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lundi 2 septembre 2024

De la censure privée sur Internet : première tentative entre 2010 et 2015

Voici des pièces attestant de ce que j'ai déjà expliqué plusieurs fois en ce qui concerne la procédure de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest à mon encontre et contre mon ancien hébergeur de blog OVERBLOG, celle qui avait alarmé la Quadrature du Net comme de nombreux professionnels d'Internet à l'issue du procès de première instance, le tribunal correctionnel de Brest ayant prononcé le 11 juin 2013 une condamnation conforme aux demandes de la criminelle en question, laquelle a toujours exigé de tous d'être obéie au doigt et à l'oeil, peu lui important les lois en vigueur dans ce pays :

https://www.citoyens-et-francais.fr/article-l-assemblee-nationale-doit-dire-non-a-la-censure-privee-122129557.html

Elle obtenait sans grande difficulté ce qu'elle voulait des journalistes et modérateurs des sites Rue89 et Le Post dans la période où je m'y suis exprimée anonymement, entre 2008 et 2010, c'est-à-dire me faire taire ou harceler par ses complices de la bande de cybercriminels du pédocriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi, alors que je restais totalement muette à propos de ma participation aux activités de l'association AC ! Brest en 2004 et 2005 et de toutes ses saloperies à mon encontre à cette époque, ne citant aucune des personnes qui y avaient été mêlées de près ou de loin, mais elle était tombée sur un os avec le juriste d'OVERBLOG qui se conformait à ses obligations légales sans les dépasser.

Aussi, elle avait demandé avec succès à ses amis et complices du TGI de Brest de lui imposer ses volontés par une condamnation en correctionnelle qui sera fort heureusement annulée en appel à Rennes le 2 décembre 2015.

La question était en soi suffisamment importante pour que les promoteurs de cette censure privée, en tête desquels la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, aient aussi organisé les attentats islamistes de janvier 2015 à Paris, sur le thème principal de la liberté d'expression, contre laquelle ils entendaient lutter. Avec l'attentat contre Charlie Hebdo, ils pensaient rallier à leur cause l'opinion publique, mais avaient obtenu l'effet inverse : tout le monde était devenu Charlie et la liberté d'expression en était sortie renforcée, au moins sitôt après les attentats.

Les pièces publiées ci-dessous sont extraites du dossier de l'information judiciaire correspondante, laquelle est terminée depuis très longtemps, comme l'intégralité des procès y afférents.

Elles montrent notamment comment cette procédure fut entièrement illégale, puisque la juge d'instruction s'était autosaisie des poursuites par la jonction de pièces à laquelle elle avait procédé en date du 13 décembre 2011, après avoir constaté que la plainte avec constitution de partie civile de Josette Brenterch portait sur des faits présumés d'injures et diffamations tous prescrits, outre qu'elle était aussi frappée de nullité et aurait dû être rejetée pour ce motif par le doyen des juges d'instruction Raymond André.

Mais qu'à cela ne tienne, elle continuera à prospérer envers et contre tout, faits réels et lois de la République française, à la manière d'un bulldozer au conducteur totalement sourd et aveugle, jusqu'à la condamnation du 11 juin 2013.

Par ailleurs, au moins aussi grave, si l'on se penche sur les contenus qui m'étaient reprochés, on s'aperçoit qu'il s'agissait d'une de mes plaintes publiques contre les écrits publics de mes harceleurs sur leur blog principal, celui du malade mental et terroriste en chef Pascal Edouard Cyprien Luraghi.

J'avais aussi déposé auprès des magistrats brestois une plainte en bonne et due forme pour les mêmes faits, en l'occurrence des propos publics concernant mes présumés "amants" au cours d'années très antérieures à celles où j'ai connu Josette Brenterch, en 2004 et 2005. 

Entre autres, il était question de l'année 1994. Or, cette année-là, je ne résidais pas en Bretagne et ne connaissais pas encore Josette Brenterch dont je n'avais jamais entendu parler. Comment pouvait-elle donc informer ses complices Cyprien Luraghi et Jean-Marc Donnadieu sur ma vie privée en 1994 ? En déposant plainte contre moi en 2015, le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi confirmera que Josette Brenterch était bien la personne qui avait toujours été sa source de soi-disant "informations" à mon sujet. C'est bien elle qui dès juin 2010 lui avait aussi indiqué que j'aurais eu pour "amant" à Brest un de ses anciens sbires de la LCR, le dénommé Joël Roma, une invention pure et simple dont elle avait été l'auteure au printemps 2005, dans le but de nous discréditer l'un et l'autre alors que nous étions en conflit, et qu'elle continuait donc à diffuser et même à faire publier par son complice le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi plus de cinq ans plus tard.

Quasiment tout ce que Josette Brenterch faisait publier ou publiait elle-même à mon sujet était entièrement faux, mensonger, calomnieux, tout en portant de manière manifeste sur l'intimité de ma vie privée et posant de sérieuses questions pour tout ce qui ne relevait pas de mon activité bénévole dans l'association AC ! Brest en 2004 et 2005, puisqu'en principe, c'est bien tout ce qu'elle pouvait connaître à mon sujet.

En date du 13 décembre 2011, les magistrats brestois étaient déjà bien informés de tous les problèmes que posaient les publications me concernant du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi et de tous ses complices "déconnologues", dont, notamment, la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest, laquelle les "informait" tous à sa manière depuis le début de leurs cyberharcèlements à mon encontre, en 2008.

La juge d'instruction Mathilde Boissy relit alors ce texte que j'ai publié le 23 juillet 2011, incluant les commentaires publics du blog Luraghi ayant suscité ma réaction, constate qu'il est encore question de mes "amants", que mes harceleurs disent publiquement rechercher, mais n'y voit pas le moindre inconvénient...

Je rappelle ici que les magistrats brestois sont à cette époque depuis déjà très longtemps très bien informés sur ma personnalité, ma famille, mon passé scolaire comme mon passé professionnel, notamment pour l'année 1994, qui était aussi celle des négociations du fameux "réseau K" pour les contrats d'armement Augusta et Sawari II.

Les frégates de Taïwan ne sont pas tellement mon problème, mais ces deux contrats-là, si.

Ils restent aussi le problème de nombreuses autres personnes, dont la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest et ses complices les magistrats ultra corrompus du TJ de Brest.

D'où leur volonté commune de diffuser ou faire publier par le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi des montagnes de calomnies à mon encontre, après avoir déjà organisé plusieurs tentatives d'assassinat contre mes proches et moi-même.

Toutes les "histoires de cul" que le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi diffuse à mon sujet sont inventées. Pratiquement dès le début, il avait expliqué à ses lecteurs ou complices que c'est ainsi qu'il faut faire pour discréditer les ingénieurs, son but me concernant.

En revanche, il a effectivement recherché tous mes proches, mes parents, mes amis et mes anciennes connaissances comme étant autant de témoins gênants de ma vraie vie, afin de tous les assassiner. Il doit encore en chercher, peut-être sur Telegram...

Comme en 1994 je travaillais encore sur un projet classé de la Défense nationale, il vise tout particulièrement des militaires.

Aussi, quand, le dimanche 11 mars 2012, j'ai vu passer la toute première dépêche AFP concernant l'assassinat d'un militaire à Toulouse, j'ai compris tout de suite de quoi il retournait : c'est ce que je craignais depuis toutes les "révélations" publiques me concernant, à compter de juin 2010, et j'en avais bien averti les magistrats brestois. Non seulement, dès le départ, ils ne pouvaient pas ignorer la gravité de tous les problèmes qu'allaient poser les publications du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi à mon sujet, compte tenu de mon passé professionnel, mais de plus je les avais bien tout spécialement alertés à ce sujet, et plus d'une fois : prévenu de ce qui se passait dès l'été 2010, le juge Raymond André aurait dû réagir positivement au plus vite, mais non... il était déjà très impliqué dans l'affaire de l'attentat de Karachi du 8 mai 2002 et avait décidé de passer à la vitesse supérieure avec la criminelle Josette Brenterch et tous ses complices... notamment en dissuadant des avocats brestois de me défendre dès l'été 2010...

Un mois plus tôt, en février 2012, j'avais été menacée du "virgule" dans les commentaires sur le blog de Jérôme Pierrat, "Dernières nouvelles du milieu", où le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi était allé me dénoncer comme "poukave", de la même manière qu'il m'avait aussi dénoncée comme "mécréante" sur des sites islamistes dès l'automne 2010. 

C'est bien ce calibre, le 11,43, qui a été utilisé par Mohammed Merah pour ses assassinats de mars 2012. Et j'avais bien son frère sur mon blog depuis l'automne 2010, j'en suis certaine.

Cependant, ces dénonciations publiques du malade mental Pascal Edouard Cyprien Lyraghi incitant sur divers sites à mon assassinat comme "mécréante" ou "poukave" ne sont à mon avis pas des causes mais des annonces. La préparation de ses attentats avait déjà commencé au mois de juin 2010, avec toutes les "révélations" publiques me concernant, simultanément à la sortie du premier numéro du magazine "Inspire" d'Al-Qaïda.

Bien évidemment, les putes Mathilde Boissy, Muriel Corre sa remplaçante à Brest après l'été 2012, et Céline Verdier, en poste à Brest depuis 2008 sous la férule de l'assassin d'ingénieurs Raymond André après un premier poste de juge des enfants à Cherbourg, étaient bien au courant de tout cela, comme tous leurs collègues de Brest et Quimper. J'avais en effet déposé des plaintes en temps et en heure. Elles avaient toutes été jetées, d'abord pour le parquet par François Dresen en 2011 alors que Frédéric Mitterrand était annoncé à Brest, puis par la pute Céline Verdier à partir de 2012, et la chambre de l'instruction de la Cour d'appel de Rennes comprenant toujours Bruno Crépin qui rigolait à propos des attentats islamistes les suivra à l'automne 2015, la confirmation de la condamnation du 11 juin 2013 étant alors très attendue par tous ces magistrats ultra corrompus et très impliqués dans l'organisation des attentats islamistes du pédocriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi. 

Deux d'entre eux décédaient en août et octobre 2015 avant même les résultats du procès en appel :

http://satanistique.blogspot.com/2016/03/deces-de-mathilde-boissy-ancienne-juge.html

http://satanistique.blogspot.com/2022/07/deces-de-lancien-magistrat-brestois.html

La première est morte en octobre 2015 des suites d'un cancer que l'on sait très facilement provoquer. Le second aussi très probablement. Ils n'étaient plus ni l'un ni l'autre dans la mafia brestoise et c'est sans doute ce qui les a perdus.

Quant au juge Raymond André, il est décédé de manière inattendue d'une maladie "foudroyante" en février 2019, tout juste trois jours après que l'affaire de ses complices de la Ligue du LOL eut éclaté :

http://satanistique.blogspot.com/2019/02/obseques-du-juge-brestois-raymond-andre.html

Bruno Crépin s'est quant à lui révélé par la suite être au service des pédocriminels :

http://satanistique.blogspot.com/2022/08/bruno-crepin-ancien-magistrat-rennais.html

Il s'agissait très probablement lui aussi d'un complice du Rennais Dominique Le Brun alias Charles Mouloud, comme nous l'avons montré ici :

http://satanistique.blogspot.com/2024/06/pedocriminalite-helene-pelosse-donne.html

Or, le blogueur de Rue89 "Charles Mouloud" avait commencé à m'attaquer et me faire harceler par toute la bande de "déconnologues" de son ami le pédocriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi au mois de juillet 2008 pour le compte de ses deux bons amis brestois la criminelle prétendument "révolutionnaire communiste" Josette Brenterch et le pédocriminel également très proche de l'extrême-gauche Serge Rodallec, ce dernier étant alors en cavale depuis 2005, en Thaïlande où il sera retrouvé en janvier 2010 sous une fausse identité.

Politiciens, avocats et magistrats bretons comptent plusieurs pédocriminels qui eux aussi vont tous en Thaïlande.

A mon avis, ils sont encore en train de chercher à défoncer ou identifier pour les éliminer des témoins gênants de toutes leurs exactions. Le silence est exigé...

 

N.B. : Quand on voit les documents publiés ci-dessous, on peut se demander si j'ai eu un avocat durant cette procédure. La réponse est oui, il s'agissait de Maître Vincent Omez des barreaux de Brest et Quimper que j'avais saisi quelques mois plus tôt pour qu'il dépose une plainte ou engage une procédure en mon nom contre Josette Brenterch et ses complices cybercriminels de la bande du pédocriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi. Je l'avais payé à cet effet, mais il n'en a jamais rien fait. Je l'ai aussi payé pour qu'il me défende contre Josette Brenterch dans sa procédure délirante à mon encontre, mais... déjà il ne m'a jamais informée de rien avant la fin de l'information judiciaire... or, il est bien évident que si j'avais su sur quelles bases j'étais poursuivie, j'aurais demandé tout de suite une annulation de la procédure et de ma mise en examen sitôt après celle-ci en janvier 2012... Et cela a continué jusqu'au procès où sa plaidoirie sans aucune défense au fond n'était pas du tout ce qui était prévu... En fait, tout comme les magistrats brestois, il travaillait lui aussi pour la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest et tous ses complices pédocriminels, violeurs, proxénètes, trafiquants de drogue, trafiquants d'armes et terroristes islamistes. Il a pris mon argent non pas pour me défendre mais pour me faire condamner.

On peut dire que c'est un escroc, quand même, non ? Il est aussi complice de tous les crimes de mes harceleurs, non seulement contre mes proches et moi-même, mais aussi contre toutes leurs autres victimes.

Changer d'avocat avant le désastre de 2013 ? A Brest, les autres avaient déjà tous refusé de me défendre.

J'ai le tort d'être ingénieur et d'avoir travaillé sur des projets classés de la Défense nationale qui ont énormément dérangé les complices trafiquants d'armes de la criminelle Josette Brenterch du NPA de Brest... et toute la mafia brestoise...

Ce sont vraiment eux, magistrats y compris, qui organisent tous les attentats islamistes qui perturbent la France et les Français depuis des années, avec le malade mental et pédocriminel Pascal Edouard Cyprien Luraghi.







 

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