La garde à vue de l'attaquant de la gare de Lyon a repris cet après-midi aux alentours de 16 heures, preuve que son état mental n'est quand même pas si catastrophique...
Qui plus est, son suivi psychiatrique était jusque-là assuré en Italie où il résidait jusqu'au 1er février 2024 dans la province de Turin et rien n'indique qu'il fût défaillant, à supposer qu'il était bien adapté à son état, puisqu'il était toujours soigné par un centre pour la santé mentale, qu'il avait ses médicaments avec lui lors de l'attaque d'hier et a bien su indiquer à la police qu'il était atteint de troubles psychiatriques pour lesquels il bénéficiait d'un suivi.
Il n'y a donc pas lieu d'en faire un prétexte à remettre sur la table les sempiternelles revendications des personnels "soignants" des hôpitaux psychiatriques, toujours parfaitement indignes, éhontées, scandaleuses au regard de ce que sont réellement le système ou l'industrie psychiatriques en France (exemple d'un témoignage tout à fait authentique dans la vidéo ci-dessus).
Seulement voilà, un certain nombre de violeurs et pédophiles sont actuellement en très grande demande...
Ce sont toujours les mêmes : Gérard Miller, Pascal Edouard Cyprien Luraghi et ses complices de l'hôpital psychiatrique de Bohars (CHU de Brest), etc, etc, etc...
Au passage, je rappelle que le terroriste en chef Pascal Edouard Cyprien Luraghi et tous ses complices savent parfaitement bien simuler des maladies psychiatriques en cas de besoin.
A cet effet, ils se sont toujours fait aider par leurs potes psychiatres pédophiles ou violeurs de l'extrême-gauche, tel par exemple le pédophile brestois Serge Rodallec, aujourd'hui anciennement psychiatre :
----- Original Message -----From: charles.mouloudTo: existeSent: Saturday, July 12, 2008 5:31 PMSubject: [Rue89] Serge R.existe,
Charles Mouloud (http://rue89.com/riverain/charles-mouloud) vous a envoyé
un message par l'intermédiaire de votre formulaire de contact
(http://rue89.com/user/25300/contact) sur Rue89. Cet utilisateur n'a pas eu
accès à votre adresse email.Si vous souhaitez ne plus recevoir ce type d'e-mail, vous pouvez changer
vos préférences en allant sur http://rue89.com/riverain/existe.Message :
Salut Existe,
J'avais déjà remarqué au fil du temps, les liens que tu nous indiquais
au sujet des "affaires Serge Rodallec".Le fait que tu rapelle ces évènements depuis des mois , semble indiquer
que le sujet est imprtant à tes yeux.C'est toi, qui par un de tes posts, a éveiller mon attention, et qui m'a
permis de prendre connaissance de cette histoire infâme.Il s'avère que j'ai connu Serge Rodallec au tout début de sa carrière
.
J'étais alors moi même un jeune éducateur en formation, et nous
travaillions dans le même établissement.
Nous avions des rapports cordiaux et amicaux.C'est mon amie qui m'a ensuite ouvert les yeux sur la nature de
l'affection qu'il me portait.Pourrais tu me contacter , afin que nous puissions en échanger , si tu le
souhaites, bien entendu.Salutations riveraines.
Charles Mouloud.
----- Original Message -----From:To:Sent: Saturday, July 12, 2008 7:24 PMSubject: Re: [Rue89] Serge R.Salut XXXXXXXX,
Je m'appelle XXXXXXXXX.
J'étais en stage de 1ère année d'école d'éducateur à Brest ( Guesnou, pour être exact ), en 1978.
J'effectuais mon stage pratique , ou clinique, au Centre d'Observation de Kervouigen à Pluguffan.
Serge Rodallec y était jeune psychiatre en exercice.
Nous avions sympathisé, car partageant un certain nombre d'analyses et de centres d'intérêts théoriques.
Le sais qu'il était adepte de la relaxation et de l'hypnose Ericksonnienne, permettant dans son boulot de "relaxer" les patients et de les plonger dans un état de conscience modifié.
( après coup, on peut y voir un outil pour ses funestes manipulations.)
Il m'a aidé à monter un scénario crédible pour me faire exempter du service militaire. Nous nous sommes vus plusieurs fois sur Brest.
Je n'y voyais pas malice, avant que ma copine , qui devint ensuite ma femme, y décela plus un intérêt pour la partie basse de mon anatomie, que mes pour "mes "fulgurances intellectuelles ! ;)
Bien à toi.
XXXXXXXXXX.
Certains criminels simulent la maladie mentale pour échapper à la garde à vue, au procès, à la condamnation et à la réclusion criminelle.
D'autres aboient partout à propos de leurs victimes jusqu'à obtenir à leur encontre des internements psychiatriques destinés à les faire taire définitivement, à les décrédibiliser à vie ou les détruire afin que leurs agresseurs n'aient vraiment plus rien à en craindre et puissent dormir tranquilles.
Ils se retrouvent tous dans les mêmes réseaux pour dévoyer la psychiatrie de son objet.
Attaque au couteau à Paris : « Les lacunes du suivi psychiatrique sont énormes » alerte Sandrine Rousseau - INTERVIEW
Samedi 3 février, deux personnes ont été interpellées après des agressions au couteau. Pour les deux hommes, des troubles psychiatriques sont évoqués, avec un cas de schizophrénie avéré.
POLITIQUE - « L’effondrement de la psychiatrie met en danger les personnes malades et la société. » Samedi 3 février, deux individus ont été interpellés, respectivement à Paris et à Lyon, pour avoir menacé et blessé plusieurs personnes. Si les deux hommes ne sont pas liés, il existe néanmoins un point commun aux affaires : des troubles psychiatriques - diagnostiqués pour l’un - qui interrogent sur la place accordée à la prise en charge des maladies mentales en France.
En début de matinée samedi, trois personnes ont été blessées à Paris dans l’enceinte de la gare de Lyon. Le suspect, un ressortissant Malien en situation régulière, a « spontanément » dit souffrir de « troubles psychiatriques » et des médicaments ont été retrouvés sur lui, selon la police. Sa garde à vue a été levée dans la soirée après un examen révélant un « état psychiatrique incompatible avec la mesure de contrainte. » Le même jour à Lyon, un autre individu fiché S et « diagnostiqué schizophrène », qui menaçait des passants avec un couteau, a lui aussi été interpellé.
Ces deux cas ne sont pas isolés. En décembre 2023, une attaque au couteau faisait un mort et deux blessés dans le XVe arrondissement de Paris. Si le contexte terroriste avait été clairement établi, l’assaillant ayant fait allégeance à l’État islamique, le ministre de l’intérieur Gérald Darmanin avait agacé les professionnels de santé en pointant « un ratage psychiatrique ». À la lumière de ces faits récents, Le HuffPost s’est entretenu avec Sandrine Rousseau, députée Écologiste de Paris et co-rapportrice d’une mission d’évaluation sur les urgences psychiatriques.
Le HuffPost : samedi 3 février, une agression et une tentative d’agression ont eu lieu en France, perpétrées dans les deux cas par des personnes présentant des troubles psychiatriques. Qu’est-ce que cela révèle de l’état du suivi psychiatrique en France ?
Sandrine Rousseau : Les lacunes sont énormes. L’hôpital public d’une manière générale est en train de s’effondrer faute de personnel, et la psychiatrie, discipline un peu moins demandée que d’autres (par les étudiants en médecine, ndlr), est encore plus en difficulté. À l’issue, il y a une mise en danger des personnes malades qui représentent un danger pour elle-même, soit parce qu’elles ne sont pas soignées, soit parce qu’elles sont sorties des lits trop rapidement pour faire de la place. En parallèle, il y a aussi une mise en danger de la société par des profils comme celui qu’on a vu opérer hier.
À Lyon, il s’agissait d’un individu fiché S et diagnostiqué schizophrène. Quel est le suivi prévu pour ce type de profil ?
C’est un des nombreux sujets soulevés. En France, la législation ne permet pas d’intervention des forces de l’ordre pour une personne jugée dangereuse pour les autres - fichée S par exemple - alors même qu’on sait qu’elle a arrêté ses traitements ou le suivi psychiatrique auquel elle devait se soumettre. Il n’y a pas de possibilité d’appeler la police pour qu’ils interviennent au domicile et permettent une hospitalisation afin de reprendre le traitement. Ce n’est pas le cas en Espagne par exemple, où dans le cas de personnes jugées dangereuses pour la société, il y a une intervention de la police possible, y compris à leur domicile.
Vous êtes co-rapportrice, avec la députée Renaissance Nicole Dubré-Chirat, d’une mission d’information sur les urgences psychiatriques. Que vous ont appris les premières auditions ?
J’ai demandé cette mission à la suite d’une alerte reçue de la part des personnels de la psychiatrie. Ils étaient désespérés par la situation et ne savaient plus comment alerter sur les dangers que l’effondrement de la psychiatrie faisait courir à tout le monde.
Les psychiatres vont d’urgence en urgence et ne peuvent agir que comme des pompiers sur des situations incendiaires. Ils ne sont pas en mesure d’accompagner autant qu’il le faudrait.
Ce qui ressort, c’est à quel point la psychiatrie gère tant bien que mal l’urgence, mais n’a quasiment pas les moyens de stabiliser les personnes au long cours. Comme les infirmiers ou les aides soignants, les psychiatres soulèvent des problèmes d’éthique dans leur travail et demandent à retrouver le sens de ce qu’ils font. Ils vont d’urgence en urgence et sont confrontés à de telles déficiences de prise en charge en amont et en aval qu’ils ne peuvent agir que comme des pompiers sur des situations incendiaires. Ils ne sont pas en mesure d’accompagner les personnes autant qu’il le faudrait pour qu’elles aillent mieux et ne soient plus un danger pour elles et la société.
Face à ce constat, quelles sont les réponses les plus urgentes à apporter ?
Nous avons déjà réalisé une dizaine d’auditions et nous en faisons encore toutes les semaines. Un rapport sera remis en juin. Nous préconiserons sans doute un plan national de développement, de soutien et d’accompagnement de la psychiatrie. Cela n’a jamais été fait. Il faut évidemment augmenter le nombre de spécialistes. Il faut travailler sur l’amont, soit la prise en charge du patient avant qu’une crise grave se déclare. Et aussi travailler sur l’aval : une personne qui a des troubles psychiques suffisamment importants pour être dangereuse doit être placée dans un environnement stable, avoir accès à ses médicaments, à un suivi. Aujourd’hui, rien de tout cela n’est possible.
Attaque à la gare de Lyon : le point sur la situation ce dimanche
La garde à vue du suspect, qui a blessé trois personnes ce samedi à Paris, a repris. Elle avait été interrompue en raison de l’état psychiatrique du mis en cause.
Temps de lecture : 2 min
L'assaillant présumé de la gare de Lyon était de nouveau en garde à vue ce dimanche. Il avait été arrêté après une attaque au couteau qui a fait trois blessés, dont un grièvement, ce samedi 3 février à la gare de Lyon, à Paris.
Tous les soirs à 18h
Le point sur la garde à vue
Le mis en cause a été examiné deux fois dans la journée de samedi, pris en charge après son arrestation par le service d'infirmerie de la préfecture de police de la capitale. La première analyse avait penché pour le maintien de sa garde à vue.
Mais un second examen de son comportement avait jugé son état « incompatible avec la mesure de contrainte ». Le suspect, âgé de 32 ans, avait vu sa garde à vue levée samedi, dans la soirée, en raison de son état psychiatrique. Ce dimanche, sa garde à vue a repris.
Le pronostic vital d'un homme toujours engagé
L'agression a eu lieu tôt dans la matinée, peu après 7 h 30, ce 3 février : l'assaillant a blessé grièvement un homme en lui portant un coup de couteau à l'abdomen et deux coups de marteau à la tête.
Le pronostic vital de cet homme était « toujours engagé » en début d'après-midi, ce dimanche 4 février, d'après le parquet. Deux autres personnes ont été blessées, dont l'une est sortie de l'hôpital ce samedi soir.
Ce que l'on sait de l'assaillant présumé
L'assaillant, de nationalité malienne, était « en situation régulière en Italie depuis 2016, avec un titre émis en 2019 tout à fait valable », selon les documents trouvés sur lui. Ce titre lui permettait de voyager en France en toute légalité.
Âgé de 32 ans, il était jusque-là inconnu des services de police français comme italiens, selon une source policière. Il bénéficiait d'une protection subsidiaire, c'est-à-dire d'une protection dispensée par un État pour les personnes ne remplissant pas les critères de l'asile.
« Il se trouvait dans la province de Turin, où il était soigné dans un centre pour la santé mentale », a indiqué le service de presse de la police nationale italienne, interrogé par l'AFP.
Des investigations en cours
Une enquête pour tentative d'assassinat a été ouverte et confiée à la police judiciaire. Le Parquet national antiterroriste a précisé pour sa part être en observation. « Des investigations sur la téléphonie, sur le parcours en Italie et les déclarations lors de l'audition » du suspect permettront de confirmer si « la piste terroriste peut être écartée », a indiqué le préfet de police de Paris, Laurent Nuñez.
À ce stade, les enquêteurs cherchent aussi à authentifier un compte TikTok ouvert au nom de l'assaillant sur lequel un homme exprime notamment son ressentiment à l'égard de la France, faisant référence à l'intervention militaire française au Mali.
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