € d'amende dans ce cas, avec un supplément de 10.000,00 € d'amende en 2015 pour avoir encore osé contester être une prostituée (je suis ingénieure), sans compter les dommages et intérêts pour la soi-disant victime de mes contestations et démentis concernant toutes ses affabulations délirantes, calomnieuses et particulièrement infamantes à propos de ma vie privée, ainsi que les frais de publicité de cette condamnation de la victime, soit 10.000,00 € de mieux, pour un total de 40.000,00 € avant que toutes ces condamnations ahurissantes ne soient annulées en appel.
En sachant que les mêmes m'interdisent de travailler et me maintiennent dans une situation d'isolement total depuis des années après avoir aussi tenté de m'assassiner à plusieurs reprises pour avoir jadis dérangé leurs activités criminelles en refusant d'y participer, sans compter qu'ils s'attaquent aussi à tous mes proches pour les assassiner :
https://satanistique.blogspot.com/2024/09/en-2010-josette-brenterch-ment-toujours.html
Ce qui nous donne des procès et décisions historiques en matière de liberté d'expression, droit de la presse et cyberharcèlement qui ne sont jamais évoqués par aucun média, et surtout pas les journaux locaux, sauf Le Télégramme au lendemain de mon procès du 9 avril 2013 et quelques autres journaux sollicités par mes harceleurs à seule fin de me calomnier :
http://satanistique.blogspot.com/2024/09/de-la-censure-privee-sur-internet.html
https://satanistique.blogspot.com/p/11-avril-2018-cyprien-luraghi-encore.html
Lire ou relire :
http://satanistique.blogspot.com/2024/04/autre-affaire-sensible-brest-celle-du.html
http://satanistique.blogspot.com/2024/05/francois-cuillandre-contre-le-berger-du.html
http://satanistique.blogspot.com/2024/05/affaire-du-berger-du-quartier-contre.html
Injure publique : le maire de Brest François Cuillandre condamné à une amende de 1 000 € par le tribunal
Poursuivi par « Le Berger du quartier » après un échange houleux en conseil municipal en mai dernier, François Cuillandre a été condamné pour injure publique par le tribunal de Brest ce jeudi.
Ce jeudi 26 septembre 2024, le tribunal a condamné le maire de Brest, François Cuillandre, à une amende de 1 000 € pour injure publique. Les faits remontaient au conseil municipal du 6 février dernier, où Nazim Yenier, visage des Bergers du quartier, avait interpellé les élus de la majorité brestoise sur le désarroi de Laurence Le Lirzin, dont la mère a été tuée en mars 2023 lors d’un rodéo urbain à Pontanézen. « Qui se cache derrière le masque du berger ? Entre nous, l’extrême droite turque la plus violente qui puisse exister », avait alors assuré François Cuillandre au micro. Des propos jugés « injurieux » par Nazim Yenier, qui a engagé une procédure de citation directe pour diffamation.
Les deux parties se sont retrouvées le 12 septembre dernier pour que l’affaire soit jugée sur le fond, après une audience relais en juillet. Lors de ce face-à-face, le maire de Brest avait refusé de présenter ses excuses au « Berger du quartier » : « Je maintiens mon propos dans le contexte. Il y a le contexte et parfois des réponses brutales. Il y a dix jours j’ai été menacé de mort encore une fois. C’est ça ce qu’on vit. Il y a un moment, ça suffit »
Le maire de Brest François Cuillandre condamné pour injure publique
Le tribunal judiciaire de Brest a condamné jeudi le maire François Cuillandre, cité à comparaître par un citoyen s'estimant victime d'une injure publique. Lors d'un conseil municipal en février, l'élu socialiste l'avait assimilé à "l'extrême droite turque la plus violente qui puisse exister".
François Cuillandre, 69 ans, a été condamné à 1.000 euros d'amende par le tribunal de Brest jeudi 26 septembre. Le maire de la ville a été reconnu coupable d'injure publique "en raison de l'origine, l'ethnie, la nation, la race ou la religion par une personne dépositaire de l'autorité publique". La justice avait été saisie par le fondateur des Bergers du quartier, un collectif contre l'insécurité.
Déjà condamné en novembre 2023 pour recel d'abus de confiance dans l'affaire Vivre à Brest, l'élu devra aussi verser 1.000 euros au plaignant, qui envisage désormais de demander des dommages et intérêts devant le tribunal administratif de Rennes. François Cuillandre a toutefois encore la possibilité de faire appel sous dix jours.
Le 6 février 2024, Nazim Yenier avait interrompu le conseil municipal pour critiquer l'inaction selon lui de la municipalité après la mort de Cécile Le Lirzin, une octogénaire percutée par deux adolescents à moto le 22 mars 2023 dans le quartier de Pontanézen. Au retour d'une suspension de séance, le maire de Brest avait alors prononcé cette phrase : "Qui se cache derrière le masque du berger ? Entre nous, l'extrême-droite turque la plus violente qui puisse exister."
"Pas un spécialiste de la Turquie"
Lors de l'audience, le jeudi 12 septembre, le maire avait avoué avoir "improvisé, sous le coup de la colère", trouvant "inadmissible qu'un citoyen intervienne de cette manière". Sans regretter pour autant ses propos, et en refusant de s'excuser. Interrogé par le président du tribunal Xavier Jublin sur le sens de sa comparaison hasardeuse, François Cuillandre avait assuré ne pas connaître les Loups Gris, mouvement fasciste et terroriste turc. "Je ne suis pas un spécialiste de la Turquie, monsieur le président", s'était-il défendu.
Le maire de Brest avait aussi rappelé les attaques répétées de Nazim Yenier sur les réseaux sociaux, sa vidéo avec un youtubeur proche d'Alain Soral, ou encore celle appelant à faire battre le candidat du Nouveau Front Populaire Pierre-Yves Cadalen dans l'entre-deux-tours des élections législatives cet été. "Si ce n'est pas d'extrême droite, je n'y connais rien à la politique !" Et François Cuillandre de cingler : "Être d'extrême droite, dans le monde que l'on vit, ce n'est pas une insulte." Mais "extrême droite turque la plus violente qui soit", si, ont manifestement estimé les juges.
Le maire de Brest a-t-il injurié le « Berger du quartier » ? Le tribunal tranchera fin septembre
François Cuillandre, maire de Brest (Finistère), comparaissait au tribunal judiciaire pour injure publique à l’encontre de Nazim Yenier, qualifié par l’élu de personne appartenant « à l’extrême droite turque la plus violente », à la suite d’une intervention du « Berger du quartier » en conseil municipal.
Ce jeudi 12 septembre 2024, François Cuillandre, maire de Brest (Finistère), comparaissait au tribunal judiciaire pour injure publique en raison de l’ethnie, l’origine, la nation, la race ou la religion, par personne dépositaire de l’autorité publique. C’est un citoyen brestois, connu sur les réseaux sociaux en tant que « Berger du quartier », qui a saisi le tribunal, s’estimant victime de ces faits.
Le 6 février 2024, le conseil municipal avait été interrompu quelques minutes, après la prise de parole, sans y avoir été invité, d’un membre du public, Nazim Yenier. Lors de la reprise de la séance, François Cuillandre l’avait alors assimilé à « l’extrême droite turque la plus violente qui puisse exister ».
Ce jour-là, le « Berger » était venu avec des membres de la famille d’une victime d’un drame survenu dans un quartier, pour reprocher, notamment, un manque de soutien supposé du maire envers les proches de la victime, une octogénaire décédée lors d’un rodéo urbain.
« Mes proches étaient très inquiets »
Aujourd’hui, il s’estime victime d’une « double peine, en tant que turc et en tant que français depuis 19 ans », en raison des propos du maire. Selon lui, « l’extrême droite turque la plus violente qui puisse exister » renvoie « aux Loups gris, des assassins génocidaires. Mes proches étaient très inquiets. Être associé à cette organisation terroriste par le maire de la ville, c’est terrible ».
François Cuillandre, lui, a insisté, lors de l’audience, sur le contexte, cette prise de parole qu’il juge virulente, alors même que l’intervention lui avait été refusée, comme c’est de droit, par écrit. « Le conseil municipal n’est pas une réunion publique, mais une réunion ouverte au public. »
Sur le fond, le maire a démenti tout caractère injurieux dans ses paroles. « Il tient des propos d’extrême droite et ce n’est pas une injure dans le monde dans lequel on vit, c’est une réalité. »
L’élu nie toute allusion aux Loups Gris
Concernant la suite des propos, le nœud du problème, l’élu nie toute allusion aux Loups Gris. « Je n’ai jamais eu l’intention de dire qu’il a commis un génocide. La violence peut aussi être verbale, ou écrite. Sur son blog, il insulte la police, la justice. »
Quant au caractère raciste invoqué par Me Rustique, avocat de Nazim Yenier, en raison de la mention à son origine, il s’en défend totalement. « Lui-même se revendique Turc », abonde l’avocat du maire, Me Leyer, citant des propos publiés sur internet.
S’agissant d’une citation directe, c’est-à-dire que les poursuites n’ont pas été déclenchées par le procureur mais par une personne s’estimant victime, le parquet ne s’exprime pas à l’audience. Il n’a donc pas requis de condamnation ou de relaxe.
Le tribunal se laisse jusqu’au 26 septembre 2024 pour trancher dans cette affaire, date à laquelle il rendra son délibéré.
François Cuillandre contre le « Berger du quartier » : l’affaire sera jugée le 12 septembre 2024
Une nouvelle audience était fixée ce jeudi 4 juillet, mais elle ne visait qu’à programmer la « vraie » date du procès. Mis en cause pour injure publique, le maire de Brest comparaîtra donc le 12 septembre 2024.
L’audience avait été fixée au 4 juillet 2024, mais il s’agissait en réalité d’une audience « relais », visant à programmer la « vraie » date du procès. L’affaire opposant Nazim Yenier, connu sur les réseaux sociaux sous le nom de « Berger du quartier », au maire de Brest, François Cuillandre, sera donc finalement jugée le jeudi 12 septembre 2024.
Dans ce dossier, c’est le maire de Brest qui est poursuivi en justice, pour injure publique à l’encontre de Nazim Yenier. Ce dernier a fait le choix d’une citation directe devant le tribunal correctionnel, c’est-à-dire sans passer par un dépôt de plainte. Pour « garantir le sérieux » de sa démarche, il avait d’ailleurs dû verser une caution de 1 000 € lors d’une audience dite de consignation, le 6 mai dernier.
Ce qu’il reproche au maire et président de la métropole ? De l’avoir assimilé à « l’extrême droite turque la plus violente qui puisse exister », lors du conseil municipal du 6 février 2024. Auparavant, le « Berger » avait pris la parole sans y avoir été invité pour invectiver François Cuillandre et son équipe, leur reprochant, entre autres, une supposée « inaction » et un manque de soutien de l’équipe municipale à l’endroit des proches de la victime d’un fait divers.
Dans la foulée, le maire de Brest avait saisi le procureur de la République pour souligner « des propos irrespectueux et menaçants » lors de ce fameux conseil.
François Cuillandre accusé de diffamation : l’audience sur le fond fixée au 12 septembre 2024
Le « Berger du quartier », Nazim Yenier poursuit François Cuillandre pour diffamation, après un échange houleux en conseil municipal, en février dernier. L’affaire sera jugée le 12 septembre prochain.
Leur face-à-face attendra la rentrée prochaine. Ce jeudi 4 juillet 2024, l’affaire opposant Nazim Yenier, qui se présente comme « le Berger du quartier » sur les réseaux sociaux, et François Cuillandre, le maire de Brest, figurait au rôle de l’audience correctionnelle. Mais il ne s’agissait que d’une audience relais, destinée à fixer une date pour juger les faits.
Ces derniers remontent au conseil municipal du 6 février dernier, où Nazim Yenier avait interpelé les élus de la majorité brestoise sur le désarroi de Laurence Le Lirzin, dont la mère a été tuée en mars 2023 lors d’un rodéo urbain à Pontanézen. « Qui se cache derrière le masque du berger ? Entre nous, l’extrême droite turque la plus violente qui puisse exister », avait alors assuré François Cuillandre au micro.
Des propos jugés « injurieux » par Nazim Yenier, dont le conseil Pierre-Hector Rustique avait choisi d’engager une procédure de citation directe pour diffamation. La Ville avait, de son côté, saisi le procureur, arguant que l’intervention de M. Yenier s’était produite « dans le plus total irrespect de la loi et du règlement intérieur de l’assemblée ».
Les deux parties se retrouveront le 12 septembre prochain, date à laquelle les accusations de diffamation seront jugées sur le fond.
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