.... ou quand certains Brestois découvrent, horrifiés, tout l'amour que leur porte l'alcoolique notoire Josette Brenterch du NPA de Brest...
Parce que c'est encore bien elle qui organise, comme les émeutes de l'automne 2005 qui avaient été suivies de couvre-feu, le tout ayant alors eu pour but d'étouffer complètement la révolte des chômeurs, précaires et exclus du réseau de collectifs AC ! qui venaient de se faire très brutalement déposséder de leur outil de lutte contre le chômage, la précarité et les exclusions par la folledingue Josette Brenterch et ses complices de la LCR.
Voir ici :
Et là :
http://unpetitcoucou3.unblog.fr/2016/05/20/la-veritable-scission-dans-ac/
Extrait de l'article Wikipédia :
https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89meutes_de_2005_dans_les_banlieues_fran%C3%A7aises
Le journaliste de Rue89 David Servenay relève qu'« en décrétant l'état d'urgence, le Premier ministre Dominique de Villepin réclame aussi l'intervention de l'armée aux côtés de la police, mais la hiérarchie militaire et le ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy s'y opposent. Le président de la République Jacques Chirac tranche en faveur de ce dernier. L'épisode provoque une première secousse dans l'armée, qui s'interroge sur son rôle en matière de maintien de l'ordre45 ».
J'ai dû commencer à faire chier ce M. de Villepin du jour où je suis sortie du ventre de ma maman. Ce n'est pas ce qu'il dit à mon sujet ?
Mort de Nahel : deuxième nuit de violences à Brest, entre incendies et affrontements
Dans la nuit de jeudi à vendredi, la ville de Brest a été victime d'une deuxième nuit de violences après la mort de Nahel, tué par le tir d'un policier à Nanterre. Cette fois, elles n'ont pas épargné le centre-ville, des commerces ont été pillés. Sept individus ont été interpellés.
Les stigmates des feux de la nuit au centre-ville de Brest © Radio France - Nicolas Olivier
De nouvelles violences ont éclaté dans la nuit de jeudi à vendredi à Brest, après la mort de Nahel, mardi à Nanterre, un adolescent de 17 ans tué par un policier alors qu'au volant, il tentait d'éviter un contrôle. "Une nuit de chaos", résume le reporter de France Bleu sur place, qui a commencé vers 23 heures, "impossible de tout raconter".
Selon nos informations, sept individus ont été interpellés à Brest.
Du jamais vu
250 personnes se sont d'abord rassemblées à 18 heures jeudi place de la Liberté à Brest, en hommage au jeune homme et contre les violences policières, à l'appel de plusieurs syndicats, associations et partis de gauche. Mais certains sont ensuite allés défier les forces de l’ordre rue Colbert, près du commissariat central.
"Pourquoi nous ?"
La situation a ensuite dégénéré, avec "beaucoup d'affrontements entre policiers et petits groupes très mobiles" selon le sous-préfet de Brest Jean-Philippe Setbon.
Des dizaines de jeunes s'étaient donné rendez-vous sur les réseaux sociaux (notamment sur Snapchat) et ils ont convergé de tous les quartiers de la ville pour aller "casser" dans le centre-ville : poubelles en feu, mobilier urbain renversé ou incendié, notamment avenue Clemenceau. Ils ont joué au chat et à la souris avec les policiers et gendarmes, dépassés par la situation.
Boutiques vandalisées et pillées en centre-ville
Quatre arrêts de bus proches de la gare n'ont plus de vitre, les bris de verre jonchent la chaussée. Il y a eu des voitures saccagées à coups de barre de fer, d'autres ont flambé. Il y a eu également de nombreux tirs de mortiers d'artifice. Les dégâts sont importants et disséminés dans presque toute la ville.
Des commerces ont été pillés : Jott a sa vitrine brisée, une centaine de doudounes ont été volées selon le gérant, qui a passé la nuit à surveiller le reste de son stock. L'enseigne Lacoste a été visée, comme une compagnie d'assurance, une supérette rue Yves-Collet.
Saint-Pierre
Dans le quartier Saint-Pierre, c'est un club de sport Physic form qui a entièrement brûlé entre 2h30 et 3h. Il ne reste plus rien à l'intérieur. C'est un tas de cendres. Il y avait selon une employée, "des machines toutes neuves, il y en a pour des centaines de milliers d'euros de préjudice". Quelques employés se sont rassemblés, très émus, devant cet établissement. "Il n'y a plus rien, ce sont des années de travail qui viennent de partir en fumée. C'est choquant, on se demande : pourquoi nous ?", s'interroge Juliette, manager et coach sportif au club.
De mémoire de Brestois, des violences urbaines à ce niveau-là, sont un événement inédit.
Jamel Ben Ghanem est le gérant de Games Park Indoor, une aire de jeux pour enfants qui se trouve juste sous la salle de sports. Il se dit dégoûté : "C'est complètement inondé. Il y a de l'eau partout, nous sommes au sous-sol." Pourquoi ont-ils touché à un parc de loisirs pour enfants ? Ça n'a pas de sens ! Ils ont des enfants, des petits frères ?!"
Bellevue
À Bellevue, la mairie annexe et le poste de police ont été dégradés, marqués encore ce jeudi matin par les fumées, des vitres brisées. Une agence bancaire a également été dégradée.
Poste de police de Bellevue à Brest, après les violences du 29/06 © Radio France - Nicolas Olivier
La mairie annexe de Bellevue à Brest dégradée © Radio France - Nicolas Olivier
Kerourien
Le centre social de Kerourien a été en partie incendié, un local de BMH (Brest métropole habitat) a été détruit et pillé.
Après la nuit de violences à Kerourien © Radio France - Nicolas Olivier
Après la nuit de violences à Kerourien à Brest © Radio France - Nicolas Olivier
Polémique sur la circulation des bus
Bibus avait décidé "d'interrompre la circulation des bus et des tramways" jeudi soir à 18 heures. Brest Métropole souhaitait que le réseau fonctionne jusqu'à 22 heures.
L'arrêt de bus Kennedy gare à Brest a été vandalisé © Radio France - Nicolas Olivier
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