Michel Walter est le chef de pôle psychiatrie du CHU de Brest. C'est aussi le professeur de psychiatrie adulte de la faculté de médecine de Brest, et ce n'est pas la première fois qu'il perd une de ses étudiantes de 4ème année par pendaison.
Entre octobre 2002 et mars 2003, il avait déjà perdu quatre étudiants de 4ème année, ou liés à ses 4ème année de médecine, tous également retrouvés pendus à l'identique. Puis, le 1er janvier 2004, ce fut le tour de celui de ses infirmiers psychiatriques qui en était le plus proche, Philippe Rohan, retrouvé pendu chez sa mère exactement comme les étudiants dont il avait suivi les entretiens avec le Dr Chevance, mutée par la suite à Saint-Brieuc (une grande copine du pervers polymorphe Jacques Fornès de Quimper, spécialisée notamment dans la destruction des victimes de pédophiles) :
ROHAN | Philippe Louis | Naissance | Brest, Finistère, Bretagne, France | |
Décès | Brest, Finistère, Bretagne, France |
Les quatrième année de médecine de cette année 2002-2003 à Brest en étaient tous très perturbés, voire terrorisés.
Pourquoi les 4ème année de médecine apparaissent-ils subitement si fragiles, qu'ils soient ou non éloignés de leur famille (en ce qui concerne la Réunionnaise Anna Nosbe, brutalement décédée par pendaison le 23 décembre dernier à l'âge de 21 ans, elle ne venait quand même pas de la quitter) ?
Parce que leurs stages en psychiatrie ont débuté en 3ème année de médecine, qu'ils ont alors pu découvrir une bonne part des pratiques en psychiatrie, perdre leurs illusions sur la médecine ou leur futur métier de rêve et se dégoûter eux-mêmes pour avoir dû tremper dans de sales affaires à travers ces stages.
Par ailleurs, les 3ème et 4ème années de médecine ne sont pas les plus difficiles en termes d'investissement intellectuel et de risque d'échec. De ce point de vue, c'est toujours la première année la plus problématique et stressante.
La difficulté des stages ou des études en hôpital psychiatrique est bien d'ordre moral et ce sont toujours les meilleurs, les plus brillants, les plus intelligents, les plus humains, les plus consciencieux des étudiants en médecine qu'elle frappe le plus durement.
Au printemps 2002, certains des étudiants de Michel Walter avaient carrément été impliqués dans l'affaire de l'attentat de Karachi du 8 mai 2002 ayant fait 14 morts, dont 11 employés français de la Direction des constructions navales, et de nombreux blessés.
Et le 23 décembre 2023, des étudiants de médecine de 4ème année de la région de Nancy étaient en garde à vue depuis la veille pour de sérieux soupçons de projet terroriste pour les fêtes de fin d'année, le marché de Noël de Strasbourg apparaissant encore ciblé.
Je rappelle ici que le terroriste en chef Pascal Edouard Cyprien Luraghi bénéficie depuis le début de ses exactions à mon encontre de la complicité du pervers Michel Walter.
Et il n'a jamais cessé de manoeuvrer pour obtenir l'internement psychiatrique à vie qu'il réclame à mon encontre depuis 2009, tout comme son complice le zététicien d'élite Jean-Marc Donnadieu de Béziers alias NEMROD34 qui s'est démené à cet effet jusqu'à son dernier souffle le 5 janvier 2024 à Montpellier - vous savez, le donneur d'ordres du diabolique de Nancy avec ses complices soi-disant "sceptiques" Patrice Seray et Francine Cordier de l'ASTEC depuis les débuts de la Tronche en biais... lui-même très impliqué dans de sales affaires psychiatriques durant au moins sept ans...
A lire ou à relire :
http://satanistique.blogspot.com/2022/03/je-ferais-peur-michel-walter.html
http://satanistique.blogspot.com/2023/02/lexpertise-psychiatrique-passage-oblige.html
http://satanistique.blogspot.com/2024/01/le-diabolique-de-nancy-dans-ses-petits.html
http://satanistique.blogspot.com/2024/02/abusees-par-leur-medecin.html
Le corps de l'étudiante en 4e de médecine, d'origine réunionnaise, a été retrouvé
Le corps sans vie de la jeune étudiante en médecine qui avait disparu à Brest depuis samedi a été retrouvé ce jeudi 28 décembre. Selon les premiers éléments de l'enquête, la thèse du suicide est privilégiée.
Tragique conclusion dans l'enquête pour retrouver l'étudiante disparue à Brest. Son corps a été retrouvé ce jeudi 28 décembre dans un sous-sol de l'ancienne poste du centre-ville de Brest. Selon les informations communiquées par le procureur de la République de Brest, ce sont "des ouvriers qui se rendaient sur le chantier de l’ancien bâtiment qui ont fait la triste découverte du corps d’une jeune fille suspendue par le cou à un câble".
Le chantier était en arrêt cette semaine. Les ouvriers étaient passés ce matin pour préparer la reprise des travaux en début de semaine prochaine. L’accès au chantier interdit au public était protégé par différents obstacles, notamment des barrières.
Les enquêteurs du commissariat de police de Brest avisés de cette découverte ont immédiatement été dépêchés sur les lieux. L’examen de corps pratiqué sur les lieux par le médecin légiste, ainsi que les constatations effectuées par les forces de police, ne permettaient pas, dès ce stade, d’envisager l’intervention d’un tiers dans la survenance du décès.
Portée disparue depuis 5 jours
L'étudiante d'origine réunionnaise et en 4e année de médecine avait disparu après avoir quitté subitement le domicile d'un proche samedi 23 décembre.
Affichages de photo en ville et sur les réseaux sociaux, depuis cinq jours ses amis faisaient tout ce qui était en leur pouvoir pour retrouver Anna. L'étudiante était dans une phase dépressive selon les informations fournies à la police par ses proches.
Les éléments recueillis par ailleurs par les enquêteurs dans l’environnement de la jeune fille, antérieurement à la découverte du corps, ont mis en évidence l’existence d’une détresse psychologique, indique le parquet.
Lire : Disparition d’une jeune femme dans les rues de Brest, la police lance un appel à témoins.
Thèse du suicide privilégiée
Selon le procureur de Brest et l'autopsie pratiquée cet après-midi, aucun signe de violence n'a été relevé que ce soit au niveau du visage, du crâne ou du cou. Aucune lésion de défense ou trace de saisie, aucune lésion sexuelle ou ecchymose dans les parties inférieures du corps n’ont été constatées.
Les constatations du médecin légiste n’ont mis en évidence aucun élément en lien avec un état de santé antérieur. Le médecin légiste en a conclu qu’aucun élément n’allait à l’encontre d’un syndrome asphyxique lié à une pendaison.
D’après les constatations médico-légales, l’état du corps est compatible avec un décès survenu samedi dernier. Des analyses toxicologiques et anatomopathologiques seront réalisées, indique le parquet.
Les éléments recueillis par ailleurs par les enquêteurs dans l’environnement de la jeune fille, antérieurement à la découverte du corps, ont mis en évidence l’existence d’une détresse psychologique.
Un accompagnement médico-psychologique a été proposé aux proches de la défunte.
Exclusif Opération antiterroriste près de Nancy : coup de filet dans le milieu étudiant
L’affaire a été jugée suffisamment sérieuse pour que le Parquet national antiterroriste (PNAT) se soit saisi du dossier en amont et pilote ce coup de filet mené en simultanée.
Tôt, dans la matinée du vendredi 22 décembre, la police judiciaire de la Sous-direction antiterroriste (SDAT), de la Brigade de recherche et d’intervention (BRI), les fonctionnaires du renseignement de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) et du Groupe d’appui opérationnel (GAO), ont procédé à l’interpellation de cinq personnes à Nancy, Vandœuvre-lès-Nancy et Toul. Sur ces cinq suspects âgés d’une vingtaine d’années, au moins trois sont étudiants. Et deux d’entre eux ont été arrêtés dans leur chambre de cité universitaire.
Porte de chambre enfoncée par la BRI
Tous ont été placés en garde à vue et transférés à Paris pour les besoins de l’enquête préliminaire ouverte pour « association de malfaiteurs terroristes en vue de la préparation d’un ou plusieurs crimes d’atteintes aux personnes visés au 1° de l’article 421-1 du Code pénal », nous confirmait ce vendredi le PNAT.
Parmi les interpellés figure un étudiant de 3e année, sorti de son lit par la BRI qui a investi le bâtiment d’une importante cité universitaire où logeait l’individu. Les policiers ont dû faire usage d’un matériel spécifique afin d’enfoncer la porte de sa chambre située au 3e étage, à l’extrémité d’un long couloir.
« Il ne parlait pas et était plutôt renfermé »
« J’ai été réveillé par beaucoup de bruit à 6 h 39 précisément », rapporte un témoin de l’intervention qui dormait encore à l’arrivée de l’antiterroriste. « Ils étaient cagoulés et habillés en noir et criaient “police, police !”. Ils ont défoncé la porte qui ne s’ouvrait pas, sont entrés dans la chambre et ont embarqué l’homme qui a été menotté. J’ai eu très peur, c’est la première fois que je vis ce genre de chose ! », poursuit cette résidente de la cité U.
« Quand certains étudiants tentaient de regarder ce qu’il se passait dans le couloir, les policiers les en empêchaient en maintenant leur poignée de porte », reprend le témoin. « Non, je ne connaissais pas l’homme qui a été embarqué. On le croisait simplement mais il ne cherchait pas le contact, ne parlait pas et était plutôt renfermé ou timide, je ne sais pas ».
Avec quelque 50 000 étudiants inscrits en enseignement supérieur et ses nombreux campus – droit, lettres, sciences, médecine, pharmacie… - la cité Stanislas reste très attractive.
« Maintien d’une extrême vigilance »
Ces arrestations suspectées d’être en lien avec la mouvance islamiste interviennent dans un contexte géopolitique international tendu et alors que la France a rehaussé son dispositif Vigipirate en « urgence attentat » - le plus élevé – depuis le 13 octobre, après le meurtre de Dominique Bernard, professeur de français dans un lycée d’Arras.
Le ministre de l’Intérieur a d’ailleurs appelé vendredi les préfets au « maintien d’une extrême vigilance » à l’occasion des fêtes de Noël. Les marchés de Noël et lieux de culte seront particulièrement surveillés.
Il y a cinq ans, le 11 décembre 2018, l’Est de la France avait été durement marqué par l’attentat du marché de Noël de Strasbourg (5 morts et 11 blessés) avant que l’assaillant de 29 ans, fiché S pour sa radicalisation islamiste, ne soit abattu par les forces de l’ordre dans le quartier du Neudorf, après 48 heures de traque.
En Meurthe-et-Moselle, l’attaque d’un marché de Noël - à Nancy ou ailleurs - était-elle à redouter ? Dans l’affirmative, faisait-elle partie des desseins des suspects ? Les services antiterroristes ont-ils voulu prémunir la population d’un potentiel passage à l’acte et/ou procéder à une simple levée de doute ?
On devrait en apprendre davantage au cours des prochains jours car les investigations et auditions ne faisaient que débuter ce vendredi et, en matière de terrorisme, la garde à vue de 96 heures peut être prolongée à 144 heures selon la gradation du risque, le profil des mis en cause et la pertinence des pièces saisies lors des perquisitions.
Opération antiterroriste en Meurthe-et-Moselle : rentrée sous surveillance à l'Université de Lorraine
La présidente de l’Université de Lorraine annonce le renforcement de la sécurité sur le campus Brabois-Santé à Nancy, dès lundi 8 janvier 2024. Cette annonce fait suite à l'interpellation et la remise en liberté de cinq étudiants en médecine et en dentaire. Ces jeunes avaient été arrêtés dans le cadre d'une opération antiterroriste, fin décembre 2023.
Les étudiants, âgés de 20 à 23 ans, étaient suspectés d'avoir fait des repérages sur le marché de Noël de Strasbourg. Après avoir été placés en garde à vue vendredi 22 décembre 2023, dans le cadre d’une enquête ouverte par le Parquet national antiterroriste pour association de malfaiteurs terroriste criminelle, les cinq jeunes ont finalement été relâchés et aucune charge n’a été retenue contre eux. Néanmoins, la présidente de l’Université de Lorraine annonce le renforcement de la sécurité sur le campus Brabois-Santé dès le 8 janvier 2024, jour de la reprise des cours.
On se prépare tous à un retour sur le campus très serein
Hélène Boulanger, présidente de l’Université de Lorraine
Selon Hélène Boulanger, la présidente de l’Université de Lorraine, la manœuvre vise donc avant tout à rassurer les étudiants et le personnel du campus Brabois-Santé de Nancy: “Je n’ai pas d’inquiétude particulière pour cette rentrée. On se prépare tous à un retour sur le campus très serein. Ceci étant, il y a eu un traitement médiatique important sur cette affaire qui provoque de l’inquiétude chez certains de nos étudiants et de nos personnels, c’est pourquoi nous tenons à être de leur côté et à essayer de les rassurer au mieux”.
Des mesures de sécurité supplémentaires
Plusieurs mesures vont être mises en place, dès lundi 8 janvier, sur le campus. “L'ensemble du territoire se situe au niveau Urgence attentat sur le plan Vigipirate donc nous avons déjà mis en place des mesures de sécurité dans tous nos campus. Ces mesures vont être renforcées sur le campus Brabois-Santé. Une partie d’entre elles sera visible pour les étudiants par le biais de patrouilles et de contrôles réalisés par des vigiles. Une autre partie des mesures de sécurité ne sera pas visible, nous ne pouvons pas en divulguer le détail, pour qu’elles restent efficaces”, insiste la présidente de l’Université de Lorraine.
C’est important de se sentir protégés au sein de notre faculté
étudiante en quatrième année de pharmacie
À trois jours de la rentrée, les étudiants s'apprêtent à revenir sur le campus et à reprendre normalement les cours. “Pour ma part, on en a peu parlé avec mes amis, je ne suis pas inquiète. Je fais confiance à la justice et à l’État, si ces étudiants ont été relâchés, c’est qu’il n’y a aucune preuve. Je comprends quand même qu’il faille augmenter la sécurité au vu du climat anxiogène. C’est important de se sentir protégés au sein de notre faculté”, nous confie une étudiante en quatrième année de pharmacie.
Opération antiterroriste : suspecté de radicalisation, l’étudiant de Toul prend la parole
Nous l’appellerons Rayan, surnom choisi par ce toulois de 21 ans, étudiant en 4e année de médecine, pour préserver, autant que possible, un soupçon d’anonymat tant l’affaire dans laquelle il est impliqué a eu du retentissement. Et pour cause… Le 23 décembre dernier, au petit matin, comme 4 autres étudiants en médecine et odontologie à Nancy, il est interpellé à son domicile familial du quartier de la Croix-de-Metz avant d’être immédiatement transféré, en convoi sécurisé, vers les locaux de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) à Levallois-Perret.
Le Parquet national antiterroriste les soupçonnant « d’association de malfaiteurs terroristes en vue de la préparation d’un ou plusieurs...
Etudiants soupçonnés de terrorisme : la sécurité renforcée à la fac de médecine de Nancy
Après l'interpellation d'étudiants soupçonnés de terrorisme et des actions de groupes nationalistes, la sécurité a été renforcée à la faculté de médecine de Nancy.
Depuis la rentrée de janvier, un drôle de climat plane sur le campus de la faculté de médecine de Nancy. Le 22 décembre 2023, cinq étudiants en médecine et en dentaire ont été interpellés en Meurthe-et-Moselle dans le cadre d’une opération anti-terroriste. Relâchés trois jours plus tard sans poursuites judiciaires, ils ont depuis repris le chemin de l’université.
Si la sécurité a été renforcée sur le campus, des groupes nationalistes ont mené différentes actions ces dernières semaines en s’introduisant sur le site universitaire.
Plus de sécurité à la faculté de médecine depuis le début de l’année
Si les étudiants continuent d’aller en cours, ils ont remarqué des changements depuis quelques semaines sur le campus de Brabois, près du CHRU de Nancy : « Il y a plus d’agents de sécurité. Nos sacs sont fouillés par des vigiles à l’entrée de la BU (bibliothèque universitaire) », expliquent Bilal et Clara, étudiants en 2ᵉ année de médecine.
Après les interpellations qui ont eu lieu en décembre, la sécurité a été renforcée. « Nous avons mis en place d’autres dispositions sur le campus Santé depuis la rentrée de janvier, notamment une présence plus importante de vigiles pour rassurer les étudiantes et étudiants et les personnels qui pourraient être encore inquiets », indique Hélène Boulanger, présidente de l’Université de Lorraine dans un communiqué. Ces mesures viennent s’ajouter aux mesures déjà prises dans le cadre du plan Vigipirate.
Le fait de savoir que des étudiants ont été interpellés (en décembre), ça fait quelque chose. C'est bien de renforcer les contrôles. Après, s'il doit se passer quelque chose, ça arrivera malgré les agents de sécurité.
Un étudiant soupçonné de terrorisme enfariné
Malgré l’absence de poursuites contre eux, le retour des étudiants ne plaît pas à certains groupes nationalistes. Depuis début janvier, la Cocarde étudiante et l’Action Française ont procédé à des collages sauvages dans les locaux de l’université avec le slogan « Islamistes hors de la fac ».
Le mardi 23 janvier, sept individus sont rentrés dans les locaux de la faculté de médecine et ont jeté de la farine sur un des étudiants interpellés en décembre dernier. Une enseignante s’est interposée, poussant les agresseurs à quitter les lieux.
La réponse de l’université
Cet acte a « choqué certains étudiants », comme l’indique Marc Braun, doyen de la faculté de médecine, dans un courrier envoyé le jeudi 25 janvier aux étudiants et aux personnels. Comprenant « l’inquiétude », il indique que « les rondes de sécurité sont renforcées autant de temps que nécessaire pour s’assurer de la sécurité sur le campus ».
Une plainte a été déposée par l’université. Sa présidente indique qu’elle « déposera systématiquement plainte contre toutes les personnes ou organisations intervenant sur son domaine en dehors de toutes règles de droit et dans un objectif d’incitation à la haine et à la discrimination ».
« Aucun des étudiants interpellés ne présente de risque pour la communauté universitaire »
Concernant la présence des étudiants interpellés en cours, la présidente de l’université précise qu’aucun d’entre eux « ne présente de risque pour la communauté universitaire et, en dehors de rumeurs propagées ici ou là, l’établissement ne dispose d’aucun élément mettant en cause ces étudiants qui puisse justifier la saisine de la section disciplinaire en interne ».
Précisant être en lien étroit avec les forces de l’ordre depuis la dernière semaine du mois de décembre, elle ajoute que « la sécurité de la communauté universitaire, de même que l’intégrité de ses membres, n’étant pas menacées, il est donc légitime que ces étudiants puissent poursuivre leurs études sereinement« .
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