En juin et juillet derniers, j'ai commenté à travers plusieurs articles l'affaire de pédocriminalité révélée par Inès Chatin, fille adoptive du médecin parisien Jean-François Lemaire et de son épouse Lucienne Chatin, de la famille Gillet, des industriels lyonnais :
http://satanistique.blogspot.com/2024/07/maison-gillet-fils-fabricant-de-soiries.html
Cette derniere est née à Izieux, dont le médecin Roger Baudy, le père de l'escroc lyonnais Patrick Baudy, fut le maire après son retour de déportation en 1945 et 1946.
La commune d'Izieux a été absorbée le 14 mars 1964 par celle de de Saint-Chamond, avec Saint-Martin-en-Coailleux et Saint-Julien-en-Jarez.
Jean-François Lemaire et Lucienne Chatin s'étaient mariés l'année précédente, en juin 1963.
Jean-François Lemaire était le petit-fils d'une célébrité, le sculpteur François Victor Cogné, originaire de l'Aveyron, comme je l'ai déjà indiqué dans ces deux articles :
http://satanistique.blogspot.com/2024/06/pedocriminels-de-la-rue-du-bac-de.html
http://satanistique.blogspot.com/2024/07/claude-imbert-journaliste-pedocriminel.html
Concernant la généalogie de François Victor Cogné, je n'étais alors remontée qu'à ses grands-parents en notant que son grand-père paternel Jean Cogné ou Coignet, briquetier, était originaire de Saint-Jean-Bonnefonds dans la Loire, près de Saint-Chamond.
Or, il semble que cette famille Coignet trouve ses origines dans l'ancienne commune de Saint-Martin-en-Coailleux faisant aujourd'hui partie de Saint-Chamond, tout comme Izieux.
Voici l'acte de mariage de Jean Coignet le 12 février 1846 à Decazeville, dans l'Aveyron, indiquant qu'il est né à Saint-Jean-Bonnefonds le 29 mai 1824 et est le fils d'Etienne Coignet, briquetier, et de son épouse Marie Colin, sans profession, tous deux étant domiciliés à Decazeville :
Et son acte de naissance indiquant que son père est alors cloutier :
Acte de mariage de son père, Etienne Coignet, journalier, fils de Christophe, cloutier, et de Marie Labret, le 25 octobre 1823 à Saint-Jean-Bonnefonds, avec Jeanne Marie Collin, passementière :
La généalogie de celui-ci se retrouve sur le site Geneanet :
https://gw.geneanet.org/bsanchis?n=coignet&oc=3&p=etienne
- Né le 28 février 1802 - St-Jean-Bonnefonds, 42, Loire, France
- Décédé
- Journalier
Parents
- Christophe COIGNET 1760-
- Marie LEBRET 1764-
Union(s)
- Marié le 25 octobre 1823, St-Jean-Bonnefonds, 42, Loire, France, avec Jeanne-Marie COLLIN 1804-
Fratrie
- Jeanne Marie COIGNET 1785-
- Marie COIGNET ca 1790-
- Claudine COIGNET 1794-
- Etienne COIGNET 1802-
Aperçu de l'arbre
Antoine COIGNET ca 1730-/1791 | Catherine POIZAT ca 1730- | André LEBRET ca 1725- | Jeanne LINOSSIER 1724- | |||
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Christophe COIGNET 1760- | Marie LEBRET 1764- | |||||
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Etienne COIGNET 1802- |
Descendants de
Jusqu'à la 4e génération.
Antoine COIGNET ~1730-/1791 & Catherine POIZAT
Jacques COGNET 1755-/1827 &1777 Gasparde MURGUE &1785 Catherine CHOVET
Jeanne-Marie COGNET ~1785- &1812 Antoine FIASSON
Christophe FIASSON 1815- &1835 Jeanne-Marie MURAT
Antoinette FIASSON 1820- &1842 Jean-Baptiste THEVENON
Marguerite COGNET ~1787- &1804 Claude CELLARIER
Jacques CELLARIER 1805-
Mathieu CELLARIER 1808- &1831 Fleurie PITAVAL
Marguerite CELLARIER 1834-
Gabriel CELLARIER 1812- &1835 Marguerite RIOCREUX
Antoinette CELLARIER 1814-/1857 &1834 Mathieu TARDY
Marguerite TARDY 1837-
Christophe COGNET 1785- &1836 Elisabeth RUEL
Marguerite COGNET ~1790- &1816 Jean-Baptiste BACHER
Louis BACHER 1816- &1841 Anne GRENOTIER &1852 Anne-Marie BERAUD
Marie-Louise BACHER 1818- &1840 Jean-Marie GRANOTTIER
Antoine BACHER 1820- &1843 Françoise GRANOTTIER
Marguerite BACHER 1825- &1844 Joseph GEAI
Antoinette COGNET 1792- &1814 Jean TARDY
Jacques TARDY 1815- &1841 Catherine FIASSON
Claudine TARDY 1822- &1846 Jean-Baptiste THEVENON
Jeanne TARDY 1829- &1851 Claude REVOLIER
Louis TARDY 1833- &1863 Marguerite CELLARIER
Marguerite COGNET 1800- &1818 Claude MARCOUX &1827 Jacques SERVANTON
Christophe COIGNET 1760- &1784 Marie LEBRET
Jeanne Marie COIGNET 1785- &1816 Francois CAMIER
Etienne CAMIER 1818- &1839 Claudine MAZENOD
Marie COIGNET ~1790- &1815 Jean FONTVIEILLE
Claudine COIGNET 1794- &1822 Claude PICHON
Jeanne-Marie PICHON 1826- &1853 François PICHON
Benoite PICHON 1838- &1868 Pierre DEVUN
Jean-Pierre DEVUN 1867-
Claudine DEVUN 1874-
Etienne COIGNET 1802- &1823 Jeanne-Marie COLLIN
Pierre COIGNET ~1760-
Jacques COIGNET 1763-/1833 &1791 Claudine PICHON &1807 Antoinette PORTE
Etiennette COGNET 1793- &1829 Claude LINOSSIER
Antoinette LINOSSIER 1832- &1856 Jean-Pierre ARGAUD
Louise COGNET 1795- &1822 Claude PRUDHOMME
Elisabeth PRUDHOMME 1824- &1845 Jean-Michel PEUBLE
Pierre COIGNET 1798- &1818 Jeanne PINATEL
Jacques COIGNET 1819- &1847 Florine DURAND
Etiennette COIGNET 1824- &1851 Jean-Marie TARDY
Elisabeth COIGNET 1831- &1851 Jean Claude PONSONNARD
Jean COGNET 1836- &1862 Marie-Anne BREAT
Louise COGNET 1800-/1851 &1822 Jean REVOLIER
Claude REVOLIER 1825- &1851 Jeanne TARDY
Jean-Marie REVOLIER 1827- &1857 Marguerite TARDY
Jean REVOLIER 1834- &1856 Benoîte MALHAIRE
Marguerite REVOLIER 1837- &1857 Claude ABRIAL
Antoinette COIGNET 1808- &1830 Jean VERROT
Pierre VERROT 1832- &1856 Antoinette VALLON
Louise VERROT 1835- &1857 Jean COGNET
Jean-Baptiste COGNET 1810-/1862 &1833 Marie ROYON
François COGNET 1834-/1890 &1855 Antoinette ORIOL
Antoine COGNET 1863-
Catherine COGNET 1840- &1863 Joseph PICHON
Antoinette COGNET 1843- &1862 Jean-Baptiste DELORME
Pierre COIGNET ~1815-
Jean-Baptiste COGNET 1817- &1842 Claudine LOUISON
Antoinette COGNET 1843- &1864 François LOUAT
Marguerite COIGNET 1819- &1838 Vital FIASSON
Jean-Baptiste COGNET ~1770- &1797 Marie-Antoinette MONTAGNY &1802 Marguerite BERTHON
Jacques COIGNET 1804- &1828 Marie JOUBERT
Anne COGNET 1810- &1832 Jean TARDY
Gaspard COGNET 1814- &1837 Françoise BAYLE
Antoine Coignet est également cloutier :
https://gw.geneanet.org/grangemc?lang=fr&pz=michel+claude&nz=grange&p=anthoine&n=coignet
- Né le 24 février 1730 (vendredi) - Janon - Saint-Jean-Bonnefonds, 42237, Loire, Rhône-Alpes, FRANCE
- Baptisé le 25 février 1730 (samedi) - Saint-Jean-Bonnefonds, 42237, Loire, Rhône-Alpes, FRANCE
- Décédé le 14 août 1774 (dimanche) - Saint-Jean-Bonnefonds, 42237, Loire, Rhône-Alpes, FRANCE, à l'âge de 44 ans
- Cloutier
Parents
-
Jacques COIGNET,
né le 20 mai 1704 (mardi) - Saint-Jean-Bonnefonds, 42237, Loire,
Rhône-Alpes, FRANCE, décédé le 13 mai 1782 (lundi) -
Saint-Jean-Bonnefonds, 42237, Loire, Rhône-Alpes, FRANCE à l'âge de
77 ans, Cloutier
Marié le 23 janvier 1725 (mardi), Saint-Jean-Bonnefonds, 42237, Loire, Rhône-Alpes, FRANCE, avec - Jeanne TISSOT, née le 11 mars 1694 (jeudi) - Saint-Étienne, 42218, Loire, Rhône-Alpes, FRANCE, décédée le 26 mars 1754 (mardi) - Saint-Jean-Bonnefonds, 42237, Loire, Rhône-Alpes, FRANCE à l'âge de 60 ans
Union(s), enfant(s), petits-enfants et arrière-petits-enfants
-
Marié le 19 février 1754 (mardi), Saint-Jean-Bonnefonds, 42237, Loire, Rhône-Alpes, FRANCE,
avec Catherine POISAT,
née le 9 avril 1733 (jeudi) - Saint-Jean-Bonnefonds, 42237, Loire,
Rhône-Alpes, FRANCE, décédée le 11 juillet 1771 (jeudi) -
Saint-Jean-Bonnefonds, 42237, Loire, Rhône-Alpes, FRANCE à l'âge de
38 ans
(Parents :
Gaspard POISAT 1708-1763 &
Catherine GRANGIER ca 1710-1774)
dont
- Jacques COIGNET 1755-
- Marguerite COIGNET 1757-1757
- Christophe COIGNET 1759-
- Jacques COIGNET 1762-1829
- Pierre COIGNET 1766-
-
Jean Baptiste COIGNET 1768-1845 Marié le 13 janvier 1797 (vendredi), Saint-Jean-Bonnefonds, 42237, Loire, Rhône-Alpes, FRANCE,
avec
Jeanne Marie Antoinette MONTAGNEY 1773- dont
-
Marie COIGNET 1801-1858 Mariée le 14 janvier 1822 (lundi), Saint-Jean-Bonnefonds, 42237, Loire, Rhône-Alpes, FRANCE,
avec
Antoine MONMÉAT 1798-1861 dont :
- Marguerite MONMÉAT 1823-1870
- Jacques COIGNET 1804-1835
- Anne COIGNET 1810-
- Gaspard COIGNET 1814-
-
Marie COIGNET 1801-1858 Mariée le 14 janvier 1822 (lundi), Saint-Jean-Bonnefonds, 42237, Loire, Rhône-Alpes, FRANCE,
avec
Antoine MONMÉAT 1798-1861 dont :
- Marguerite COIGNET
Fratrie
- Jean COIGNET 1726-
- Anthoine COIGNET 1730-1774 Marié le 19 février 1754 (mardi), Saint-Jean-Bonnefonds, 42237, Loire, Rhône-Alpes, FRANCE, avec Catherine POISAT 1733-1771
- Marguerite COIGNET 1733-
Notes
Décès
peut être décédé à Saint EtienneSources
- Baptême: Saint-Jean-Bonnefonds.-Baptêmes, Mariages, Sépultures. - 3NUMRP1/1MIEC238X2 - De 1724 à 1733 - /rp2/1miec238x02/ad04209_1miec238x2_00010_c - Visualiseur - Acte de Baptême de COIGNET Anthoine (1730-1774) - http://www.archives.archinoe.com/v2/ad42/visualiseur/index.html - - Numerisation
- Union: Saint-Jean-Bonnefonds.-Baptêmes, Mariages, Sépultures. - 3NUMRP5/1MIEC238X2 - De 1753 à 1757 - /rp2/1miec238x02/ad04209_1miec238x2_00423_c - Visualiseur - Acte de Mariage religieux de COIGNET Anthoine (1730-1774) avec POISAT Catherine (1733-1771) - http://www.archives.archinoe.com/v2/ad42/visualiseur/index.html - - Numerisation
Photos & documents
Coignet Anthoine bapteme
Aperçu de l'arbre
Mathieu COIGNET 1671-/1725 | Anthoinette DUBREUIL | Anthoine TISSOT ca 1655-/1725 | Marie REVOLLIER 1665-1707 | |||
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Jacques COIGNET 1704-1782 | Jeanne TISSOT 1694-1754 | |||||
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Anthoine COIGNET 1730-1774 |
Jacques Coignet est encore cloutier, fils de laboureur cloutier :
https://gw.geneanet.org/grangemc?lang=fr&pz=michel+claude&nz=grange&p=jacques&n=coignet
Sosa :
280
Parents
Union(s), enfant(s), petits-enfants et arrière-petits-enfants
Fratrie
Événements
Aperçu de l'arbre
|
Etienne Coignet est laboureur fils de laboureur, de Sorbiers :
https://gw.geneanet.org/grangemc?lang=fr&pz=michel+claude&nz=grange&p=etienne&n=coignet
- Né en 1628 - Sorbiers, 42302, Loire, Rhône-Alpes, FRANCE
- Décédé le 21 novembre 1681 (vendredi) - Saint-Étienne, 42218, Loire, Rhône-Alpes, FRANCE, à l'âge de 53 ans
- Laboureur
Parents
-
François COIGNET, né vers 1590 - Sorbiers, 42302, Loire, Rhône-Alpes, FRANCE, décédé avant 1640 - Sorbiers, 42302, Loire, Rhône-Alpes, FRANCE, Laboureur
Marié avant 1615, Sorbiers, 42302, Loire, Rhône-Alpes, FRANCE, avec - Antoinette SEVE, née vers 1598 - Sorbiers, 42302, Loire, Rhône-Alpes, FRANCE, décédée le 13 novembre 1650 (dimanche) - Sorbiers, 42290, Loire, Auvergne-Rhône-Alpes, FRANCE à l'âge d'environ 52 ans
Union(s), enfant(s), petits-enfants et arrière-petits-enfants
-
Marié en 1650, Saint-Christo-en-Jarez, 42208, Loire, Rhône-Alpes, FRANCE,
avec Jeanne MAZENOD,
née le 18 juillet 1628 (mardi) - Saint-Christo-en-Jarez, 42208, Loire,
Rhône-Alpes, FRANCE, décédée en 1687 - Saint-Christo-en-Jarez, 42208,
Loire, Rhône-Alpes, FRANCE à l'âge de 59 ans
(Parents :
Antoine MAZENOD 1596-1630/ &
Pernette PACHOIS)
dont
- Antoine COIGNET 1650-
- Pernette COIGNET 1652-
- Benoîte COIGNET 1654-
- Jean COIGNET 1663-1717
- Antoinette COIGNET 1667-
-
Mathieu COIGNET 1671-/1725 Marié le 23 octobre 1696 (mardi), Saint-Julien-en-Jarez, Loire, Rhône-Alpes, FRANCE,
avec
Anthoinette DUBREUIL dont
- Jeanne COIGNET 1701-
-
Jacques COIGNET 1704-1782 Marié le 23 janvier 1725 (mardi), Saint-Jean-Bonnefonds, 42237, Loire, Rhône-Alpes, FRANCE,
avec
Jeanne TISSOT 1694-1754 dont :
- Jean COIGNET 1726-
- Anthoine COIGNET 1730-1774
- Marguerite COIGNET 1733-
Jacques COIGNET 1704-1782 Marié le 25 octobre 1763 (mardi), Saint-Jean-Bonnefonds, 42237, Loire, Rhône-Alpes, FRANCE, avec Catherine GRANGIER
Fratrie
- Jean COIGNET 1615-1652
- Pierre COIGNET 1618-1661
- Jean COIGNET 1622-1651
- Nicolas COIGNET 1623-1649
- Claude COIGNET 1626-1660
- Etienne COIGNET 1628-1681 Marié en 1650, Saint-Christo-en-Jarez, 42208, Loire, Rhône-Alpes, FRANCE, avec Jeanne MAZENOD 1628-1687
- Nicolas COIGNET †1650
- Louise COIGNET †1649
- Jeanne COIGNET †1650
- Pierre COIGNET †1655
Sources
- Naissance, décès: Import GEDCOM du 31 décembre 2019 - ma genealogie - Gedcom File - Fichier : grangemc.ged -
- Union: Import GEDCOM du 31 décembre 2019 - ma genealogie - Gedcom File - Fichier : grangemc.ged
Aperçu de l'arbre
|
Antoine Coignet est laboureur fils de laboureur et fermier de la rente de la Valla en Gier :
https://gw.geneanet.org/gentraide?n=coignet&oc=5&p=louis
Fermier de la rente de la Valla en Gier, Laboureur à Chomeols
- Décédé entre 1599 et 1605
Parents
-
LA VALLA Choméol COIGNET
Marié avec - ? ?
Union(s), enfant(s), petits-enfants et arrière-petits-enfants
-
Marié le 22 mai 1572
avec Benoîte BERTHOLON, décédée après 1621
dont
-
Blanche COIGNET Mariée le 16 février 1599, Contrat de mariage, La Valla en Gier, 42,
avec
Maître Antoine DUPONT, Barbier opérateur à Doizieux †1603..1614 dont
- Laurence DUPONT Mariée le 7 janvier 1614, Contrat de mariage, La Valla en Gier, 42, avec Jérôme AROD
- Claudine DUPONT †1618/ Mariée avec Jean BONNARD †1618/
-
Honnête Jean DUPONT, Marchand hôte à Doizieux †1693/ Marié le 21 janvier 1645, M°Ferriol, La Valla en Gier, 42,
avec
Denise MAYERY ca 1617-1693 dont :
- Jeanne DUPONT †1715
- Catherine DUPONT ca 1640-1700
- Claude DUPONT, Marchand à Doizieux ca 1644-1694
- Jean DUPONT †1704/
- Claudine DUPONT †/1721
-
Antoine COIGNET, Laboureur à Choméol †/1631 Marié le 25 janvier 1608
avec
Antoinette PACALET †1646 dont
-
Claude COIGNET, Tissotier de soie à Choméol †1639 Marié en 1631, Contrat de mariage, La Valla en Gier, 42,
avec
Antoinette NANTAS †1678 dont :
- Claude COIGNET 1637-1678/
- Jean l'Aîné COIGNET †1657
- André COIGNET †1621/
- Jean COIGNET †1621/
-
Claude COIGNET, Tissotier de soie à Choméol †1639 Marié en 1631, Contrat de mariage, La Valla en Gier, 42,
avec
Antoinette NANTAS †1678 dont :
-
Barthélemye COIGNET †1611/ Mariée après 1605
avec
Maître Jean RIVAT, Cordonnier à la Valla en Gier †1657/ dont
- Jeanne RIVAT † Mariée en 1633, Contrat de mariage, La Valla en Gier, 42, avec Jean GRANJON, Laboureur au Moulin du Bost †1675..1684
- Jeanne COIGNET †1609/
- Antoinette COIGNET †1605/
-
Blanche COIGNET Mariée le 16 février 1599, Contrat de mariage, La Valla en Gier, 42,
avec
Maître Antoine DUPONT, Barbier opérateur à Doizieux †1603..1614 dont
Sources
- Union: M°Chaboud. Cité dans l'inventaire des biens de son fils Antoine
Aperçu de l'arbre
|
Descendants de
Jusqu'à la 14e génération.
Louis COIGNET (Fermier de la rente de la Valla en Gier, Laboureur à Chomeols) †1599..1605 &1572 Benoîte BERTHOLON
Blanche COIGNET &1599 Maître Antoine DUPONT (Barbier opérateur à Doizieux) &1614 André AROD (Laboureur au Mont)
Laurence DUPONT &1614 Jérôme AROD
Claudine DUPONT †1618/ & Jean BONNARD
Honnête Jean DUPONT (Marchand hôte à Doizieux) †1693/ &1645 Denise MAYERY
Jeanne DUPONT †1715 &1671 Antoine BRUDOUX (Marchand à Torrépanne)
Catherine DUPONT ~1640-1700 &1667 François le Jeune DUCULTY (Marchand à Gromont)
Marie DUCULTY ~1669-1749 &1685 Honnête François MATRICON (Habitant à Gromont, Consul de Doizieux, Consul de Doizieux)
François MATRICON &1720 Marie RIVORY
Marie MATRICON (Habitant à Gromont) &1728 Claude CHOMIÈNE
Antoine CHOMIÈNE &1768 Louise GIRARD
Jean Marie CHOMIÈNE &1814 Jeanne Marie FRANSON
Antoine Benoît CHOMIÈNE &1839 Marie Catherine PAYRE
Louise Joséphine Étiennette CHOMIÈNE &1868 Jean Antoine GIRARD (Marchand de bois)
Marie GIRARD 1871- &1903 Pierre CROZET
Louise CHOMIÈNE &1797 Jean Marie PITIOT
N PITIOT
Benoît CHOMIÈNE &1807 Marie Anne BEAUFRÈRE &1819 Ursule RIVORY
Marie CHOMIÈNE &1830 Jean Claude BERLIER
Françoise BERLIER 1830- &1859 Pierre Marie BERLIER
Marie Joséphine BERLIER 1834-1875 &1856 Jean Marie BERLIER
Antoine Marie Félix BERLIER 1861- &1899 Marie Louise Élisabeth PANEL
Marie Louise Mélina BERLIER 1865- &1898 Jean Marie Zacharie MICOL
Louis CHOMIÈNE &1844 Marie Catherine PAYRE
Claudius CHOMIÈNE 1859-1928 & Rosalie CROZET
Marie Antoinette CHOMIÈNE 1899-1990 &1927 Marius BRUYÈRE
Marie Françoise BRUYÈRE & Joannès DÉSORMEAUX
Monique DÉSORMEAUX
N DÉSORMEAUX
Alain DÉSORMEAUX & Marie Josèphe DEVILLE
Frédéric DÉSORMEAUX & Delphine Joëlle DARNON
Nathalie DÉSORMEAUX
Évelyne DÉSORMEAUX
Marie Josèphe DÉSORMEAUX & Gilbert MAS
Anthony MAS
Lionel MAS
Guy DÉSORMEAUX & Joëlle Marie Françoise DAMIZET
Guillaume DÉSORMEAUX
Geneviève Marie Jeanne DÉSORMEAUX
Jean Yves DÉSORMEAUX & Monique Marie Paule FLÉCHET
Emmanuel DÉSORMEAUX
Maxime DÉSORMEAUX
Claudia Marie BRUYÈRE & Joseph Pierre JOURJON
Bernard JOURJON
Thérèse BRUYÈRE & Jean DÉSORMEAUX
Daniel DÉSORMEAUX
Gilles DÉSORMEAUX
Olivier DÉSORMEAUX
Joannès BRUYÈRE
Honnête Isabeau DUCULTY ~1673-1753 &1687 Antoine VANEL &1695 Jean FRANSON (Laboureur à Combas, Journalier à Veylon)
Claude FRANSON &1726 Benoîte MONTEILLER
Jean FRANSON &1757 Claudine OLAGNIER
Jean FRANSON &1737 Philippa GIRAUDET
Jacques FRANSON (Laboureur au Combas) ~1737-1795 &1785 Jeanne Marie CHOMIER
Jeanne Marie FRANSON 1786-1865 & Joseph Marie FARA
Benoîte FRANSON 1788-1857 &1809 Benoît FARA
Pierre FRANSON 1790-1790
Magdeleine FRANSON 1792-1869 &1822 Jean Baptiste RIVAT
Marie FRANSON &1742 Antoine DEVILLE
Étiennette DUCULTY ~1675-1750 &1696 Jean PITIOT (Charpentier aux Hermeaux, Journalier aux Hermeaux)
Benoît PITIOT ~1696-1768 &1746 Françoise BERNE
Joseph PITIOT ~1697-1709
Marie PITIOT 1703-1781 &1724 Jean GRANGIER (Charpentier aux Hermeaux)
Benoît GRANGIER 1724-1727
Jean GRANGIER (Charpentier aux Hermeaux, Fermier à Côte Bayolle) 1726-1809 &1757 Marguerite BOUCHIER &1784 Anne CHIÈZE
Jean Marie GRANGIER (Charpentier aux Hermeaux, Charpentier à la Terrasse, Cultivateur à Bayolle) 1757-1809 &1792 Jeanne Marie PAYRE
Jeanne Marie GRANGIER 1793-1853 &1817 Vincent BONNEFOND
Antoinette GRANGIER 1796-
Jacques GRANGIER (Cloutier au Breuil, Cultivateur au Breuil, Cloutier au Pont de la Terrasse) 1798-1846 &1827 Catherine BERTHOLON
Marie GRANGIER 1827-1828
Marie GRANGIER 1829- &1856 François CAZALS
Jacques GRANGIER (Cloutier à Doizieux) 1830- &1852 Virginie VIEROZ
Marie Antoinette GRANGIER (Ouvrière en soie) 1833-1854
N GRANGIER 1835-1835
François Antoine GRANGIER 1836-1836
Jean Baptiste GRANGIER 1837-
Marie Pierrette GRANGIER (Ouvrière en soie) 1840- &1861 Augustin RASCLARD
Jacques GRANGIER (Cultivateur à Saint Just, Cloutier à Saint Just) 1762-1801 &1792 Antoinette CHOMIÈNE
Jean GRANGIER 1793-1793
Antoine GRANGIER (Cordonnier à Saint Just) 1796-1847 &1825 Marie Claudine MAILLON &1834 Marie Anne CHORETIER
Jacques GRANGIER 1826- & Virginie VIEROTZ
Marie Claudine GRANGIER 1856-
Jean Claude GRANGIER (Forgeur à Saint Paul) 1828-1857
Etienne GRANGIER 1829-1868 & Marie BEREAU
Marie GRANGIER 1861-
Génie GRANGIER 1863-
Jean Marie GRANGIER (Militaire) 1835-1862
Marie Louise GRANGIER 1837-
Georges GRANGIER 1839-
Jacques GRANGIER 1842-
Jeanne Marie GRANGIER 1798-
Marie Louise GRANGIER 1801-
Gabriel GRANGIER ~1765-1832 &1799 Marthe BADOUX
Jacques GRANGIER 1802-
Jean GRANGIER 1805- &1835 Marie FRANSON
Jacques GRANGIER 1836-
Mathie GRANGIER 1837-
Claudine GRANGIER 1840- &1867 Claude FLECHET
Marc GRANGIER (Menuisier au Pont de la Terrasse) 1810-1876 &1837 Antoinette MAILLET
Jules GRANGIER 1838-
Benoît GRANGIER 1840-
Marie GRANGIER 1841-
Antoinette GRANGIER 1852-
Jean Claude GRANGIER 1766-
Jean Pierre GRANGIER ~1768-1768
Pierre GRANGIER 1728-1805
Jacques GRANGIER (Maître tailleur d'habits à Doizieux) 1731-1805 &1772 Antoinette TARDY
Jean Marie GRANGIER (Cloutier à Doizieux, Maçon à Doizieux) ~1782-1847
Antoine GRANGIER (Cloutier à Doizieux) ~1782-1813
Etienne GRANGIER (Journalier à Saint Paul) ~1785-1847/ &1821 Jeanne Marie PINEY
Claudine GRANGIER 1832-
Antoinette GRANGIER 1733-1796 &1769 Antoine RIVORY (Charpentier)
Jean Claude GRANGIER (Maçon charpentier à Saint Paul) 1735-1783 &1778 Marie VINCENT
Jean Baptiste GRANGIER 1738-1739
Jean Pierre GRANGIER (Charpentier aux Hermeaux, Charpentier à l'Audranche, Laboureur) 1740-1824 &1777 Jeanne Marie BERLIER
Jean GRANGIER (Cultivateur à l'Audranche) 1778-1868
Jean Marie GRANGIER (Propriétaire à Frachure) 1780-1869 &1812 Catherine DREVET
Pierre GRANGIER (Maçon) 1814-1833
Marie GRANGIER 1816-1836
Jean Marie GRANGIER 1820-1820
Pierre Marie GRANGIER (Cultivateur à Frachure) 1824-1893 &1852 Françoise COLAUD
Marie Etiennette GRANGIER 1854- &1883 François DELORME
Antoine GRANGIER (Cultivateur au Collet) 1856- &1893 Mariette BERLIER
Francine GRANGIER 1892
Jean Marie Étienne GRANGIER 1893
Pierre GRANGIER (Charpentier aux Hermeaux) 1783-1873 &1813 Marguerite PITIOT
Jeanne Marie GRANGIER 1815-1886 &1839 Jean François BEAUFRÈRE
Marie GRANGIER 1820-1838
Jean François GRANGIER (Cultivateur aux Hermeaux) 1826-1892 &1862 Marie Antoinette CHOMIÈNE
Marie Olympie GRANGIER 1863-1956 &1884 Claude Marie SEYTRE
Joanny GRANGIER (Cultivateur aux Hermeaux) 1864-1889
Jean François GRANGIER (Cultivateur Chez le Maigre) 1867- &1895 Mariette DESORMEAUX
Françoise Marie Antoinette GRANGIER (Ouvrière en soie) 1870-1887
N GRANGIER 1873-1873
Jeanne Marie GRANGIER 1875-1953 &1923 Benoît PHILIS
Jean Marie GRANGIER 1828-
Jeanne Marie GRANGIER 1785-1867
Antoinette GRANGIER 1789-1871
Antoine GRANGIER (Cultivateur à Luclas, Propriétaire à l'Audranche, Charpentier à l'Audranche, Journalier à l'Audranche) 1793-1837 &1828 Marie FARISON (Ouvrière en soie à la Roche)
N GRANGIER 1828-1828
Marie GRANGIER 1830-1845
Marguerite GRANGIER 1831-1906/ &1856 Jean Claude TARDY (Cultivateur aux Chirattes)
Marie TARDY 1857- &1878 Jean Claude BERLIER (Habitant à la Roche)
Jean Claude BERLIER 1879-
Marguerite BERLIER 1880- &1901 Antoine DAMIZET
Claude François BERLIER 1882-
Marie Antoinette BERLIER 1885- &1918 Antoine LOUAT & Hippolyte CHARRA
Claude TARDY 1860- &1885 Marie Magdeleine ESCOFFIER
Marie Antoine TARDY 1864- &1889 Marie Antonia BERLIER
Jean Baptiste TARDY 1869-
Claude Marie GRANGIER (Cultivateur aux Hermeaux, Fermier à Frachure, Fermier à l'Audranche) 1833-1916 &1869 Marguerite Constance BERGERON (Domestique)
Jean Baptiste GRANGIER (Habitant à Frachure) 1869-1944 &1914 Marie MALASSAGNE
N GRANGIER
André GRANGIER 1914-1994
Régina GRANGIER 1923-2007 & Joseph DUMAS
Marguerite GRANGIER 1871-1963 &1903 Jean Louis TRANCHAND (Cultivateur à Sagnimorte)
Germain TRANCHAND 1904-1966
Jean TRANCHAND 1905
Eugénie Clémentine TRANCHAND 1907 & Marius Jean Pétrus MOREL
Germaine TRANCHAND 1908
Jeanne Marie GRANGIER 1873- &1904 Félix FANGET (Négociant à Véranne)
Julie Sophie GRANGIER 1875- &1909 Jean Claude Daniel GARDE (Cultivateur à Goëly)
Xavier Louis GRANGIER 1877-1919/
Baptistine Marie GRANGIER 1880-1880
Pierre GRANGIER 1882-1882
Joannès Auguste GRANGIER (Cantonnier à Doizieux) 1884-1930/ & Marie Louise BERLIER
Marius Jules GRANGIER (Cultivateur à l'Audranche) 1885-1958 &1911 Catherine Marie POYETON (Ouvrière en soie à Doizieux)
Marie Claudia GRANGIER 1911-1911
Camille Louis GRANGIER 1914-/1926
Louis GRANGIER (Cultivateur à Doizieux, Cultivateur à Roisey) 1915-2009 &1939 Marie Antoinette FERRET (Ouvrière en soie)
Marcel GRANGIER & Michelle VENET
Véronique GRANGIER
Nathalie GRANGIER
Jean GRANGIER
Camille GRANGIER & Régis GOUTELLE
Marie Thérèse GRANGIER
Irène GRANGIER & Henri EPITALON
Catherine EPITALON & Franck BERGER
Ludivine BERGER
Kévin BERGER
Christelle EPITALON & Norbert COLEON
Amandine COLEON
Aurélie COLEON & Nicolas CIPRIANI
Maëlys CIPRIANI
Déborah COLEON
Séverine EPITALON & Olivier VILLET
Thibaud VILLET
Hugo VILLET
Antoine GRANGIER
Monique GRANGIER & ? ? & André FÉRÉOL
Jeannick GRANGIER & David N
Johann N
Yann N
Gérard GRANGIER & Paulette BERTHOLET
Laurent GRANGIER & Stéphanie PITIOT
Lucas GRANGIER
Sylvie GRANGIER & Yvan ARNAUD
x x & Noëlle Rose DÉSORMEAUX-MARAS
Murielle GRANGIER & Benjamin PIQUEMAL
Jules PIQUEMAL
Antoine PIQUEMAL
Frédéric GRANGIER
Bernard GRANGIER & Monique DUCLAUX
Sandrine GRANGIER & David BERNE
Eric GRANGIER & Jennifer ?
Jérôme GRANGIER
Baptistine Antoinette GRANGIER 1917-2013 & Antoine DELORME
Camille Léon GRANGIER 1919-1995 & Marie Claudine MICOL
Gabriel Georges GRANGIER 1922-2016 & ? ?
Claudius GRANGIER (Croix de guerre avec Palmes, Chevalier de la Légion d'Honneur, Officier de la Légion d'Honneur) 1888-1947 &1918 Jeanne Marie PATOUILLARD &1936 Hélène AUDIT
Jeanne Marie GRANGIER 1834-1910 &1860 Jean Pierre REVOUL
Marie Étiennette REVOUL 1865- &1892 Jean Marie MAS
Christophe GRANGIER (Cultivateur à l'Audranche) 1836-1908 &1870 Victorine Clémentine BERGERON
Claude Marie GRANGIER 1870-1897
Augustine Constance GRANGIER 1872- &1899 Paul Catherin BERLIER
Jean Claude Marie GRANGIER 1874-1875
Louis Pierre GRANGIER 1877-1877
Jean Baptiste GRANGIER 1881-1881
Victor GRANGIER (Maçon à Doizieux) 1883-1949 &1922 Laurentine Marie Aimée ROBERNEC dit ROBIN
Régis GRANGIER 1887-1957 &1919 Elise Joséphine ROBERNEC dit ROBIN
Eugénie GRANGIER 1889-1915 &1914 Pierre Joannes BUNZLI
Augustine Camille GRANGIER 1892-1892
Alphonse GRANGIER ~1897-1898
Françoise GRANGIER 1795-1797
Marie Claudine GRANGIER 1799-1877 &1823 Jean Baptiste RIOUX
Jeanne Marie GRANGIER 1743-1826 &1769 Antoine BOUDARD &1774 Benoît BONNEL
Jeanne GRANGIER 1745-1831 &1776 André PLUYE (Charpentier à l'Hermuzière)
Denise PLUYE ~1776-1851 &1802 Jean Marie GRANGIER (Drapier drapant à l'Hermuzière)
Jean Marie GRANGIER (Drapier à l'Hermuzière) 1803-1882 &1833 Jeanne Marie CHOVET
Etiennette GRANGIER 1835-1867 &1859 Mathieu DREVET
Jean Benoît GRANGIER (Domestique) 1837-1855
Jeanne Joséphine Philomène GRANGIER (Ouvrière en soie) 1841-1861
Jeanne Marie GRANGIER 1846-1881 & Jules ALBERTIN
Louise GRANGIER 1806-1822
Jean GRANGIER 1807-1808
Jean Marie GRANGIER 1809-
Clément GRANGIER (Maçon à Doizieux) 1811-1861 &1843 Jeanne Marie Françoise GRANJON
Jean Benoît GRANGIER (Cultivateur à Combes) 1844- &1874 Jeanne Marie RIVORY
Joseph Marie GRANGIER 1875-1956
André François GRANGIER 1876-1959 &1921 Eugénie Catherine ESCOFFIER
Françoise GRANGIER 1878- &1900 Jean Baptiste Antoine PRIVAT
Jeanne Marie Denise GRANGIER 1880-1953 &1904 Mathieu Étienne MARAS
Jeanne Marie MARAS 1907 & Jean Marie GALLEY
Françoise Simone MARAS 1909-1991
Joseph MARAS 1910
André Louis MARAS 1913-2001 & Marie Claudia GALLEY
Philomène Joséphine MARAS 1914
Marie Françoise GRANGIER 1882-
Philomène Josephine GRANGIER 1884- &1913 Benoît TRANCHAND (Prorpiétaire aux Écarasses)
N TRANCHAND
Louis GRANGIER 1886-1965 &1912 Marie Louise MICOL
Denise GRANGIER 1846- &1871 François JACQUIER
Jeanne Marie GRANGIER 1851-
Marie GRANGIER (Ouvrière en soie) 1855-1882
Joseph GRANGIER 1857-1887 &1884 Jeanne Marie BONNEL
N GRANGIER 1885-1885
N GRANGIER 1885-1885
Antoine GRANGIER 1813-
Jeanne Marie GRANGIER 1814- &1843 Joseph CHORETIER & N N
Jean GRANGIER 1835-
Jean Claude GRANGIER 1817-1818
Jeanne Marie GRANGIER 1820-1820
Joseph PLUYE ~1782-1834/ &1806 Anne FERRATON
Denise PLUYE †1872 &1834 Jean Claude GRANGIER (Cloutier à Arthurey, Cloutier à la Terrasse) &1853 Augustin DERVIEU
Annette GRANGIER 1835-
Joseph GRANGIER 1837- &1866 Catherine VIALETTE
Louise GRANGIER 1868-
Denise GRANGIER 1749-1751
Jacques PITIOT (Charpentier aux Hermeaux) 1705-1768 &1732 Benoîte PANEL &1745 Jeanne Marie GERMAIN &1748 Jeanne BERLIER
Marie PITIOT &1772 Pierre COURBON (Forgeur)
Jean Louis COURBON (Cloutier) ~1775- &1808 Benoîte VANEL
Jean COURBON 1809- &1834 Jeanne CHARDON
Louis COURBON 1835- &1862 Marie MERCIER
Mariette COURBON 1841- &1865 Pierre BOUCHER
Claudine COURBON ~1781- &1806 François RAVACHOL
Jean PITIOT (Charpentier) &1776 Françoise FARA
Isabelle PITIOT &1802 François FRANSON
Marie FRANSON 1808- &1830 Étienne LAURENT
Jean Claude FRANSON 1810- &1833 Antoinette LEGAT
Catherine PITIOT 1711-1775/ &1737 Jean BERTHOLAT
Etiennette PITIOT †1754/
Benoît DUCULTY (Laboureur à Gromont) &1704 Florie PITIOT &1716 Catherine CHORETIER
Jean DUCULTY &1738 Jeanne CHOMIÈNE
Claude DUCULTY &1787 Jeanne Marie CHOVET
Étienne DUCULTY &1827 Marie Claudine FERRET
Antoine DUCULTY &1775 Marie Anne CHOVET
Philippe DUCULTY &1812 Jean Baptiste BEAUFRÈRE
Jean François BEAUFRÈRE &1839 Jeanne Marie GRANGIER
Jean François DUCULTY &1783 Antoinette PAYRE
Marie DUCULTY †1726
Claude DUCULTY (Marchand à la Croix de Montvieux) ~1674-1739 &1704 Florie PAYRE &1734 Jeanne CHAPAS
Jeanne DUCULTY 1705-1768 &1723 Jean BONNEL (Marchand à Frachure)
Claude BONNEL ~1733- &1756 Marguerite GINOT
Jean Marie BONNEL 1764- &1795 Marie Anne DONNET
Jacques BONNEL 1806-1870 &1831 Jeanne Marie BERLIER
Jean François BONNEL 1836- &1859 Jeanne Marie BERLIER
Jeanne Marie DUCULTY 1707-1791 &1734 Jean MAYERY &1765 Claude BERLIER (Laboureur au Monteiller, Charpentier au Monteiller)
Jeanne MAYERY ~1738-1812 &1765 Jean BERLIER (Habitant au Monteiller)
Marie Claudine BERLIER 1766-1836 &1801 Pierre OGIER
Antoine BERLIER 1769- &1803 Marguerite MARLAY
Claude BERLIER 1773- &1804 Jeanne DUBREUIL
Jean Benoît BERLIER 1806- &1839 Marguerite GRANJON
Jean Claude BERLIER 1840- &1875 Marie Anne FOURNEYRON
Marie Antoinette BERLIER 1847- &1872 André RULIÈRE &1882 Pierre MARTEL
Jean Claude BERLIER 1856- &1883 Rosine ORIOL
Jeanne BERLIER 1810- &1833 Jean ANGENIOL
Jean Marie BERLIER 1817- &1849 Marguerite BASSON
Benoîte BERLIER 1850- &1874 Antoine BERGER
Benoît BERLIER 1854- &1885 Benoîte DAVID
Claude DUCULTY (Habitant à Frachure) 1711- &1731 Claudine PAYRE
Claude DUCULTY (Charpentier à Torrépanne) &1768 Catherine PAYRE
Étiennette DUCULTY &1793 Jean Marie BONNEL (Propriétaire au Monteiller)
N DUCULTY 1713-1713
N DUCULTY 1713-1713
Marie DUCULTY 1692-
Claude DUPONT (Marchand à Doizieux) ~1644-1694 &1671 Jeanne l'Aînée BRUDOUX
Antoine DUPONT †1707/
Denise DUPONT ~1678-1728 &1700 Claude MICOL (Laboureur au Breuil)
Jean MICOL &1723 Marie DEGRAIX
Jean MICOL &1765 Benoîte BERTHOLON
Benoîte MICOL †1808/ &1797 Pierre GRENIER (Cloutier à l'Olagnière)
Anne DUPONT & Antoine DUPLANIL (Consul de Doizieux, Marchand à Doizieux)
Jeanne DUPLANIL †1756 &1726 Claude le Jeune PAYRE (Laboureur aux Gaux)
Antoine PAYRE 1731- &1757 Claudine THOULIEU
Claude PAYRE (Cultivateur aux Gaux) 1758-1832 &1794 Jeanne Marie PINEY &1812 Jeanne Marie PAYRE
Marie PAYRE &1751 Claude BERTHOLON
Michel PAYRE †1743/
Denise PAYRE †1743/
Denise DUPLANIL &1730 Sieur Claude OLAGNIER (Marchand à Doizieux)
Claude OLAGNIER &1770 Françoise PITIOT
Jeanne Marie OLAGNIER
Marie Anne OLAGNIER ~1745-1829 &1759 Jean TARDY (Habitant à la Touche)
Marie TARDY 1779- &1804 Jérôme PACALET
Claude Marie PACALET &1843 Marie Anne POYETON &1858 Jeanne Marie POYETON
Antoine DUPLANIL (Marchand à Doizieux) ~1705-1776 &1737 Marie CHAVE
Antoine DUPONT (Cloutier à Saint Chamond) &1707 Louise CHARRETON
Jean DUPONT †1704/ &1676 Agathe THOULIEU
Jeanne DUPONT &1710 Jean MICOL
Claudine DUPONT †/1721 &1687 Jean l'Aîné BEAUFRÈRE (Marchand à la Brudouze)
André BEAUFRÈRE &1721 Claudine QUEMET
Antoinette BEAUFRÈRE &1736 Claude PRIER
Joseph PRIER &1779 Marie BERLIER
Jean Marie PRIER 1754- &1804 Antoinette PASCAL
Jean Claude PRIER &1831 Pierrette GIRARD
François PRIER 1839-1921 &1874 Louise POYETON
Jean Pierre PRIER 1875-1951 &1906 Marie BACHET
Marie Louise PRIER 1912-2010 &1937 Joannès Marie CHAPARD
Félix PRIER 1914-2000 & Marie Joséphine POYETON
Roger PRIER & N CHAPARD
Maryse PRIER & Jean Paul CHAPARD
Marie France PRIER & N POCHON
Antonin PRIER 1922-2012 & Marthe BEAUFRÈRE
François Marcel PRIER & Marie Claudia CHAPARD
Jean Marie PRIER &1840 Marie Anne CHORETIER
Jean Claude PRIER &1873 Jeanne Marie OLAGNIER
Benoît PRIER 1879-1959 & Marie Benoîte DELORME
Francis PRIER 1910-1983 &1937 Antoinette Francia CHAPARD
Claude PRIER 1913-1960 & Marie Louise ROCHE
Claudine PRIER &1904 Jean François BERLIER
Étiennette PRIER &1760 Jean CHOMIÈNE
Jean Baptiste CHOMIÈNE &1795 Françoise DUPLANIL
Jean Baptiste CHOMIÈNE &1828 Françoise BEAUFRÈRE
Olympe Françoise CHOMIÈNE &1849 Jean Marie SEYTRE
Claude Marie SEYTRE &1884 Marie Olympie GRANGIER
Marie Antoinette CHOMIÈNE †1895/ &1862 Jean François GRANGIER (Cultivateur aux Hermeaux)
Marie Olympie GRANGIER 1863-1956 &1884 Claude Marie SEYTRE
Joanny GRANGIER (Cultivateur aux Hermeaux) 1864-1889
Jean François GRANGIER (Cultivateur Chez le Maigre) 1867- &1895 Mariette DESORMEAUX
Françoise Marie Antoinette GRANGIER (Ouvrière en soie) 1870-1887
N GRANGIER 1873-1873
Jeanne Marie GRANGIER 1875-1953 &1923 Benoît PHILIS
Antoinette BEAUFRÈRE †1756 &1720 Jean GRANGIER (Laboureur Chez Grangier, Laboureur au Monteiller)
Claudine GRANGIER †1723
Marie GRANGIER †1739
Gabrielle GRANGIER ~1721-1793 &1739 Jean SEYTRE &1749 Jean TARDY
Joseph TARDY ~1751-1789 &1788 Françoise RICHARD
Antoinette TARDY †1821/ &1772 Jacques GRANGIER (Maître tailleur d'habits à Doizieux)
Jean Marie GRANGIER (Cloutier à Doizieux, Maçon à Doizieux) ~1782-1847
Antoine GRANGIER (Cloutier à Doizieux) ~1782-1813
Etienne GRANGIER (Journalier à Saint Paul) ~1785-1847/ &1821 Jeanne Marie PINEY
Claudine GRANGIER 1832-
André GRANGIER 1721-1722
Jean Baptiste GRANGIER 1724-1758
Claudine BEAUFRÈRE &1726 Benoît COURBON (Charpentier à Doizieux)
Jean COURBON (Laboureur à la Frache) ~1728-1800 &1753 Marie TONIN
Françoise COURBON 1754-1754
Benoît COURBON ~1759-1785
Claudine COURBON ~1762- &1786 François DUPRE
Marie Claudine COURBON ~1763-1764
Jeanne Marie COURBON ~1764- &1786 Jean Pierre BASTIE
Marie Anne COURBON ~1769-1769
Claude COURBON 1772-1772
Joseph COURBON 1773- &1798 Antoinette BONNEL &1844 Marie SEUX
Françoise COURBON 1776-1863 & Claude BERLIER (Marchand à la Roche) &1845 Claude Louis BOIRON
André COURBON (Charbonnier à Doizieux) ~1729-1779 &1757 Jeanne Marie SEYTRE
Benoît COURBON (Charpentier à Doizieux) ~1760- &1785 Antoinette OLAGNIER
Jeanne Marie COURBON ~1788-1790
Antoinette COURBON ~1795- &1812 Claude Marie PINEY
Pierrette COURBON ~1761- &1788 Jean Baptiste VEYRE
Jeanne Marie COURBON ~1763-1764
Catherine COURBON ~1764-1766
Jeanne COURBON 1768-
Jeanne Marie COURBON ~1769-1770
Claude COURBON ~1774-1774
Jeanne Marie COURBON 1735- &1769 François FAURE
Antoine COIGNET (Laboureur à Choméol) †/1631 &1608 Antoinette PACALET
Claude COIGNET (Tissotier de soie à Choméol) †1639 &1631 Antoinette NANTAS
Claude COIGNET 1637-1678/
Jean l'Aîné COIGNET †1657
André COIGNET †1621/
Jean COIGNET †1621/
Barthélemye COIGNET †1611/ &1605/ Maître Jean RIVAT (Cordonnier à la Valla en Gier, Laboureur à la Valla, Habitant au Bessat, Cordonnier au Bessat)
Jeanne RIVAT † &1633 Jean GRANJON (Journalier au Moulin du Bost, Laboureur au Moulin du Bost)
Jeanne COIGNET †1609/
Antoinette COIGNET †1605/
Enfin, on note qu'Antoine Coignet fils de Louis a un frère nommé Martin Coignet, du Coing en Saint-Martin-en-Coailleux, lieu d'où doit provenir le nom de la famille, qui semble donc originaire de l'actuelle commune de Saint-Chamond :
https://gw.geneanet.org/calinou6?lang=fr&pz=marie+therese&nz=vantajol&p=martin&n=coignet+cognet
- Gens de labeur du Coing (Saint-Martin-en-Coailleux).
Parents
-
Louis COIGNET (COGNET)
Marié avec - Benoîte BERTHOLON
Union(s) et enfant(s)
-
Marié avec Claudine DE LA ROUÉ
(Parents :
Jean DE LA ROUÉ &
Agathe GALLEY †)
dont
-
Jeanne COIGNET (COGNET) Mariée le 30 juin 1634 (vendredi), Saint-Chamond, 42207, Loire, Rhône-Alpes, France,
avec
Claude MAYERY
- Antoine COIGNET (COGNET)
-
Jeanne COIGNET (COGNET) Mariée le 30 juin 1634 (vendredi), Saint-Chamond, 42207, Loire, Rhône-Alpes, France,
avec
Claude MAYERY
Fratrie
- Martin COIGNET (COGNET) Marié avec Claudine DE LA ROUÉ
- Barthélémye COIGNET (COGNET) Mariée avec Jean RIVAT
- François COIGNET (COGNET) Marié avec Antoinette TALAY
- Blanche COIGNET (COGNET) Mariée le 16 février 1599 (mardi) avec Anthoine DUPONT
- Antoine COIGNET (COGNET)
- Jeanne COIGNET (COGNET)
Aperçu de l'arbre
Louis COIGNET (COGNET) | Benoîte BERTHOLON | |||||
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Martin COIGNET (COGNET) |
Ici, une généalogie des Coignet et Coignet-Dugas de Valfleury et Saint-Christo-en-Jarez qui débute en 1347 indique la maison du Coignet en Saint-Christo comme foyer primitif pour ces branches, anoblies au XVIIème siècle par le service militaire pour ce qui concerne les aînés des Dugas, tous issus de Georges II du Coignet, troisième fils de Georges Ier du Coignet né vers 1350 et de son épouse Jeanne du Bessy. Georges II du Coignet avait hérité de son père du mas du Gas tandis que ses deux aînés Jean et Pierre en étaient institués principaux héritiers :
Les premiers propriétaires connus de cette maison du Coignet ou du Petit-Coignet selon les sources, en 1347, sont André et son fils Etienne du Coignet, prédécesseurs de Georges premier du nom, sans doute fils d'Etienne. Georges Ier du Coignet fit au mois d'avril 1413 un testament oral partageant ses biens entre ses enfants Jean, Pierre, Georges, Denise et Jeanne.
Les Coignet-Dugas seraient ensuite devenus protestants.
Louis Coignet fermier de la rente de la Valla en Gier et laboureur à Chomeols, dont contrat de marige avec Benoîte Bertholon le 22 mai 1572, peut être issu de cette famille du Coignet identifiée à partir de 1347, d'une autre branche de la même famille, ou d'une autre famille Coignet ayant possiblement son foyer primitif au Coing à Saint-Martin-en-Coailleux, des relations étroites pouvant aussi exister entre Le Coing et Le Coignet ou Petit-Coignet, faisant par exemple du Coing la maison mère du Coignet.
Le Coin à Saint-Chamond est aujourd'hui une zone industrielle et le temple prostestant local se situe au 1, route du Coin, à Saint-Chamond.
Notons encore que Saint-Chamond est historiquement lié à Lyon et son archevêque et a eu pour maire, du 12 mai 1929 au 27 août 1944 puis du 19 octobre 1947 au 20 mars 1977, Antoine Pinay, plusieurs fois ministre durant les années 1950, très proche de Valéry Giscard d'Estaing :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Antoine_Pinay
Antoine Pinay
Extraits :
Biographie
Famille et études
Antoine Pinay est le fils de Claude Pinay (1852-1919), industriel, fabricant de chapeaux de paille, et de Marie Besson (1861-1936). Il a une sœur aînée, Jeanne Pinay (1886-1953) qui fut religieuse dominicaine à Orléans1,2. La famille paternelle d'Antoine Pinay exerçait son activité, depuis plusieurs générations, dans l'industrie de la chapellerie dont la région lyonnaise et stéphanoise est l'un des principaux centres.
Deux de ses oncles maternels sont officiers : le colonel Antoine Besson (1857-1947)3,4 et le général Benoit Besson (1876-1969)1. Le grand-père maternel d'Antoine Pinay, Benoît Besson (1829-1905), qui était propriétaire cultivateur, fut maire de la commune de Pomeys de 1861 à 18825,6.
Antoine Pinay fut scolarisé chez les maristes au collège Sainte-Marie à Saint-Chamond, comme en témoigne une carte postale qu'il adresse en 7. Il ne se présente pas au baccalauréat et quitte l'école sans diplôme.
Il est incorporé au 5e régiment d'artillerie le , nommé brigadier le puis maréchal-des-logis le . Après la mobilisation du 2 août 1914, il est resté aux armées un mois, puis il est blessé par des éclats d'obus, le , au nord de Meaux, lors de la bataille de la Marne. Antoine Pinay est alors évacué du front. Il est ensuite réformé, déclaré invalide de guerre et pensionné8.
Le à Saint-Chamond, il épouse Marguerite Fouletier (1895-1970), fille de Louis Fouletier (1862-1922), directeur de la tannerie Fouletier, entreprise établie à Saint-Chamond, fondée en 1772 et employant une centaine d'ouvriers.
De ce mariage naquirent trois enfants :
- Geneviève Pinay (1918-2017)9,10, éditrice, mariée en premières noces avec Edmond Epstein (1901-1963)11,12,13, éditeur et directeur de revues, dont cinq enfants ; puis mariée en secondes noces avec Ernest Brémond (1899-1966), directeur honoraire de l'Électricité de France et conseiller économique et social11 ;
- Odette Pinay (1920-2015)14, mariée avec Jean Roy (1921-2005)15 ;
- Pierre Pinay (1922-1964), fonctionnaire au service juridique des trois communautés européennes, marié avec Suzanne Pinay, dont trois enfants16,17.
Après-guerre
Après avoir été membre du Conseil national de Vichy, et avant de devenir ministre et président du Conseil sous la IVe République, il accepte d'être l'un des principaux responsables français des réseaux stay-behind, les réseaux clandestins de l'OTAN mise en place à partir de 1949, selon ce qu'affirme Éric Branca20.
En politique internationale, il crée en 1951, avec l'agent secret Jean Violet, Le Cercle, club de réflexion spécialisé dans la sécurité, connu sous le nom de « Cercle Pinay », qu'il préside de 1953 à 1971.
En 1952, Pinay intervient en faveur d'une libération complète de Xavier Vallat, Commissaire général aux questions juives de 1941 à 1942, qui sera ensuite amnistié en 1954.
Échec d'une candidature fédérant la droite anti-gaulliste
En désaccord avec la politique algérienne et extérieure du gouvernement, Antoine Pinay remet sa démission en . Il abandonne alors toute activité politique nationale. À l'automne 1962, c'est la défection des députés du CNIP qui fait chuter le gouvernement et contraint De Gaulle à dissoudre l'Assemblée29. Jean-Marie Le Pen, ex-député poujadiste reconverti au CNIP est battu aux législatives de 196229 tandis que Valéry Giscard d'Estaing réunit une partie des députés CNIP qui ont survécu à la vague gaulliste dans le Comité d'études et de liaison des Républicains indépendants, qui ne se constitue en parti politique que le , après que de Gaulle a écarté Valéry Giscard d'Estaing du gouvernement.
Antoine Pinay est à l'origine d'une des tentatives de structurer l'opposition au général de Gaulle dans la perspective d'une élection présidentielle au suffrage universel, instituée à une large majorité par le référendum dédié de 1962, qui aura lieu en 1965. L'idée d'une candidature Pinay fait son chemin, sur une ligne libérale, atlantiste et pro-européenne, susceptible de rassembler les critiques de droite à la politique gaulliste.
Mais Antoine Pinay aurait été empêché de se présenter par la menace que soient exploités contre lui des dossiers de « ballets roses », qu'aurait étayée une « main courante » déposée contre lui à la suite d'un prétendu « attouchement sur mineur »68. Cette accusation, connue dans les milieux politiques et à Saint-Chamond, n'a été portée à la connaissance du grand public qu'en 2011 avec la publication du livre Sexus Politicus69, pour laquelle les auteurs s'appuyèrent sur les travaux de Sylvie Guillaume70.
Il existe une autre thèse à son renoncement : alors qu'il a quitté le gouvernement après une algarade avec de Gaulle en plein Conseil des ministres sur la dissuasion française, au cœur de la politique gaullienne d'indépendance nationale, une enquête menée par la Direction de la Surveillance du territoire aurait prouvé qu'Antoine Pinay faisait partie du réseau Gehlen, dirigé par un ancien officier de la Wehrmacht passé au service des États-Unis, dont le but était de fédérer les pro-atlantistes et d'affaiblir la politique du général de Gaulle. La renonciation d'Antoine Pinay a été annoncée à la radio alors même qu'il se trouvait toujours dans le bureau de Roger Frey, alors ministre de l'Intérieur, qui lui aurait montré les preuves collectées par la DST après son départ du gouvernement. Le fait qu'Antoine Pinay ait accrédité une rumeur de « ballets roses » semble indiquer qu'il s'agissait d'un leurre pour dissimuler la nature des véritables accusations contre lui71.
La non-candidature d'Antoine Pinay ouvre la voie à d'autres candidats, notamment Jean Lecanuet et François Mitterrand, soutenus tous deux par les États-Unis, et discrètement financés grâce à l'entregent de Jean Monnet auprès des États-Unis[réf. nécessaire].
L'électorat potentiel de Pinay éclate entre la candidature de Jean Lecanuet pour le « rassemblement centriste » lancé par le MRP et le soutien à Jean-Louis Tixier-Vignancour, cofondateur du Front national pour l'Algérie française et ex-fervent défenseur de l'Algérie française, qui dépasse les 5 % après une campagne dirigée par Jean-Marie Le Pen. D'autres sympathisants, enfin, purent, derrière Valéry Giscard d'Estaing, fondateur de la Fédération nationale des républicains indépendants, rester dans l'alliance majoritaire avec l'UNR-UDT.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Saint-Chamond
Saint-Chamond
Saint-Chamond | |
Blason |
Logo |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Auvergne-Rhône-Alpes |
Département | Loire |
Arrondissement | Saint-Étienne |
Intercommunalité | Saint-Étienne Métropole |
Maire Mandat |
Axel Dugua (LR) 2023-2026 |
Code postal | 42400 |
Code commune | 42207 |
Démographie | |
Gentilé | Couramiauds ou Saint-Chamonais |
Population municipale |
35 068 hab. (2021 ) |
Densité | 639 hab./km2 |
Population agglomération |
374 643 hab. (2021) |
Géographie | |
Coordonnées | 45° 28′ 39″ nord, 4° 30′ 55″ est |
Altitude | Min. 326 m Max. 1 051 m |
Superficie | 54,88 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Saint-Étienne (banlieue) |
Aire d'attraction | Saint-Étienne (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Saint-Chamond (bureau centralisateur) |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | saint-chamond.fr |
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Saint-Chamond est une commune française située dans le département de la Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Deux éléments fondent la notoriété de la ville : une tradition industrielle avec les fabriques de lacets au XIXe siècle puis la Compagnie des forges et aciéries de la Marine et d'Homécourt, devenue Creusot-Loire ; la politique avec une personnalité d'envergure nationale : Antoine Pinay qui dirige Saint-Chamond pendant près d'un demi-siècle et la France en 1952.
Capitale de la vallée du Gier, la ville évolue entre les pôles économiques et industriels de Lyon et de Saint-Étienne.
Comme d'autres villes du bassin houiller de la Loire, la commune doit relever plusieurs défis : la sortie de l'industrie de masse, l'explosion urbaine (doublement de sa population entre les décennies 1960 et 1970)1, le renouvellement de son attractivité économique et résidentielle, enfin la préservation de son environnement (atout de la vaste zone rurale du Pilat et des coteaux du Jarez sur l'emprise foncière).
Saint-Chamond est en voie de tertiarisation mais sa population compte une importante part d'ouvriers qualifiés. Les retraités représentent 30 % des habitants.
Son avenir est déterminé par le renouvellement de sa vocation industrielle (avec son tissu de petites et moyennes entreprises), la réussite de sa capacité d'innovation (écoquartier de Novaciéries, retraitement des délaissés urbains), le maintien d'une offre commerciale locale, la mise en synergie de ses différents quartiers et territoires.
Géographie
Localisation
Saint-Chamond est située dans la vallée du Gier entre les monts du Lyonnais, au nord, et le massif du Pilat, au sud, entre Saint-Étienne à 12 km2 et Lyon à 49 km3.
La vallée du Gier est une dépression géographique allongée sur 23 km, selon un axe sud-ouest–nord-est, entre les contreforts du Massif du Pilat et les coteaux du Jarez.
Les communes avoisinantes sont : Saint-Étienne, Lorette, La Grand-Croix, L'Horme, Cellieu, Saint-Jean-Bonnefonds.
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 5 488 ha ou 54,8 km24, soit à peu près un dix-millième de la France.
Son altitude varie de 326 à 1 051 mètres4.
Le territoire communal se trouve au-dessus du bassin houiller de la Loire.
Dans la région, plusieurs sites géographiques sont remarquables. Tels sont le Crêt de la Perdrix, à 1 434 m, qui est le point culminant du massif du Pilat ; le Crêt de l'Œillon, avec une vue magnifique sur la vallée du Rhône et parfois sur le massif du Mont-Blanc ; la cascade du saut du Gier dans le parc naturel régional du Pilat.
Hydrographie
La ville est traversée par le Gier, aujourd'hui majoritairement couvert, qui prend sa source dans le massif du Pilat puis descend la vallée du Gier avant de se jeter dans le Rhône à Givors sur une longueur totale de 44 km.
Les barrages suivants sont répertoriés :
Climat
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-20005. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année6.
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 728 mm, avec 8,5 jours de précipitations en janvier et 6,3 jours en juillet5. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 12,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 681,9 mm7,8. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 20229.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 0,7 | 0,7 | 3,5 | 6,6 | 10 | 13,8 | 15,9 | 15,1 | 12,2 | 9 | 4,5 | 1,2 | 7,8 |
Température moyenne (°C) | 3,9 | 4,6 | 8,2 | 11,9 | 15,3 | 19,5 | 21,9 | 21 | 17,5 | 13,3 | 8 | 4,5 | 12,5 |
Température maximale moyenne (°C) | 7,1 | 8,4 | 12,9 | 17,1 | 20,7 | 25,3 | 27,9 | 26,9 | 22,8 | 17,7 | 11,4 | 7,7 | 17,2 |
Record de froid (°C) date du record |
−9,2 19.01.17 |
−12,8 05.02.12 |
−11,6 01.03.05 |
−3,3 07.04.08 |
1,8 06.05.10 |
5,6 01.06.06 |
8,1 10.07.07 |
8 27.08.11 |
4 27.09.10 |
−2,7 30.10.12 |
−6,1 18.11.07 |
−11 20.12.09 |
−12,8 2012 |
Record de chaleur (°C) date du record |
19 10.01.15 |
21,7 25.02.21 |
25,4 31.03.21 |
27,8 22.04.18 |
34,2 13.05.15 |
37,7 18.06.22 |
40 07.07.15 |
41,1 24.08.23 |
34 14.09.20 |
32 02.10.23 |
23,1 01.11.20 |
20,4 05.12.06 |
41,1 2023 |
Précipitations (mm) | 38 | 34,4 | 38,2 | 55,5 | 66,7 | 71,3 | 70,4 | 66,7 | 53,5 | 69,3 | 75,4 | 42,5 | 681,9 |
Urbanisme
Typologie
Saint-Chamond est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'InseeNote 1,10,11,12. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Étienne, une agglomération inter-départementale regroupant 32 communes13 et 374 643 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue14,15.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Étienne dont elle est une commune de la couronneNote 2. Cette aire, qui regroupe 105 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants16,17.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (55 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (28,1 %), forêts (25,6 %), zones agricoles hétérogènes (24,5 %), zones urbanisées (14,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,5 %), eaux continentalesNote 3 (0,2 %)18. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)Carte 1.
Morphologie urbaine
Le paysage de Saint-Chamond se découpe en plusieurs ensembles :
- les versants boisés parsemés de quelques habitations dispersées (recyclage d'anciennes implantations agricoles) ;
- les zones agricoles émaillées des fermes qui les cultivent ;
- des hameaux anciens revigorés par des constructions plus ou moins récentes ;
- l'espace urbain central du fond de vallée marqué par l'activité industrielle et le logement ouvrier, mais également par les résidences bourgeoises ;
- des espaces de mitage de la zone périurbaine et agricole anarchiquement agencés par des constructions dispersées (Chavanne, Izieux, la Chabure, la Ravacholière, l'est de Saint-Martin-en-Coailleux).
Ces dynamiques d'occupation annihilent la distinction entre la ville et la campagne. L'emprise foncière menace l'image verte19.
Lieux-dits, hameaux et écarts
Saint-Chamond est divisé en plusieurs quartiers. Historiquement, trois paroisses se partageaient la ville :
- Saint-Ennemond ;
- Saint-Pierre ;
- Notre-Dame.
Les autres secteurs sont nés du regroupement des quatre communes en 1964, favorisant des dynamiques urbaines de construction et d'aménagement. L'année 1970 voit ainsi l'élévation de la zone à urbaniser en priorité (ZUP) de Fonsala, le plus grand quartier de Saint-Chamond, sur un ancien domaine rural. La même année est créée la zone industrielle du Clos-Marquet (24 hectares) sur un autre espace rural dont la derrière mine est fermée dans les années 1950.
Certains territoires sont des divisions déjà existantes au sein des communes regroupées, comme la distinction du bourg de Saint-Martin-en-Coailleux et de la Valette qui relevait de cette ancienne commune.
- La Chabure
- Chavanne
- Clos-Marquet
- Le Creux
- Fonsala
- Izieux
- Lavieu
- Les Palermes
- Saint-Chamond centre
- Saint-Ennemond
- Saint-Julien-en-Jarez
- Saint-Martin-en-Coailleux
- Saint-Pierre
- La Valette
- La Varizelle
Logement
En 2020, la commune comportait 17 789 logements : dont 85.9 % sont des résidences principales, 13.3 % des logements vacants et 0.8 % des résidences secondaires et des logements occasionnels20.
Parmi les résidences principales, 48.3 %, sont occupées par des propriétaires, 50.5 % sont locataires et 1.2 % sont logés gratuitement20.
En 2020, 68.2 % des logements sont des appartements et 31.6 % des maisons20.
Projets d'aménagement
L'ancien site manufacturier des Forges et aciéries de la Marine (1854), devenu la Compagnie des ateliers et forges de la Loire (1954) puis Creusot-Loire (1970) ferme ses portes en 1985. Ainsi le quartier Novaciéries est l'objet d'un projet de développement et de requalification de la ville porté par la municipalité et obtient son classement comme quartier prioritaire de la politique de la ville.
Voies de communication et transports
Autoroutes et routes nationales
- Autoroute A47 : vers Lyon et Saint-Étienne.
Aéroport/Aérodrome
Gare ferroviaire
Transports urbains
La Communauté urbaine Saint-Étienne Métropole a la responsabilité des transports en commun de 45 communes. Saint-Chamond est desservie par la Société de transports de l'agglomération stéphanoise (STAS). Elle est desservie par les lignes :
- M5 Square Violette (Saint-Étienne) - Place Chipier (Rive-de-Gier)
- 25 Gare de Saint-Chamond - Terrasse
- 29 Place du Moulin (Saint-Chamond) - Gare de Saint-Étienne-Châteaucreux
- 40 Piscine Couderc - C.C. La Maladière
- 41 Crêt de l'Œillet Haut - Place du Moulin
- 42 Place du Moulin (Saint-Chamond) - Ollagnière - Maison Rouge (Saint-Jean-Bonnefonds)
- 43 Chavanne Bourg - Crêt de l'Œillet
- 44 Place du Moulin - La Bachasse (Saint-Paul-en-Jarez)
- 45 Place du Moulin - Saint-Martin-en-Coailleux
- 71 Pont Nantin - Portail Rouge
- 77 Bonzieux - Sainte-Marie
- 78 Stélytec - Gare de Saint-Chamond
- 79 Crêt de l'Œillet - La Fayette
- 81 Poste - Bourg Doizieux
- 102 Place du Moulin - Luzernod (La Valla-en-Gier)
Transports ferroviaires
Des trains express régionaux (TER) assurent la liaison d'une part vers Lyon et d'autre part vers Saint-Étienne ou Firminy.
Risques naturels et technologiques
Toponymie
La ville de Saint-Chamond doit son nom à l'évêque de Lyon saint Ennemond21 :
– sancti Aunemundi (976)22 ;
– Vuigonis de Sancto Annemundo ou Annemondo ou Ennemundo (1090)23 ;
– Castellum Sancti Admundi (1167) ;
– Castella Sancti Aunemundi (1173) ;
– Parrochia Sancti Chalumundi (1247) ;
– Chastel de Saint Chamont (1344)24.
Histoire
Préhistoire
Antiquité
Un poste de garde de l'un des cinq aqueducs qui alimentait Lugdunum (Lyon) aurait été situé près de l'ancienne église d'Izieux où de nombreux débris (tegula, imbrex) ont été mis au jour25.
L'aqueduc du Gier acheminait les eaux du Gier captées en amont de Saint-Chamond. Des parties aériennes de cet aqueduc sont encore visibles dans la région de Mornant et de Chaponost (Rhône). Des parties souterraines sont découvertes en 1993 dans Saint-Chamond lors de la construction de la ZAC de la Varizelle26,Note 4.
Moyen Âge
Capitale du Jarez (le pays du Gier), Saint-Chamond est une seigneurie très importante dans la région forézienne et lyonnaise.
L'église Saint-André d'Izieux est mentionnée en 984Note 5.
Le comte Guigues II de Forez fait enregistrer le château de Saint-Chamond lors de sa visite en 1167 au roi de France Louis VII qui le lui remetNote 6, la région est alors au centre du conflit opposant l'archevêque de Lyon au comte de Forez.
En 1173, lors de la permutatio entre le comte de Forez et l'archevêque de Lyon, ce dernier garde Saint-Chamond sous son contrôleNote 7. Elle forme, avec un ensemble d'autres cités voisines « laissées à la liberté » de l'Église de Lyon, la limite avec le comté de Forez. En 1278, les droits sur ces localités retournent apparemment au ForezNote 8 sauf Saint-Chamond pour lequel les seigneurs de Jarez continuent à rendre hommage à l'archevêque de Lyon31.
En 1224, Guigues de Jarez accorde une charte de franchise aux habitants de Saint-Chamond32.
Parmi les seigneurs de Saint-Chamond se trouvent :
- Briand II de Lavieu de Roche (ca 1150-1184) ;
- Gaudemar de Jarez (ca 1225-1290);
- Guichard d'Urgel de Saint-Priest (-1403) ;
- Briand Durgel (d'Urgel) ;
- Jean d'Urgel (Durgel) de Saint-Priest ;
- Léonnet d'Urgel de Saint-Priest (-1491) ;
- Jacques Mitte de Chevrières (1586-1649) , seigneur de Chevrières et de Saint-Chamond, comte de Miolans, chevalier de l'Ordre du Saint-Esprit, conseiller d'État, lieutenant général du Forez, du Lyonnais et du Beaujolais, époux en 1577 de l'héritière Gabrielle d'Urgel de Saint-Priest ;
- Melchior Mitte de Chevrières (1596-1649), fils du précédent, 1er marquis de Saint-Chamond en 1610 ;
- Just-Henry (1615-1664) puis son frère cadet Jean-Armand Mitte de Chevrières (1624-1685), deux fils du précédent, respectivement 2e et 3e marquis de St-Chamond ;
- Charles-Emmanuel de La Vieuville (v. 1653/1656-1720), 4e marquis de St-Chamond et comte de Vienne, gendre de Jean-Armand par son mariage avec la fille héritière de ce dernier, Marie-Anne Mitte de Chevrières (1657-1714) ;
- Charles-Louis-Joseph de La Vieuville (1686-1744), fils du précédent, 5e marquis de St-Chamond et comte de Vienne ; père de Geneviève de La Vieuville (1732-1777 ; Postérité), 6e et dernière marquise héréditaire de St-Chamond.
- On trouve enfin Jean-Jacques de Gallet de Mondragon (1715-1796 ; Postérité) comme 7e et dernier marquis de Saint-Chamond, terre acquise en 176833,34,35.
Temps modernes
L'année 1628 est celle de la peste noire. Les chroniqueurs du temps appellent « contagion » ce grand fléau.
Selon James Condamin, un religieux Capucin écrit que quatre moines de cet ordre, au service des souffrants, sont emportés par la maladie et que « la peste leur fist un si grand degast que, de compte fait, ils perdirent la moitié du peuple de leur ville36 ». Pour préserver le reste de la population, les malades sont isolés et transportés dans des cabanes, au Fay, où ils reçoivent quelques soins et des aumônes37.
Melchior Mitte de Chevrières, seigneur de Saint-Chamond, marque la ville de son empreinte. On peut d'ailleurs voir de nombreux bâtiments de cette époque tels que la Maison des Chanoines des XVe et XVIe siècles (classée monument historique), l'Hôtel-Dieu (classé monument historique), l'église Saint-Pierre du XVIIe siècle (classée monument historique), et le couvent des Minimes, construit entre 1622 et 1624, qui est aujourd'hui la mairie de Saint-Chamond. Toujours au XVIIe siècle, il construit un château — détruit par la suite comme celui de Richelieu[réf. nécessaire].
Révolution française et Empire
En , avec la rédaction des cahiers de doléances pour les États généraux, Saint-Chamond plonge dans la Révolution.
À l'instar des villes dont le nom porte celui d'un saint, pendant la Révolution française, Saint-Chamond est dénommée Vallée-Rousseau du nom du fameux philosophe, venu herboriser dans le Pilat. Elle appartient au département de Rhône-et-Loire.
En 1792, le château et la collégiale sont pillés et en partie démolis par les habitants qui détruisent aussi par le feu les archives seigneuriales. Seuls un tronçon vertical de la collégiale, les écuries et la grand'grange — façon paysanne de décrire une grande grange, qui surmonte ces écuries — sont encore visibles aujourd'hui sur la colline de Saint-Ennemond.
En 1793, Lyon se révolte contre la Convention et entraîne Saint-Chamond dans l'insurrection. La défaite de l'armée lyonnaise conduit à l'évacuation de Saint-Chamond. La Convention envoie alors Javogues qui multiplie les arrêtés épuratoires ainsi que les exécutions sommaires et rançonne les habitants.
En 1796, les Saint-Chamonais expédient une colonne mobile contre les prêtres réfractaires et les déserteurs.
XIXe siècle
En 1848/1850, Germain Morel, fils du maître de forges Antoine Morel (à St-Chamond : les Laminoirs de Saint-Chamond), s’associe avec MM. Petin et Gaudet (maîtres de forge à Rive-de-Gier dans une société fondée en 1837), pour créer à Saint-Chamond « Morel et Cie ». En 1854, la société devient la Compagnie des hauts-fourneaux, forges et aciéries de la Marine et des Chemins de fer, avec un nouvel associé, les frères Jackson, d'origine anglaise (fils de Jackson), installés à Assailly depuis 1830 (les Laminoirs et Aciéries d'Assailly).
Vers 1850, les restes du château et de son domaine sont donnés aux frères des écoles chrétiennes par la famille qui acheta la seigneurie de Saint-Chamond en 1768, Monsieur le Marquis de Mondragon (Jean-Jacques de Gallet), à condition d'y dispenser l'éducation à la jeunesse saint-chamonaiseNote 9.
La ville est desservie dès 1882 par les tramways à vapeur de la Compagnie des Chemins de fer à voie étroite (CFVE), qui la relient à Saint-Étienne.
À la fin du XIXe siècle, Saint-Chamond devient la capitale mondiale de l’industrie du lacet. Cette activité, fondée en 1807-1809 par Charles-François Richard, appelé aussi Richard-ChambovetNote 10, repose sur l'usage du métier à poupée — broches multiples animées d'une rotation continue qui permettent de tresser des lacets38.
Le lacet de corset ou le lacet de chaussure est très utilisé à l'époque : « C'est un objet de mercerie d'une assez grande consommation. Les femmes font usage de lacets de soie pour serrer leurs corsets, ou autres pièces de leurs vêtements. Les lacets de fils de lin, de chanvre, de coton, sont employés au même usage, mais on s'en sert également, en place de ficelle, pour des ligatures39 ».
Commencée avec trois métiers, la fabrique en compte plus de cent en 1812 et 1 200 travaillent dans toute la ville en 1838 à partir de plusieurs maisons créées à l'exemple de Richard-Chambovet : « La fabrique de Saint-Chamond fournit des lacets à la consommation intérieure et à l'exportation pour Amsterdam, Bruxelles, Leipzig, Anvers, Milan, la Suisse et les deux Amériques38 ».
Charles-François est secondé plus tard par son fils Ennemond Richard. En 1898, Antoine Reymondon et d'autres associés créent la société des Manufactures réunies qui regroupe dix des plus grands fabricants de lacets.
D'après Le Monde Illustré, du , l'industrie saint-chamonaise du lacet fabrique 75 % de la production nationale.
XXe siècle
Aristide Briand (1862-1932), homme politique socialiste, alors partisan du syndicalisme révolutionnaire et de la grève générale, est élu député de la Loire le , dans une circonscription qui comprend une partie de Saint-Étienne et le canton de Saint-Chamond. Il le reste jusqu'en . Il succède à l'ancien maire de Saint-Chamond, Benoît Oriol, élu pendant les deux législatures précédentes.
Aristide Briand est surtout préoccupé de politique nationale et, lorsqu'il se rend à Saint-Chamond, ses discours ont une portée générale. Ainsi en 1909, il se défend de toute attaque contre le catholicisme tout en revendiquant le laïcisme40. De même en , il évoque son projet d'association capital-travail41.
À Saint-Chamond aujourd'hui, une salle de spectacle porte son nom.
Première Guerre mondiale
Saint-Chamond participe de quatre façons aux efforts de guerre :
- la mobilisation de ses hommes : peut-être 2 300 hommes dont 451 soldats saint-chamonais morts pour la France ;
- la production industrielle, notamment des usines Chavanne-Brun (obus) et des Aciéries de la Marine (munitions, artillerie, char Saint-Chamond dont quatre cents unités sont fabriquées en 1917) ;
- réquisitions, ravitaillement, secours aux familles ;
- accueil hospitalier des soldats blessés ou convalescents dans l'École supérieure de jeunes filles (hôpital auxiliaire no 10) et dans le collège Sainte-Marie (hôpital complémentaire no 94)Note 11.
Les soldats saint-chamonais morts pour la France ne reposent pas tous dans le cimetière communal. Les victimes inhumées à Saint-Chamond se trouvent :
- soit autour du monument aux morts ;
- soit dans des sépultures individuelles, ou familiales le plus souvent.
Les autres sont enterrés dans diverses nécropoles aménagées dans les régions des champs de bataille.
En 1931, se produit la fermeture du tramway électrique de Saint-Chamond.
La Résistance à Saint-Chamond
Les 1er et , le maréchal Pétain, chef de l'État français, se rend en visite à Saint-Chamond. « Le Nouvelliste de Lyon rapporte qu'aux Aciéries de la Marine de Saint-Chamond, dans le grand hall de l’usine tout le personnel rassemblé fait une ovation enthousiaste au Maréchal et entonne une vibrante Marseillaise. ».
Plusieurs Saint-Chamonais se sont illustrés dans les activités de résistance à l'occupant allemand. Un rôle très actif est assumé par la famille Cave dont quatre membres sont arrêtés par la Milice. Le , les membres de cette famille sont pris au no 8 de la rue Victor-Hugo pour être emmenés en déportation. Claude Cave meurt à Neuengamme. Claudia Cave, son épouse, meurt à Ravensbrück ainsi que sa fille Marie, âgée de 21 ans. Seul Paul, âgé de 16 ans et dernier membre de la famille, déporté à Neuengamme, rentre vivant.
Marie Cave s'est engagée dès 1940 dans la Résistance pour distribuer des journaux clandestins. La maison familiale — c'étaient des commerçants — « devient un lieu de rendez-vous et d'asile pour la Résistance ». En 1942, elle diffuse le journal clandestin Défense de la France et en 1943 elle intègre le réseau Alibi42. Une plaque est apposée à l'entrée de leur immeuble et un rond-point porte leur nom.
Le , aux Forges et aciéries de la Marine, a lieu un sabotage qui « retarde de plus d'un mois la mise en marche du laminoir à blindages43 ». Une stèle commémorative est érigée dans la rue Petin-Gaudet.
Après-guerre
Dans les années 1950, les Forges et aciéries s'associent avec les Établissements Jacob Holtzer, l'Usine de la Loire, et les Aciéries et forges de Firminy. De ceci nait la Compagnie des ateliers et forges de la Loire (CAFL) en 1954, tandis que la ville voit la fermeture de sa dernière mine au Clos-Marquet.
La « taille » des années 1950 : initialement l'abattage se fait au marteau piqueur et le charbon est évacué par de petits convoyeurs. Les mineurs, qui travaillent dans une ambiance poussiéreuse et dans un air ambiant à 30 °C, se relayent toutes les huit heures. Les années 1950 voient le développement de soutènements métalliques.
La ville de Saint-Chamond actuelle est le résultat de la fusion en 1964 des communes de Saint-Martin-en-Coailleux, de Saint-Julien-en-Jarez, d’Izieux et de Saint-Chamond. La ville devient alors la troisième commune de la Loire, avec près de 40 000 habitants.
Ces années sont marquées par une spectaculaire régénération urbaine. Déjà en 1929, tout juste élu maire, Antoine Pinay fait établir un diagnostic de l'insalubrité des logements : 70 % de la ville sont à reconstruire44. La mise en place d'un office d'habitations à bon marché (HBM) permet la construction de nouvelles habitations rue Jean-et-André-Dugas et rue James-Condamin.
En 1964 et 1965, plusieurs îlots vétustes sont détruits dont celui du quartier de la Boucherie, sur trois hectares et demi, ainsi que les vieilles maisons du boulevard Waldeck-Rousseau ou de la rue du Janon. Le béton armé et les barres des habitations à loyer modéré (HLM) les remplacent. La cité de Fonsala sort de terre.
En 1970, la rénovation est en grande partie effectuée. Antoine Pinay promeut la modernisation de sa ville. Le , il accueille Albin Chalandon, alors ministre de l'Équipement.
L'élimination du vieux bâti cause, cependant, quelques dommages patrimoniaux. Sont ainsi démolies la chapelle des Ursulines, la chapelle des Pénitents encore visible en 1964 sur la place Notre-Dame mais détruite en 1965 et le couvent des Capucins rasé en 1972.
Historiens de Saint-Chamond
De l'érudit local à l'universitaire américain, la ville a suscité de nombreux travaux d'historiens : Ennemond Richard (1806-1873), Jean-Baptiste Boudet (1814-1887), Martin Presbitero (1837-1910), F. Raymond (?), Maurice de Boissieu (1844-1933), James Condamin (1844-1929), Gustave Lefebvre (1865-1937), Stéphane Bertholon (1862-1931), François Gonon (1863-1957), Mathieu Fournier (1868-1963), Michael P. Hanagan (né en 1947), Lucien Parizot (1920-2000), Elinor Accampo (née en 1949), Père Pupier (1920-2013) et Georges Delorme (?), Éric Perrin (né en 1965), Gérard Chaperon (né en 1922)45, Eric Moulin-Zinutti (né en 1972).
Politique et administration
La commune de Saint-Chamond absorbe en 1964 celles d'Izieux, Saint-Julien-en-Jarez et de Saint-Martin-en-Coailleux46.
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Étienne du département de la Loire. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la troisième circonscription de la Loire.
La ville était le chef-lieu du canton de Saint-Chamond de 1793 à 1984, année où celui-ci est scindé entre les cantons de Saint-Chamond-Nord et de Saint-Chamond-Sud46. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifié, passant de 23 à 70 communes.
Intercommunalité
Saint-Chamond est l'une des 53 communes de Saint-Étienne Métropole.
Tendances politiques et résultats
Liste des maires
Politique environnementale
Distinctions et labels
En 2017, la commune de Saint-Chamond est récompensée par le label Ville Internet de quatre arobases54, résultat confirmé encore en 201955.
En 2019, Saint-Chamond bénéficie du label ville fleurie avec trois fleurs56 attribué par le conseil national des villes et villages fleuris de France au concours des villes et villages fleuris57.
Jumelages
Équipements et services publics
Enseignement
En 2017, la ville compte dix-huit écoles primaires publiques (classes maternelles et élémentaires) et 6 écoles primaires privées.
Trois collèges publics et un collège privé sont présents sur la commune58.
Lycées de la ville :
- lycée Claude-Lebois : lycée général, technologique et professionnel (public)
- lycée Sainte-Marie : lycée général (privé) ;
- la Grand'Grange : lycée professionnel (privé) ;
- lycée hôtelier Les Petites Bruyères : lycée professionnel (public) ;
- lycée professionnel St-Ennemond : lycée professionnel (privé) ;
- MFR de Saint-Chamond : lycée professionnel et classes préparatoires (privé) ;
- institut de formation en soins infirmiers du centre hospitalier du Pays du Gier : enseignement supérieur (public).
Santé
Population et société
Les habitants de la ville sont appelés les Couramiauds. Ce nom viendrait du fait que pendant la fête du feu de la Saint-Jean, les habitants de Saint-Chamond accrochaient une ficelle à la queue d'un chat[Passage contradictoire avec l'article Couramiaud] et les enfants couraient après celui-ci, d'où le nom de « cours-à miaou », soit Couramiauds59. D'autres les appellent Saint-Chamonais60.
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans61,Note 14.
En 2021, la commune comptait 35 068 habitantsNote 15, en évolution de +0,57 % par rapport à 2015 (Loire : +1,27 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
En 1964 la commune de Saint-Chamond a fusionné avec trois communes voisines (Saint-Martin-en-Coailleux, Saint-Julien-en-Jarez et Izieux). Cela explique la brusque augmentation démographique apparente entre 1962 et 1968 : les données antérieures à 1964 concernent uniquement l'ancienne commune de Saint-Chamond et les populations des communes historiques de Saint-Martin-en-Coailleux, de Saint-Julien-en-Jarez et d'Izieux sont comptabilisées séparément.
- Par l'importance de sa population, Saint-Chamond est la 214e commune de France. C'est la deuxième commune du département de la Loire après Saint-Étienne.
- À titre de comparaison, sa taille est analogue aux communes de Sète (Hérault), de Saint-Germain-en-Laye (Yvelines), de Salon-de-Provence (Bouches-du-Rhône), de Savigny-sur-Orge (Essonne) et de Saint-Martin-d'Hères (Isère).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (35,0 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,4 % la même année, alors qu'il est de 28,4 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 16 406 hommes pour 18 573 femmes, soit un taux de 53,1 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,65 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Sports et loisirs
Le Saint-Chamond Basket (SCB) évolue dans le championnat de France de basket-ball en division 2 (PRO B).
L'Entente Saint-Chamond Volley, fruit de la fusion, en 1986, de deux entités qui représentaient ce sport, a évolué durant dix-sept ans dans le Championnat de France masculin en division nationale 1. En 2010, le club accède en Championnat de France à la division excellence féminine (division 2 française). Par ailleurs, dans ce club orienté vers la compétition, la formation des jeunes a permis d'obtenir en 1994, un titre de champion de France dans la catégorie cadettes.
En gymnastique, Saint-Chamond est aussi bien classée au niveau régional, notamment avec les Étoiles de la Valette et la Sentinelle de la Grande Grange, qui concourt au plus haut niveau national.
La piscine Roger Couderc, une des rares piscines à vagues de la région, forme de nombreux nageurs, ainsi qu'une équipe en natation synchronisée.
En handball, les seniors filles et garçons évoluent en Championnat de France de division nationale 3, 450 licenciés placent Saint-Chamond Handball pays du Gier au 7e rang national, vingt-deux équipes (onze féminines).
Manifestations culturelles et festivités
Rhinojazz: évènement qui anime la ville de Saint-Chamond par de nombreux concerts durant le mois d'octobre. Ce rendez-vous culturel s'étend aujourd'hui dans une grande partie du sud du département de la Loire. De nombreux artistes y compris venant de l'étranger, ont plaisir à venir s'y produire que cela soit sur de petites scènes de la commune de Feurs, de La Terrasse-en-Dorlay ou bien de Chateauneuf jusqu'à l'Opéra de Saint-Étienne[réf. nécessaire].
Depuis 1998 a lieu en juin La Rue des Artistes65, festival pluridisciplinaire avec trois soirs de concerts et des spectacles de rue.
Cultes
L'imam de la mosquée de St-Chamond, Mmadi Ahamada, est destitué et expulsé aux Comores par le ministre Darmanin à la suite d'un prêche dans lequel il a lu un verset du Coran analysé comme contraire à l'égalité hommes-femmes 66.
Économie
Revenus de la population et fiscalité
Emploi
Entreprises et commerces
Dès le XVIe siècle, Saint-Chamond connaît les manifestations d'une proto-industrialisation à partir de plusieurs activités :
- le moulinage de la soie ;
- la passementerie et le ruban ;
- les fonderies de fer et la fabrication des clous.
L'histoire de la commune est très fortement liée à l'eau (aqueduc romain, métallurgie, textile, teinturerie…). Jules Duclos, maire de Saint-Chamond sous Napoléon III, fait construire le premier barrage de Saint-Chamond, dénommé barrage de la Rive. Deux autres barrages sont ensuite réalisés, celui du Piney, et celui de Soulages. Aujourd'hui, seuls ceux de la Rive et de Soulage sont encore en eau.
Au début du XXe siècle, et comme beaucoup de villes de la région, l'économie de la ville est tournée vers l'extraction de la houille, la métallurgie, le textile et le cuir (teinturerie, tissage, lacets…). En traversant Saint-Chamond, on peut remarquer seulement deux cheminées conservées de l'époque des hauts-fourneaux. Dont l'une avec ses 103 m de haut qui sert de repère géodésique.
Jusqu'aux années 1970-1980, l'économie de la ville est en grande partie fondée sur la métallurgie représentée par une seule entreprise. Il s'agit de la Compagnie des forges et aciéries de la Marine et d'Homécourt (FAMH) dont le nom change régulièrement, de la Compagnie des aciéries et forges de la Loire puis de Creusot-Loire.
Cette industrie engendre certains spécimens fort célèbres, dont le char Saint-Chamond (fabriqué par la FAMH) qui est un des premiers chars blindés français, le véhicule de l'avant blindé (VAB) qui équipe l'Armée et la Gendarmerie, le Nautile sous-marin civil de l'institut français de recherche pour l'exploitation de la mer (IFREMER) qui permet de visiter 97 % du fond des mers, etc.
Aujourd'hui, et à la suite de la crise, l'économie de Saint-Chamond s'est développée autour de pôles d'activités très variés (industrie textile, métallurgie, ingénierie, plasturgie, câblerie, électrochimie, industrie agroalimentaire).
Saint-Chamond compte sept sites constituant des pôles d'activités industrielles, technologiques, tertiaires, commerciales et de service :
- le parc d'activités STELYTEC ;
- la zone d'activité (ZAC) de la Varizelle ;
- l'aire des pays du Gier ;
- la zone industrielle (ZI) du Coin ;
- la ZI du Clos-Marquet ;
- la ZI Pré-Château ;
- le centre d'activités artisanales et industrielles (CAAI).
Saint-Chamond compte sept cents entreprises.
Industrie
- l'usine Linamar (ex-Linamar Faber, aujourd'hui LSC Linamar Sain-Chamond), composants automobiles67.
Culture locale et patrimoine
Édifices disparus
- Collégiale Saint-Jean-Baptiste de Saint-Chamond
- Le champ de tir de Langonand68,69 qui appartenait à la compagnie des forges et aciéries de la marine et d'Homécourt.
-
Couvent des Capucins. 1601 démolie en 1972.
-
Collégiale. 1635-1642.
-
Château des seigneurs. Gravure 1644.
-
Notre-Dame. XVIIe siècle, démolie en 1875.
-
Chapelle des Pénitents. 1640 démolie en 1965. 1956.
-
Halle-théâtre. 1835, démolie en 1931.
Lieux, édifices et monuments actuels
Monuments historiques
- Maison des Chanoines (XVe et XVIe siècles)
- Église Saint-Pierre (XVIIe siècle)
- L'ancien Hôtel-Dieu (1670) et sa chapelle (1674)Note 16
- La façade ancienne de la mairie
- Les orgues de Claude-Ignace Callinet — dans l'église Saint-Pierre — (XIXe siècle)
- Les façades et toitures de l'usine Gillet-Thaon — ancienne teinturerie — (XIXe siècle)
- L'hôtel Dugas de la Boissonny (fin XVIIIe siècle)
Édifices religieux
- Église Saint-Pierre de Saint-Chamond
- L'église Notre-Dame (construite en 1881)
- Église Saint-André d'Izieux
- Église Saint-Ennemond de Saint-Chamond
- Église Saint-Joseph de Chavanne
- Église Saint-Julien de Saint-Chamond
- Église Notre-Dame-de-Lourdes de Saint-Chamond
- Église Saint-Jean-Marie-Vianney de la Chabure
- Église Saint-Marcellin Champagnat de Fonsala
- Église Saint-Martin de Saint-Martin-en-Coailleux
- Notre-Dame-de-l'Hermitage
- Le temple protestant (route du Coin) (construit en 1962)
Patrimoine urbain et architectural
- Colline de Saint-Ennemond (XVe siècle)
- Décombres des écuries du château détruit de Saint-Chamond (Saint-Ennemond) (XVe siècle)
- Le couvent des Minimes — aujourd'hui mairie de Saint-Chamond ; dernièrement rénové — (1622-1624)70
- Collège Sainte-Marie — lieu d'inspiration de Gabriel Chevallier, auteur de Clochemerle dans son livre Sainte-Colline — (1877)
- Château du Jarez — rue Victor-Hugo — (XIXe siècle)
- Maisons bourgeoises — rue Victor-Hugo no 18 puis 30, 32, 34, 36, 40 et 42 — (XIXe siècle et début XXe siècle)
- Maison bourgeoise — rue Victor-Hugo no 58 — (façade d'inspiration Art nouveau)
- Hôtel de la Caisse d'épargne — rue Victor-Hugo no 16 — (1901, architecte : Picaud)
- La maison des artistes — ancienne école primaire supérieure de filles — (1909)
- Rue de la République : nombreux commerces dans le centre-ville sur une rue piétonne
- Salle des congrès (salle Aristide-Briand).
Patrimoine industriel
- La cheminée de Giat industrie haute de 103 mètres (XIXe siècle)
Monuments
- Statue de la République — place La-Valette — (1889)
- Monument Sadi-Carnot — dans le Jardin des plantes — (1895)
- Monument aux morts pour la France — dans le cimetière — (inauguré le )
- Monument aux morts pour la France — devant l'école Lamartine
Jardin public
- Jardin des Plantes ou Jardin Nelson-Mandela
Sites naturels
- Paraqueue : vue imprenable sur tout Saint-Chamond
- Hauteurs de Chavanne : vue sur tout Saint-Chamond, ainsi qu'une partie de Rive-de-Gier et Saint-Étienne
- Hauteurs de la Chabure : panorama de la Vallée du Gier.
Patrimoine culturel
Personnalités liées à la commune
Personnages historiques
- Jacques Mitte de Chevrières (1549-1610) , seigneur de Saint-Chamond, conseiller d'État, lieutenant général du Forez, du yonnais et du Beaujolais. Il était l'époux de Gabrielle d'Urgel de Saint-Chamond (1547-1596), fille de Christophe d'Urgel de Saint-Chamond (+ 1580) et de Louise d'Ancézune, unique héritière de la seigneurie de Saint-Chamond.
- Melchior Mitte de Chevrières (1586-1649), [fils du précédent], lieutenant général des armées du Roi et ministre d'État sous Louis XIII et Louis XIV.
- Antoine Flachat (1725-1803), né et mort à Saint-Chamond, curé de la paroisse Notre-Dame, prédicateur du roi de Pologne ; élu député du clergé aux États généraux, le , pour la sénéchaussée de Lyon.
Industriels
- Famille Guerin, aux XVIIe et XVIIIe siècles, marchands fabricants de soie, banquiers, maire.
- Charles-François Richard, né en 1772 ; fondateur de l'industrie des lacets ; maire de l'ancienne commune d'Izieux en 1830 (aujourd'hui rattachée à la commune de Saint-Chamond) ; décoration du Lys ; chevalier de l'ordre royal de la Légion d'honneur ; mort à Saint-Chamond en 1851.
- Ennemond Richard, né en 1806 à Saint-Chamond, fils du précédent, vice-président de la Chambre de commerce de Saint-Étienne, chevalier de la Légion d'honneur ; mort à Saint-Chamond en 1873[réf. nécessaire].
- Roger Zannier (1945), patron du groupe Zannier, a lancé son entreprise à Saint-Chamond.
Hommes politiques
- Jacques Badet (1943- ), homme politique, maire (1977-1989) et député de Saint-Chamond.
- Marius Chavanne (1817-1886), homme politique, maire de Saint-Chamond.
- Claude de Fournas, homme politique né le à Saint-Chamond (Loire) et décédé le à Saint-Chamond.
- François Delay (1855-1936), industriel, sénateur, maire de Saint-Chamond où il est mort.
- Henry Jaboulay (Izieux, 1897 - Johannesburg, 1977), résistant, co-organisateur du Défilé du 11 novembre 1943 à Oyonnax, Compagnon de la Libération71
- Adrien de Montgolfier-Verpilleux (1831-1913), ingénieur des ponts et chaussées, homme politique, mort au château du jarez à Saint-Chamond.
- Charles Neyrand (1839-1907), conseiller général et député de la Loire, maire de l'ancienne commune de Saint-Julien-en-Jarez où il est né.
- Benoît Oriol (1840-1926), maire de Saint-Chamond et député de la Loire, officier de la Légion d'honneur, né à Saint-Chamond et mort dans l'ancienne commune de Saint-Julien-en-Jarez.
- Antoine Pinay (1891-1994), homme politique, maire de Saint-Chamond de 1929 à 1944 et de 1947 à 1977.
- François Rochebloine, homme politique, né en 1945 à Saint-Chamond.
Militants politiques
- Ravachol (1859-1892), militant anarchiste, né à Saint-Chamond, guillotiné à Montbrison.
- Louis Follet (1898-1957), syndicaliste et militant communiste, mort dans l'ancienne commune d'Izieux.
Policiers
- Edmond Locard (1877-1966), fondateur de la police scientifique, né à Saint-Chamond.
Religieux
- Marcellin Champagnat (saint) (1789-1840), homme d'Église et pédagogue, fondateur de Notre-Dame de l'Hermitage, mort à Saint-Chamond.
- François Rivat (1808-1881), 1er supérieur général des frères maristes reconnu vénérable par l'Église catholique, mort à Saint-Chamond.
- James Condamin (1844-1929), chanoine, professeur à la Faculté catholique de Lyon, historien de Saint-Chamond
- Alexandre Poncet (1884-1973), vicaire apostolique à Wallis-et-Futuna, a précédé Michel Darmancier.
- Michel Darmancier (1918-1984), premier évêque de Wallis-et-Futuna.
Écrivains
- Lionel Bourg (1949-), écrivain
- Gabriel Chevallier (1895-1969), écrivain ayant fréquenté en 1912 le collège Sainte-Marie ce qui a inspiré à l'auteur de Clochemerle son livre Sainte-Colline.
- Étienne-François Coignet (1798-1866), poète et bibliothécaire.
- Laurent Deloire (1966-), caricaturiste et dessinateur de presse.
- Lucien Rebatet (1903-1972), écrivain ayant fréquenté le collège Sainte-Marie.
Savants
- Jean-Baptiste Dugas-Montbel (1776-1834), helléniste et homme politique, né à Saint-Chamond.
Instituteurs, professeurs, directeurs d'école
- Claude Lebois y a enseigné.
- Mathieu Fournier y a enseigné et y est mort.
Artistes
- Édouard-Alphonse Dupont (1831-1857), peintre français.
- Antoine Mariotte (1875-1944), compositeur mort dans l'ancienne commune d'Izieux.
- Roger Planchon (1931-2009), dramaturge, metteur en scène et cinéaste, né à Saint-Chamond.
- Pierre Koulak (1942-), auteur, acteur et metteur en scène.
- Étienne Bossut (1946-), artiste contemporain.
- Djamel Tatah (1959-), artiste contemporain français.
- Danger (1984-), de son vrai nom Franck Rivoire, DJ et producteur de musique électronique.
Sportifs
- Samuel Allegro (1978-), footballeur né à Saint-Chamond.
- Dominique Aulanier (1973-2020), footballeur né à Saint Chamond.
- Magali Baton (1971-), judokate française née à Saint-Chamond.
- Julie Coulaud (1982-), athlète française, spécialiste du steeple.
- André Giriat (1905-1967), rameur, mort à Saint-Chamond.
- Pierre Haon (1966-), footballeur professionnel, né à Saint-Chamond.
- Sébastien Pérez (1973-), ancien footballeur, né à Saint-Chamond.
- Alain Prost (1955-), quatre fois champion du monde de Formule 1, a passé son enfance et son adolescence à Saint-Chamond.
- Laurent Redon (1973-), pilote automobile, né à Saint-Chamond.
- Youcef Zenaf (1957-), sportif, champion du monde de full-contact de 1984 à 1986.
Héraldique, logotype et devise
Parti, le 1er d'argent à la fasce de gueules ; le 2e d'azur plein72. |
Voir aussi
Bibliographie
- Ennemond Richard, Recherches historiques sur la ville de Saint-Chamond, Saint-Étienne, Janin, (réimpr. 1986, par Les Amis du Vieux Saint-Chamond) (1re éd. 1846-1858), 2 vol. in-8 ° (BNF 36397199).
- Ennemond Richard, Fontaines publiques de Saint-Chamond, Saint-Étienne, Impr. de Théolier aîné, , 14 p., in 8° (BNF 31210397).
- Gustave Lefebvre (recueillis et publiés par), Souvenirs de cent ans : 1789-1889 : Saint-Chamond et Rive-de-Gier : notes et documents, Paris, Éditions Picard, , 57 p., in 8 (OCLC 422178936).
- James Condamin, Histoire de Saint-Chamond et de la seigneurie de Jarez depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours, s.l., Les Amis de Saint-Chamond, (réimpr. 1996) (1re éd. 1890), XXII-748 p., 23 cm (OCLC 25985998).
- Stéphane Bertholon, Histoires de Saint-Chamond : notes et souvenirs d'un vieux Couramiaud, Saint-Étienne, s.n. (impr. Théolier), (réimpr. 1989), 1re éd. (1re éd. 1927), XIV-304 p., 21 cm
- François Gonon, Notre vieux Saint-Chamond : notes historiques . La paroisse Notre-Dame et son histoire : documents d'archives, s.l., Amis du vieux Saint-Chamond, (1re éd. 1944), 118 p., 24 cm (OCLC 37877197).
- Mathieu Fournier (pseudonyme : Jean Châtelus73), Tableaux de la vie saint-chamonaise, Saint-Chamond, s.n. (libr. A. Bordron), , 147 p., in-16 (OCLC 369882770).
- Lucien Parizot, La Révolution à l'œil nu : l'exemple du Lyonnais vécu a Saint-Chamond et en Jarez, s.l., Val Jaris, coll. « Bicentenaire de la Révolution », , 343 p., 24 cm (OCLC 159895357).
- G. Pupier (responsable) et Georges Delorme (responsable), Sur les ruines du château… « des fleurs ont poussé ». Saint Ennemond. La Grand’Grange (additif au no 94 de l' Écho de la Grand'Grange), Saint-Chamond, La Grand'Grange, , 371 p., 22 cm (OCLC 84424216).
- (en) Elinor Ann Accampo, Industrialization, family life, and class relations : Saint Chamond, 1815-1914 [« Industrialisation, vie de famille et relations de classes : Saint-Chamond, 1815-1914 »] (Publication gouvernementale provinciale, Ressource Internet), Berkeley, California Digital Library et University of California Press, coll. « UC Press E-Books Collection, 1982-2004 », , XVII- 301 p., 24 cm (ISBN 978-0-520-06095-1 et 0-5200-6095-4, lire en ligne [archive]).
- Eric Perrin, Saint-Chamond, Saint-Cyr-sur-Loire, Éditions Alan Sutton, coll. « Mémoire en images », , 127 p., 24 cm (ISBN 2-84253-763-7 et 978-2-8425-3763-0).
- Gérard Chaperon, Saint-Chamond au fil du temps, Saint-Étienne, Actes graphiques, , 411 p., 30 cm (ISBN 978-2-910868-86-4 et 2-9108-6886-9).
- Catherine Coquidé et Ghislaine Macabéo, « Les aqueducs antiques de Lyon : l’apport de l’archéologie préventive (1991-2007) », Revue archéologique de l'Est, Dijon, Revue archéologique de l'Est, vol. 59, no 2, , p. 447-504 (ISSN 1760-7264 et 1266-7706, lire en ligne [archive]).
- Eric Moulin-Zinutti, Les Dames de Saint-Chamond où l'Histoire de Saint-Chamond et de ses seigneurs. Editeur, Mémodoc, 2019.
Liens externes
- [vidéo] Vidéos du parc du Pilat : Maison des tresses et lacets. La Terrasse-sur-Dorlay, de Parc naturel régional du Pilat, Vimeo, 2013, 5 min 15 s [voir en ligne [archive]] : Tressage de lacets par des métiers de Perrault améliorés par Charles-François Richard.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Ces deux constructions sont dues à Jean-Armand Mitte de Chevrières (1614-1685), deuxième fils de Melchior Mitte de Chevrières, devenu marquis de Saint-Chamond à la mort de son frère aîné, Just-Henry-Melchior Mitte de Chevrières (ca 1615-1664).
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes [archive] », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
Articles connexes
- Liste des communes de la Loire
- Jarez
- Lycée Claude-Lebois
- Compagnie des forges et aciéries de la marine et d'Homécourt
- James Condamin
- Claude Lebois
- Mathieu Fournier
- Pierre Joannon
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