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vendredi 17 février 2023

L'expertise psychiatrique, passage obligé pour les cibles des zététiciens

Il y en a un qu'ils n'ont pas raté, c'est Jacques Grimault, expertisé comme atteint d'une "psychose délirante paranoïaque" à la veille de son procès pour cyberharcèlements présumés à l'encontre de Faustine Boulay. Je rappelle qu'il nie être l'auteur des faits et prétend avoir été victime d'une usurpation d'identité. Quant à Faustine Boulay, si elle a bien été victime de cyberharcèlements, elle semble par contre avoir été incapable de rapporter la preuve que l'auteur des faits fût bien celui qu'elle désigne, sinon peut-être pour le "petit harcèlement" concédé par l'avocat du prévenu (je n'ai pas assisté à ce procès et m'en tiens aux comptes rendus qu'en fait la presse).

Voir ci-dessous la liste des articles de presse actuellement consacrés à ce procès.

Le Dr Jean-Jacques Charbonier, qui raconte depuis peu toutes les étapes par lesquelles il est lui-même passé après être devenu une cible des mêmes, a eu droit lui aussi à son expertise psychiatrique, puisque dès le tout début en 2012 le malade mental et cyberharceleur notoire Jean-Marc Donnadieu de Béziers, alias "NEMROD34", zététicien et "sceptique" émérite, le qualifiait de "fou" :

http://satanistique.blogspot.com/2023/01/le-dr-jean-jacques-charbonier-les.html

Il s'en est bien mieux sorti que Jacques Grimault, aucune maladie mentale n'ayant été retenue à son encontre.

Annie Lobé aussi a été convoquée à une expertise psychiatrique ordonnée à la demande de Thomas Durand n'admettant pas qu'elle puisse le poursuivre pour injures et diffamation. Très probablement, elle ne s'y est pas rendue et a ainsi échappé à l'expertise qui était destinée à la discréditer.

Voir ici :

http://satanistique.blogspot.com/2023/01/lavocat-de-thomas-durand-est-lescroc-de.html

Quant à moi, ayant depuis le tout premier jour en 2008 toujours été traitée de "folle" par mes harceleurs qui dès le printemps 2009 tentaient vainement de me faire interner en urgence puis calomniaient publiquement mon médecin traitant pour ne m'avoir jamais diagnostiqué aucune maladie mentale, bien au contraire, et allaient même jusqu'à organiser l'assassinat d'un de ses proches, Jean-Jacques Le Page, pour s'en venger ou tenter d'exercer encore de très fortes pressions à son encontre, vous pensez bien que j'y ai aussi été confrontée, mais pas très rapidement, seulement en 2021.

L'expertise avait été ordonnée par un magistrat local à la solde du pédophile Pascal Edouard Cyprien Luraghi, lequel est véritablement considéré comme un Dieu vivant dans les milieux judiciaires de mon département, dont il obtient toujours tout ce qu'il veut sans aucune difficulté. Il avait demandé que soit désigné pour m'expertiser un de ses complices psychiatres du CHU de Brest, exerçant à l'hôpital psychiatrique de Bohars, lequel finalement ne m'a pas expertisée et lui aurait dit que les "paranoïaques" lui faisaient peur...

Il l'a écrit sur Twitter le 21 mars de l'année dernière :

 


J'en avais fait cet article à l'époque :

http://satanistique.blogspot.com/2022/03/je-ferais-peur-michel-walter.html

Six mois plus tôt, il avait aussi rappelé ceci sur Twitter :



En fait, il s'impatientait concernant l'expertise psychiatrique dont, à cette date, il avait déjà obtenu d'une juge d'instruction ultra corrompue qu'elle fut ordonnée à mon encontre et que soit désigné pour la réaliser (entendez, la rédiger sous la dictée du pédophile et cyberharceleur lui-même) un de ses complices de l'hôpital psychiatrique de Bohars avec qui il correspondait depuis 2010 au moins et peut-être même depuis le printemps 2009 à mon "sujet... assez particulier. Un cas d'école, en quelques sorte."

Ben oui, une femme qui se prétend victime de harcèlement moral dans le travail, forcément c'est une folle ou une paranoïaque délirante, puisqu'il s'agit d'un faux problème, qui n'a jamais existé nulle part, ou qui tout au plus se résumerait à des "moqueries" parfaitement justifiées à l'égard de fous ou de folles, comme il l'avait soutenu lors de son interrogatoire du 14 mars 2011 à la gendarmerie de Puy-l'Evêque où il était auditionné à la suite de ma première plainte contre lui.

On notera que son collègue et complice cybercriminel et harceleur Jean-Marc Donnadieu de Béziers, qui lui aussi m'a toujours traitée de "folle", avait fait constater par huissier pour ses procédures dans l'Hérault que j'étais l'ancienne riveraine du site Rue89 qui était intervenue anonymement sur le sujet du harcèlement moral en entreprise pour la première fois début septembre 2008 en précisant en avoir été elle-même victime, ce qui était pour lui la preuve irréfutable de la maladie mentale qu'il m'attribuait lui aussi, tout comme tous ses complices de la bande du pédophile et mythomane notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi.

Le 27 septembre 2021, ce dernier qui depuis 2009 écrivait à quantité d'autorités brestoises pour en exiger toujours mon internement psychiatrique "à vie" de toute urgence (psychiatres du CHU, services sociaux, maire de Brest, sous-préfet, préfet, procureur de la République, etc...), ne tenait plus, il avait obtenu au début de l'été une ordonnance d'expertise psychiatrique à mon encontre dans le cadre d'une procédure dont il n'a jamais été partie (ce qui est illégal, mais ici, tout est illégal de toute façon), il lui tardait qu'elle soit enfin réalisée, et pourquoi pas, mon internement "à vie" aussi dans la foulée.

Son complice expert psychiatre m'avait donc convoquée quelques jours plus tard, le 14 octobre 2021... pour le lundi 18 octobre 2021 !

Là, tout d'un coup, c'était devenu hyper urgent. 

Ayant reçu sa lettre de convocation le vendredi 15 octobre 2021, je recevais aussi le même jour un mail noté "URGENT" de celle qui était alors censée être mon avocate et ne me défendait absolument pas, étant elle aussi aux ordres de mes harceleurs, comme plusieurs autres de mes avocats contre ces malfrats. Elle m'indiquait :

"Je suis avisée par le secrétariat du Docteur COZIC, expert psychiatre, de votre convocation le lundi 18/10 à 10 h 30 à l'hôpital de Bohars, tour médicale, 1er étage.

Son secrétariat m’en avise téléphoniquement, à défaut de disposer de vos coordonnées téléphoniques, pour s'assurer que vous ayez connaissance de votre convocation, adressée parallèlement par courrier, dans les temps."

C'est quoi, ces manières ?

Non mais ça va pas la tête ?

Ce bon Dr Jean-Yves Cozic s'est fait sonner les cloches par le pédo puis me siffle comme son chien et s'imagine que je vais arriver ventre à terre dans son bureau le lundi matin à la première heure...

Cela ne m'aurait peut-être pas déplu de l'expertiser lui aussi (oui, moi j'expertise mes experts psy -chologues ou -chiatres, cela m'amuse énormément, surtout quand il s'agit de complices de mes harceleurs, ils sont tous siphonnés), mais dans ces conditions, non.

Au lieu de ma visite, l'expert psychiatre recevait donc en début de semaine suivante une lettre recommandée avec accusé de réception commençant ainsi :

"J’accuse réception de votre lettre d’hier, par laquelle vous m’avez donné rendez-vous dans votre bureau à l’hôpital psychiatrique de Bohars lundi 18 octobre 2021 à 10h30.

Par la présente, je vous informe que la complicité de votre Chef de Pôle Michel WALTER avec les criminels qui me harcèlent vous interdit de m’expertiser dans le cadre de la procédure visée et que vous ne pouvez par conséquent que refuser de procéder à l’expertise ordonnée..."

Dès réception de cette lettre, il annulait la seconde convocation qu'il m'avait déjà expédiée après m'avoir vainement attendue le lundi matin et informait la juge qu'il ne procèderait pas à mon expertise.

En effet, nul ne peut être à la fois juge et partie, pas même l'expert désigné par ordonnance d'un juge.

En l'occurrence, Michel Walter s'est grillé tout seul, et avec lui l'intégralité des psychiatres du CHU de Brest, en acceptant de correspondre à mon sujet avec le pédophile, cybercriminel, harceleur, calomniateur et mythomane notoire Pascal Edouard Cyprien Luraghi, correspondance dont ce dernier s'est plusieurs fois vanté publiquement sur Internet et qu'il avait fournie avec sa plainte totalement délirante de 2015 à mon encontre, en conséquence de quoi plus aucun desdits psychiatres n'est en droit de m'expertiser, car ils sont tous objectivement complices de tous les harcèlements dont je suis victime depuis les années 2008 à 2010 - et l'on voit bien qu'effectivement l'expert psychiatre désigné par la juge était en relation directe avec le pédophile auquel il aurait écrit redouter les paranoïaques.

Voilà, voilà. Je suis en droit et réponds en droit, c'est tout. Et c'est bien ce qui fait peur aux psychiatres du CHU de Brest, et non une prétendue paranoïa dont je serais atteinte comme le prétend mensongèrement le psychopathe Pascal Edouard Cyprien Luraghi.

N.B. : Jacques Grimault ne me paraît pas davantage paranoïaque. Plusieurs de ses anciens compagnons de route s'en plaignent eux aussi mais ne décrivent absolument pas ce type de personnalité. La "psychose délirante paranoïaque" est bien la marotte des harceleurs pour discréditer leurs victimes.


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