Le discours, les mots utilisés par le leader de ces militants de l'extrême-gauche, l'"antifa" Allan Brunon, sont identiques à ceux de Sandrine Rousseau.
Allan Brunon est collaborateur du député LFI Gabriel Amard, présenté comme le gendre de Jean-Luc Mélenchon.
Et Gabriel Amard s'est fait élire député à Villeurbanne le 22 juin 2022. Il a été réélu le 7 juillet 2024.
Par ailleurs, à peine clôturés les jeux paralympiques, le 10 septembre dernier, Emmanuel Macron inaugurait dans la région lyonnaise une usine "révolutionnaire" de Sanofi pour répondre aux futures pandémies...
Rappel : les soiries et la chimie sont à Lyon ce que sont à Brest son arsenal et son CHU... comme à Lille, à la frontière belge, son industrie textile et ses laboratoires pharmaceutiques...
Lire ou relire :
http://satanistique.blogspot.com/2024/02/sandrine-rousseau-la-rescousse-des.html
http://satanistique.blogspot.com/2024/02/le-psychiatre-brestois-michel-walter.html
http://satanistique.blogspot.com/2024/02/et-hop-michel-walter-en-echo-sandrine.html
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Sans oublier :
http://satanistique.blogspot.com/p/patrick-baudy-perdu-contre-petitcoucou.html
Chant antifasciste, minute de silence non respectée : un «hommage à Philippine» conspué par des militants
Un groupe d’une trentaine de personnes est venu troubler un rassemblement organisé en la mémoire de la jeune femme tuée dans le bois de Boulogne la semaine passée.
La scène a fait le tour des réseaux sociaux ce samedi. Un rassemblement en «hommage à Philippine» a été organisé par la députée Hanane Mansouri (UDR, le nouveau parti d'Éric Ciotti) à Vienne, en Isère. Une trentaine de personnes se sont réunies en petit comité ce samedi matin devant le Palais de justice de la ville iséroise, au lendemain des obsèques de la jeune étudiante de l'université Paris-Dauphine, retrouvée morte au bois de Boulogne samedi dernier.
Sauf que l’hommage ne s’est pas déroulé comme l’entendait la députée : un groupe d’une trentaine de personnes est venu se positionner à quelques mètres d’eux et a lancé le chant «Siamo Tutti Antifascisti», régulièrement utilisé par les militants d’extrême gauche en France.
La jeune élue (23 ans) a partagé la scène sur son compte où elle relaye la scène dans une courte vidéo. «Notre minute de silence en hommage à Philippine à Vienne a été interrompue par l'extrême gauche», écrit-elle. Contactée par nos soins, elle affirme avoir lancé «une minute de silence», un «appel apolitique» selon elle.
«J'aurais honte à leur place»
«Nous étions une cinquantaine de personnes à nous être rassemblées : de l'UNI, de mon parti mais aussi des habitants de Vienne et alentours, raconte-t-elle. Nous avions imprimé des portraits de Philippine. J'ai fait un mot pour remercier les personnes d'être présentes en solidarité pour Philippine. J'ai exprimé ma pensée pour la famille.» «Le moment de recueillement», qui a duré un quart d’heure, a donc été perturbé. «J'aurais honte à leur place de m'être levée un samedi matin pour faire ça, s’emporte l’élue. On aurait tous pu être Philippine . Je suis en colère contre l'extrême gauche»
Un des agitateurs présents, qui se revendique comme un militant LFI, justifie sur X l’action menée par son groupe. «Les racistes qui sont venus en Isère pour une manifestation d'instrumentalisation du féminicide de Philippine font flop, écrit Allan Brunon. Souvenons-nous, l'extrême droite est l'ennemie des droits des femmes.»
Sanofi mise sur une usine « révolutionnaire » pour répondre aux futures pandémies
Situé à Neuville-sur-Saône, dans le Rhône, le nouveau site de production du groupe pharmaceutique français, presque entièrement mobile et modulable, permettra de fabriquer jusqu’à quatre vaccins différents simultanément.
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Des mini-usines sur roulettes. Dans la zone de production de la nouvelle usine de Sanofi, installée sur les bords de la Saône, à Neuville-sur-Saône (Rhône), dans la région lyonnaise, tout ou presque est mobile et modulable. Y compris la vaste cloison gonflable bleu foncé qui sépare, au moment de notre visite, le lieu en deux espaces distincts. « En cas de besoin, elle peut être démontée en une heure », explique Thomas Triomphe, responsable des vaccins de Sanofi.
Seuls éléments fixes : les grands panneaux métalliques aux murs, ces « stations d’accueil » qui, branchées aux différents équipements mobiles, vont y acheminer les matières premières nécessaires à la fabrication des vaccins et alimenter les machines en électricité, en eau, ou en oxygène. « En fait, il faut imaginer cette usine comme un jeu de Lego, où l’on adapte les éléments utilisés selon les procédés de fabrication spécifiques à chaque produit. Par exemple, un vaccin pourra nécessiter les équipements A, B, C, quand un autre requerra plutôt les équipements X, Y, Z », détaille M. Triomphe.
Cette flexibilité, saluée par Emmanuel Macron, venu inaugurer, mardi 10 septembre, le nouveau bâtiment de 24 000 mètres carrés, c’est tout l’enjeu. « Il y a quatre ans, nous étions en plein Covid. Nous nous sommes rendu compte de ce que coûtait la perte de souveraineté. (…) Nous nous sommes dit que nous devions pouvoir nous adapter aux innovations beaucoup plus vite », a souligné le président de la République. L’usine permettra ainsi de produire simultanément jusqu’à quatre vaccins ou biomédicaments, et ce, indépendamment des technologies utilisées, qu’il s’agisse de vaccins viraux vivants atténués, à protéine recombinante, à ARN messager, ou de traitements issus de biotechnologies comme les enzymes ou les anticorps monoclonaux.
Sanofi, plus forte hausse du CAC 40 à la mi-séance du lundi 30 septembre 2024 -
information fournie par AOF 30/09/2024 à 12:22
(AOF) - Sanofi (+0,43% % à 103,42 euros)
De rares valeurs défensives surnagent au sein d'un CAC 40 en nette baisse, plombé par les cycliques parmi lesquelles Stellantis et Renault, après l'avertissement du premier.
AOF - EN SAVOIR PLUS
En savoir plus sur le secteur Pharmacie
L'oncologie, priorité des géants pharmaceutiques
La déconvenue boursière de Sanofi enregistrée fin octobre 2023 souligne le nouveau cap pour le groupe, qui a dorénavant fixé l'oncologie comme priorité numéro 1. Les efforts sur ce segment, où les thérapies avancent le plus vite, impliquent notamment des investissements en R&D qui pèsent sur la rentabilité. Sanofi a donc annoncé une baisse de son bénéfice par action en 2024 et l'abandon de son objectif d'une marge opérationnelle de 32 % en 2025. Merck vient, lui, de dévoiler une nouvelle alliance. Il va verser jusqu'à 22 milliards de dollars au groupe japonais Daiichi Sankyo dans le cadre d'un partenariat sur des traitements expérimentaux contre le cancer. Si certains experts estiment que les États-Unis représentent près de la moitié des dépenses mondiales d'oncologie (médicaments et traitements), soient 196 milliards de dollars en 2022, les dépenses chinoises dans ce domaine ont plus que doublé en cinq ans, passant de 5 à 11,8 milliards de dollars.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Gabriel_Amard
Gabriel Amard
Gabriel Amard Fonctions Député français En fonction depuis le
(2 ans, 3 mois et 4 jours)Élection 19 juin 2022 Réélection 7 juillet 2024 Circonscription 6e du Rhône Législature XVIe et XVIIe (Cinquième République) Groupe politique NUPES-LFI Prédécesseur Bruno Bonnell Conseiller régional d'Auvergne-Rhône-Alpes –
(1 an, 2 mois et 15 jours)Élection 27 juin 2021 Circonscription Isère Président Laurent Wauquiez Successeur Vincent Gay Président de la Communauté d'agglomération Les Lacs de l’Essonne –
(10 ans, 3 mois et 3 jours)Prédécesseur poste créé Successeur Laurent Sauerbach Conseiller général de l'Essonne –
(6 ans, 11 mois et 27 jours)Élection 18 mars 2001 Circonscription Canton de Viry-Châtillon Prédécesseur Jacques Chastel Successeur Paul Da Silva Conseiller régional d'Île-de-France –
(3 ans et 3 jours)Élection 15 mars 1998 Président Jean-Paul Huchon Maire de Viry-Châtillon –
(10 ans, 6 mois et 25 jours)Élection 18 juin 1995 Réélection 18 mars 2001 Prédécesseur Jacques Chastel Successeur Simone Mathieu Adjoint au maire de Longjumeau –
(6 ans, 2 mois et 29 jours)Maire Philippe Schmit Biographie Date de naissance Lieu de naissance Juvisy-sur-Orge (Seine-et-Oise, France) Nationalité Française Parti politique PS (jusqu'en 2008)
PG (depuis 2008)
LFI (depuis 2016)Entourage Jean-Luc Mélenchon (beau-père) Profession Formateur d'élus locaux Site web gabrielamard.eu modifier Gabriel Amard, né le à Juvisy-sur-Orge en Seine-et-Oise, est un homme politique français. Il est maire de Viry-Châtillon de 1995 à 2006, président de la communauté d'agglomération Les Lacs de l'Essonne de 2004 à 2014 et auteur d'essais sur les modes de gestion publique de l'eau.
Il est élu député par les habitants de la sixième circonscription du Rhône lors des élections législatives de 2022 puis réélu en 2024.
À l'Assemblée Nationale, il est membre du Groupe La France insoumise.
Activité professionnelle
Il consacre son activité professionnelle à la formation des élus locaux en tant que Directeur du Formateur des Collectivités (FDC) dont le siège se trouve à Lons-le-Saunier depuis février 2014. Il participe à la création et à l'animation de la Coordination Jurassienne Eau et Assainissement (CoJEA), collectif regroupant les associations et usagers s'intéressant à la gestion des services d'eau et de l'assainissement ainsi que la préservation de la ressource.
Parcours politique
Gabriel Amard est en 1997-1998 le directeur politique et le principal animateur des Cahiers à Gauche – Réflexions pour la République sociale (Éditions France Laïque), se proposant de diffuser les analyses politiques du courant de la Gauche socialiste au sein du PS et dans la société [réf. nécessaire].
Il est candidat pour le Parti socialiste aux élections législatives de 2002 dans la 7e circonscription de l'Essonne. Il est en ballotage au premier tour avec 32,01 % des voix, en 2e position, et il est battu au 2e tour avec 46,28 %, face au candidat de l'UMP Jean Marsaudon1.
S'attachant à partir de 2005 à l'application du non-cumul des mandats d'élus, il renonce successivement à son mandat de maire (2005) puis à se représenter à celui de conseiller général (2008) pour se consacrer uniquement à la présidence de la communauté d'agglomération Les Lacs de l'Essonne2.
Après le départ de Jean-Luc Mélenchon, du Parti socialiste, il annonce qu'il quitte lui aussi le PS le , après avoir été membre du Conseil national de ce parti, et rejoint ainsi le Parti de gauche dès sa création. Il est membre du secrétariat national et du bureau national du Parti de Gauche. Maire honoraire de Viry-Châtillon, il est président de l'association La Gauche par l'Exemple, qui rassemble les élus du PG et apparentés[réf. nécessaire].
Cofondateur de « France Eau Publique », le réseau des gestionnaires publics de l'eau dans le cadre de la Fédération nationale des collectivités concédantes et régies (FNCCR). Administrateur de « Élus Associations Usagers » (EAU) présidé par Michel Partage. Il milite aux côtés d'Anne Le Strat, présidente de Eau de Paris et de Aqua publica europea[réf. nécessaire].
Animateur du combat pour la gestion publique de l'eau, il impulse la sortie de Viry-Châtillon du syndicat des Eaux d'Île-de-France (SEDIF) et crée la régie publique Eau des Lacs de l'Essonne3 après une votation citoyenne organisée à Viry-Châtillon et Grigny en juin 2010. Il est ensuite le président du conseil d'exploitation de cette régie publique (2010-2014). Les Lacs de l'Essonne est la première collectivité depuis 1923 à quitter le SEDIF pour la gestion potable. Il est le premier élu à mettre en place, en France, des conditions d'accès à l'eau potable (2011) qui allient la gratuité des mètres cubes indispensables à la survie et des compteurs ainsi que des conditions différenciées selon les usages de conforts, de luxes ou professionnels4.
Membre de l'association Pour la République sociale (PRS)5, il a été responsable national des élus au sein de cette organisation.
Il est candidat pour le Front de gauche aux élections législatives de 2012 dans la 7e circonscription de l'Essonne. Il est battu au premier tour avec 11,18 % des voix, en 5e position6. Il s'installe dans le Jura fin 2013, à Lons-le-Saunier. En 2014, désigné comme tête de liste du Front de Gauche dans le Grand Est pour les élections européennes il annonce qu'il ne briguera pas de mandat municipal ou communautaire. Il obtient à cette élection 5,24 % des suffrages et n'est pas élu. Il fonde à Lons-le-Saunier le Formateur des collectivités, un organisme de formation des élus locaux7.
Il est candidat aux élections législatives de 2017 dans le Jura (1re circonscription), pour la France insoumise, mais il est battu au premier tour avec 14,22 % des voix, en 3e position8. Il est ensuite candidat aux élections européennes de 2019, en huitième position sur la liste de la France insoumise9, mais n'est pas élu, celle-ci remportant six sièges. Il lance le Journal de l’insoumission, trimestriel proche de LFI sans être la publication officielle du parti7.
Pour les élections municipales de 2020, il est tête de liste de la France insoumise à Villeneuve-d'Ascq (Nord)10. Sa liste arrive en 4e position et obtient 8,18 % des suffrages exprimés au premier tour11. Elle fusionne au 2e tour avec la liste EELV menée par Pauline Ségard, dans le cadre d'une triangulaire avec les socialistes et une alliance LREM-LR. Gabriel Amard retire sa candidature et laisse ses colistiers participer à la fusion. La liste fusionnée termine en 2e position derrière les socialistes avec 29,64 % des voix et remportent 7 sièges au conseil municipal.
Gabriel Amard s'établit en Isère en 202112. Il est chef de file de La France insoumise pour les élections régionales de 2021 en Auvergne-Rhône-Alpes en binôme avec Magali Romaggi, et chef de file dans le département de l'Isère en binôme avec Émilie Marche13. Candidat sur la liste de Cécile Cukierman du PCF-LFI, il est en 5e position de la liste iséroise d'union de la gauche au second tour. Gabriel Amard est élu conseiller régional d'Auvergne-Rhône-Alpes à l'issue du second tour14.
Aux élections législatives de 2022, il est candidat à Villeurbanne, dans la sixième circonscription du Rhône, ancien bastion socialiste, où il arrive en tête avec 41,30 % des voix devant la candidate de la majorité présidentielle Emmanuelle Haziza. Gabriel Amard obtient 55,54 % des voix et l'emporte au second tour.
À l'Assemblée Nationale, il est membre du Groupe La France insoumise. Il siège au sein de la Commission du Développement durable et de l'Aménagement du territoire15.
Lors des élections législatives anticipées de 2024, il l'emporte au second tour face au candidat socialiste dissident Jean-Paul Bret avec 50,57 % des voix16.
Mandats électifs
- Adjoint au maire de Longjumeau : 1989-1995
- Conseiller municipal de Viry-Châtillon : 1995-2014
- Maire de Viry-Châtillon : 1995-2006
- Conseiller régional d'Île-de-France : 1998-2001
- Conseiller général de l'Essonne (canton de Viry-Châtillon) : 2001-2008
- Vice-président du conseil général : 2001-2004
- Président délégué du conseil général : 2006-2008
- Président de la communauté d’agglomération Les Lacs de l’Essonne : 2004-2014
- Conseiller régional d'Auvergne-Rhône-Alpes : 2021-
- Député du Rhône : 2022-
Vie personnelle
Gabriel Amard a pratiqué le scoutisme laïque dans sa jeunesse, au sein des Éclaireuses Éclaireurs de France17. Il a pour compagne Maryline Mélenchon, fille de Jean-Luc Mélenchon18. Lors de l'émission de télévision Envoyé spécial de France 2 du présentant le parcours de Jean-Luc Mélenchon, Gabriel Amard est cité comme étant « son gendre »19.
Bibliographie
Ouvrages de Gabriel Amard
- Gabriel Amard, Faut-il interdire le Front National ?, Éditions France Laïque, coll. « Cahiers À Gauche », (ISBN 978-2-912627-01-8)
- Gabriel Amard (dir.), Erick Aouchar (dir.) et Stéphane Arrial (dir.) (préf. Jean-Luc Mélenchon), Pour la République sociale : la gauche socialiste dans ses textes, Paris, Éditions L'Harmattan, , 215 p. (ISBN 978-2-7384-5514-7, lire en ligne [archive])
- Paul Ariès (dir.) et Gabriel Amard, Ralentir la ville… : pour une ville solidaire, Villeurbanne, Éditions Golias, , 134 p. (ISBN 978-2-35472-069-8)
- Gabriel Amard, L'eau n'a pas de prix : vive la régie publique !, Paris, Bruno Leprince éditeur, coll. « Politique à gauche », , 95 p. (ISBN 978-2-916333-74-8)
- Paul Ariès (dir.) et Gabriel Amard, Liberté Égalité Gratuité : Pour la gratuité des services publics, Villeurbanne, Éditions Golias, , 126 p. (ISBN 978-2-35472-112-1)
- Gabriel Amard (dir.), Guide de la gestion publique de l'eau, Paris, Bruno Leprince éditeur, coll. « Les guides républicains », , 2e éd. (1re éd. 2011), 175 p. (ISBN 978-2-36488-017-7)
- Gabriel Amard (dir.), Terres de Gauche : Abécédaire des radicalités concrètes, Paris, Bruno Leprince éditeur, coll. « Politique à gauche », , 285 p. (ISBN 978-2-36488-024-5)
- Gabriel Amard (dir.) (préf. Gilles Clément), Biodiversité : Une approche urbaine et multiforme, Paris, Bruno Leprince éditeur, coll. « Les guides républicains », , 253 p. (ISBN 978-2-36488-058-0)
- Gabriel Amard, La guerre de l'eau : La régie publique, c'est possible, Paris, Bruno Leprince éditeur, coll. « Politique à gauche », , 143 p. (ISBN 978-2-36488-066-5)
- Gabriel Amard, Le grand trafic néolibéral : Les lobbys en Europe, Paris, Bruno Leprince éditeur, coll. « Politique à gauche », , 197 p. (ISBN 978-2-36488-093-1)
Articles sur Gabriel Amard
- Lilian Alemagna, « Les piliers de la maison Mélenchon », Libération, (lire en ligne [archive])
- Gérald Andrieu, « Comment une multinationale a voulu déstabiliser un élu du Parti de gauche », Marianne, (lire en ligne [archive])
Voir aussi
Articles connexes
Ressources relatives à la vie publiqueLiens externes
- :
- « Gabriel Amard [archive] », sur Who's Who in France
- « Résultats des élections législatives 2002 [archive] », sur Ministère de l'Intérieur.
- « Les lacs de l’Essonne — Communauté urbaine [archive] »
- Andrieu 2012.
- Voir le règlement du service de la régie publique sur « Les lacs de l’Essonne — Communauté urbaine [archive] ».
- « Pour la République Sociale [archive] »
- « Élections législatives 2012 [archive] », sur Ministère de l'Intérieur.
- Nicolas Barriquand (Mediacités Lyon), « Législatives : à Villeurbanne, l’Insoumis Gabriel Amard, parachuté chahuté [archive] », sur Mediapart, .
- « Élections législatives 2017 [archive] », sur Ministère de l'Intérieur.
- Nos candidat⋅e⋅s aux élections européennes [archive],
- « À Villeneuve-d’Ascq, Gabriel Amard (LFI) propose une gouvernance à trois têtes [archive] », sur La Voix du Nord.
- Ministère de l'Intérieur, « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 [archive] », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
- « Gabriel Amard, gendre de Mélenchon et nouveau pilier de la France Insoumise iséroise [archive] », Ève Moulinier pour Le Dauphiné libéré, 6 janvier 2021
- « Élections régionales 2021 en Auvergne-Rhône-Alpes - La France insoumise [archive] » (consulté le ).
- « Elections régionales et des assemblées de Corse, Guyane et Martinique 2021 [archive] », sur elections.interieur.gouv.fr (consulté le ).
- « Composition - Commission du développement durable et de l'aménagement du territoire [archive] », sur Assemblée Nationale (consulté le ).
- Dolores Mazzola, « Élections législatives 2024 : duel très serré à Villeurbanne, Gabriel Amard l'emporte sur le fil [archive] », sur france3-regions.francetvinfo.fr, (consulté le ).
- « LCP le mag - Scoutisme, l'école de la politique - Ep.3 2022 | LCP - Assemblée nationale [archive] », sur lcp.fr (consulté le ).
- Emmanuel Daniel, « Jean-Luc Mélenchon et les conflits d'intérêt [sic] », Slate, (lire en ligne [archive]).
Notes et références
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