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lundi 23 septembre 2024

Josette Brenterch ment à la police

Je poursuis mes publications de pièces attestant des divers mensonges et inventions calomnieuses de Josette Brenterch à mon encontre auprès des autorités judiciaires, travail commencé avec cet article publié le 21 septembre 2024 :

https://satanistique.blogspot.com/2024/09/josette-brenterch-ment-aux-autorites.html

Voilà donc les principales pièces du dossier de l'enquête de police menée à la suite de sa plainte du 26 novembre 2010 à mon encontre, extraites du dossier de l'information judiciaire où elles avaient enfin été cotées en 2014, sur ordre de la juge d'instruction Céline Verdier ayant volontairement et illégalement retardé cette cotation de deux ans, avant qu'une copie de la totalité de ce dossier tel que constitué après la fin de l'information judiciaire en question ne me fût communiquée au cours de l'été 2014 - je précise ici qu'ayant de nouveau pu consulter ce dossier d'information judiciaire au greffe où il se trouvait à la cour d'appel de Rennes un an plus tard, j'y découvrirai encore de nouvelles pièces cotées à ce dossier après sa communication à mon avocat après la fin de l'information judiciaire à l'été 2014...

Ce dossier d'enquête de police comprend un compte rendu d'enquête après identification établi le 18 avril 2011, trois PV d'auditions, des 26 novembre 2010, 7 décembre 2010 et 25 mars 2011, un avis à magistrat, du 31 mars 2011, et la décision de classement sans suite, du 10 mai 2011, outre les pièces jointes aux deux premiers PV, non publiées ici car d'un intérêt mineur pour la présente démonstration.

J'ai déjà dit dans mon précédent article quel est le principal mensonge de Josette Brenterch dans sa plainte initiale : elle prétend avoir eu connaissance d'un blog où elle serait "diffamée" car des tiers l'en auraient informée, alors qu'en réalité elle vient elle-même tous les jours en commenter des articles depuis le début de l'été 2010 tout en dirigeant ailleurs de très violentes campagnes de calomnies publiques nominatives contre l'auteur de ce blog, moi-même, et que naturellement je n'avais jamais cité nulle part Josette Brenterch avant le début de sa campagne de calomnies publiques nominatives de l'été 2010 à mon encontre.

Mieux encore : au mois de juin 2010, elle s'est en fait révélée comme étant l'instigatrice de tous les harcèlements dont j'étais victime de la part du malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi et de sa bande de cybercriminels dits "déconnologues" depuis l'été 2008.

Et contrairement à ce qu'elle déclare mensongèrement à le police le 26 novembre 2010, elle ne m'a pas identifiée comme étant l'auteur de mon blog à ma manière de rédiger, mais en suivant tous mes faits et gestes sur Internet grâce aux piratages informatiques qu'elle a toujours fait pratiquer à mon encontre par ses sbires depuis 2005.

Enfin, tout ce que j'ai pu publier la concernant en réponse à ses montagnes de calomnies publiques à mon encontre est très précis et rigoureusement exact.

Ainsi, par exemple, ne l'ai-je jamais accusée d'avoir tué des gens elle-même : je ne sais que trop qu'elle a pour habitude d'utiliser des psychopathes pour commettre tous ses crimes.

Interrogée le 7 décembre 2010 par la police, j'ai répondu aux questions qui m'étaient posées et ai moi-même porté plainte pour toutes les calomnies publiées sur mon compte avec révélation de mon identité et de mes coordonnées à compter du 19 juin 2010, et fourni des preuves montrant que ces publications étaient bien antérieures à celles dont se plaignait Josette Brenterch, dont je n'avais "révélé" l'identité, comme déjà expliqué précédemment, qu'à partir de fin août 2010, après qu'elle l'eût fait elle-même sur les blogs où elle me calomniait et me harcelait sous pseudonyme depuis fin juin 2010.

Interrogée le 25 mars 2011 à la suite de ma plainte, Josette Brenterch ment encore : elle reconnaît alors avoir bien écrit des commentaires me concernant sur les blogs cités, mais prétend m'avoir seulement "taquinée" en réponse à mes propres accusations contre elle, portant, dit-elle, sur l'assassinat de ma famille.

Voilà les tout premiers commentaires publics de Josette Brenterch sur l'un des blogs en question, le 30 juin 2010 :

 

 


J'ai dû y masquer mon nom cinq fois, car contrairement à ce qu'elle prétend lors de son interrogatoire du 25 mars 2011, elle me citait bien nommément dans tous les commentaires publics où elle me calomniait. On notera encore qu'elle y parle de "bouts de sa vie" vus non seulement par moi mais par d'autres personnes, ainsi que de "vielles gazettes" dont je serais l'auteur. Je ne sais ce que c'est, ni si je suis vraiment l'auteur des textes ou propos évoqués, personne ne les ayant jamais précisés. Vraisemblablement, il s'agit de textes ou de courriers électroniques relatifs aux conflits qui nous opposaient en 2005 dans le cadre de nos activités respectives dans l'association AC ! Brest, et remontant à cette époque. J'ignore comment le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi a pu y avoir accès, peut-être tout simplement grâce à ses piratages de mon ordinateur. Précisons qu'il est parfaitement capable de rechercher et contacter des gens susceptibles d'être concernés par les contenus qu'il trouve dans les ordinateurs qu'il pirate, pour les interroger à propos desdits contenus, sans leur préciser d'où il les tient, ou en leur mentant à ce sujet. Même chose pour les conversations privées qu'il écoute illégalement, je m'en suis rendu compte plus d'une fois, toujours à mes dépens.

Ces commentaires de Josette Brenterch du 30 juin 2010 sous le pseudonyme de Chepita sur le blog Tique Toc de son complice Pascal Edouard Cyprien Luraghi faisaient suite à cette publication de ma part, du 26 juin 2010 (cliquer sur l'image pour l'agrandir et lire le texte) :

 

2010-06-26 Sur mon état de santé - Un petit coucou


J'y démentais être atteinte d'une quelconque maladie mentale, après que le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi eut publié ce genre d'allégations à mon sujet, en indiquant tenir ses "informations" me concernant de source sûre, sans autre précision, sinon qu'il conversait par téléphone avec sa source.

Après mon démenti public, l'affabulatrice d'habitude Josette Brenterch faisait donc sa toute première apparition sur l'un de ses blogs pour venir elle-même confirmer ses propos me concernant, bien évidemment mensongers.

Cela n'avait rien à voir avec d'éventuelles accusations contre elle de ma part, je ne la citais de toute façon dans aucun de mes textes, ne sachant pas encore quelle était la source des soi-disant "informations" concernant ma vie privée que le malade mental Pascal Edouard Cyprien Luraghi publiait quotidiennement sur ses deux blogs depuis le 19 juin 2010.

En revanche, comme elle l'avait toujours fait partout et auprès de toutes les personnes avec lesquelles je pouvais être en contact depuis 2004, et certainement depuis bien plus longtemps, elle était encore en train de me faire passer mensongèrement pour une folle, en se montrant très affirmative à ce sujet.

Et elle a encore recommencé lors de son interrogatoire du 25 mars 2011 en prétendant mensongèrement qu'elle pensait que je n'avais pas toute ma tête (en réalité, elle me hait pour mon intelligence bien supérieure à la sienne) et que je me serais présentée à l'association AC ! Brest en 2004 comme étant "poursuivie par la mafia, les services secrets et avec la complicité de certains médecins psy de Bohars", que j'aurais de plus nommés, ce qui bien évidemment est totalement faux : je m'étais présentée comme ingénieur informaticien au chômage, et c'est tout.

Il convient encore de noter qu'en ce qui concerne ma profession, dans les documents publiés ci-dessous, y'a pas marqué "petite secrétaire brestoise hypernarcissique et atrocement méchante", ni "prostituée", mais "ingénieur d'études en informatique", ce qui n'a jamais choqué aucun policier ou magistrat brestois, car c'est tout simplement la réalité.



 

 


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