A 16 ans, il diffuse des vidéos à la gloire d'Al-Qaïda sur les réseaux sociaux.
"Lors de son audition, cet adolescent déjà connu des services aurait certes admis que ses diffusions pouvaient être perçues comme des faits d’apologie. En revanche, il aurait indiqué ne pas être en contact avec des personnes violentes et ne pas projeter d’attaques contre la France ou quiconque relevant d’une autre religion que la sienne."
Ses déclarations n'ont pas été vérifiées, on le croit sur parole.
Conclusion : c'est encore un protégé de la criminelle et terroriste en chef Josette Brenterch du NPA de Brest.
Du coup, il est laissé libre jusqu'à son procès fixé au 4 avril prochain...
À Brest, un adolescent interpellé pour apologie du terrorisme
Un adolescent brestois de 16 ans a été interpellé ce mardi 30 janvier pour avoir diffusé sur les réseaux sociaux des vidéos à la gloire d’Al-Qaïda. Il sera jugé par le tribunal pour enfants le 4 avril prochain.
2 759 abonnés sur son compte TikTok, 97 followers sur Instagram : suffisamment, faut-il croire, pour que la publication de vidéos vantant la gloire de l’Islam radical soit repérée par les forces de l’ordre et mette cet adolescent de 16 ans en position délicate vis-à-vis de la justice. Il faut dire qu’il n’a pas lésiné sur les messages. La première expose une vidéo dans laquelle plusieurs combattants en armes récitent des chants religieux qui incitent à tuer les ennemis pour parvenir à la justice et à la victoire. L’autre n’étant qu’un prêche audio de Faris Al-Zahrani, stratège d’Al-Qaïda décédé en 2016, dans lequel l’auteur met en garde les musulmans contre ceux qui outrepassent les limites d’Allah.
Procès le 4 avril
Lors de son audition, cet adolescent déjà connu des services aurait certes admis que ses diffusions pouvaient être perçues comme des faits d’apologie. En revanche, il aurait indiqué ne pas être en contact avec des personnes violentes et ne pas projeter d’attaques contre la France ou quiconque relevant d’une autre religion que la sienne.
Déféré devant le parquet, il a été laissé libre mais avec interdiction de sortie entre 18 h et 8 h du matin et une cure de désintoxication obligatoire avant son procès devant le juge pour enfants, convenu au jeudi 4 avril.
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