La première victime qui témoigne a été droguée.
C'est généralement ce qui se passe pour les victimes de viols en psychiatrie.
Pas d'hypnose dans les hôpitaux, on a toutes sortes de drogues à disposition et tous les moyens de les administrer sans le consentement éclairé de la victime.
Pour mémoire : le malade mental et zététicien d'élite Jean-Marc Donnadieu de Béziers alias NEMROD34, qui m'a toujours harcelée avec ses camarades de lutte Josette Brenterch du NPA de Brest, Pascal Edouard Cyprien Luraghi de Puy-l'Evêque et autres "déconnologues" et prétendus "sceptiques" tels les violeurs et voleurs de vies privées Patrice Seray et Francine Cordier de l'ASTEC (La Tronche en biais) depuis l'année 2009 au moins et ne s'est jamais gêné pour émettre publiquement des diagnostics psychiatriques sous prétexte qu'il avait travaillé durant quatorze années comme brancardier à l'hôpital de Béziers, dont sept en psychiatrie, m'avait bien menacée de viol dans ces conditions-là au cours de l'été 2010 : il avait les petits pilules qu'il faut, disait-il. Quel usage en faisait-il donc habituellement ?
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