Tout pareil... sauf qu'on n'a encore jamais vu aucun zorro surgir de nulle part pour nous délivrer...
Je rappelle avoir déjà publié deux fois un compte rendu d'entretiens de licenciement remontant à l'année 1995, la seconde fois dans cet article du 8 mars dernier :
http://satanistique.blogspot.com/2023/03/on-samuse-encore-fact-checker-mon-cv.html
Je ne l'ai encore jamais commenté. Les éventuels informaticiens qui ont pu le voir se sont peut-être posé quelques questions à sa lecture, ou pas s'ils connaissent aussi bien que moi le milieu informaticien...
Mon employeur dit notamment en présence de la personne qui m'accompagne : "Je suis très à l'aise, la qualité du Curriculum Vitae de Petitcoucou et ses compétences lui permettront de retrouver très facilement du travail ! Nous avons une orientation de plus en plus marquée Unix, Petitcoucou est compétente en gros systèmes. Je n'ai aucun dossier auprès des Prud'hommes. Nous sommes dans une année de retour à l'investissement après avoir apuré les pertes."
Preuve qu'il ne connaît même pas mes compétences... ou pas grand-chose à mon métier... Je n'ai jamais été ingénieur système, j'étais ingénieur d'études, ce qui n'a rien à voir avec les matériels utilisés. Je n'ai jamais été liée à des matériels ou des systèmes d'exploitation particuliers pour l'exercice de ma profession, les études en sont indépendantes. Enfin... pas totalement, mais ce ne sont que des données à intégrer comme toutes les autres. Il ne le sait pas... On le lui a sûrement dit, mais il n'a toujours pas compris, il vient de l'univers de l'exploitation où effectivement les gens sont attachés aux systèmes sur lesquels ils bossent, mais eux aussi peuvent changer quand ils veulent, pour peu qu'ils aient reçu une véritable formation en informatique... Par ailleurs, en cas de besoin, il appartient à l'employeur d'assurer toutes les formations complémentaires de son personnel, mais aucun des "marchands de viande" ne le fait jamais... Sur le projet évoqué, j'en ai bien eu besoin, ce qui n'avait rien d'anormal, on n'est pas obligé de connaître par avance tous les outils qui existent sur le marché, par contre on doit pouvoir s'y adapter, soit par apprentissage sur le tas, ce que j'ai pratiquement toujours fait, soit avec l'aide d'un stage de quelques jours. En l'occurrence, le client préférait la solution du stage de formation professionnelle et l'avait payé lui-même. C'était mon employeur de fait et le rôle du "marchand de viande" se limitait comme toujours au versement de mes salaires et à l'établissement des fiches de paie correspondantes... ce qu'il faisait en râlant quand il ne pouvait rien facturer au client car celui-ci m'avait accordé des congés...
Auparavant, il a dit aussi : "J'ai discuté déjà plusieurs fois avec Petitcoucou, que j'envisageais un licenciement avec tous ses droits", etc...
C'est quoi au juste, un "licenciement avec tous ses droits " ? C'est juste un licenciement avec droit aux allocations de chômage, et au préalable l'établissement d'un solde de tout compte qui ne soit pas nul, mais sans aucune indemnité de licenciement. En effet, au tout début, il exigeait que je lui remette ma démission. C'est assez fréquent dans ce milieu, on voit régulièrement des gens obligés de signer des démissions antidatées de trois mois quand ils se retrouvent en intercontrat, mais comme j'étais chez moi en arrêt de travail pour maladie, il ne pouvait pas m'y contraindre physiquement et avait dû abandonner cette idée-là. Pour la même raison, il ne pouvait pas non plus me licencier pour des fautes graves imaginaires, une pratique également courante chez les "marchands de viande" pour éviter de payer un préavis de trois mois à un salarié en intercontrat qui ne sera pas replacé en clientèle, faute pour son employeur d'avoir pu lui retrouver un contrat de sous-traitance.
Et tout à la fin, après que j'eus refusé ses trois cacahuètes "symboliques", en cohérence avec sa "Philosophie du Travail" : "J'ai été honnête, de bonne foi, n'oubliez pas que j'ai tout votre dossier, avant, pendant et après [votre emploi dans notre société], si vous m'attaquez vous allez voir à qui vous avez affaire !"
Ah mais ça, je le savais déjà, le monsieur avait quand même essayé de me faire assassiner à plusieurs reprises à partir de début mai 1994, c'était même la raison de mon arrêt de travail pour maladie. Et c'est aussi pour cette raison que j'ai très soigneusement évité les sujets qui fâchent, ou vraiment de trop, durant ces entretiens...
Mais quand il me dit, en présence d'un tiers qui ensuite en témoignera :
"N'oubliez pas j'ai tout votre dossier, avant, pendant et après [votre emploi dans notre société]",
on ne me voit toujours pas pieds et poings liés au "marchand de viande" ?
Par ailleurs, comme je l'avais déjà exposé dans ce précédent article du 14 mars dernier, le client est roi :
http://satanistique.blogspot.com/2023/03/six-femmes-ingenieures-se-sont-succede.html
Rappel :
Quoique le sujet des SSII fut bien abordé sur le site Rue89 à l'époque où j'en étais commentatrice avec un article y consacré, le 12 mars 2009, il me fut impossible de m'y exprimer bien longtemps, car j'y étais attaquée par la meute des "déconnologues", en particulier une certaine "Emma T" qui avait la prétention de mieux connaître le sujet que moi sans être elle-même informaticienne ni avoir jamais mis les pieds dans ce type de société alors qu'en ce qui me concerne il s'agit quand même de plusieurs années d'une expérience professionnelle assez variée (petites, grandes et moyennes SSII) :
http://satanistique.blogspot.com/2023/03/des-attaques-de-cyprien-luraghi-et-sa.html
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